Le secteur des hedge funds aurait subi des rachats en octobre pour un montant de 10,8 milliards de dollars, soit 0,7% des actifs, contre 2,9 milliards de dollars en septembre, selon des estimations de TrimTabs sur la base des données recueillies auprès de 2.902 hedge funds. Il s’agit de la plus forte décollecte observée depuis juillet 2009. La faiblesse des rendements des hedge funds semble être à l’origine de cette désaffection.Les actifs totaux du secteur seraient revenus à 1.630 milliards de dollars en octobre contre 1.730 milliards en septembre. Les actifs se retrouvent ainsi à leur plus bas niveau depuis janvier 2010, en partie en raison de l’évolution des performances. L’indice Barclay Hedge Fund a progressé de 3,5% en octobre après cinq baisses mensuelles consécutives.Cela posé, le secteur n’a subi que six mois de décollecte au cours des 22 mois courant depuis janvier 2010. Ils ont enregistré une collecte de 54,3 milliards de dollars au premier semestre 2011, la plus forte depuis 2007. Et depuis le début de 2010, la collecte atteint 102,7 milliards de dollars.Les fonds de hedge funds ont de leur côté subi une décollecte de 2,7 milliards en octobre et depuis janvier 2010, ils accusent une décollecte de 20,2 milliards de dollars.
Les fonds d’investissement britanniques ont enregistré au mois d’octobre une collecte nette de 615 millions de livres, équivalente à celle de septembre, mais très inférieure à la moyenne mensuelle de 2,2 milliards de livres pour les six premiers mois de l’année, selon les dernières statistiques mensuelles communiquées par l’Association britannique de la gestion financière (IMA).Sur les dix premiers mois de l’année, la collecte nette atteint 16,3 milliards de livres, contre 23,8 milliards de livres pour la période correspondante de 2010. Les actifs sous gestion se sont accrus de 6% par rapport à septembre à 577,8 milliards de livres. Durant le mois sous revue, les fonds obligataires ont drainé 547 millions de livres, un montant supérieur à la moyenne mensuelle de 358 millions de livres pour les douze derniers mois. En revanche, les fonds d’actions ont subi une décollecte nette de 222 millions de livres en octobre, la plus élevée depuis octobre 2008. Les fonds diversifiés ont pour leur part enregistré une collecte nette de 279 millions de livres. La collecte brute des plates-formes de fonds s’est élevée en octobre à 3,1 milliards de livres. Leur part de marché s’est inscrite à 43% en octobre contre 39% un an plus tôt. Les actifs sous gestion des plates-formes s'élevaient en octobre à 110,1 milliards de livres.
L’agence d'évaluation financière Standard & Poor’s se dit préoccupée par par la taille atteinte par le fonds M&G optimal income fund dont les actifs sous gestion s'élèvent à 5,5 milliards de livres, rapporte Money Marketing.Au cours des douze derniers mois, le fonds a doublé de taille, passant la barre des 5 milliards de livres en juillet dernier. En période normale, une telle taille ne pose pas problème mais le gérant du fonds, Richard Woolnough, a indiqué qu’il était difficile de modifier plus de 10% du fonds en une seule fois, malgré le support d’une équipe importante et le recours aux dérivés. S&P a toutefois maintenu le AAA du fonds, en raison de l’excellente réputation de Richard Woolnough et de l'équipe obligataire de M&G.
Le britannique HSBC Global Asset Management a annoncé le lancement du compartiment Frontier Markets de sa sicav luxembourgeoise Global investment Funds (GIF), qui sera géré par Andrea Nannini. Le nouveau produit absorbe l’ancien New Frontiers Fund de 170 millions de dollars, un fonds d’investissement spécialisé (FIS ou SIF en anglais) lancé en février 2008, également géré par Andrea Nannini.L’indice de référence ne change pas : le nouveau produit utilise aussi MSCI Frontier Markets Capped Index.La commission de gestion ressort à 1,75 % pour les parts retail et à 1,25 % pour les parts institutionnelles tandis que la souscription minimale se situe à 5.000 dollars pour les premières et 1 million de dollars pour les secondes.
L’Association britannique de la gestion financière (IMA) vient d’annoncer la création d’un secteur dédiée aux actions internationales qui sera en place à compter du 1er janvier 2012.Ce nouveau secteur prendra en compte tous les fonds dont au moins 80% des actifs sont investis dans des actions internationales. L’association réfléchit également à la possibilité de créer un segment dédié aux actions européennes mais estime actuellement insuffisant le nombre de fonds susceptibles d’entrer dans ce secteur.
NYSE Euronext a annoncé le 30 novembre avoir admis à la négociation sur sa plate-forme parisienne trois ETF obligataires de Lyxor Asset Management (groupe Société Générale). Ces produits de droit français répliquent les indices d’obligations d’Etat AAA EuroMTS sur des plages d'échéances différentes. Ils sont tous chargés à 0,165 %.Désormais, 596 ETF sont cotés 695 fois sur les plates-formes européennes du groupe NYSE Euronext. Depuis le début de l’année, 158 de ces fonds ont été admis à la négociation, dont 128 en cotation principale et 28 en cotation secondaire.CaractéristiquesLYXOR MA13 (FR0011146315) sous-jacent : EuroMTS AAA Government Index (1-3 years) LYXOR MA35 (FR0011146349) sous-jacent EuroMTS AAA Government Index (3-5 years)LYXOR MA57 (FR0011146356) sous-jacent EuroMTS AAA Government Index (5-7 years)
Avec le Mapfre Puente Garatntía 10, Mapfre Vida vient de lancer son premier fonds qui garantit à la fois le capital et un rendement fixe de 16 % à l'échéance (12 janvier 2016). Le portefeuille sera investi uniquement en obligations, principalement des titres émis par les pouvoirs publics espagnols.De surcroît, ajoute Mapfre Vida, le souscripteur pourra accéder à tout moment à des liquidités dans des conditions avantageuses, la pénalité de remboursement anticipé se limitant à 1 %.La souscription sera ouverte jusqu’au 27 décembre dans chacune des 3.200 agences du groupe.
Le 18 novembre, BBVA Asset Management a obtenu l’agrément de commercialisation en Espagne de son nouveau fonds BBVA Solidez XIV BP qui garantit à échéance (16 janvier 2015) 110,08 % de la valeur liquidative du 16 janvier 2012, ce qui correspond à un taux annualise de 3,25 %. La souscription minimale est fixée à 50.000 euros. Le portefeuille sera constitué d’obligations d’Etats de l’UE ou des communautés autonomes, de billets à ordre émis par des enterprises, des obligations d’entreprises libellees en euros, des titrisations hypothécaires et du cash.CaractéristiquesDénomination : BBVA Solidez XIV BP, FICode Isin : ES0110015007Droit d’entrée : 5 % à compter du 17 janvier 2012 ou quand l’encours aura attaint 250 millions d’eurosCommission de gestion : 0,40 % jusqu’au 16 janvier 2012, puis 0,85 %Pénalité de sortie anticipée : 1 %
Le fonds de pension néerlandais GBF (Grafische Bedrijsfonden), dédiée à l’industrie graphique, vient de changer de nom, rapporte le site IPE. La nouvelle dénomination, Timeos, effective à compter du 3 décembre, vise à gommer la référence au secteur du graphisme afin d’attirer de nouveaux clients.Les actifs sous gestion du fonds s'élèvent à plus de 11 milliards d’euros.
Par une notification à la SEC (form N1-A), Legg Mason ETF Trust a annoncé son intention de lancer «dès que possible» le Legg Mason Western Asset Ultra-Short Duration ETF. Il s’agira d’un ETF obligataire duration courte à gestion active. Le taux de chargement de ce produit «sous-conseillé» par la filiale Western Asset Management (Wamco) n’a pas été encore fixé. Les gérants seront Martin Hanley, Kevin Kennedy et Stephen Walsh.En période normale, précise la notification, la duration effective du portefeuille sera au maximum d’un an.
Avec le fonds irlandais iShares Dow Jones Emerging Markets Select Dividend créé le 25 novembre, BlackRock a fait admettre à la négociation sur le London Stock Exchange le 28 novembre un ETF à réplication physique suivant le Dow Jones Emerging Markets Select Dividend Index qui regroupe 100 sociétés de 18 pays émergents capables de servir un dividende élevé sur la durée.L’indice officiel du fonds (en livres) est la version net total return, mais en raison d’une difficulté technique iShares réplique pour l’instant la version gross total return.CaractéristiquesDénomination : iShares Dow Jones Emerging Markets Select Dividend (SEDY)Code Isin : IE00B652H904Taux de frais sur encours : 0,65 %
Schroders va lancer le mois prochain une version onshore de son fonds domicilié au Luxembourg, le US equity alpha fund, rapporte Money Marketing.Le fonds, dont le lancement est programmé pour le 14 décembre, devrait réunir les meilleures idées de l'équipe dédiée aux grandes capitalisations américaines dirigée par Joanna Shatney. Dotée pour son lancement de 5 millions de livres, le fonds investira dans 20 à 30 valeurs avec une capitalisation de marché de 1 milliard de dollars au minimum. Il pourra disposer d’une poche de cash jusqu'à concurrence de 15%. Le fonds a un objectif de rendement de 3,5% net de commissions. Les frais de commissions s'élèvent à 1,5% par an avec un total de frais sur encours de 1,75% au maximum. L’investissement minimal a été fixé à 1.000 livres.
Au troisième trimestre, les fonds coordonnés ont enregistré une décollecte nette de 83 milliards d’euros, à comparer à une collecte nette de 18 milliards d’euros au deuxième trimestre, selon les statistiques communiquées par l’Association européenne de la gestion financière (Efama). Pour la première fois depuis l'éclatement de la crise de la dette souveraine au deuxième trimestre 2010, les fonds Ucits ont ainsi subi des rachats.Les fonds Ucits de long terme, c’est-à-dire hors fonds monétaires, ont terminé le trimestre sur une décollecte nette de 78 milliards d’euros. Du jamais vu depuis le premier trimestre 2009. Les fonds d’actions notamment ont subi une décollecte nette de 43 milliards d’euros à comparer à une collecte nette de 8 milliards d’euros au deuxième trimestre. Les fonds obligataires ont enregistré une décollecte nette de 22 milliards d’euros après une collecte nette de 10 milliards d’euros un trimestre plus tôt. Les fonds diversifiés accusent une décollecte nette de 15 milliards d’euros après un montant de souscriptions nettes de 23 milliards d’euros au deuxième trimestre. Par ailleurs, les fonds monétaires ont fait état d’une décollecte réduite à 5 milliards d’euros au troisième trimestre, contre 30 milliards d’euros au deuxième trimestre. Au troisième trimestre, les actifs nets totaux des fonds Ucits se sont inscrits en baisse de 7,1% pour s'établir à 5.472 milliards d’euros à fin septembre. Si l’on prend en compte les fonds non coordonnés, les actifs nets totaux affichent un recul de 5,4% au troisième trimestre pour s'établir à 7.667 milliards d’euros. L’encours s’inscrivait à 7.154 milliards d’euros fin 2009 et à 8.142 milliards d’euros fin 2010. Malgré les événement survenus depuis mars 2011, le tremblement de terre au Japon, les printemps arabes et la crise de la dette souveraine dans la zone euro, «le secteur de la gestion d’actifs gère encore 1.700 milliards d’euros de plus qu’en mars 2009. Ce chiffre permet de mettre en perspective les développements survenus depuis le début de l’année. Ce qui ne signifie pas que nous ne sommes pas préoccupés», remarque le président de l’Efama, Claude Kremer, cité dans un communiqué. «Il est désormais clair que la crise qui a éclaté en 2007 aura un impact sur nos économies beaucoup plus marqué qu’on pouvait le penser il y a encore quelques mois. Entre-temps, notre secteur d’activité entend rester mobilisé pour jouer un rôle central dans le retour de la confiance des consommateurs», ajoute Claude Kremer.
La Hedge Fund Association annonce l’ouverture d’une antenne dédiée à l’Europe du Sud. Dirigée par José Castellano, managing director de Pioneer Investments, elle a pour mission de représenter et de promouvoir les fonds alternatifs domiciliés en Suisse, en Italie, en Espagne et au Portugal. Selon Eurekahedge, 406 hedge funds sont basés en Suisse, en Italie et en Espagne, totalisant plus de 68,3 milliards de dollars. HFA a ouvert sa première antenne européenne à Londres en septembre 2010.
La Française AM et Energy Funds Advisors viennent de lancer LFP EFA Vision Pétrole, un fonds coordonné de droit français (UCITS IV) dont l’objectif consiste notamment à tirer profit de la rareté géologique, du retard dans le développement des produits de substitution, et de la croissance continue de la demande de pétrole. La Française AM s’appuie dans ce cadre sur l’expertise de la société de conseil en investissements financiers Energy Funds Advisors (EFA) dont les deux fondateurs présentent des expériences complémentaires en tant que spécialistes des marchés de l’énergie : Luca Baccarini, expert d’Energy Trading, ex directeur général délégué de Gaselys, et Olivier Rech, économiste de l’Énergie, ex Institut Français de Pétrole et Agence Internationale de l’Énergie.De nature diversifiée, le fonds investit sur des actions, devises, obligations, marché monétaire et instruments liés aux matières premières. Caractéristiques :Code ISIN : FR0011091891Frais de gestion : 1,70% (T.T.C.) maximumCommission de surperformance : 20% (T.T.C.) au-delà de l’indice de référenceDroits d’entrée : 4% maximum (non acquis)Droits de sortie : NéantSouscripteurs concernés : Tous investisseurs, et plus particulièrement les institutionnelsMontant minimum souscription initiale : 150 000 €Indice de référence : MSCI World Index (dividendes nets réinvestis) libellé en euroDevise : EuroPériodicité de valorisation : Hebdomadaire (le jeudi)
Dans un secteur sinistré, les fonds actions européennes des sociétés de gestion indépendantes, et notamment françaises, parviennent à engranger des souscriptions, montre une étude de Fitch Ratings.Ainsi, entre juillet 2010 et juillet 2011, les fonds actions européennes toutes catégories confondues ont accusé des rachats nets de 12,3 milliards d’euros. Malgré tout, 38 % des sociétés de gestion sur les 800 présentes sur ce segment ont réussi à collecter. Et sur les trente sociétés de gestion ayant enregistré les plus fortes souscriptions nettes, dix-huit sont des sociétés indépendantes. Parmi elles figurent de nombreuses structures françaises : Edmond de Rothschild, Financière de l’Echiquier, Oddo AM, Mandarine Gestion, DNCA, Rothschild & Cie et Métropole Gestion.En dépit du dynamisme de ces sociétés indépendantes, le segment des fonds actions européennes reste aux mains des grands acteurs. Ainsi, un tiers des actifs totaux (264 milliards d’euros) sont gérés par 13 sociétés de gestion et les deux tiers par 53 sociétés. Le principal acteur est Fidelity qui se détache avec 21,6 milliards d’euros d’encours, loin devant un groupe de sociétés gérant chacun environ 10 milliards d’euros (BNP Paribas Investment Partners, BlackRock et Allianz Global Investors). Seuls 80 acteurs sur 800 gèrent plus de 1 milliard d’euros d’actions européennes.Fitch Ratings observe par ailleurs que le secteur souffre depuis 2007. Ainsi, les encours ont baissé de 46 % depuis cette année, en raison à la fois de la baisse des marchés mais aussi des rachats nets (115,5 milliards d’euros). Une situation propre à ces fonds, puisque les fonds actions américaines n’ont eu que 5 % de rachats contre 20 % pour les actions européennes, les fonds actions émergentes n’ont pas enregistré de rachats et les actions monde ont enregistré 115 milliards d’euros de souscriptions.
Les fonds ouverts commercialisés en Italie ont accusé en octobre des rachats nets de 5,125 milliards d’euros après avoir vu sortir 4,732 milliards en septembre, selon les dernières statistiques d’Assogestioni, l’association italienne des professionnels de la gestion. Depuis le début de l’année, les demandes de remboursements se montent à 18,516 milliards d’euros, faisant revenir les encours des fonds ouverts à 431,648 milliards d’euros.En octobre, toutes les catégories de fonds sont dans le rouge. Mais la décollecte a été particulièrement forte pour les fonds monétaires (-2,059 milliards) et les fonds obligataires (-1,763 milliards). En termes de domiciliation de fonds, ce sont les produits de droit italien qui ont le plus subi les rachats (-3,197 milliards), tandis que les fonds de droit étranger perdaient 1,928 milliard. Si l’on ajoute les fonds fermés et les gestions discrétionnaires, le secteur italien de la gestion d’actifs a vu sortir en octobre 5,799 milliards d’euros. Et les encours sont ressortis à 958.300 milliards d’euros.Concernant les sociétés de gestion, Credit Suisse tire son épingle du jeu en enregistrant des souscriptions nettes de 119,8 millions d’euros, devant Azimut (112 millions) et Axa (68,7 millions). De l’autre côté du spectre, Pioneer détient une fois de plus le record mensuel de décollecte nette, avec 1,784 milliard d’euros, devant Intesa Sanpaolo (1,6 milliard) et AM Holding (666,5 millions).
Depuis le 29 novembre, la cote du segment XTF de la plate-forme électronique Xetra comporte 898 ETF, Amundi ayant fait admettre à la négociation quatre produits actions supplémentaires, de droit français.Il s’agit du Amundi ETF MSCI Spain (FR0010655746) chargé à 0,25 %, du Amundi ETF MSCI World (FR0010756098), chargé à 038 %, ainsi que de deux ETF pour lesquels la commission de gestion est fixée à 0,45 %, Amundi ETF MSCI EM Latin America (FR0011020973) et Amundi ETF MSCI EM Asia (FR0011020965).
Le zurichiois Swiss Investment Managers GmbH (SIM) a lancé en septembre un fonds long/short le Directors Dealing Fund qui vise à surperformer les marchés d’actions grâce à l’analyse des transactions légales d’initiés, déclarées aux autorités. Cette approche doit permettre d’identifier les établissements financiers qui sont le plus exposés à de fortes pertes sur leur exposition au problème de la dette européenne, rapporte AR Absolute Return + Alpha.Le PDG de SIM et gérant du fonds, Athanasios Ladopoulos, précise que le portefeuille est actuellement vendeur à découvert de banques européennes. L’objectif de SIM est de lever pour ce fonds environ 50 millions d’euros en un an et 200 millions en deux ans.
Un an après avoir obtenu l’agrément de la SEC pour sa nouvelle activité d’ETF à gestion active (lire l’article NewsManagers du 23/11/2010), Neuberger Berman prépare le premier produit de sa nouvelle gamme. Selon Mutual Fund Wire, la société de gestion new-yorkaise aurait déposé une demande d’enregistrement pour un ETF baptisé Neuberger Berman Real Return Active ETF. Il sera investi sur les marchés américain et internationaux, autant sur les actions que sur les obligations. Neuberger Berman n’a pas précisé les frais de gestion facturés à l’ETF, indique Mutual Fund Wire.