La Financière de L’Echiquier (LFDE) va lancer en janvier 2019 une nouvelle SICAV «Club Solutions», avec comme premier compartiment, Patrimoine Réactif, doté de plus de 50 millions d’euros d’actifs gérés, annoncent Bertrand Merveille, directeur de la gestion privée de LFDE & Jean-Georges Dressel, directeur commercial CGP et Echiquier Club dans un entretien avec H24Finance. Ils sont le fruit de la fusion de fonds gérés jusqu'à présent pour le compte de 4 partenaires CGP. La gestion s’articulera autour de l’allocation d’actifs et du stock-picking, sur toutes les classes d’actifs disponibles sur les marchés liquides, avec «une grande liberté accordée à l'équipe de gestion». La SICAV investira aussi bien dans des actions que dans des fonds (architecture ouverte minimale de 85%) ou des ETF.
Carmignac a nommé Luis Caceres en qualité de nouveau directeur du développement pour l’Allemagne et l’Autriche, rapporte le site spécialisé Investment Europe. L’intéressé, qui sera basé à Francfort, continuera de développer les activités de gestion discrétionnaires de Carmignac. Il est rattaché à Nils Hammer, responsable pays Allemagne et Autriche. Luis Caceres, qui a plus de vingt d’expérience dans la gestion de fortune et l’assurance, a notamment travaillé pendant une quinzaine d’années chez Fidelity Worldwide Investment.
À l’occasion du FT Banking and Finance Summit, organisé par le Financial Times à Londres ce 4 décembre 2018, Fiona Reynolds, directrice générale des Principes pour l’Investissement Responsable (PRI), a rappelé le rôle indispensable des investisseurs institutionnels pour influer sur la politique ESG des banques. «Il est aujourd’hui largement accepté que l’échec des investisseurs institutionnels à contrôler les entreprises dans lesquelles ils ont investi a été l’une des causes du ralentissement économique de 2008. Les investisseurs institutionnels, comme les fonds de pension, se concentrent trop souvent sur le court terme, échouant ainsi à adopter des pratiques d’investissement qui exigent une vision à long terme. Nous constatons également un manque d’alignement d’intérêt dans la chaîne d’investissement.», a notamment déclaré Fiona Reynolds. «Si nous regardons les problématiques environnementales, les investisseurs institutionnels échouent à influencer les grandes banques mondiales, plusieurs d’entre elles continuant de financer de nombreux projets d’énergie et d’infrastructures les plus dommageables pour l’environnement. A titre d’exemple, plusieurs grandes banques mondiales continuent de financer directement de nouvelles mines de charbon et de nouvelles centrales à charbon à travers le monde. Ces financements de plusieurs milliards de dollars montrent bien que les banques traînent encore des pieds pour couper définitivement leurs liens avec le secteur du charbon. Clairement, les investisseurs échouent à exercer une influence à cet égard auprès des banques», a expliqué Fiona Reynolds. Dans ce contexte, « je pense que les investisseurs institutionnels devraient revoir leurs objectifs de marché et abandonner leurs horizons de court terme. Ils ne devraient pas avoir peur de s’engager directement auprès des banques sur ces sujets de développement durable. Dans le cas contraire, ils deviennent une partie du problème.»
Le centre mondial d’expertise en produits structurés et dérivés OTC (Over The Counter) deIndosuez Wealth Management, basé à Genève, a multiplié son volume d’émission des produits structurés par quatre en cinq ans, pour atteindre 4,5 milliards de francs en 2018, rapporte L’Agefi suisse. En mandat discrétionnaire, l’équipe gère près d’un milliard de francs suisses en produits structurés, pour l’ensemble de sa clientèle privée. «Les produits structurés représentent une alternative aux outils d’investissement traditionnels avec un taux de pénétration de quelque 3 à 4 % des portefeuilles. Ce chiffre est en augmentation. Les produits structurés offrent une réelle valeur ajoutée dans les portefeuilles grâce à leur payoff asymétrique et leur pouvoir diversifiant. Ils disposent d’un large potentiel de performance, tout en protégeant le capital, selon la structure. A la différence d’un fonds où il y a une intervention humaine, les produits structurés correspondent à une approche déterministe avec une formule de remboursement convenue dès la date de transaction. Ils résultent de la combinaison d’un instrument de taux (comme une obligation) et d’une stratégie optionnelle (impliquant un ou plusieurs dérivés). Les produits structurés peuvent être utilisés dans le cadre de deux approches, le conseil et la gestion discrétionnaire. Ce sont des produits flexibles qui, intégrés dans l’allocation de portefeuille, constituent aussi des véhicules à part entière de stratégies d’investissement», explique la dirigeante de l’activité, Sylveline Besson, dans les colonnes du quotidien suisse.
State Street Global Advisors (SSGA) a recruté Floris Jan Zwijnen début décembre pour renforcer ledéveloppement de ses activités aux Pays-Bas, selon le profil Linkedin de l’intéressé. Basé à Amsterdam, Zwijnen dirigeait auparavant le développement de la branche d’UBS Wealth Management en Hollande, acquise en 2017 par Van Lanschot Kempen.
La société de gestion suisse Cape Capital AG, établie à Zurich, a enregistré sa Sicav luxembourgeoise Ucits pour la commercialisation de celle-ciauprès des investisseurs espagnols fin novembre, a appris NewsManagers. La Sicav comporte trois fonds : Cape Fixed Income, Cape Equity et Cape Optimal Equity. Le fonds obligataire investit dans de la dette liquide et des produits dérivés sur le crédit avec une duration d’un à deux ans. Le fonds actions est concentré sur 20 à 25 titres d’entreprises internationales de qualité leaders dans leurs secteurs et générant un cashflow important. Le second fonds actions réplique la même stratégie que le premier à ceci près qu’il ajuste son exposition au marché via la vente de futures sur les indices et qu’il a pour objectif de surperformer l’Euribor + 5% annualisé sur un horizon de trois ans.
L’opérateur de marchés Nasdaq a annoncé ce 4 décembre l’acquisition de Quandl, un fournisseur de données alternatives (images satellites, opérations sur cartes de crédit…) et financières. La base de données de Quandl, qui comprend entre autres des informations sur les marchés de capitaux, l’énergie, le maritime, la santé, l’éducation, la démographie, l’économie et la société, sera intégrée dans la plateforme Analytics Hub au sein de la de la division Global Information Services. «Quandl va permettre au Nasdaq de travailler plus étroitement avec la communauté des investisseurs alors que l’industrie financière recherche en permanence des moyens d’évaluer des sources infinies d’informations pour trouver de nouveaux points de vue, de nouvelles idées d’investissement et dégager de l’alpha», déclare Bjorn Sibbern, executive vice president et responsable de Global Information Services au Nasdaq. «Les investisseurs sont aujourd’hui demandeurs d’informations exploitables issues de nouvelles sources de données à un rythme de plus en plus rapide (..) Nos clients existants, y compris les plus gros hedge funds et banques d’investissement de la planète, vont retirer d’énormes avantages de notre vision commune qui fait de la donnée le moteur principal à l’avenir de la performance des investissements actifs au cours des dix prochaines années», commente Tammer Kamel, directeur général de Quandl.
L’entité espagnole Santander Private Banking a annoncé le lancement de Private Wealth, un service de gestion de fortune privé s’adressant aux clients dont le patrimoine atteint 20 millions d’euros et plus. Près de 1 500 clients de la banque privée de Santander sont initialement concernés par cette initiative. Celle-ci inclut notamment une offre sur mesure d’investissements traditionnels et alternatifs ainsi qu’un conseil sur les questions de succession. Private Wealth est rattachée à l’unité de gestion de fortune de Santander établie en 2017 et dirigée par Victor Matarranz. Le service sera supervisé par Alfonso Castillo, responsable international de Private Wealth. La gestion de fortune de Santander représentait 333 milliards d’euros d’encours au 30 septembre 2018.
Si le mercato d’hiver n’a pas encore ouvert ses portes dans le monde dufootball, il tourne déjà à plein régime dans la sphère financière. Alors que nous annoncions hier matin le départ d’uneéquipe entière de Julius Baer spécialisée sur le Proche-Orient chez sa concurrente Pictet, la réaction ne s’est pas faite attendre. En effet, le pillé est devenu pilleur et est cette fois allé se servir chez un troisième acteur bien connu du monde de la banque privée Suisse : UBS. Ainsi, Julius Baer vient d’annoncer le recrutement de trois commerciaux senior pour la couverture du marché espagnol. L’arrivée de cette nouvelle équipe, en provenance d’UBS, sera effective le 2 janvier prochain. L'équipe, composée deJuan José González Quintana,José Casasayas Moro etIgnacio Calderón Aguado sera placée sous la direction deCarolina Martinez Caro. C’est Juan José González Quintana qui prendra la direction de l'équipe. L’intéressé a passé 12 ans chez UBS à Madridoù il était en charge d’une portefeuille de «HNWI» espagnols et dirigeait une équipe commerciale. Auparavant, il a travaillé chezLloyds TSB Bank en tant que responsable du pôle banque privée international, couvrant notamment des clients d’Amérique centrale. José Casasayas Moro a quant à lui travaillé près de 14 ans pour UBS à Madrid. Avant cela, il a tenu différentes positions managériales au sein de Banco BANIF. Enfin, Ignacio Calderón Aguado travaillait chez UBS depuis 16 ans avant de rejoindre Julius Baer et a, par le passé, travaillé pour SAFEI S.V.B.
Azimut Capital Management SGR, la société de gestion du groupe Azimut qui chapeaute le réseau de conseillers financiers du groupe en Italie, a recruté deux professionnels de la banque dans la région de l’Emilie Romagne, Marche et Ombrie, rapporte Bluerating. Alessandro Franzoni travaillait au Credito Cooperativo Reggiano où il était responsable du développement commercial de la région Reggio. Nadia Cristalli vient de Cassa di Risparmio di Piacenza.
La gamme de fonds obligataires européens est gérée par Patrick Barbe et son équipe de cinq personnes qui ont rejoint Neuberger Berman tout récemment en provenance de BNP Paribas Asset Management.
2018 aura été l’année du repositionnement d’Ostrum Asset Management (ex-Natixis AM) et aussi celle du «risque sans fin» selon la formule de son directeur général délégué et directeur des gestions Ibrahima Kobar. A l’occasion d’un point presse sur les perspectives de marché de la société de gestion du groupe Natixis, mardi 4 décembre, le dirigeant a évoqué quatre axes de développement pour l’année prochaine. Sur l’obligataire,Ostrum AM entend se renforcer tout en se concentrantsur ses fonds phares. La gestion actions, qui a vu l’arrivée d’un nouveau patron en la personne de Jean-Louis Scandella courant 2018, sera plus «typée» et convictionnelle, se focalisant sur desexpertises thématiques dontla haute technologie, la biotech, la pharmacie, l’immobilier et la consommation globale. Ces projetsseront notamment menés par le trio de gérantsthématiques récemment débauchéde chez Pictet par Natixis Investment Managers-qui sera rejoint par deux autres gérants début 2019 - et supportés par une recherche propriétaire développée en interne à Paris et à Singapour. Le segment alternatif ne sera pas négligé avec le lancement d’une plateforme dédiée aux Etats-Unis sur la dette structurée au premier semestre 2019. Les expertises de dette privée sur actifs réels, incluant immobilier, infrastructure et aviation, feront aussi l’objet d’un déploiement sur les Etats-Unis et l’Asie l’an prochain avec une cible de 6 milliards d’euros d’encours d’ici 2020. Enfin, le dernier axede développement abordé par Ibrahima Kobar relève de l’intégration des critères environnementaux, sociaux et gouvernementaux (ESG) dans la gamme de fonds d’Ostrum AM. Le directeur des gestions de la société assure que les critères ESG sont intégrés dans l’ensemble des process hors dette privéed’Ostrum AM, ce qui représente quelque 254 milliards d’euros d’encours. Aussi 22% des actifs sous gestion de l’affilié de Natixis Investment Managers - soit 60 milliards d’euros - sont-ils gérés en investissement social responsable. Ostrum AM considère l'élargissement de sa gamme de stratégies ISR, notamment côté institutionnel. Ibrahima Kobar a notamment évoqué la récente conversion à l’ISRd’un fonds monétaire à 8,6milliards d’euros d’actifs sous gestion.
Caroline Grinda-Kalbacher, ancienne directrice générale et responsable de la gestion de Conseil Plus Gestion (CPG), a rejoint un cabinet de conseil en investissements financiers et immobiliersbasé à Aix-en-Provence, Efficience Patrimoine. Selon le profil Linkedin de l’intéressée qui a quitté CPG en octobre, elle travaille chez Efficience Patrimoine depuis novembre en qualité de responsable de l’allocation d’actifs et géranteprivé.
Ella Hoxha, qui a évolué pendant plus de sept ans en tant que gérante obligataire et managing director au sein de l’antenne londonienne de Wellington Management, a rejoint Pictet Asset Management début décembre, a appris NewsManagers. Basée à Londres, Ella Hoxha a été nommée en qualité desenior investment manager. Chez Wellington Management, elle investissait sur le segment obligataire pour des stratégies absolute return, hedge funds et d’autres produits benchmarkés avec un focus sur les marchés européens. Ella Hoxha était auparavant gérante senior chez Invesco où elle a passé plus de huit ans. Elle était notamment gérante du fonds Invesco European Bond.
Foncière Siscare a annoncé l’acquisition des murs de 4 établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) en Allemagne, son premier investissement dans ce pays. Au total, ces EHPAD développent 14.821 m² et exploitent 319 lits. La durée restant à courir des baux de l’ensemble de ces quatre établissements est supérieure à 15 ans, indique la foncière. L’opération a été réalisée en partenariat avec MoZaïC AM, qui assurera l’asset management de ces actifs.
PGIM Real Estate France a signé avec le promoteur OGIC une vente en futur état d’achèvement (VEFA) en blanc portant sur la construction de deux immeubles de bureaux totalisant 19.400 mètres carrés au sein de la ZAC du Bac d’Asnières, à Clichy. PGIM Real Estate a réalisé cette opération en gré à gré pour le compte d’investisseurs d’un fonds value-add discrétionnaire paneuropéen. PGIM Real Estate est l’entité d’investissement immobilier de PGIM, la filiale de gestion d’actifs de Prudential Financial. L’ensemble immobilier, dénommé Swellet composé de deux immeubles d’une surface de 9.700 mètres carrés chacun, marque l’entrée de la ZAC du bac d’Asnières, sur les quais de Seine, dans la continuité naturelle du marché du Front de Seine de Levallois, au sein d’un environnement en pleine mutation.Conformément aux engagements de PGIM Real Estate en matière d’investissement socialement responsable, l’ensemble immobilier, dont la livraison est prévue pour mi-2020, sera quadruplement certifié WELL « Silver », BREEAM « Very Good », HQE « Excellent » et Effinergie+.
Fidelity International a noué un partenariat avec Epsor, fintech spécialisée dans l’épargne salariale 100% en ligne. C’est la première société de gestion internationale à rejoindre la gamme d’Epsor qui référence les fonds de droit français de ses partenaires sans passer par une délégation de gestion ou des fonds de fonds, «permettant ainsi à la start-up de proposer des solutions parmi les moins chères du marché». «Fidelity International, à travers sa structure de gestion française, est en mesure de proposer des fonds répondant au cadre de l’épargne salariale. Le fonds Fidelity Europe a de ce fait été référencé pour intégrer la gamme», précise la société de gestion. «Chez Epsor, nous pensons qu’il y a des complémentarités évidentes entre les expertises des acteurs existants et les fintechs. (...) Ce partenariat est stratégique pour le développement de notre offre de services. ", déclare Julien Niquet, cofondateur d’Epsor. La fintech précise avoir bouclé «il y a quelques semaines une première levée de fonds de plus d’un million d’euros».
Le fournisseur d’ETF Lyxor, filiale de Société Générale, transfère au Luxembourg pour 2 milliards d’euros d’ETF ce mois-ci, rapporte LuxembourgforFinance, l’organisme de promotion de la place luxembourgeoise qui reprend une information du site spécialisé Ignites Europe. Fin octobre, Lyxor avait déjà transféré pour 4,9 milliards d’euros d’ETF. Ce transfert de 19 ETF pour un montant total de près de 5 milliards d’euros répondrait à la demande de la clientèle. «La logique du transfert s’explique avant tout par la demande de la clientèle. Un bon nombre de nos investisseurs en Europe nous disent que le Luxembourg est un domicile facile à gérer pour eux», indique Adam Laird, responsable de la stratégie ETF pour le nord de l’Europe chez Lyxor. Il y a deux ans, Lyxor avait déjà transféré des ETF de la France vers le Luxembourg pour un montant de 1,3 milliard d’euros. A l’instar de Lyxor, de nombreuses sociétés de gestion renforcent leur présence auLuxembourg, entre autres MFS, T. Towe Price, Aberdeen Standard,Columbia Threadneedle ou encore M&G.
Park Square Capital, l’un des principaux gestionnaires de dette privée en Europe, a ouvert un bureau à Paris afin d’augmenter ses investissements sur le continent et réduire son exposition aux actifs britanniques, rapporte le Financial Times. Robin Doumar, le managing director de Park Square, a précisé au FT que la présence dans la capitale française facilitera les opportunités en Europe continentale. Il a confirmé que cette décision était liée au Brexit. Park Square a levé 4,7 milliards de dollars depuis 2017, selon le FT. Il compte en tout 9 milliards de dollars d’actifs.
Swiss Life Asset Managers, Real Estate France a annoncé ce matinle lancement d’un nouveau fonds, Club Plein Air Tourisme, dont l’objectif sera d’investir sur le segment de l’hôtellerie de plein air, un secteur porteur complémentaire de l’hôtellerie classique qui représente une forte conviction des équipes de gestion. Deuxième mode d’hébergement touristique, cette industrie a connu un renouveau très important ces dernières années pour s’adapter aux attentes des vacanciers et prendre le virage de la digitalisation. Club Plein Air Tourisme vise une taille cible de 300 millions d’euros à horizon 3 ans avec un endettement moyen de 35%. Il a vocation à acquérir des campings de 3 à 5 étoiles, localisés dans des régions touristiques françaises et exploités par des acteurs reconnus. Un premier « sale & lease back » vient d’être signé avec Vacanceselect, leader du secteur, pour l’acquisition de 7 campings exploités sous la marque Tohapi Privilège et représentant environ 3000 emplacements. Ces campings sont principalement situés sur des zones littorales du sud-ouest et du sud. Ils bénéficient de la stratégie de montée en gamme mise en place par Vacanceselect qui vise notamment à développer le segment « premium » disposant de services complémentaires et d’une localisation de qualité. Un budget de travaux a été défini afin d’accompagner cette montée en gamme et de rénover les installations. «C’est une très belle acquisition qui nous permet de concrétiser notre envie de nous positionner sur ce secteur présentant de réels atouts pour nos investisseurs. Nous sommes en train de constituer le premier tour de table et Club Plein Air Tourisme reçoit un très bon accueil», commenteFabrice Lombardo, directeur de la structuration et de la gestion de portefeuille chez Swiss Life AM, Real Estate France. Swiss Life Asset Managers, Real Estate France, représentée par la société de gestion AIFM Swiss Life REIM (France),gère 13,4 milliards d’eurosd’actifs à fin juin 2018.
Mathieu Ferragut a été nommé directeur général de CFM Indosuez Wealth, la filiale monégasque d’Indosuez Wealth Management en date du 3 décembre 2018. Depuis 2013, il gérait les activités du groupe de gestion de fortune en Amérique, où il avait été promudirecteur général de CA Indosuez Wealth (Miami) en 2008. Auparavant, Matthieu Ferragut a évolué au sein du Crédit Lyonnais à Singapour et à Miami. Fin 2017, Indosuez Wealth Management gérait 118 milliards d’euros d’encours.
Redmayne Bentley vient d’annoncer la nomination de Ian Booth et Stuart Ryan au sein de son équipe de gestion des investissements à Leeds. Ian Booth adémarré sa carrière chezBarclays en1979, où après plusieurs mouvements internes il s’est établià la fin des années 1980 en tant que gérant privé. En 2002, il rejoint la banque Coutts en tant que directeur du pôle banque privée. Onze ans plus tard il devient «divisional director» pour Brewin Dolphin à Manchester. Stuart Ryan est quant à lui diplômé de l’Université du Pays de Galles en droit. Il a démarré sa carrière dans la finance chez HSBCpuis a accumulé plusieurs expériences dans la sphère financière passant de la gestion d’investissement, à la banque d’affaires ou encore le trading. En2010, il se dirige vers la gestion de fortune et devient conseiller en investissementpour Holden & Partners. Sept ans plus tard, il est recruté par Rayner Spencer Mills, où il s’occupait notamment de la sélection de fonds. «Cette arrivée combinée démontre que notre priorité reste le développement de notre présence au Royaume-Uni et notamment de notre activité de gestion discrétionnaire», indique James Andrews, responsable des investissements deRedmayne Bentley dans un communiqué.
La boutique de gestion espagnole Dunas Capital a recruté BorjaFernández-Galiano en qualité de nouveau directeur des ventes institutionnelles de la société. Il sera responsable de la distribution des produits de Dunas Capital, qu’il s’agisse des fonds d’investissements, des plans d'épargne-retraite, de private equity ou d’actifs alternatifs. Il participera également à l'élaboration de la stratégie commerciale de Dunas Capital en Espagne. BorjaFernández-Galiano a travaillé au développement de plusieurs sociétés de gestion sur le territoire espagnol dont Lazard Asset Management, Syz, Pioneer, Schroders et Carmignac, qu’il a quitté en juin dernier.
Jupiter a choisi le cœur de Milan pour son nouveau siège, à Piazza Liberty, rapporte Bluerating. «Moins de trois ans après l’arrivée de Jupiter en Italie, nous avons décidé d’améliorer encore le niveau de service et de proximité à l’égard de notre clientèle avec l’ouverture d’un nouveau siège Piazza Liberty à Milan; c’est le témoignage de notre engagement sur le long terme sur le marché italien(…)», commente Andrea Boggio, country head Italie de Jupiter AM. Le gestionnaire d’actifs britannique compte aujourd’hui 7 professionnels dédiés au marché italien.