GAM veterans are continuing to resurface across the industry. After the recruitment of Matthias Wildhaber by Crédit Suisse last week, Muzinich & Co has recruited Laurence Kubli, a former bond manager from GAM, as a structured credit specialist in a newly-created position. Kubli left GAM following a major restructuring last year, after more than six years at the Swiss boutique. She had previously served in a variety of positions at Clariden Leu Bank, Man Group, Merrill Lynch Capital Markets and Credit Suisse. Kubli joins Muzinich & Co to launch the first structured debt fund from the firm. She will be based in Zurich. “Asset-backed securities can help investors to diversify their portfolios, because they tend to be less correlated to bond and traditional company loans, and because they have different risk characteristics,” the new manager at Muzinich & Co explains in a statement. “The integration of asset-backed securities into our product range is an excellent complement to our current capacities, as we continue to seek new and innovative ways to achieve the investment objectives of our clients,” says Tatjana Greil-Castro, portfolio manager at Muzinich & Co.
Les anciens de GAM continuent de réapparaître au compte goutte. Après le recrutement par Crédit Suisse deMatthias Wildhaber la semaine dernière, c’est la société de gestion Muzinich & Co qui vient de recruter Laurence Kubli, ancienne gérante obligataire de GAMen tant que spécialiste du crédit structuré, un poste nouvellement créé. L’intéressée avait quitté GAM suite à la grande restructuration de l’an dernier, après plus de dix ans passés dans la boutique helvétique. Auparavant, elle a occupé divers postes à la Clariden Leu Bank, au Man Group, à Merrill Lynch Capital Markets et au Credit Suisse. Elle rejoint Muzinich & Co dans le but de lancer le premier fonds de dette structuré de la firme. Elle sera basée à Zurich. «Les titres adossés à des actifs peuvent aider les investisseurs à diversifier leur portefeuille parce qu’ils ont tendance à être moins corrélés aux obligations et aux prêts traditionnels des sociétés et qu’ils présentent des caractéristiques de risque différentes», explique la nouvelle gérante de Muzinich & Co dans un communiqué. «L’intégration de titres adossés à des actifs dans notre gamme de produits est un excellent complément à nos capacités actuelles, alors que nous continuons à chercher des moyens nouveaux et novateurs d’atteindre les objectifs de placement de nos clients»,ajouteTatjana Greil-Castro, gestionnaire de portefeuille chezMuzinich & Co.
Adam Nyström, qui gérait le plus gros fonds de Didner & Gerge avec Gustaf Setterblad, quitte la société de gestion suédoise pour une longue période, rapporte le site suédois realtid.se. Adam Nyström «doit s’absenter pendant une longue période pour des raisons familiales», indique un communiqué. Carl Bertilsson remplacera le gérant aux côtés de Gustaf Setterblad pour la gestion du fonds Didner & Gerge Aktiefond, dont les encours ressortent à 35 milliards de couronnes suédoises. Carl Bertilsson est l’un des co-gérants depuis trois ans du fonds Didner & Gerge US Small and Microcap. Lorsqu’Adam Nyström reviendra, il prendra de nouvelles fonctions au sein de la société.
La société de gestion américaine Invesco va supprimer 850 emplois considérés comme des doublons après l’acquisition d’OppenheimerFunds, affirme Citywire Americas. Ces suppressions d’emplois concerneront les employés desbureaux d’OppenheimerFunds à Denver où 850 des 1 000 salariés, évoluant dans des fonctions de support et de back office,devraient être remerciés. L’acquisition d’OppenheimerFunds, actuelle propriété de MassMutual,par Invesco (5,7 milliards de dollars en actions) doit se conclure durant le deuxième trimestre 2019. Invesco entend réaliser des économies de coûts à hauteur de 475 millions de dollars, notamment à travers des synergies.
Benoît de Brie, actuel multigérant de DNCA Investments s’apprête à rejoindre Richelieu Gestion en juin prochain, a appris NewsManagers. Contactée par la rédaction, la société DNCA Investments n’a pas souhaité faire de commentaire. «Je quitte DNCA dans deuxmois le temps de passer la main des activités de gestion (mandats et fonds de fonds)», a expliqué à la rédaction Benoit de Brie. Chez Richelieu Gestion, il sera en charge de la sélection de fonds pour la gestion privée et dudéveloppement des mandats de gestion voire de celui des fonds de fonds «en fonction des besoins», nous a-t-il précisé. Benoît de Brie travaille chez DNCA depuis 2008. Avant cela, il atravaillé pourle groupe Martin Maurel en tant que responsable de la multigestion et pour l’agence de notationEuroperformance.
Le média néerlandais FondsNieuws rapporte que la société de gestion et de conseil en investissementsEfidenz Capital Management, basée à Rotterdam, a renoncé à son indépendance pour travailler comme agentd’IBS Asset Management, société de gestion implantée à Amsterdam. L’opération demeure sujette à l’approbation du régulateur néerlandaise.
Début janvier, l’assureur espagnol Santalucía a renommé son unité de gestion d’actifs Santalucía Asset Management après avoir fusionné ses deux filiales de gestion,Santalucía Gestión etAlpha Plus Gestora. Dans un entretien au quotidien Cinco Días, le directeur général de Santalucía AM,Gonzalo Meseguer, a dévoilé les ambitions de la firme. Le dirigeant estime qu’en Espagne, la gestion d’actifs reste dominée par les banques mais que les assureurs peuvent se faire une place, n’ayant «pas subi d’atteinte» à leur réputation pendant la crise contrairement aux banques et générant «un sentiment de sécurité et de confiance» sur lequel les assureurs doivent capitaliser. Gonzalo Meseguer a taclé les banques dans l’entretien donné à Cinco Días, pointant du doigt certaines banques ayantsouscritdes fonds garantis dans lesquels les commissions facturées au client sont supérieures aurendementdes produits et se réjouissant de la nouvelle réglementation qui doit apporter plus de transparence au niveau des commissions.Selon lui, lancerun fonds qui réplique un indice et facturer des commissions à hauteur de2%est «absolument immoral». Sur les 7 millions de clients que compte Santalucía, Gonzalo Meseguer estime que 500 000 d’entre eux pourraient montrer un intérêt pour l’achat de fonds de placement ou de fonds de pension. Actuellement, le nombre de clients investis dans ces deux types de produits s'élève à 4 000. Santalucía AM gère environ 1,9 milliard d’euros dans des fonds d’investissement, dont 35% en fonds actions, 25% en fonds obligataires et le reste en fonds diversifiés et de performance absolue. A cela s’ajoutent 500 millions d’euros gérés à travers des contrats d’assurance en unités de compte et 2,25 milliards d’euros à travers des plans de pension. Gonzalo Meseguer indique à Cinco Días que 120 agents au sein deSantalucía ont déjà été identifiés pour vendre les fonds de la branche de gestion d’actifs. «Nous verrons qui est prêt à gérer les économies des clients. La moitié suit déjà un cursus de conseil financier, dispensé par la firme Afi. Nous pourrions opter pour un modèle de marketing pur, mais nous préférons opter pour un modèle de conseil plus complet, qui comprend non seulement des fonds ou des régimes de retraite, mais aussi une assurance épargne.Le plan stratégique inclut d’atteindre 450 agents», explique le directeur général de Santalucía AM.
En forte croissance, l'éditeur français de logiciels apporte au groupe américain son expertise dans les actifs illiquides. Une belle affaire pour le vendeur Bridgepoint.
Au terme d’un appel d’offres lancé en mai 2018, le fonds de pension suédois AP1 (environ 31 milliards d’euros d’encours) a annoncé avoir sélectionné 14 prestataires pour la gestion de sa poche d’actions des pays émergents, pesant quelque 45,3 milliards de couronnes suédoises (3,3 milliards d’euros) dans son portefeuille d’actifs. Les sociétés retenues sont : Aberdeen Asset Managers Limited (Standard Life Aberdeen plc), BlackRock, First State, Fisher, GMO, GQG, J.P. Morgan, KBI, Legal & General, RBC Global Asset Management, Robeco, Tobam, UBS et Wellington. «Les gestionnaires d’actifs sélectionnés garantissent au fonds une grande flexibilité, une bonne diversification du portefeuille ainsi qu’un important retour sur investissement ajusté du risque. Les gérants sont également complémentaires en termes de style d’investissement et de profils de risque», a commenté Majdi Chammas, directeur de la gestion externe d’AP1. AB.
Morningstar has appointed Jochen Thiel as head for Germany and Austria from 1 April. Thiel will be based in Frankfurt, and will report to Christian Mesenholl, head for central Europe at Morningstar. Thiel will be responsible for strategy and development of activities serving key clients, banks, advising firms, asset managers, and consultants. Thiel has over 25 years of experience in the financial services sector. He was most recently co-CEO and a member of the board of directors at Bayerische Börse AG, the operator of the Munich stock exchange. He is also a member of the advisory committee at 12Tree GmbH, an asset management firm dedicated to institutional investors which invests in sustainable agriculture in Latin America.
Morningstar vient de nommer Jochen Thiel en qualité de responsable Allemagne et Autriche à compter du 1er avril. Il sera basé à Francfort et rattaché à Christian Mesenholl, responsable Europe centrale de Morningstar. Jochen Thiel sera responsable de la stratégie et du développement des activités, auprès des grands comptes, des banques, des sociétés de conseil, des gérants d’actifs et des consultants. Jochen Thiel a plus de vingt-cinqans d’expérience dans le secteur des services financiers. Il était dernièrement co-directeur général et membre du conseil d’administration de Bayerische Börse AG, l’opérateur de la bourse de Munich. Il est également membre du comité consultatif de 12Tree GmbH, une société de gestion dédiée aux investisseurs institutionnels, qui investit dans l’agriculture durable en Amérique latine.
Les deux sociétés de gestion Aberdeen Standard Investments et J.P. Morgan Mansart Limited ont conclu un accord de coopération pour lancer un nouveau fonds, le Defensive European Equity Income Fund. Le fonds aura un capital de départ de 100 millions d’euros. Son objectif : du rendement à long terme et une protection du capital pour le compte d’investisseurs institutionnels qui devraient également bénéficier d’une réduction de la volatilité, des pertes et des exigences en capital de la directive Solvabilité II pour les assureurs européens. La stratégie sera gérée par Will James, qui pilote depuis 2009 la stratégie European Equity Income d’Aberdeen Standard Investments. La stratégie sera accompagnée d’une couverture overlay «collar», qui vise une réduction systématique du risque et qui sera pilotée par J.P. Morgan Mansart. La stratégie est transparente et basée exclusivement sur des options cotées en bourse. Will James investira principalement dans des entreprises européennes, à l’exclusion des sociétés britanniques. La priorité sera donnée aux entreprises à dividendes élevés, en progression ou sous-évalués. L’indice de référence sera le FTSE World Europe hors Royaume-Uni.
GAM will overhaul the pricing for one of its ranges of multi-asset class funds, Citywire Selector has learnt. The changes concern the MPS multi-asset class range, currently managed by Charles Hepworth and James McDaid. In an internal memo, the Swiss asset management firm states that the team will intensify its efforts to increase cost-efficiency, in order to continue to earn outperformance for clients. Commissions will be sharply reduced.GAM has also decided to add this “global” objective for all strategies in the range, as follows:GAM Star Global Defensive;GAM Star Global Cautious;GAM Star Global Balanced;GAM Star Global Growth;GAM Star Global Dynamic Growth.
GAM va revoir sa tarification pour l’une de ses gammes de fonds multi-classes d’actifs, a appris Citywire Selector. Les modifications concernent la gamme multi-classes d’actifs MPS, actuellement géré par Charles Hepworth et James McDaid. Dans une note interne, le gestionnaire suisse indique que l'équipe va intensifier ses efforts sur l’efficacité coûts afin de pouvoir continuer de dégager de la surperformance pour les clients. Les commissions devraient notamment être revues en forte baisse.GAM a également décidé de rajouter l’adjectif «global» à toutes les stratégies de la gamme comme suit :GAM Star Global Defensive;GAM Star Global Cautious;GAM Star Global Balanced;GAM Star Global Growth;GAM Star Global Dynamic Growth.
The software publisher eFront, an expert in alternative investment, will be integrated into Aladdin. Larry Fink, head of BlackRock, says that France is a key market.
BlackRock a annoncé vendredi avoir présenté une offre ferme et être en négociations exclusives pour acquérir 100 % du capital d’eFront à Bridgepoint et aux employés de la société, pour un montant de 1,3 milliard de dollars en numéraires. Fondé en 1999 par Olivier Dellenbach, eFront se présente sur son site Internet comme “le premier fournisseur de solutions logicielles dédiées à l’industrie financière ayant une expertise reconnue dans les investissements alternatifs et la gestion des risques. Les solutions eFront soutiennent les grandes entreprises des secteurs du private equity, de l’investissement immobilier, de la banque et de l’assurance». La société, qui sert 850 clients dans 48 pays, et compte 700 employés, avait été rachetée par Bridgepoint en 2015. Elle va désormais être associée à Aladdin, le système d’opérations des investissements de BlackRock utilisé par plus de 225 institutions. “Proposer les capacités de premier plan d’eFront à la communauté Aladdin va permettre aux clients d’accéder à une approche couvrant l’ensemble du portefeuille que seul Aladdin fournira”, souligne Rob Goldstein, directeur des opérations de BlackRock, cité dans un communiqué de presse. “La technologie et les alternatives liquides constituent deux piliers de la croissance de BlackRock, et cette transaction nous fournit une occasion unique d’accélérer notre positionnement dans ces deux domaines”, commente de son côté Laurence D. Fink, le président et directeur général de BlackRock. “Nous sommes particulièrement enthousiastes face à l’empreinte mondiale d’eFront, et notamment son siège à Paris qui est un marché clé en Europe continentale pour BlackRock”, affirme-t-il par ailleurs. “En tant que société de gestion mondiale, nous nous concentrons de plus en plus sur la compréhension des besoins uniques des clients au sein de chaque communauté où nous opérons. eFront renforce immédiatement notre présence et nos capacités technologiques en France, en Europe et à travers le monde”, poursuit-il. Par ailleurs, BlackRock annonce qu’il va racheter environ 3,1 millions de ses actions à un prix de 412,84 dollars par action dans le cadre d’une transaction privée. L’opération devrait être bouclée le 25 mars. A cette date, le groupe aura racheté environ 1,6 milliard de dollars d’actions en 2019 et aura atteint son niveau de rachats d’actions pour l’année.
La société de gestion Capital Croissance, bien connue pour ses fonds d’entrepreneurs, renforce son équipe d’investissement avec l’arrivée de deux analystes : Jeanne Duflot et Philibert Basquin, et d’un directeur associé, Julien Berger-Perrin. L'équipe d’investissement à Paris est désormais composée de neuf personnes. Pour renforcer sa proximité régionale avec ses investisseurs privés et les équipes de management, Capital Croissance ouvre également un deuxième bureau régional, à Lille, après Aix-en-Provence il y a un an. Augustin Motte sera chargé d’animer cette nouvelle antenne. Ce début d’année est aussi l’occasion pour Capital Croissance de structurer son middle et back office avec l’arrivée d’une secrétaire générale, Sophie Peyroutet. «C’est une étape importante pour Capital Croissance qui renforce ainsi considérablement ses moyens humains pour amplifier sa force de frappe en matière d’investissement, d’accompagnement sur-mesure des managers, et de services pour notre club d’investisseurs privés», a commenté Eric Neuplanche, président-fondateur de Capital Croissance. Enfin, parallèlement à ces recrutements, Maxime Peronnin, présent au sein de l'équipe depuis cinq ans, est promu directeur de participations et Cédric Boxberger, associé historique de la société de gestion depuis sa création en 2012, se voit confier la responsabilité transversale d’optimiser, et de coordonner le deal-flow de l'équipe et les relations avec les apporteurs d’affaires. Julien Berger-Perrin, 41 ans, a débuté sa carrière chez KPMG puis a rejoint le département «Transaction Services» de PWC avant d’intégrer les équipe de Cobalt Capital en 2007 où il était directeur.Sophie Peyroutet, 32 ans, a notamment travaillé chez Ardian et CM-CIC Caital Privé au contrôle interne avant d’intégrer le pôle «relations investisseurs» chez Omnesen 2015. Augustin Motte, 36 ans, a début sa carrière dans une société de gestion alternative en Californie où il a évolué pendant huit ans, puis a rejoint un fonds de fonds en Suisse, Signet Capital. Après deux ans en Suisse, il a racheté une PME dans le secteur des loisirs. Jeanne Duflot, 25 ans, a acquis une première expérience chez Associés en Finance puis chez Naxicap Partners et LGT European Capital. Enfin, Philibert Basquin, 25 ans, a fait ses premières armes chez 8Advisory et Deloitte avant de rejoindre Capital Croissance.
Farad Group lance le Water Security Fund, le premier fonds actions non thématique au monde qui vise à atteindre l’objectif #6 des objectifs de développement durable promus par les Nations unies: «eau propre et services hygiéniques sanitaires disponibles pour tous», rapporte Funds People Italia. Le fonds répliquera le Limeyard Water Risk US 50 Index, le premier indice créé ad hoc par Limeyard, basé sur l’exposition au risque hydrique de nombreuses sociétés cotées dans le monde. Water Security Fund sera un compartiment de la plate-forme Magnetica SICAV-RAIF, née en 2017 et gérée par Selectra Management Company, société de création, de gestion et de distribution des fonds du groupe Farad. Le fonds sera ouvert aux souscriptions à partir du deuxième trimestre 2019. Le ticket d’entrée sera de 125.000 euros. Le fonds sera aussi certifié LuxFlag.
The Swiss online bank Swissquote, known largely for its crypto-currency activities, has announced that it has completed its acquisition of the Luxembourg bank Internaxx. At a release of its 2018 results, the Swiss firm said that it received permission from the European Central Bank and the Luxembourg financial sector surveillance commission (CSSF) on 6 March this year. “The acquisition of Itnernaxx gives Swissquote unlimited access to European markets, and further strengthens its position as a preferred provider of online investments to institutional and private clients. The range of services from Internaxx will be enriched by a wider range of products and access to new investment platforms,” the firm says in a statement.
La banque en ligne suisse Swissquote, connue notamment pour son activité sur les cryptomonnaies, a annoncé la finalisation du rachatde la banque luxembourgeoise Internaxx. À l’occasion de la publication de ses résultats 2018, l'établissement helvétique avait indiqué avoir reçu l’autorisation de la Banque centrale européenne et de la CSSF (Commission de Surveillance du Secteur Financier) au Luxembourg le 6 mars dernier. «L’acquisition d’Internaxx donne à Swissquote un accès illimité aux marchés européens et renforcera encore sa position de fournisseur privilégié d’investissements en ligne pour les clients institutionnels et privés. L’offre de services d’Internaxx s’enrichira d’une gamme élargie de produits et d’un accès à de nouvelles plateformes d’investissement», précise la société dans un communiqué.
La société de gestion et d’investissementAllianceBernstein a obtenu la labellisation ISR de deux fondsaxés sur le développement durable : AB Sustainable Global Thematic Portfolio et AB Sustainable US Thematic Portfolio. La stratégie des deux fondss’aligne exclusivement sur les Objectifs de Développement Durable des Nations unies (ODD) qui proposent une définition complète du développement durable et mettent en évidence des domaines clés d’opportunité pour les entreprises du secteur privé. «Chaque entreprise en portefeuille doit contribuer directement à la réalisation d’un ODD au moins, et être validée par une analyse minutieuse de ses pratiques environnementales, sociales et de gouvernance», explique la société. «Chez AllianceBernstein, l’intégration ESG fait partie du processus d’investissement. Les fonds Sustainable Thematic vont au-delà, en sélectionnant uniquement des entreprises qui contribuent à l’atteinte des ODD. Lors de nos discussions avec nos partenaires et clients, notamment les assureurs pour leurs contrats en unités de compte, le besoin pour des fonds labellisés est apparu clairement. Nous avons souhaité répondre à ce besoin, en particulier pour les actions américaines où seulement deux autres fonds ont reçu le label ISR», indiqueOlivier Herson, vice president of retail and institutional sales France. La société gère actuellement547 milliards de dollars.
La société de gestion indépendante Capzanine,soutenue par le groupe AXA, et spécialiséedans les midcaps, annonce le renforcement de son équipe de direction avec la nomination de Renaud Tourmente au poste de directeur du développement, à compter du 6 mai 2019. Renaud Tourmente rejoint l'équipe en qualité d’associé et sera membre du comité exécutif. Dans cette fonction, ilcontribuera au développement international de Capzanine, poursuivra la diversification des produits de dette, et poursuivra le renforcement des liens avec les investisseurs. Son rôle comprendra également l'élaboration de nouveaux produits complémentaires à l’offre existante, développés organiquement et/ou par acquisition. Renaud Tourmente bénéficie de 20 ans d’expérience dans le secteur de l’investissement. Avant de rejoindre Capzanine, il codirigeait la plateforme internationale Loans & Private Debt chez AXA IM où il a développé une solide connaissance des classes d’actifs alternatives et en particulier des stratégies illiquides. Il avait précédemment exercé des responsabilités au sein de BNP Paris et West LB France, principalement depuis Londres. Il a également siégé aux conseils d’administration de la plateforme AXA IM Structured Finance et de la Loan Market Association à Londres. Laurent Bénard, directeur général de Capzanine, déclare : « Nous sommes très heureux d’accueillir Renaud Tourmente au sein de notre équipe. Renaud est un professionnel de l’investissement éminemment respecté qui comprend parfaitement Capzanine. Sa nomination est le résultat de nombreuses années de collaboration et de confiance mutuelles dans le cadre de la relation avec AXA. Son arrivée renforcera significativement notre équipe dans le cadre du développement actuel de notre plate-forme en France et en Europe continentale ». Capzaninegèreplus de 2,4 milliards d’euros d’actifs à fin 2018 à travers quatrestratégies d’investissement.
L’Anacofi, la Chambre Nationale des Conseillers en Investissements Financiers (CNCIF)et La Compagnie des CGPI ont annoncé dans un communiqué commun leur volonté d’unirleurs forces pour faire mieux connaître le métier de conseiller en gestion de patrimoine (CGP). Pour cela, les trois associations ont décidé d’un plan de communication commun, venant en complément de leurs actions propres, en direction des épargnants particuliers et professionnels. Cette action qui va, selon les associations, «recouvrir de nombreux moyens de promotion», fait suite à une demande unanimement exprimée par les professionnels lors de la dernière convention Patrimonia. «L’objectif de ce front commun sera triple : faire connaître davantage le métier de CGP, faire apprécier sa dimension forte en matière de conseil, et démontrer qu’un accompagnement dans la gestion et l’optimisation du patrimoine s’adresse au plus grand nombre», expliquent les trois associations. La future campagne de communication cross canal ciblera donc tant les particuliers, qui sont amenés à consulter le CGP pour leur patrimoine individuel familial, que les chefs d’entreprises pour leur patrimoine professionnel. Cette initiative, à laquelle d’autres organisations pourront, si elles le souhaitent se joindre ultérieurement, permettra «aux CGP d'être mieux identifiés et a vocation à rassembler la profession autour d’une action commune qui vise à renforcer l’image positive de la profession», concluent l’Anacofi, la CNCIF et la Compagnie des CGPI.
À l’occasion de la publication de son rapport annuel 2018 ce vendredi 22 mars, le Credit Suisse a dévoilé la rémunération de son management et notamment de son CEO Tidjane Thiam. Ainsi, l’an dernier, le patron de la banque privée suisse a émargé à 12,7 millions de francs suisses au total, soit une augmentation de 30 % par rapport à 2017 (9,7 millions). Dans le détail, la rémunération fixe du CEO a diminué de 3,5% sur un an, à 3,35millions de francs suisses quand sa part variable a elle bondi pour s'établir à 9,3millions contre 6,23millions en 2017. Dans son rapport annuel, la banque helvétique justifie cette augmentation par «le dépassement des objectifs de performance fixés pour la période sous revue». À titre de comparaison, en 2018,le patron d’UBS,Sergio Ermotti, a touché 14,1millions de francs suisses au total et BernardHodler, CEO de Julius Baer, a perçu quelques 6,16millions de francs. Pour rappel, en conformité avec les exigences de l’Ordonnance contre les rémunérations abusives dans les sociétés anonymes cotées en bourse (ORAb), les actionnaires votent séparément et avec force obligatoire, lors de l’Assemblée générale, sur la rémunération globale du conseil d’administration et du directoire. Pour 2018, les actionnaires de Credit Suisse ont approuvéla rémunération du conseil d’administration sur une base annuelle, lors d’un vote prospectif pour la période allant jusqu’à la prochaine assemblée générale ordinaire des actionnaires, c’est-à-dire jusqu’à l’Assemblée générale 2020. Le conseil d’administration a proposéaux actionnaires d’approuver une rémunération totale maximale du conseil d’administration de 12 millions de francs suisses. En outre, les actionnaires approuvent la rémunération du directoire sur une base annuelle. La rémunération se compose des éléments suivants: rémunération fixe, rémunération incitative variable à court terme et rémunération incitative variable à long terme. Pour l’assemblée générale 2019, le conseil d’administration a proposéaux actionnaires d’approuver le montant total de 30,6 millions de francs suisses lors d’un vote rétrospectif pour la rémunération incitative variable à court terme de l’exercice 2018, ainsi que le montant total de 30,2 millions de francs pour la rémunération incitative variable à long terme du directoire pour l’exercice 2019 avec une opportunité maximale de 57,5 millions de francs. Le conseil d’administration a proposéque les actionnaires approuvent un montant total maximal de 31 millions de francs pour la rémunération fixe du directoire pour la période allant de l’assemblée générale 2019 à l’assemblée générale 2020.
Equity funds continue to be unpopular on financial markets. After net inflows of over $14bn in the week ending on 13 March, equity funds on global markets have seen net outflows of $20.7bn in the week to 20 March, according to a weekly study by Bank of America Merrill Lynch, based on data from the global flow evolution monitoring specialist EPFR Global. Since the start of the year, emerging market credit and debt have led the dance, with approximately $63bn in net inflows. The exception is emerging market equities, which have seen $15bn in inflows since the beginning of the year, while US, European and Japanese equities have seen cumulative net outflows of $82bn. The situation in Europe as Brexit looms has not encouraged investors to be optimistic, and funds dedicated to European equties have seen outflows of $4bn. US equity funds, which had seen over $25bn in inflows one week earlier, finished the week with net outflows of $13bn. Meanwhile, funds specialised in Japanese equities had a sixth consecutive week of outflows, totalling $0.7bn. In bond markets, appetite for returns continues to mobilise investors. In all categories combined, bonds attracted $12.1bn, the highest total since January 2018. High yield bond funds in particular have seen net inflows of $3.2bn. Emerging market debt has seen a tenth week of positive net inflows, totalling $1.2bn. Funds dedicated to MBS saw $0.3bn in subscriptions, for an eleventh consecutive week in positive territory.
Union Investment a annoncé ce 22 mars l’acquisition d’un immeuble de bureaux, au 40, rue du Louvre, dans le premier arrondissement de Paris, auprès d’Oreima, une société spécialisée dans l’investissement immobilier. La transaction a été réalisée pour le compte du fonds immobilier ouvert Unilmmo:Deutschland. L’immeuble, entre autres HQE, BREEAM, BBC, développe 9.700 mètres carrés, dont 7.500 mètres carrés de bureaux. Le montant de la transaction n’a pas été divulgué. Union Investment détient désormais une vingtaine d’objets immobiliers commerciaux valorisés à environ 3 milliards d’euros, et pour la plupart basés à Paris.