L’antenne espagnole de l’association européenne des conseillers de gestion de patrimoine (EFPA España) et le gérant Trea Asset Management ont trouvé un accord pour travailler sur l’amélioration de la qualitédu conseil fourni par les conseillers financiers espagnolsà travers les formations dispensées par l’organisme. Trea AM apportera ainsi son expertise et son soutienau travail de formation continue qui permet lerenouvellement des certifications professionnelles délivrées par EFPA Españaainsi qu'à d’autres projets de l’association. L’EFPA collabore avec 65 banques et gérants d’actifs en Europe.
Nordea Asset Management a lancé le 6 décembre le fonds Nordea 1 – European Long/Short Equity Fund, dont la gestion est confiée à Madrague Capital Partners AB, une société de gestion basée à Stockholm et détenue à 40 % par Nordea AM. Le fonds repose sur une stratégie alternative liquide, destinée aux investisseurs recherchant non seulement des rendements plus élevés que ceux des actifs obligataires traditionnels, mais aussi un niveau de volatilité plus faible que les fonds actions dits « long-only ». L’équipe d’investissement de Madrague est composée de cinq professionnels, dont les associés fondateurs, et tous travaillent ensemble depuis le lancement de la société de gestion, en 2012. Il s’agit du premier fonds commun entre les deux sociétés.
L’antenne suisse du groupe SingAlliance, basée à Genève, vient d’obtenir la licence de gestionnaire de placements collectifs (LPCC) délivrée par la Finma, rapporte L’Agefi suisse.L’obtention de la licence LPCC contribue désormais à faire de SingAlliance un acteur de référence sur la place financière suisse et constitue le franchissement d’une nouvelle étape importante des plans de développement du groupe. Fondée en 2011 à Singapour par le Suisse Thierry Beck, SingAlliance est une société de gestion indépendante qui offre des services de Wealth Management et d’Asset Management. En 2017, SingAlliance a ouvert une filiale à Genève, dirigée par deux de ses fondateurs, Sébastien Waefler et Édouard de l’Espée. Le groupe SingAlliance gère plus d’un milliard de francs répartis sur ses deux pôles de compétences, la gestion privée et la gestion de fonds de placement. Sa clientèle à Singapour est pour 70% asiatiques et pour 30% du reste du monde. À Genève, elle est pour 50% suisse et pour 50% européenne. Quant aux effectifs, le groupe emploie 15 personnes à Singapour et 8 à Genève. Une équipe genevoise qui est vouée à se renforcer. SingAlliance devrait en outrelancer en janvier son premier fonds de placement géré par l’antenne suisse.
Depuis le 11 décembre, Credit Suisse a annulé la limitation des souscriptions pour son fonds Credit Suisse (Lux) Global Robotics Equity Fund. Les souscriptions étaient plafonnées à un 1 million de dollars par ordre depuis le 9 avril 2018, «afin d’assurer la gestion continue du fonds conformément aux objectifs d’investissement», rappelle une note de la société. A l’époque, le fonds géré par Angus Muirhead et Patrick Kolb, avait connu «de façon régulière des volumes de souscription élevés, empêchant, à un certain stade, le gestionnaire de portefeuille d’investir efficacement. En effet, notre univers d’investissement (robotique « pure play ») comprend essentiellement des petites et moyennes capitalisations». Ces derniers mois, les flux au sein du fonds se sont stabilisés. Il affiche des encours d’un peu plus de 1 milliard de dollars au 10 décembre. Les rachats restent possibles et sans restriction.
Andreas Utermann, le directeur général d’Allianz Global Investors, la filiale de gestion d’actifs de l’assureur allemand, a prôné mardi une interdiction pure et simple des cryptoactifs qui, selon lui, engloutissent l'épargne des particuliers. Il se déclare «surpris que les régulateurs n’aient pas sévi davantage». Andrew Bailey, le président de la Financial Conduct Authority (FCA), lui a opposé que la réglementation était «assez stricte» au contraire, avant d’ajouter que les cryptoactifs n’avaient «pas de valeur intrinsèque». «Nous suivons cela de très près», a-t-il assuré, ainsi que les ICO (initial coin offerings).
L’Erafp, encore peu présent sur les émergents, souhaite se renforcer sur ce segment. « Nos risques sont très tournés vers la zone euro. Les émergents vont nous apporter de la diversification et de la décorrélation », a indiqué Catherine Vialonga, directeur des investissements de l’Erafp, lors de la Journée Nationale des Investisseurs (JNI) organisée par Instit Invest, jeudi 6 décembre. Après avoir lancé fin avril 2018 son appel d’offres pour créerun fonds dédié de dette privée émergents de 160 millions d’euros, l’Erafp s’apprête à sélectionner des gérants d’ici à la fin de cette année. Ce placement initial doit être porté à environ 300 millions d’euros d’ici à trois ans. Pour l’heure, l’institution est investie à hauteur de 0,3% de son portefeuille actions, soit près de 20 millions d’euros, dans les actions émergentes. Elle a également investi 160 millions d’euros en 2017 dans des fonds de dette d’entreprises privées des pays émergents, soit 0,7% de sa poche obligataire. Pour ces fonds émergents, l’Erafp est particulièrement sensible à l’application d’un filtre ISR, comme il le fait pour tous ses placements. « Nous demandons aux gérants d’être très sélectifs dans la construction du portefeuille, il faut aller chercher le bon émetteur en menant une analyse profonde à la fois financière et ESG pour garantir la solidité de l’émetteur », indique Catherine Vialonga qui se dit notamment très attentive aux problèmes de corruption dans les émergents. En investissant plus amplement dans les émergents, l’Erafp veut se prémunir principalement des risques liés à la gouvernance mais aussi des devises. Elle ne choisit que des devises dures (USD, EUR, GPB) dans son allocation. «La couverture devises se fait au niveau global de l’Erafp car nous avons un overlay», précise la directrice des investissements. L’Erafp est satisfait de voir que la classe d’actifs des émergents peut désormais répondre à ses exigences. « Nous voyons de plus en plus de gérants qui peuvent répondre à notre cahier des charges », constate la responsable de l’institution. TV
Le Forum pour l'Investissement Responsable (FIR) organisait ce vendredi 7 décembre une conférence présentant les conclusions de plusieurs études sur les rapports Article 173 publiés cette année par les investisseurs institutionnels.
Les investisseurs institutionnels sont en quête d’outils de référence pour leurs investissements ESG et à impact. Pour son fonds dédié à l’impact investing et doté de 30 millions d’euros, Aviva France recourt notamment à l’outil de mesure d’impact social, Mesis (Mesure et Suivi de l’impact social), développé par la Caisse des Dépôts pour le fonds Novess lancé en 2016. « Nous travaillons en collaboration avec la Caisse des Dépôts car nous souhaitons nous appuyer sur des outils déjà développés et qui font déjà autorité », a affirmé Philippe Taffin, directeur des investissements d’Aviva France, lors de la Journée Nationale des Investisseurs (JNI), organisée par Instit Invest, jeudi 6 décembre. Aviva souhaite que des standards puissent émerger pour la mesure des impacts ESG. « La place gagnerait à adopter une boite à outils commune afin de pouvoir s’y retrouver dans ce maquis actuel d’indicateurs », souligne le directeur général délégué d’Aviva. Sur les trois critères ESG (environnement, social et gouvernance), les investisseurs expriment leur besoin de définir des indicateurs de mesure quantitatifs précis et reconnus par tous afin de rendre les choses comparables. « Aujourd’hui, chacun a son approche, et le client final est perdu », relève Philippe Taffin qui annonce que l’assureur devrait prochainement proposer à ses clients finaux une gamme de produits ISR. Même constat pour Anne Courrier, directrice des investissements de Malakoff Médéric qui a du mal à s’y retrouver dans cette « jungle ». Elle souhaite également voir cette philosophie de « mesure d’impact s’élargir et s’appliquer à toutes les classes d’actifs ». Elle reconnait que l’impact investing concerne « une classe d’actifs (le non coté, ndlr) qui reste confidentielle ». La responsable des investissements attend également des indicateurs évolutifs qui puissent permettre de soutenir les émetteurs qui évoluent favorablement dans la prise en compte des critères ESG. Elle attire enfin l’attention sur les risques de greenwashing. « On ne va pas se mentir, même les investisseurs institutionnels en font ! », lance-t-elle. TV
La SAS Normandie Participations lance un appel à manifestation d’intérêt afin d’identifier et de sélectionner des investisseurs partenaires privés qui seront autorisés à conclure une convention de partenariat avec Normandie Participations, pour la réalisation de coinvestissements. La sélection des investisseurs partenaires privés s’effectuera au travers d’une évaluation d’un dossier de candidature selon les critères de sélection détaillées à l’article 7 de l’appel à Manifestation d’intérêt qui sera téléchargeable à partir du 15.12.2018, à l’adresse de Normandie Participations. La société Normandie Participations est une société de coinvestissement créée par la région Normandie qui accompagne les initiatives des acteurs privés mais aussi par son positionnement, qui participe à la structuration de l’offre de financement aux entreprises du territoire. Ce fonds de coinvestissement généraliste permet également de donner une plus grande cohérence à l'écosystème du financement normand en contribuant à la meilleure articulation des acteurs. Il a enfin pour objectif d’attirer et d’animer des coinvestisseurs locaux ou extérieurs à la région Normandie (Business Angels, Capital Risque et Banques notamment) afin d’investir au coté du fonds dans les entreprises. Le Conseil régional de Normandie a pour cela constitué une SAS placée sous le régime des Sociétés de capital-risque (SCR), et au capital entièrement détenu par la région Normandie: la SAS Normandie Participations. Date prévue pour le lancement de la procédure de passation : le 1er janvier 2019** Pour lire l’avis complet, cliquer ici.
La société de gestion suisse GAM, secouée récemment par l’affaire Tim Haywood, réduit ses effectifs. David Jacob, le nouveau patron de la société de gestion, a décidé de faire des économies et se sépare ainsi de 18 gérants de portefeuille, rapporte finews, qui reprend des informations de l’agence AWP. Selon l’agence, ces réductions d’effectifs concernent 14 collaborateurs basés à Zurich, et 4 à Londres. Un porte-parole de GAM a confirmé à l’agence AWP que le processus était en cours. Selon l’agence, ces suppressions de postes devraient permettre de réaliser des économies substantielles dans la mesure où il s’agit de gérants parmi les mieux rémunérés de la société de gestion.
Structured Invest, une société de gestion luxembourgeoise détenue à 100 % par UniCredit Bank, s’est associée avec MSCI ESG pour lancer l’ETF UC MSCI European Green Bond EUR UCITS, qu’elle présente comme «le premier ETF qui permet aux investisseurs d’accéder à une gamme largement diversifiée d’obligations vertes liquides libellées en euros d’émetteurs européens». L’ETF cible les investisseurs institutionnels, et inclut des obligations vertes d’émetteurs de différents secteurs et pays européens. Il est coté sur Xetra sous le symbole ECBI et a été approuvé à la vente en Allemagne, en Autriche, en Italie et au Luxembourg.
Stuart Reeve, le responsable de l’équipe actions monde de BlackRock, va partir, a appris Citywire Selector. Le gérant restera au sein de la société jusqu’en juin 2019, après y avoir passé 13 ans. Après son départ, James Bristow et Andrew Wheatley-Hubbard deviendront co-responsables de l’équipe actions monde.
Neptune Investment Management a dévoilé son budget de recherche pour 2019 qui sera facturé aux investisseurs dans les frais (ongoing charges figure) suite à la mise en œuvre de MIFID II cette année, rapporte Investment Week. Au total, la gamme de fonds de Neptune va subir des coûts de recherche de fournisseurs externes de 1.941.560 de livres en 2019, estime la société.
La société de gestion allemande Acatis Investment a enregistré son sixième fonds sur le marché français, a appris NewsManagers. Acatis a obtenu le feu vert de l’Autorité des Marchés Financiers, le 7 décembre 2018, pour la commercialisation de sonfonds Acatis AI Buzz US Equities lancé en mai dernier. Il s’agit de sa stratégied’actions américaines reposant sur un processus d’intelligence artificielle mis en place par Buzz Indexes, consultant d’Acatis. Le processus BUZZZconsiste à mesurer le sentiment des investisseurs à l’égard d’actions américaines en utilisant des sources en ligne, incluantles médias sociaux, les articles d’actualité et de blogs ou de forums de discussion en ligne. Les actions de l’univers d’investissement ciblé par BUZZZ doivent être cotées au minimum sur une bourse américaine, afficher une capitalisation boursière d’au moins 5 milliards de dollars, avoir un volume quotidien moyen de négociation d’1 million de dollars minimumet présenter un nombre minimum de mentions dans les diverses contributions. Lefonds investit dans les 75 entreprises les plus positives en termes de sentiment des investisseurs, titres pondérés en fonction du sentiment des investisseurs à hauteur de 3% maximum. Le portefeuilleest remanié après le troisième jeudi de chaque mois.
Andreas Utermann, le directeur général d’Allianz Global Investors, la filiale de gestion d’actifs de l’assureur allemand, a prôné mardi une interdiction pure et simple des cryptoactifs qui, selon lui, engloutissent l'épargne des particuliers. «Vous devriez les interdire», a déclaré Andreas Utermann lors d’une table ronde à Londres, rapporte Reuters, s’adressant notamment à Andrew Bailey, le président de la Financial Conduct Authority (FCA), assis à ses côtés. «Je suis personnellement surpris que les régulateurs n’aient pas sévi davantage », a ajouté Andreas Utermann.
Yolt, a personal finance management mobile app, has announced the appointment of Barbora Polachova as director of partnerships. Polachova will work to develop Yolt Connect, a mobile app marketplace from Yolt, which promotes the development of smart integration. She will develop and deploy strategic initiatives for existing and future partnerships. Before joining the British fintech, Polachova had been a managing partner in charge of strategic partnerships at Uber. In 2016, Polachova received the Forbes “30 Under 30” prize, as one of the most influential young figures in the Czech Republic, in recognition of her strong impact on the economy of tomorrow.
Jason Chandler, depuis plus de vingt ans cadre de la banque, a été nommé responsable des activités de gestion de fortune aux Etats-Unis du groupe UBS, selon une note envoyée aux collaborateurs, rapporte l’agence Bloomberg. Il prend la succession de Brian Hull, promu de son côté executive vice president Americas. Les nominations seront effectives à compter du 1er janvier 2019. Les Etats-Unis font partie des régions où Sergio Ermotti, directeur général d’UBS, espère bien trouver des relais de croissance, auprès notamment des très grandes fortunes. Plus d’un tiers des 2.400 milliards de dollars d’actifs gérés par UBS sont investis aux Etats-Unis. A noter que Christian Wiesendanger, qui codirigeait les plateformes d’investissement d’UBS avec Jason Chandler, sera désormais le seul responsable de cette activité qu’il pilotera à partir de la Suisse.
Vincent Ma, le responsable des ventes wholesale de BlackRock à Taïwan, va quitter la société, rapporte AsianInvestor. «Son dernier jour sera le 28 février 2019", a précisé une porte-parole de BlackRock au site professionnel. C’est Sean Huang qui lui succédera mais avec un titre différent: responsable wealth sales distribution.
Le spécialiste des petites valeurs Royce & Associates va conseiller un nouveau fonds, le Legg Mason Global Premier Small-Cap Equity Fund, qui sera le premier produit de la société à être proposé aux investisseurs particuliers japonais, annonce un communiqué de presse. Royce, filiale de Legg Mason, gère déjà près de 1,5 milliard de dollars pour le compte sa maison mère sur des portefeuilles dédiés aux investisseurs étrangers. Le portefeuille mondial est investi dans une cinquantaine de petites capitalisations américaines et mondiales en utilisant l’approche «Quality Premier» de Royce. Les gérants sont Steven McBoyle, David Nadel, Mark Rayner et Lauren Romeo.
Gilles Roussel, Président de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM), et Cyril Garreau, Président du Groupe Keys Asset Management, ont signé une convention de partenariat afin de mettre au point ensemble des actions de formation et de recherche en lien avec l’économie immobilière et les problématiques de la ville du futur à destination des CGP-CIF et des praticiens de l’immobilier du groupe de gestion.Le projet commun s’articule autour de deux volets complémentaires: formation et recherche.Le volet formation ambitionne d’offrir aux CGP-CIF (Conseillers en gestion de patrimoine habilités à délivrer du conseil en investissement) un cycle de formation complet dont l’objectif est de leur permettre de mieux appréhender l’ensemble des dimensions (financière, juridique, technique, technologique) de l’économie immobilière et ainsi optimiser l’accompagnement de leurs clients dans la gestion de leur patrimoine immobilier. La convention prévoit :la mise en place d’un dispositif de formation qualifiante, sur Paris et en régions, pour permettre aux CGP de satisfaire à leurs obligations réglementaires annuelles de formation continue (obtention/renouvellement de la carte T). Les sessions ont débuté au T42018.la création d’un Diplôme Universitaire (D.U), Ingénierie et Management des Patrimoines Immobiliers (IMPI), la rentrée de la promotion inaugurale étant programmée pour janvier 2019.Le volet recherche vise à favoriser les échanges entre les enseignants-chercheurs de l’UPEM et les praticiens de l’immobilier du groupe Keys Asset Management. La convention a ainsi vocation à renforcer le projet I-SITE FUTURE «Inventer la ville de demain», porté par l’UPEM, qui ambitionne de produire des connaissances et diffuser des idées novatrices à l’échelle internationale, proposer des outils, des méthodes, des produits et services innovants pour répondre aux enjeux de la ville inclusive et durable. Ce rassemblement de forces constitue le premier pôle français sur la ville de demain en matière de force de recherche, de couverture disciplinaire et d’équipements d’excellence.«L’université a toujours eu cette volonté de garder une proximité avec le monde socio-économique en faisant le choix de mettre l’alternance au cœur de ses priorités, tout en investissant dans une recherche de qualité. Les besoins des entreprises en matière de formation et de recherche sont donc au cœur de nos projets. Keys AM est en complète adéquation avec la politique de l’UPEM, la labellisation I-SITE du projet FUTURE ainsi que le projet de l’université Gustave Eiffel que nous sommes en train de bâtir: véritable incubateur des évolutions à venir sur la ville de demain et notamment sur les questions immobilières», commenteGilles Roussel, président de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée, cité dans un communiqué.«Ce partenariat va nous permettre d’accroître nos capacités d’anticipation et d’adaptation dans un marché de plus en plus complexe et mouvant. Nos stratégies d’investissement adoptent déjà un horizon de gestion à 8/10 ans. L’étroite collaboration entre nos équipes de terrain et les chercheurs de l’UPEM va renforcer cette propension à nous projeter vers l’avenir et anticiper au mieux les évolutions de notre secteur d’activité», souligne pour sa partCyril Garreau, président du Groupe Keys Asset Management.
BrickVest, la plateforme d’investissement immobilier en ligne basée à Londres, vient de recruterDenis François, 69 ans en tant que directeur non exécutif. Il sera notamment en charge de la direction du comité d’évaluation du portefeuille de l’entreprise (valuation committee) et assistera BrickVest dans ses relations avec des organisations professionnelles du secteur (INREV/ AREF). Denis François a rejoint CBRE France (ex-Bourdais) en 1981 où il a travaillé pendant plus de 20 ans comme directeur général des activités de conseil en évaluation. Ilpossède une expérience de plus de 40 ans dans le conseil et l’expertise immobilière. Il a notamment conseillé des investisseurs français et étrangers, des banques, des collectivités publiques et des entreprises. Il a également eu un rôle actif dans l'élaboration de normes d'évaluation et d’information financière en Europe. Président pendant plusieurs années d’organismes professionnels français et européens, dont l’Institut français de l’expertise immobilière ou encore Tegova, il est également membre éminent de la Royal Institution of Chartered Surveyors (RICS) et diplômé de l’Institut d’Etudes politiques d’Aix-en-Province. «BrickVest est une entreprise dynamique et innovante que j’admire depuis sa création et je suis heureux de l’accompagner à cette étape décisive de sa croissance. Dans un laps de temps relativement court, BrickVest a su s’imposer comme un véritable disrupteur dans le secteur immobilier et j’ai hâte de travailler avec l'équipe pour aider l’entreprise à atteindre ses objectifs de développement», se réjouitDenis Francois dans un communiqué. Lancée en 2015, BrickVest a attiré plus de 5 000 investisseurs et 600 firmes immobilières. Basée à Londres et Berlin, Brickvest revendique la réalisation en 2017 de l’une des plus grosses séries A du secteur Proptech, auprès de BerlinHyp, premier prêteur immobilier du groupe Sparkasse, le plus grand groupe bancaire d’Allemagne.
La sociétéKyte Group LTD (Paris branch),spécialisée sur les produits dérivés indices actions et matières premières, a changé de nom courant novembre. La firme, établie en 2006,s’est rebaptisée BIP Asset Management. Sa stratégie d’investissement repose sur une technique d’arbitrage de volatilité.