La banque coopérative souscrit à un nouveau fonds adossé à l'accélérateur West Web Valley. Objectif : hâter la transition numérique dans le Grand Ouest.
Les fonds Bridgepoint et Summit Partners ont acquis Calypso Technology, qui développe une suite de solutions intégrées de trading et de gestion des risques. Forte de plus de 700 collaborateurs, la société dispose d’un réseau de 22 bureaux répartis dans 19 pays. Bridgepoint n’en est pas à son coup d’essai dans les solutions logicielles pour le secteur des services financiers: il avait acquis eFront en janvier 2015.
Les fonds d’investissement Bridgepoint et Summit Partners annoncent mardi avoir acquis Calypso Technology. Fondée en 1997, Calypso propose une suite de solutions intégrées de trading et de gestion des risques utilisée par plus de 34.000 professionnels des marchés financiers dans plus de 60 pays. Forte de plus de 700 collaborateurs, la société dispose d’un réseau de 22 bureaux répartis dans 19 pays. Bridgepoint n’en est pas à son coup d’essai dans les solutions logicielles pour le secteur des services financiers: il avait acquis eFront en janvier 2015.
Ardian a annoncé mardi la clôture de son septième fonds secondaire qui, avec des engagements de 10,8 milliards de dollars (9,5 milliards d’euros), devient le plus important véhicule de l’histoire de sa catégorie. Outre ce fonds, l’activité fonds de fonds d’Ardian a également collecté 3,2 milliards de dollars d’engagements pour investir en primaire dans de nouveaux véhicules de private equity.
Trois fonds LBO et trois fonds d'infrastructures se disputent le groupe belge de location d’équipements aéroportuaires. Les multiples dépasseraient 12 fois l'Ebitda.
Le groupe tourangeau spécialiste du béton technique signe son troisième MBO en onze ans. Son partenaire historique Sofimac reste au tour de table, où entrent également en minoritaire les fonds midcap de la Société Générale et du Crédit Agricole (Carvest) et Equitis Gestion. Financière Vecteur (Banque Populaire) sort du capital, tout comme l’un des anciens dirigeants. Pour passer de 31 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2015 à 50 millions d’euros en 2020, ce spécialiste des tunnels en béton souhaite continuer à diversifier son activité, notamment dans les murs anti-bruit et traverses de chemin de fer. CBE, qui réalise 90% de son chiffre d’affaires hors de France, pourra ensuite envisager la succession de son dirigeant, peut-être au profit d’un groupe industriel.
Le spécialiste des solutions dédiées aux infrastructures informatiques DCI se lance dans son troisième LBO. Après un OBO minoritaire soutenu en 2007 par EPF Partners, puis un MBO orchestré en 2011 par LBO France et Capzanine, le groupe a cette fois-ci recomposé son capital autour de Naxicap. Arrivé progressivement à partir de 2011, le nouveau management va se renforcer au tour de table. DCI, qui a connu depuis cinq ans une croissance moyenne annuelle de 10% principalement organique, ambitionne de se poser en consolidateur sur un marché fragmenté en dehors des captives de grands groupes. Les quatre pôles de DCI, dont son cœur de métier dans la sécurité, ont vocation à être renforcés. L’objectif est aussi d’étendre la présence géographique de l’intégrateur, pour l’heure principalement parisien.
Orsys refait appel au capital-investissement. Détenu à 100% par la famille fondatrice et ses salariés depuis la sortie d’EPF Partners en 2014, le spécialiste de la formation continue dédiée aux nouvelles technologies a invité Capzanine à son capital à hauteur de 37%. L’intervention du fonds a permis un renforcement de l’actionnariat salarié, de 3% à 10% du capital. Dans un marché français de la formation où les revenus moyens atteignaient 3,5 millions d’euros en 2014 selon la FFP, Orsys est aussi bien placé pour consolider le secteur avec ses 47,5 millions de chiffre d’affaires. Des opportunités pourraient aussi se présenter en Belgique, où Orsys est implanté. Le groupe envisage par ailleurs de se renforcer dans la formation aux métiers de l’entreprise et dans les parcours diplômants.
Ardian est entré en négociation exclusive avec IK Investment Partners afin de prendre une participation majoritaire dans le groupe Trigo, présenté comme le leader mondial des services d’inspection et de gestion de la qualité. La société d’investissement investira aux côtés du management, qui reste en place. Fondé en 1997, Trigo opère notamment dans le secteur de l’automobile, de l’aéronautique et du transport ferroviaire. La société affiche un chiffre d’affaires supérieur à 200 millions d’euros.
Le fonds d’investissement Motion Equity Partners est entré en négociations exclusives avec Permira pour lui céder Arcaplanet, une société italienne spécialisée dans la distribution de produits (nourriture, accessoires...) pour animaux domestiques. Fondée en 1995, l’entreprise gère un réseau de 150 boutiques, contre 46 au moment de son LBO en 2010, et a dégagé l’an dernier un chiffre d’affaires de 137 millions d’euros, en hausse de 22% sur un an. Le bouclage de l’opération est attendu en juin.
A défaut d’avoir pu racheter les maisons de retraites Domus Vi, Antin Infrastructure signe sa troisième incursion dans les infrastructures sociales en devenant actionnaire majoritaire des cliniques psychiatriques Inicea. Son offre préemptive permet la sortie de LFPI et Azulis Capital, arrivés en 2010. Depuis, le chiffre d’affaires de la société a crû de 17 millions d’euros en 2009 à une zone proche de 100 millions d’euros. Inicea est passé de trois à dix cliniques en rachetant les établissements psychiatriques de Korian-Medica. Premier acteur spécialisé, face aux divisions psychiatriques des groupes de maisons de retraites et cliniques généralistes, la société veut continuer à croître par acquisitions dans un secteur marqué par de fortes barrières à l’entrée et des cash flows prévisibles et récurrents.
Le fonds d’investissement Motion Equity Partners est entré en négociations exclusives avec Permira pour lui céder Arcaplanet, une société italienne spécialisée dans la distribution de produits (nourriture, accessoires...) pour animaux domestiques. Fondée en 1995, l’entreprise gère un réseau de 150 boutiques, contre 46 au moment de son LBO en 2010, et a dégagé l’an dernier un chiffre d’affaires de 137 millions d’euros, en hausse de 22% sur un an.
Ardian a annoncé ce matin être entré en négociation exclusive avec IK Investment Partners pour prendre une participation majoritaire dans le groupe Trigo, présenté comme le leader mondial des services d’inspection et de gestion de la qualité. La société d’investissement investira aux côtés du management, qui reste en place. Fondé en 1997, Trigo opère notamment dans le secteur de l’automobile, de l’aéronautique et du transport ferroviaire. Etablie dans 20 pays, la société affiche un chiffre d’affaires supérieur à 200 millions d’euros. La transaction reste soumise à l’avis du comité d’entreprise de Trigo et à la signature d’un accord définitif, ainsi qu’à l’approbation des autorités de la concurrence, précise Ardian.
GGV Capital, qui a notamment soutenu Alibaba et Airbnb dès leurs premiers tours de table, a levé 1,2 milliard de dollars (1,06 milliard d’euros) pour investir dans des start-up en Chine et aux Etats-Unis. Cette somme sera répartie dans quatre fonds, dont un véhicule de 250 millions de dollars alloué à de jeunes start-up chinoises. La société de capital-risque californienne affichera désormais 3,8 milliards de dollars d’actifs.
GGV Capital, qui a notamment soutenu Alibaba et Airbnb dès leurs premiers tours de table, a levé 1,2 milliard de dollars (1,06 milliard d’euros) pour investir dans des start-up en Chine et aux Etats-Unis. Cette somme sera répartie dans quatre fonds, dont un véhicule de 250 millions de dollars alloué à de jeunes start-up chinoises. La société de capital-risque californienne affichera désormais 3,8 milliards de dollars d’actifs.
La société d’investissement HLD a réalisé une émission obligataire sous forme d’Euro PP d’un montant de 30 millions d’euros, a indiqué à L’Agefi son cofondateur Jean-Bernard Lafonta. Cotées au Luxembourg depuis le 30 mars, ces obligations à 5 ans, non notées, offrent un rendement de 5,6%. Elles ont été souscrites par des investisseurs institutionnels et des family offices. HLD, qui revendique une capacité d’investissement de 500 millions d’euros, n’exclut pas d’émettre de nouvelles souches, en précisant que l’endettement ne dépasserait pas 30% de son actif brut réévalué.
La société d’investissement HLD a réalisé une émission obligataire sous forme d’Euro PP d’un montant de 30 millions d’euros, a indiqué à L’Agefi son cofondateur Jean-Bernard Lafonta. Cotées au Luxembourg depuis le 30 mars, ces obligations à 5 ans, non notées, offrent un rendement de 5,6%. Elles ont été souscrites par des investisseurs institutionnels et des family offices. HLD, qui revendique une capacité d’investissement de 500 millions d’euros, n’exclut pas d’émettre de nouvelles souches, en précisant que l’endettement ne dépasserait pas 30% de son actif brut réévalué.