Le Congrès doit trouver des accords avant le 2 février pour éviter un «shutdown». Les négociations pourraient cependant être moins difficiles qu’en septembre.
Après des émissions difficiles sur des échéances à 30 ans cet automne, la conférence US Treasuries de la Fed de New York a permis de faire le point sur la lente avancée des pistes d’amélioration de ce marché qui reste trop dépendant de quelques grandes banques.
Les parlementaires américains se sont entendus sur un projet de budget provisoire, permettant d'éviter une fermeture partielle des administrations en fin de semaine.
Les prix à la consommation sont restés stables en octobre outre-Atlantique. Cette publication inférieure aux attentes des économistes fait rebondir les marchés.
Quelques entreprises doivent encore publier leurs résultats trimestriels, notamment Walmart aux Etats-Unis ou Siemens, Infineon, Burberry et Alstom en Europe.
L'économie américaine a suscité près de deux fois moins de postes qu'en septembre et le taux de chômage remonte. Le rendement de la dette souveraine américaine poursuit son repli.
La Réserve fédérale américaine devrait faire une nouvelle pause mercredi. Le temps d’évaluer l’effet des hausses de taux, courts et longs, sur une économie américaine qui va forcément ralentir.
Des poids lourds de la cote comme Apple, Pfizer, AMD, BMW ou Stellantis, publieront leurs résultats. Les comptes de plusieurs banques, dont la Société Générale et HSBC, sont également attendus.
Le PIB américain a augmenté de 4,9% entre juillet et octobre en rythme annualisé, plus que prévu par les économistes, confirmant la résilience de l’économie malgré les taux élevés.
L'arme fiscale choisie par l'administration Biden s'est avérée redoutablement efficace pour stimuler l'investissement privé, estime Didier Borowski, responsable de la recherche sur les politiques macroéconomiques d'Amundi Institute.