Les prix à la consommation aux Etats-Unis ont augmenté légèrement plus que prévu en mai et le taux d’inflation annuel a atteint son niveau le plus élevé depuis août 2008, a annoncé jeudi le département américain du Travail. Les prix à la consommation sont ressortis en hausse de 0,6% en mai par rapport au mois précédent, en données corrigées des variations saisonnières. Les prix de l'énergie ont été stables. L’indice de base, qui exclut les prix de l’alimentation et de l'énergie, a de son côté progressé de 0,7% par rapport à avril. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal s’attendaient pour mai à une hausse de 0,5% pour l’indice global comme pour l’indice de base.
Les prix à la consommation aux Etats-Unis ont augmenté légèrement plus que prévu en mai et le taux d’inflation annuel a atteint son niveau le plus élevé depuis août 2008, a annoncé jeudi le département américain du Travail. Les prix à la consommation sont ressortis en hausse de 0,6% en mai par rapport au mois précédent, en données corrigées des variations saisonnières. Les prix de l'énergie ont été stables.
L’administration américaine renforce ses efforts dans la lutte contre les groupes chinois liés à l’armée et au secteur militaire. Dès le 2 août, les investisseurs américains seront défendus de prendre des positions dans 59 entreprises, dont Huawei ou Aerosun. Cette décision est d’autant plus notable qu’elle vient prolonger une décision précédemment prise par l’administration Trump et qui interdisait l’investissement dans 41 entreprises. Si le ton a changé, la confrontation entre les deux puissances se poursuivra avec les mêmes armes.
Le président américain Joe Biden a mis fin, mardi soir, aux discussions avec la sénatrice républicaine sur son plan pour les infrastructures, décidant d’opter pour des négociations avec un groupe bipartite d’élus, après avoir jugé insatisfaisantes les propositions de Shelley Capito. Cette dernière, qui menait les négociations à la tête d’un groupe de six sénateurs républicains, a proposé 330 milliards de dollars d’investissements pour rénover les infrastructures des Etats-Unis, une proposition très éloignée du projet présidentiel. Joe Biden s’est entretenu avec un sénateur républicain et deux sénateurs démocrates afin de leur demander de plancher sur une proposition bipartite.
Le président américain Joe Biden a mis fin, mardi soir, aux discussions avec la sénatrice républicaine sur son plan pour les infrastructures, décidant d’opter pour des négociations avec un groupe bipartite d’élus, après avoir jugé insatisfaisantes les propositions de Shelley Capito. Cette dernière, qui menait les négociations à la tête d’un groupe de six sénateurs républicains, a proposé 330 milliards de dollars d’investissements pour rénover les infrastructures des Etats-Unis, une proposition très éloignée du projet présidentiel, même revu à la baisse à 1.700 milliards de dollars au lieu de 2.300 milliards initialement (en élargissant les services aux personnes).
Le nombre de créations d’emplois aux Etats-Unis est encore ressorti inférieur aux attentes en mai, même si les données suggèrent que la reprise économique poursuit son cours. Selon les données publiées vendredi par le département du Travail, 559.000 emplois nets ont été créés en mai, après 278.000 en avril et 785.000 en mars. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal s’attendaient à la création de 671.000 emplois nets aux Etats-Unis le mois dernier. Le nombre de postes créés en avril avait initialement été estimé à 266.000. Le mois dernier, le taux de chômage dans le pays a reculé à 5,8%, contre 6,1% en avril.
Le nombre de créations d’emplois aux Etats-Unis est une nouvelle fois ressorti inférieur aux attentes en mai, même si les données suggèrent que la reprise économique poursuit son cours.
La Securities and Exchange Commission (SEC) envisage de proposer une règle exigeant que les entreprises cotées diffusent une plus large série de données sur leurs salariés dans le cadre de son intensification des divulgations ESG. Son nouveau président, Gary Gensler, a déclaré jeudi que «les investisseurs veulent de plus en plus comprendre les informations sur (...) l’une des composantes les plus critiques des entreprises, leur main d’œuvre». Ces divulgations pourraient inclure des données sur des questions telles que la diversité, les travailleurs à temps partiel par rapport aux travailleurs à temps plein, et le «turnover» du personnel, selon les lobbyings qui ont fait pression pour ces nouvelles règles.
La Securities and Exchange Commission (SEC) envisage de proposer une règle exigeant que les entreprises cotées diffusent une plus large série de données sur leurs salariés dans le cadre de son intensification des divulgations ESG.