Jusqu’au 31 mars 2015, la société de gestion Entrepreneur Venture, spécialisée dans le non coté, commercialise son second FCPR investi en obligations et éligible au PEA-PME : le FCPR Entrepreneurs & Export 2. Majoritairement investi en obligations convertibles et accessoirement en obligations simples avec sûreté, le fonds a pour objectif de générer un meilleur couple rendement/risque sur le long terme qu’un placement en actions, via un positionnement exclusivement obligataire. «Les obligations en portefeuille produisent un TRI brut (taux de rendement interne) de 10 à 12% réparti moitié coupons et moitié prime de non conversion», indique la société qui précise que le rendement net attendu est proche de 7%.Ce FCPR cible les entreprises non cotées, matures dans leur développement, réalisant moins de 250 millions d’euros de chiffre d’affaires, présentant une exposition forte à l’international et génératrices de cash-flows importants de façon à sécuriser le paiement des coupons et le remboursement « in fine » des obligations.Le fonds fait l’objet d’une convention conclue avec Oséo, devenue BPI France, dont l’objet est la garantie partielle par cette dernière des investissements en fonds propres et quasi fonds propres réalisés par le fonds dans des PME, en contrepartie du versement d’une commission qui viendra réduire la performance potentielle du fonds. «La protection partielle du capital accordée par Oséo portera sur 50% à 70% des investissements éligibles à cette protection, avec un plafond d’indemnisation global de 30% du montant du risque assuré par Oséo», précise un communiqué. Le FCPR est accessible à partir d’un montant de 1.000 €.
L’industrie suisse des fonds de placement a terminé l’année 2014 sur un nouveau volume record. La SFAMA (Swiss Funds & Asset Management Association) a ainsi recensé un volume d’actifs sous gestion de 864,4 milliards de francs suisses à fin décembre, soit une progression de 119,2 milliards de francs suisses ou 16% d’une année sur l’autre. La majeure partie de cette hausse de 119,2 milliards est à mettre sur le compte de la performance des marchés financiers. Les marchés des actions ont poursuivi leur hausse, tandis que les taux bas n’ont pas impacté trop négativement les obligations. Mais le marché suisse a également pu attirer des fonds supplémentaires estimés à 29,88 milliards. Les fonds en obligations ont généré le plus de nouveaux volumes (21,77 milliards), suivis par ceux en actions (7,06 milliards) et les fonds en allocation d’actifs (4 milliards).Favorisée par la nouvelle législation suisse, l’offre en fonds de placement s’est fortement enrichie, leur nombre ayant progressé de 598 unités à 8.216. Si ceux de droit étranger en réunissent toujours la majeure partie (+530 à 6.701), notamment pour des raisons d’accès au marché européen, les fonds suisses ont également été plus nombreux (+68 à 1.515).
Le pôle performance absolue et solutions de Lyxor vient de créer un fonds d’obligations souveraines européennes au sein de son offre active smart beta, rapporte L’Agefi. Le fonds répond aux contraintes réglementaires des banques - Bâle 3 et CRD 4 - qui doivent détenir des portefeuilles d’obligations de grande qualité pour constituer leur ratio LCR. Composé essentiellement d’obligations souveraines européennes (hors Portugal et Grèce), il génère du rendement grâce au crédit à long terme, et adopte une stratégie active fondée sur les risques de Lyxor. La société de gestion gère aujourd’hui 6,5 milliards d’euros d’encours d’obligations souveraines pour le compte de cette dizaine de banques. Cette expertise cible une clientèle de banques (elles représentaient fin novembre 20 à 25 % des actifs de l’ensemble du pôle), parmi lesquelles la Société Générale, mais aussi d’institutionnels qui ont des besoins d’obligations longues.
Le groupe UBS a lancé un nouvel ETF, UBS ETF – MSCI EMU Hedged USD UCITS ETF (USD) A-dis, sur le segment Xetra de la Deutsche Börse. Le nouvel ETF permet aux investisseurs de répliquer la performance des marchés actions dans l’Union européenne sur la base du dollar et de bénéficier ainsi de l’appréciation du dollar contre euro. L’indice comprend actuellement 238 valeurs d’entreprises issues d’une dizaine de pays : Belgique, Allemagne Finlande, France, Irlande, Italie, Pays-Bas, Autriche, Portugal et Espagne.
Investec Asset Management va prochainement lancer deux fonds Chine au sein de sa gamme luxembourgeoise Ucits Global Strategy Fund, suite à l’obtention récente d’une licence RQFII (Renminbi Qualified Foreign Institutional Investor) et d’un quota RQFII. L’un sera investi sur les actions chinoises et l’autre sur les obligations chinoises onshore.La société de gestion a aussi annoncé que les fonds de sa gamme Global Strategy Fund pourront désormais être investis sur le marché actions chinoises domestiques en utilisant Shanghai - Hong Kong Stock Connect. La société de gestion a obtenu une autorisation en décembre 2014.
L’industrie mondiale des hedge funds a accusé une décollecte de 29,1 milliards de dollars au mois de décembre 2014, soit sa plus importante vague de rachats depuis avril 2009, selon des données publiées par BarclayHedge et TrimTabs Investment Research. «Les hedge funds ont perdu 12,5 milliard de dollars au cours du second semestre 2014, après une collecte 87,5 milliards de dollars au premier semestre», a observé Sol Waksman, président et fondateur de BarclayHedge. La collecte annuelle du secteur s’établit à 75,3 milliards de dollars, soit quasiment stable par rapport à la collecte de 76,4 milliard de dollars en 2013.» Ainsi, les actifs sous gestion des hedge funds au niveau mondial s’élèvent à 2.480 milliards de dollars à fin décembre 2014 contre 2.500 milliards de dollars à fin novembre, selon des estimations basés sur l’analyse de 3.544 fonds.
Dans un environnement de taux toujours très bas, les investisseurs institutionnels sont de plus en plus intéressés par les stratégies alternatives. Selon le cabinet de recherche Absolut Research, les fonds alternatifs au format Ucits disponibles dans le monde se sont élevés l’an dernier au niveau record de 233 milliards d’euros, enregistrant ainsi une progression de 28% d’une année sur l’autre, soit plus de 50 milliards d’euros. Le nombre de fonds a pourtant diminué l’an dernier de 31 à 895. Cela dit, il s’agit d’un recul beaucoup moins marqué que celui de l’année précédente (76). Les dix principaux fonds gèrent au total 73 milliards d’euros, soit environ 31% du volume total. Le plus gros fonds alternatif d’actions, Old Mutual Global Equity Absolute Return, pèse quelque 2,4 milliards d’euros.
Les chiffres peuvent sembler contradictoires. Alors que l’association allemande de la gestion BVI a publié le 11 février des chiffres battant tous les records pour les fonds retail, tant en termes d’encours que de souscriptions, les investisseurs allemands fuient les fonds. Le nombre d’Allemands détenant des parts de fonds d’actions ou diversifiés n’a jamais été aussi peu élevé depuis 15 ans, selon les estimations du Deutsches Aktieninstitut (DAI). Avec seulement 8,4 millions de porteurs de parts, seuls 13 % de la population totale est investi sur les actions, constate le DAI. Depuis les plus hauts en 2001, ce sont 4,4 millions d’investisseurs qui ont quitté le marché actions. Aujourd’hui, les Allemand détiennent moins de 7 % de leur épargne financière en actions. Selon Fondsprofessionnell, l’écart entre les bons chiffres du BVI et les données du DAI peut s’expliquer par plusieurs théories. Premièrement, le DAI ne prend pas en compte l’investissement dans les fonds obligataires, très prisés par les particuliers depuis la crise. Ensuite, les Publikumsfonds, les fonds ouverts au public en opposition aux Spezialfonds institutionnels, sont très souvent achetés par les investisseurs institutionnels, souligne Fondsprofessionnell. Enfin, il semble que de gros investisseurs allouent des sommes importantes vers des fonds plus risqués pour contrer les mauvaises performances des produits de taux, gonflant les flux vers ces fonds mais n’incluant pas les investisseurs particuliers.
Le gestionnaire d’actifs Lazard envisage de fusionner le fonds UK Alpha, dont les encours s’élèvent à 81,9 millions de livres, avec le fonds UK Omega, qui affiche 1,3 milliard de livres d’actifs, rapporte FT Adviser. L’objectif est de permettre au fonds UK Omega d’atteindre une taille critique. Lazard, qui a déjà obtenu l’accord de la Financial Conduct Authority (FCA), le régulateur britannique, doit maintenant obtenir le feu vert des actionnaires et investisseurs. Si ces derniers valident la fusion le 25 février, les deux fonds pourraient être fusionnés le 27 février.
Neptune remplace le gérant sortant de son fonds UK Opportunities (66 millions de livres) par son patron des actions britanniques Mark Martin, rapporte Investment Week. Scott MacLennan, qui gère le fonds UK Opportunities depuis avril 2013, va quitter la société. Ce changement de gérants va se traduire par un certain nombre de changements au sein du fonds, dont une réduction du nombre de valeurs en portefeuille à 30-35, reflétant les meilleures idées de Mark Martin.
Grâce à la hausse du dollar et à la chute de l’euro, les hedge funds sur les devises ont connu leur meilleur mois de ces dernières années en janvier, rapporte The Wall Street Journal. Les données de Hedge Fund Research montrent que ces fonds ont connu leur meilleur début d’année depuis au moins 2008. Selon Barclays, les hedge funds devises ont enregistré une performance de 3,4 % en janvier.
Le groupe américain Vanguard vient de lancer le Vanguard Ultra-Short-Term Bond Fund qui offre deux classes de parts à bas coût —Investor Shares and Admiral Shares. Investor Shares affiche des frais sur encours de 0,20% pour un investissement minimal de 3.000 dollars. Admiral Shares affiche des frais sur encours de 0,12% pour un ticket minimum de 50.000 dollars. La période de souscription est ouverte jusqu’au 23 février. Une fois passée la période de souscription, le fonds investira dans de l’obligataire de qualité, y compris du monétaire, des titres souverains ou corporate en catégorie d’investissement, avec une duration attendue d’environ un an.
L’année commence bien pour les fonds commercialisés en Suède, lesquels enregistrent en janvier des souscriptions nettes de 14,6 milliards de couronnes suédoises, soit 1,5 milliard d’euros, selon les derniers chiffres de l’association suédoise des fonds d’investissement Fondbolagens Förening. La collecte a été tirée par les fonds diversifiés (8,4 milliards de couronnes) et les fonds actions (7,2 milliards de couronnes). Dans cette dernière catégorie, ce sont les fonds actions monde, les fonds actions Amérique du Nord et les fonds actions indiennes qui ont été les plus populaires, avec plus de 2 milliards de couronnes chacun. En janvier, seuls les fonds monétaires ont été dans le rouge, avec des rachats nets de 2,1 milliards de couronnes.A fin janvier, les encours dans les fonds suédois ressortaient à 3.136 milliards de couronnes suédoises, soit près de 332 milliards d’euros, dont environ 56 % dans des fonds actions.
J.P. Morgan Asset Management ferme temporairement aux nouveaux investisseurs son fonds offshore JPM Europe Equity Absolute Alpha SICAV, la collecte dans le produit ayant bondi, rapporte Investment Week. Le fonds long/short, lancé en décembre 2013, a vu ses encours croître à 620 millions d’euros. La société estime que des souscriptions supplémentaires à ce rythme pourraient compromettre la capacité des gérants à dégager de l’alpha. Le fonds, co-géré par David Allen, Nicholas Horne et Michael Barakos, sera fermé le 13 février (soft close). Après cette date, seuls les investisseurs existant du fonds pourront investir dans le fonds, à hauteur de 1 million d’euros maximum par jour.
Les actifs gérés dans les fonds allemands ont atteint l’an dernier le niveau record de 2.382 milliards d’euros, selon des statistiques communiquées par l’association allemande des gestionnaires d’actifs (BVI). Cela correspond à un doublement des actifs depuis 2004, où les fonds allemands totalisaient 1.151 milliards d’euros d’actifs. En 2014, les seuls fonds institutionnels ont totalisé 1.231 milliards d’euros, un autre record, contre 1.071 milliards d’euros fin 2013, relève l’association. Les mandats ont également atteint l’an dernier un montant record, soit 363 milliards d’euros (contre 318 en 2013), alors que les fonds ouverts au public s’inscrivent fin 2014 à 788 milliards d’euros contre 716 milliards d’euros un an plus tôt. Le succès des fonds s’explique par un intérêt croissant de la part des investisseurs dans un environnement de taux bas, selon le BVI. Les fonds ont collecté en 2014 un montant record de 123.4 milliards d’euros. L’an dernier, la collecte des fonds institutionnels s’est élevée à 91 milliards d’euros, là encore un record et une hausse de 14,3 milliards de la collecte par rapport à 2013. Les souscriptions nettes des fonds ouverts au public s’inscrivent à 32,4 milliards d’euros, la plus importante année en termes de flux depuis 2005 (47,4 milliards d’euros), à comparer avec les 18,7 milliards de 2013. Du côté des fonds ouverts au public, les fonds diversifiés ont été particulièrement prisés et ont enregistré une collecte nette record de 22,7 milliards d’euros. Leur encours s’élève à fin 2014 à 176 milliards, contre 144 milliards fin 2013. Les fonds actions ont pour leur part subi des rachats de l’ordre de 10,2 milliards d’euros, largement dus au retrait de 8,2 milliards par des investisseurs institutionnels sur un produit. Sans cet effet exceptionnel, les rachats auraient été de 2 milliards l’an dernier. Les fonds obligataires ont attiré de leur côté 16,9 milliards d’euros, contre 8,8 milliards d’euros en 2013. Les fonds d’obligations européennes ont notamment collecté 9 milliards d’euros et les fonds d’obligations d’entreprises 4 milliards d’euros.
Union Bancaire Privée vient de lancer un nouveau fonds d’actions internationales qui sera géré par Martin Moeller, responsable de l'équipe actions «Swiss and Global», rapporte Citywire. Le nouveau fonds, UBAM Global equity fund, est un véhicule luxembourgeois qui a été formellement lancé fin janvier. Responsable du nouveau fonds, Martin Moeller continuera de piloter trois autres stratégies, UBAM 30 Global Leaders Equity, UBAM Swiss Equity et UBAM (CH) Swiss Excellence Equity.
Caroline Maurer, gérante du fonds Henderson Horizon China, quitte la société de gestion après sept années de services. Elle est remplacée à la gestion du fonds par Charlie Awdry, membre de l'équipe marchés émergents, qui gère déjà plusieurs fonds d’actions chinoises et mandats spécialisés, note Citywire. Charlie Awdry pilotera le fonds de droit luxembourgeois, qui pèse 167 millions de dollars, à partir des locaux de Londres et travaillera sous la direction d’Andrew Gillan, responsable des actions Asie hors Japon de Henderson.
Oddo Asset Management a dévoilé, ce 10 février, son nouveau fonds obligataire daté, baptisé Oddo Haut Rendement 2021. Le gestionnaire d’actifs porte ainsi à 8 le nombre de fonds obligataires datés au sein de sa gamme. Commercialisé jusqu’au 31 juillet 2015, ce nouveau véhicule est investi sur des obligations privées dites «à haut rendement», principalement d’émetteurs européens et, notamment, de façon significative sur des signatures B. La gestion de ce fonds est confiée au tandem composé d’Alain Krief, responsable de l’équipe fixed income d’Oddo AM, et d’Olivier Becker, gérant obligataire crédit. Le fonds Oddo Haut Rendement 2021 repose sur une gestion active d’un portefeuille diversifié en titres de créance composé d’obligations classiques de notation haut rendement, à savoir comprise entre BB+ et B- par S&P ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion. Oddo AM précise que les émetteurs sont des émetteurs privés dont le siège social est situé principalement en Europe continentale et ayant une échéance ne dépassant pas 6 mois après le 31 décembre 2021. En date du 25 janvier 2015, le portefeuille cible compte 67 lignes, pour un rendement actuariel cible brut (hors cas de défaut) de 7% et une sensibilité aux taux cible de 3.06. Caractéristiques du fonds: - Statut juridique: Fonds commun de placement (FCP) de droit français - Société de gestion: Oddo Asset Management - Dépositaire: Oddo et Cie - Souscription / rachats: Quotidien à cours inconnu jusqu’à 11h15 - Fréquence de valorisation: Quotidienne - Objectif de gestion: Obtenir une performance nette annualisée supérieure à 3% sur un horizon de placement de 7 ans, soit de la date de création au 31 décembre 2021 - Date de création: 28 janvier 2015 - Période de commercialisation: Jusqu’au 31 juillet 2015 - Durée d’investissement conseillée: Jusqu’à échéance (31 décembre 2021) - Code ISIN: FR0012417368 (classe de part: CR-EUR); FR0012476364 (classe de part DR-EUR) - Devise: euro - Souscription minimale initiale: 100 euros - Commission de souscription: 4% TTC maximum - Frais de gestion fixes: 1,3% - Commission de surperformance: 10% TTC de la surperformance au-delà d’une performance annualisé du fonds de 6%
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, les gérants les plus performants ne sont pas si gourmands en frais de gestion. C’est ce qui ressort d’une récente étude publiée par le cabinet de conseil Bfinance. Consacrée aux commissions de gestion pratiquées dans l’univers des investissements institutionnels, l’étude se base sur près de 3.200 grilles de cotation transmises par 650 sociétés de gestion internationales dans le cadre d’une centaine d’appels d’offres en sélection de gérants institutionnels. Selon Bfinance, les gérants générant le plus d’alpha, c’est-à-dire ceux qui surperforment régulièrement leur indice de référence, ne facturent pas des commissions de gestion plus élevées que leurs concurrents moins performants. Au contraire, les meilleurs gérants appliquent des frais de gestion très légèrement inférieurs à la moyenne, note l’étude (voir tableau en pièce jointe de l’article). « Contre toute intuition, le niveau de corrélation entre la qualité de gestion et le niveau des frais est faible. Les gestionnaires les plus performants comptent également parmi les plus compétitifs sur les frais et acceptent de travailler avec les investisseurs pour concevoir des formules de rémunération créatives basées sur la performance. En menant une bonne négociation, il est possible d’obtenir des économies substantielles », souligne Ian Shea, responsable de la recherche actions chez Bfinance. En effet, le niveau des commissions de gestion fixé à l’issue du premier tour d’une procédure d’appel d’offres n’est pas figé et peut évoluer, les baisses de prix obtenues par négociation représentant en moyenne 20 %, précise bfinance. Autre enseignement de l’étude, la taille du mandant a un impact direct sur les frais de gestion. Entre un mandat de 100 millions d’euros et un mandat de 400 millions d’euros, le niveau moyen des commissions de gestion fixé en première cotation (avant négociation) diminue de 15 %. Plus généralement, Bfinance note que sur les trois dernières années, les frais de gestion sont demeurés stables, à l’exception des produits de faible volatilité, qui ont vu leur nombre croître fortement ces dernières années. Bfinance note également que des formules de rémunération fondées sur les commissions de performance sont plus fréquentes qu’il y a quelques années. 32 % des gérants ont ainsi introduit une obligation de surperformance d’au moins 2 % avant de pouvoir facturer des commissions de performance, soit un modèle qui selon Bfinance « s’est rééquilibré en faveur des investisseurs ».
Fidelity Worldwide Investments a nommé Dhananjay Phadnis en tant que gérant principal de son fonds South East Asia Equity (3,2 milliards de dollars d’encours), suite au prochain départ à la retraite du gérant Allan Liu, indique Citywire. Le changement de gérants interviendra au premier mars et ne concerne que la sicav luxembourgoise et non la version OEIC du produit. Cette dernière continue d'être gérée par Teera Chanpongsang. Parallèlement au changement de gérants, le fonds change d’indice de référence, passant du MSCI All Country Far East ex-Japan au MSCI All Country Asia ex-Japan, permettant une exposition aux valeurs indiennes.