Les ETF et les ETP cotés en bourse dans le monde entier ont recueilli des flux nets de 64,96 milliards de dollars en juin, portant la collecte nette cumulée à 294,48 milliards de dollars sur le premier semestre 2020, soit un montant nettement supérieur aux 209,51 milliards de dollars sur la même période 2019.Selon les données d’ETFGI, un cabinet de recherche et de conseil indépendant les encours ont augmenté de 2,8 %, passant de 6.110 milliards de dollars fin mai 2020 à 6.280 milliards de dollars fin juin. Les ETF/et ETP fixed income ont attiré les entrées nettes les plus importantes avec 38,97 milliards de dollars au cours du mois de juin. Les ETF/ETP en actions ont enregistré des entrées nettes de 16,90 milliards de dollars en juin, soit 88,88 milliards depuis le début de l’année, contre 78,04 milliards de dollars pour le premier semestre 2019. Les ETF/ETP sur les matières premières ont enregistré des entrées nettes de 53,85 milliards de dollars depuis le début de l’année, ce qui est beaucoup plus élevé que les 3,51 milliards de dollars pour la même période de l’année dernière.
La société de gestion Mediolanum International Funds, basée à Dublin, a recruté David Whitehead en qualité de gérant de portefeuille actions au sein de son équipe de multigestion actions dirigée par Eoin Donegan. David Whitehead sera impliqué tant dans l’allocation d’actifs que dans la recherche et sélection de fonds actions, en plus de la construction et de la gestion de portefeuille. Il était précédemment analyste d’investissement chez Acumen & Trust, consultant en investissements financiers irlandais. Il a également travaillé chez BNY Mellon et Citigroup.
Fideas Capital a annoncé ce 15 juillet le lancement du fonds FideasSmart forClimate actions Euro-zone, un véhicule multi-factoriel labellisé ISR. Géré par Thibault Soler, le fonds suit une approche multi-indicielle multi-facteur. Il dispose de 11 paniers factoriels, composés au sein de l’univers Eurostoxx 300. Le portefeuille compte aujourd’hui 280 valeurs. Son approche ESG se base sur la méthodologie propriétaire «Smart forClimate», qui met au premier plan la transition écologique. L’outil doit permettre de réallouer le portefeuille pour abaisser l’empreinte carbone de 25% à 30%, et de prendre quatre ans d’avance sur les objectifs de la transition 2°C. Les Caisses Réunionnaises Complémentaires, Groupe CRC, ont par ailleurs contribué, il y a deux mois, à l’amorçage du fonds, dont l’encours atteint désormais 95 millions d’euros.
La commission de classification durisque du Chili, organisme qui approuve lesfonds gérés par des gestionnaires étrangersdans lesquels les fonds de pensionlocaux peuvent investir, a retiré 22 fonds de sa liste durant le premier semestre 2020, rapporte Funds Society. Quinze de ces 22 fonds l’ont été en juin - un record -car leurs encours étaient passés sous la barre des 100 millions de dollars, une des conditions requises pour figurer dans la liste de la CCR. Parmi ces fonds figurent notamment le fonds actions latino-américaines d’Amundi ainsi que deux stratégies de BNP Paribas AM (Asia ex-Japan Bond et Euro Short Term Corporate Bond). A noter que les investisseurs institutionnels chiliens n’ont également plus accès aux fonds actions françaises de Fidelity et les fonds actions britanniques d’Invesco et de Schroders, retirés eux aussi en juin.
BNP Paribas AM vient de lancer ce 15 juillet un fonds ESG capable de prendre des positions courtes (shorter) sur les entreprises les moins vertueuses. Le fonds Earth (pour Environmental Absolute Return Thematic) couvrira trois thématiques : - Production d’énergie renouvelable et de transition (décarbonisation) - Technologie et efficacité énergétiques (dématérialisation) - Infrastructures énergétiques, transport et stockage (décentralisation). Doté de 50 millions d’euros, il est géré par deux ex-Goldman Sachs, Ulrik Fugmann et Edward Lees. Son objectif de rendement annuel est de 5%, avec environ 30% de positions vendeuses, au sein d’un portefeuille comprenant 25 à 45 lignes.
Schroders va lancer une nouvelle gamme au Royaume-Uni, baptisée Schroder Portfolios, qui consiste en six nouveaux fonds basés sur le profil de risque des investisseurs et qui sont une combinaison d’allocation d’actifs et d’investissements actifs et passifs. Ils visent à tirer profit de la directive MiFID 2. Le règlement PROD (Product Intervention and Product Governance Sourcebook) de la FCA, introduit dans le cadre de MiFID 2 en 2018, a encouragé les conseillers à segmenter leur banque cliente et à s’assurer qu’ils fournissent les services et les investissements appropriés à chaque groupe, explique Gillian Hepburn, directrice des solutions intermédiaires chez Schroders. «Par conséquent, de nombreux conseillers ont besoin de solutions d’investissement adaptées à un large segment de clients et à leurs besoins et ils recherchent des solutions externes pour relever ce défi», assure-t-elle. En outre, l’enquête annuelle menée par Schroders auprès des conseillers en novembre 2019 a révélé que 50 % des conseillers externalisaient la gestion des investissements et qu’ils prévoyaient d’augmenter leur utilisation de fonds multi-actifs et de portefeuilles modèles cette année. Les fonds combineraient l’allocation d’actifs de Schroders, un comité d’investissement dirigé par Alex Funk, CIO, Benchmark Capital (qui a rejoint Schroders en 2016), des gestionnaires de fonds, et la recherche indépendante sur les fonds de Rayner Spencer Mills Research (RSMR). Alex Funk sera le gestionnaire du portefeuille. Sa philosophie d’investissement est fondée sur le principe de la déconstruction de la formule de rendement total en ses composantes les plus simples, alpha et bêta. «En investissant dans ces deux composantes séparément, nous visons à obtenir un rendement pour les investisseurs d’une manière plus efficace. Nous pensons également que certains marchés sont plus efficaces que d’autres, c’est pourquoi nous préférons ne prendre qu’une exposition (passive) sur les marchés efficaces et investir de manière active avec plus de conviction sur les marchés qui présentent une efficacité moindre», ajoute Alex Funk. Les fonds ont pour objectif d’augmenter les positions passives lorsque l'économie entre dans une phase d’expansion et d’augmenter l’exposition aux gestionnaires actifs afin d’accroître la protection contre la baisse lorsque l'économie globale est appelée à entrer dans une phase de ralentissement ou de récession.
Une ONG a publié une étude qui porte sur les 478 Md$ de financements reçus par les élevages industriels mondiaux depuis 5 ans. Et pointe l’impact environnemental des mégafermes.
La société de gestion de fortune genevoiseLombard Odier & Cie SA vient d’ajouter un nouveau fonds alternatif externe à sa plateformede fonds d’architecture ouverte PrivilEdge. Il s’agit du Graham Quant Macro, de la société de gestion américaine Graham Capital Management (25 milliards de dollars d’encours).La stratégie du fonds consiste en du long/short sur les marchés des actions, des obligations et des futures sur devises au niveau mondial. Il sera distribué en Belgique, France, Allemagne, Italie, Liechtenstein, aux Pays-Bas, en Espagne, Suisse et au Royaume-Uni. Lancée en 2014, la plateforme PrivilEdge représente désormais 4,72 milliards de francs suisses d’encours, répartis dans 25 fonds.
Vanguard a devancé son rival BlackRock dans la course à l’obtention de nouveaux flux dans les ETF en 2020, rapporte le Financial Times. Le groupe basé en Pennsylvanie, a attiré des flux de 90,4 milliards de dollars au cours des six premiers mois de l’année, soit 105 % de plus qu'à la même période l’année dernière, selon ETFGI, un cabinet de conseil basé à Londres. Ce semestre marque également un record pour les activités de Vanguard dans le domaine des ETF. BlackRock ade son côté engrangé un peu plus de 60 milliards de nouveaux flux, en baisse de 5,3% sur la même période. Rich Powers, responsable de la gestion des produits ETF chez Vanguard, a expliqué au FT que les souscriptions ont été dopées par la guerre des prix que se sont livrés les courtiers américains pour gagner des parts de marché sur les ETF.
Les fonds indiciels ne connaissent pas la crise outre-Atlantique. Selon les données mensuelles d’ETFGI, les ETF et ETP nord-américains ont enregistré une collecte nette de 57,59 milliards de dollars sur le mois de juin. Et, à 4,342 milliards de dollars, la masse totale d’encours sous gestion s’approche de son record historique. La majeure partie du flux mensuel s’est dirigé vers les ETF obligataires, avec 28,8 milliards de dollars, contre 17,71 milliards vers les véhicules investis en actions. Les ETF/ETP sur matières premières ont collecté 4,82 milliards de dollars, et les ETF /ETP actifs ont, eux, reçu 5,79 milliards. Les vingt principaux fonds concentrent 45 milliards de dollars de collecte positive. Le gagnant du mois demeure le Vanguard S&P 500, avec 6,8 milliards de dollars reçus en un mois. Le Vanguard Intermediate-Term Corporate Bond (+5,6 milliards de dollars) et le iShares iBoxx $ Investment Grade Corporate Bond (3,3 milliards) complètent le podium. Sur le premier semestre, Vanguard se taille la part du lion et a rattrapé BlackRock iShares. Sur les ETP, l’or domine la compétition avec deux véhicules en tête : le SPDR Gold Shares (+3,1 milliards de dollars) et le iShares Gold Trust (+795 millions). La troisième place est occupée par le iShares Silver Trust (+625 millions de dollars).
Les fonds de métaux précieux semblent être pour l’instant les grands gagnants de la crise. Depuis le début de l’année, la collecte nette ne s’est quasiment jamais arrêtée, et atteint déjà près de 100 milliards de dollars, selon les données du «Flow Show», le rapport hebdomadaire sur les flux de collecte de BofA Global Research. Soit un record historique, alors qu’il reste encore six mois avant la fin de l’année. Sur la semaine du 3 au 9 juillet, les fonds investis dans l’or, l’argent, le platinium et le palladium auront collecté 2,4 milliards de dollars, un des meilleurs résultats du quadrimestre. Ce succès s’observe notamment sur le principal métal précieux, l’or, qui connait un rallye sur son prix depuis le début de l’année. L’once vient ainsi de dépasser, cette semaine, la barre symbolique des 1.800 dollars, et vise désormais les 1.900 dollars, le point haut atteint au plus fort de la crise des dettes souveraines en zone Euro à l'été 2011. Et, à l'époque, la collecte cumulée des fonds de métaux précieux depuis le 1er janvier ne dépassait pas les 35 milliards de dollars... Le monétaire, l’investment grade et les ETF dans le trio de tête hebdomadaire Principales valeurs refuges durant la tempête boursière, les fonds monétaires ont retrouvé de l’attractivité avec une collecte de 29,4 milliards de dollars, après plusieurs semaines en dents de scie. Parmi les autres titres peu risqués, les obligations souveraines ont décollecté de 0,5 milliard de dollars, tandis que les fonds d’obligations d’entreprises «investment grade» ont attiré 11,8 milliards de dollars. Sur les segments les plus risqués, les investisseurs ont retrouvé de l’appétit, mais de manière sélective. Les fonds d’obligations à haut rendement, dont le comportement des sous-jacents est davantage corrélé aux actions, ont collecté 3,2 milliards de dollars. Sur les actions, les investisseurs ont largement préférés les fonds indiciels cotés (ETF, «exchange-traded funds») avec 8,1 milliards de dollars collectés, tandis que les fonds gérés activement ont décollecté de 1,9 milliard de dollars. Cette collecte nette globale de 6,2 milliards de dollars sur la classe d’actifs a été principalement alimentée par les investissements dans les fonds actions chinoises, qui ont connu leur deuxième meilleure semaine de l’Histoire (6,1 milliards de dollars). Sur les autres zones géographiques, les investisseurs ont continué a prendre leurs bénéfices sur les fonds actions US (-4,4 milliards de dollars), à l’exception des fonds tech (+2,7 milliards), qui demeurent les stars des marchés nord-américains. Les fonds en actions européennes ont rendu pour leur part 0,4 milliard de dollars, et les fonds actions japonaises ont reçu 2,1 milliards.
iM Global Partner poursuit la réorganisation de la gamme Oyster, rachetée récemment. La plateforme a annoncé le lancement du fonds Oyster U.S. Small and Mid Company Growth au sein de cette gamme en remplacement du fonds Oyster US Selection. La gestion du fonds est déléguée à Polen Capital, un gérant américain dans lequel iM Global Partner avait investi en 2016. Il a lancé ce fonds il y a quelques semaines aux Etats-Unis et le rend disponible en Europe via le Luxembourg et la plateforme de distribution d’origine franco-britannique. La stratégie de ce fonds a pour objectif d’investir dans des petites et moyennes entreprises jugées de grande qualité, à la fois en début de cycle de vie mais également à plus long terme. Elle est gérée par une équipe dédiée, créée en 2017 et basée à Boston.
Lansdowne Partners, l’un des gestionnaires de fonds spéculatifs les plus anciens et les plus connus d’Europe, prévoit de fermer son fonds phare long/short après une longue période de mauvaises performances, rapporte le Financial Times. La société basée à Mayfair, fermera son fonds de 2,8 milliards de dollars, géré par Peter Davies et Jonathon Regis, car il est devenu plus difficile de trouver des paris intéressants contre des sociétés surévaluées, selon une source proche. La stratégie gérait plus de 12 milliards de dollars d’actifs il y a cinq ans. Elle est connue pour avoir parié au bon moment contre Northern Rock pendant la crise financière et pour avoir réalisé des gains importants dans la période qui a suivi.
Natixis Investment Managers vient de recruter Herman Chan au poste de directeur des ventes auprès des investisseurs institutionnels à Hong Kong et Macau. Il est rattaché à Gina Huang, la directrice Chine. Herman Chan arrive de PineBridge Investments, où il était depuis 2014 vice-président, chargé de la stratégie et du développement commercial. Auparavant, il a travaillé chez HSBC, UBS, PwC et KPMG.
Après la crise du Covid-19, les investisseurs font le pari de la dette privée. Selon les données de Preqin, 49 fonds ont levé pour 34 milliards de dollars au cours du deuxième trimestre 2020, soit 12 milliards de plus qu’au premier. Et ce retour en grâce du segment est principalement alimenté par les fonds de situations spéciales (12,2 milliards de dollars levés) et de dettes décotées (9,7 milliards). Début juillet, il y a toujours 486 fonds à la recherche de 239 milliards de dollars d’argent frais, soit deux fois plus qu’en janvier 2015. Les fonds de dettes décotées représentent désormais plus du quart des objectifs de levées. Et 60% des sondés de la plateforme Preqin Pro envisagent d’y investir, contre 38% un an plus tôt. Preuve, pour Preqin, que les investisseurs se préparent à des jours difficiles et de nombreux défauts.
Ibercaja Gestión, succursale de gestion d’actifs de la banque espagnole Ibercaja, réfléchit au lancement de fonds de private equity et d’obligations d’entreprises asiatiques, rapporte l’agence de presse EuropaPress. Au cours d’une conférence de presse, mercredi 8 juillet, la directrice générale Lili Corredor a expliqué que rien n'était encore décidé sur la création defonds de private equity, à savoir siIbercaja Gestión investirait en direct par elle-même ou si la société de gestion ferait appel à des compagnies tiers spécialisées sur cette classe d’actifs. Les fonds pourraient être lancés en fin d’année ou début 2021 en fonction des conditions de marché. Par ailleurs, legestionnaire espagnol n’envisage pas de se mettre aux ETF. Ses encours s'élevaient à 13,98 milliards d’euros au 30juin 2020, retrouvant son niveau de fin 2019, alors que ceux dusecteur de la gestion d’actifs en Espagne ont plongé de 5,6% sur les six premiers mois de 2020.Ibercaja Gestión a collecté 495 millions d’euros sur le premier semestre, soit une hausse de 53% de la collecte nette par rapport à juin 2019.
Entrepreneur Invest, anciennement Entrepreneur Venture, spécialisé dans le financement des PME de croissance, a créé le FCPR Entrepreneurs & Immobilier dédié aux promoteurs immobiliers. Le fonds, dirigé par Frédéric Zablocki et Bertrand Folliet, vise l’accompagnement dans la durée d’une vingtaine de promoteurs en recherche de quasi-fonds propres dans un contexte de recul des financements bancaires. Les promoteurs en croissance comme AB Group avec lequel il travaille, peuvent ainsi éviter la dilution du capital ou des opérations de co-promotion avec de grands acteurs. Entrepreneur Invest se propose d’intervenir lorsque le prêt bancaire est sécurisé. Il investit en obligations sur 12 à 24 mois. Il compte commencer par des tickets d’environ 1 million d’euros pour monter à 3-5 millions d’euros. Le fonds espère collecter 15 millions d’euros et cible un encours de 30 à 40 millions d’euros pour se consacrer à des promoteurs qui travaillent sur 4 à 5 projets par an. Les souscripteurs peuvent bénéficier d’un fonds perpétuel avec une distribution de coupon annuelle de 3 à 4%. Le rendement attendu du fonds est de 7 à 8% net de frais de gestion. L'équipe travaille avec des partenaires pour référencer d’ici à septembre le fonds dans des supports d’assurance vie.
Placium, cabinet de conseil en gestion de patrimoine qui appartient au groupe K&P Finance, a changé le gérant de son fonds de fonds Kilimandjaro. Rothschild & Cie AM a ainsi perdu sa place au profit d’Auris Gestion dans le cadre de son activité d’asset management proposée sous la marque « Salamandre by Auris Gestion ». Le cabinet de conseil explique dans son communiqué que «le présent contexte de marché et la phase entamée de récession économique a amené le cabinet à recourir à une société de gestion plus flexible pour préserver au mieux les intérêts des clients». Le changement doit permettre en outre de diversifier progressivement les classes d’actifs utilisables avec des solutions d’investissement en architecture ouverte, de recourir à des contrats financiers sur indices de marchés ou à des ETF (trackers ou fonds indiciels cotés) permettant de manière rapide de modifier l’exposition du fonds et également de réduire fortement les coûts indirects supportés par le fonds. «Cette adaptation progressive du fonds « Kilimandjaro » est essentielle pour mieux servir les intérêts des clients dans la durée et répondre aux défis d’allocation avec à la fois des opportunités évidentes à saisir et des risques à maîtriser», insiste le communiqué. Le fonds est disponible chez Cardif, AEP, Nortia, Generali et SwissLife. Il est éligible à l’assurance-vie, aux contrats de capitalisation et contrats de retraite.
La société de gestion Acer Finance et la fintech Active Asset Allocation/AAA viennent de lancer le fonds AARBO - Active Allocation Risk Budget One. Il s’agit de la première concrétisation de leur partenariat annoncé en avril dernier, précise un communiqué. Ce fonds, agréé par l’AMF (Autorité des Marchés Financiers), est géré par la Société de Gestion Acer Finance et conseillé par AAA selon son modèle propriétaire de contrôle du risque en optimisation de l’utilisation d’un budget de risque (exprimé en Maximum Drawdown). «Résultat d’une réflexion commune des deux sociétés entamée depuis plusieurs mois, le fonds AARBO permet de combiner une stratégie d’allocation systématique sous contrôle du risque avec une gestion de conviction, dont l’objectif est d’améliorer le rendement d’un portefeuille multi-actifs d’un investisseur de long terme», explique les deux sociétés. Le fonds s’inscrit aussi dans une démarche ESG, assurent-elles.
Au 29 juin 2020, l’autorité des marchés financiers avait autorisé 1.001 fonds d’investissement européens pour commercialisation en France. Parmi les nouvelles stratégies agréées le mois dernier,Corum Butler, né du rapprochement entre Corum Asset Management et Butler Credit en 2018, aenregistré deux nouvelles stratégies crédit domiciliées en Irlande - Butler Credit Opportunities et Corum Butler European High Yield- auprès de l’AMF en date du 18 juin 2020.