La Française a annoncé avoir complétéson équipe de distribution à Francfort avec le recrutement de Thorsten Rauch en qualité de directeur des ventes pour les segments retail et wholesale. Dans ses nouvelles fonctions qu’il assume depuis le début du mois, Thorsten Rauch doit installer les expertise d’investissement de La Française dans l’obligataire, la performance absolue et le développement durable sur les marchés allemand et autrichien. En juillet dernier, l'équipe de distribution avait perdu l’unde ses membres, Uwe Bachert, qui a rejoint la boutique d’investissementDiscover Capital. Thorsten Rauch travaillait précédemment chez Bantleon en qualité de chargé de clientèle en charge des partenaires distributeurs en Allemagne et en Autriche. Fin septembre, Thorsten Rauch avait quitté la société de sa propre initiative. Au cours des vingt dernières années, Thorsten Rauch a également travaillé pour Smart-Invest, AXA Investment Managers et Deutsche Investment Trust, devenu par la suite Allianz Global Investors.
Le directeur général pour la France de JPMorgan AM, Pietro Grassano, a quitté la société, a appris vendredi Newsmanagers. Ce dernier était en poste depuis septembre 2014. L'équipe de distribution de fonds française sera désormais rattachée à Nicolas Deblauwe, managing director en charge de la distribution de fonds pour le Benelux. Pietro Grassano va poursuivre de son côté une nouvelle opportunité en dehors de JPMorgan AM, a précisé la société.
Selon nos informations, le directeur général pour la France de JPMorgan AM, Pietro Grassano, a quitté la société. Ce dernier était en poste depuis septembre 2014. L'équipe de distribution de fonds française sera désormais rattachée à Nicolas Deblauwe, managing director en charge de la distribution de fonds pour le Benelux. Pietro Grassano va poursuivre de son côté une nouvelle opportunité en dehors de JPMorgan AM, a précisé la société. «Nous sommes confiants dans le fait de posséder de nombreux talents en interne. Ces changements n’ont pas d’impact sur la gestion des fonds», a également indiqué la société de gestion à Newsmanagers. Avant de rejoindre Paris, Pietro Grassano a travaillé une dizaine d’années pour JPMorgan AM en Italie, où il fut notamment directeur des ventes de fonds entre 2012 et 2014. Auparavant, ce diplômé de Bocconi a travaillé chez Andersen Consulting (1997-2000) et BNP Paribas AM (2000-2002).
A l’occasion du Global Invest Forum organisé les 10 et 11 octobre dans le cadre de l’Invest Week Paris, L’Agefi a remis jeudi soir ses Global Invest Sustainable Awards. Ces prix récompensent cette année les acteurs européens les plus engagés pour la prise en compte des enjeux sociaux (au sein des critères ESG). Plus précisément, ils distinguent les initiatives prises sur tous ou un des trois axes suivants : gender equality (égalité des sexes), inclusion & integration (représentativité des minorités ethniques), ending poverty (lutte contre la pauvreté et les déserts territoriaux).
Une avocate de Pimco a porté plainte pour discrimination de genre et raciale contre la société de gestion, rapporte le Financial Times. Elle estime avoir été mis de côté en termes de promotions et qu’on lui a refusé des opportunités de carrières après qu’elle est tombée enceinte. Andrea Martin Inokon, qui est afro-américaine, estime dans sa plainte déposée le 24 septembre devant une cour supérieure de Californie que Pimco a agi avec «fraternité au sens pervers du terme». En se basant sur son expérience à Newport Beach, le siège de la société, elle affirme que les dirigeants mâles encouragent la boisson et la fraternisation à des clubs de strip tease, lors de sorties au golf ou de nuits de poker» et que cette culture d’entreprise influence les décisions personnelles. Andrea Inokon, qui travaille pour Pimco depuis huit ans et est toujours employée, dit avoir été exclue de certaines positions dirigeantes en faveur d’hommes moins qualifiés en raison de sa race, de son genre et de sa grossesse.
Les médias espagnols, dont El Confidencial et Diario 16, ont rapporté divers éléments relatifs à la position dugestionnaire obligataire californienPimco vis-à-vis de de l’ex-institution financière espagnoleBanco Popular, rachetée pour un euro par Santander en juin 2017 via le mécanisme de résolution unique de l’Union européenne. Le journal El Confidencial explique ainsi qu’un rapport dePimco accuse la direction de l’ancienneBanco Popular d’avoir maquillé ses comptes entre 2008 et 2016. Quant au site Diario 16, il relate un courrier électronique envoyé par un responsable de Pimco à la direction de Popular àla veille du début du processus de résolution, soit le 1er juin 2016. Dans cet email envoyé à Carlos Berastain, alors directeur des relations avec les investisseurs de Popular,Pimco disait privilégier une augmentation de capital plutôt qu’une résolution. Aussi la gestion de la firme, notamment le manque d’engagement de la direction, y est-elle décrite comme «extrêmement frustrante et difficile à comprendre» par le gestionnaire américain, qui était le principal détenteur d’obligation CoCos de Popular.
L'univers de la gestion d’actifs en Europe devra se rationaliser pour faire face à un marché institutionnel lui-même de plus en plus concentré,a-t-on pu entendre de la part de grands CEO au GIF Paris.
L’opérateur de la Bourse suisse SIX et la Bourse de Shenzhen (Shenzhen Stock Exchange, SZSE) ont signé ce 10 octobreun protocole d’accord. L’objectif est de rapprocher les investisseurs et les entreprises des deux pays et de permettre d’élargir les possibilités de levée de capitaux. «Ce protocole d’accord entre SIX et SZSE s’inscrit dans la longue et étroite relation qui unit la Chine et la Suisse», selon uncommuniqué. La relation s’est intensifiée depuis la signature de l’accord de libre-échange entre les deux pays en 2013 et de l’accord monétaire entre la Banque nationale suisse et la Banque populaire de Chine en 2014. SIX et SZSE entendent développer un portail de partage de savoir-faire et d’extension des réseaux de clientèle, et étudier les possibilités de soutien aux financements transfrontaliers et de coopération en matière de recherche, précise le communiqué.
Le média Funds People, se basant sur les chiffres du régulateur financier espagnol CNMV, rapporte que la part d’investissement des fonds espagnols dans lesfonds d’investissementétrangersn’a jamais été aussi élevéequ’en 2019. Les données de la CNMV montrent en effet qu'à la fin du premier trimestre 2019, quelque 70,9 milliards d’euros étaient investis par les fonds espagnolsdans les fonds d’investissement étrangers, soit 8% de plus qu'à fin décembre 2018. Au total, à fin mars 2019, les fonds d’investissement étrangers représentaient 26% du patrimoine total des fonds espagnols, qui s'élevait à 268,36 milliards d’euros.
La ManCo luxembourgeoise FundRock, dirigée par l’ancien secrétaire général adjoint de l’AMF Xavier Parain et dont les actifs administrés dépassent les 90 milliards d’euros, a annoncé ce 10 octobre la nomination de Lee Marshallen qualité de chief transformation officer (CTO) et directeur des clients stratégiques du groupe. Ces nouvelles fonctions devraient permettre d’accélérer la mise en oeuvre des priorités stratégiques et d’optimiser l’intégration des opérations dans de multiples juridictions. La société a notamment ouvert en mai dernier un bureau à Singapour pour mieux servir les gestionnaires de fonds asiatiques implantés en Europe, en forte augmentation, et augmenter sa base de clientèle. Lee Marshall a plus de vingt ans d’expérience en tant que dirigeant opérationnel dans la transformation, l’ingénierie, la conduite des opérations et les produits. Il rejoint FundRock en provenance de MasonBower où il était responsable des opérations (COO). Il a auparavant passé six années chez Kneip où il a été COO et responsable des opérations et des infrastructures des technologies de l’information et de la communication (ICT) et quatorze ans chez J.P. Morgan Bank où il était senior product manager de l’entité dédiée à l’administration de fonds européenne.
Le directeur général de Fisch Asset Management, Philipp Good, a décidé de se retirer de la gestion du fonds Fisch Bond EM Corporates Defensive, a appris Citywire Selector. Il s’agissait du dernier rôle de gérant qu’il avait conservé. La gestion est désormais entièrement entre les mains de Meno Stroemer. Philipp Good avait déjà abandonné la gestion de deux fonds obligataires en 2016.
En réponse à l’appel du président Emmanuel Macron lors du France Digitale Day, le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) s’engage à investir 500 millions d’euros d’ici 2022 dans des fonds français de late stage/growth (actifs non cotés) et dans des fonds global tech gérés en France, dédiés à l’investissement dans des entreprises technologiques cotées. Ces montants s’ajoutent au programme de 2 milliards d’euros pour le financement de l’économie française (capital investissement, dette non cotée, immobilier et infrastructures) lancé en 2015 par le FRR et aujourd’hui largement investi.
AllianceBernstein lance un fonds en exclusivité pour Banca Generali, rapporte Bluerating. Ce fonds viendra s’ajouter à l’offre disponible au sein de la plate-forme en architecture ouverte de Banca Generali. 2.000 conseillers financiers y ont accès. La nouvelle stratégie s’appelle Lux IM – AB Amalia. Il s’agit d’une stratégie multi-asset investie sans contrainte sur les obligations, les actions, l’immobilier et les placements alternatifs.
Merian Global Investors a annoncé ce 10 octobre avoir acquis la branche de gestion multi-classes d’actifs de Kestrel Investment Partners. Cette équipe, qui gère le Kestrel Global Portfolio de 151 millions de dollars d’encours, intégrera Merian en décembre 2019. Le fonds, qui poursuit une stratégie global macro, sera renommé dans la foulée. Le deal implique le transfère d’une équipe de 6 personnes, dont John Ricciardi, le gérant principal et responsable du desk, qui a cofondé Kestrel en 2011. Il sera rattaché au directeur général de Merian, Mark Gregory. Les autres membres de l'équipe sont Ian Forrest et Dan Matthews, tous les deux gérants, ainsi que Ravi Kishore Booka et Sarath Kotamarthi, analystes quantitatifs, et Pramila Prasingu, développeuse pour le desk.
La Financière de l’Échiquier (LFDE) a annoncé la nomination de Michael Ruppenthal, en tant que head of business development, auprès de John Korter, country manager pour l’Allemagne et l’Autriche. Michael Ruppenthal est en charge du développement commercial de la société de gestion sur ce territoire. Installée en Allemagne depuis 2007 et présente en Autriche depuis 2015, LFDE commercialise aujourd’hui en Allemagne des fonds actions,diversifiés, convertibles et alternatifs à destination des distributeurs et des investisseurs institutionnels. Michael Ruppenthal était précédemment deputy head of business development Germany d’Ethenea. Avant cela il a auparavant travaillé pour Axa Services (2002-2007), Axa IM (2008-2010) et BNP Paribas Investment Partners, à Francfort. Michael Ruppenthal dispose notamment des certifications internationales Certified International Investment Analyst (CIIA) et Certified European Financial Analyst (CEFA).
En réponse à l’appel du président Emmanuel Macron lors du France Digitale Day, le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) s’engage à investir 500 millions d’euros d’ici 2022 dans des fonds français de late stage/growth (actifs non cotés) et dans des fonds global tech gérés en France, dédiés à l’investissement dans des entreprises technologiques cotées.
Amundi a annoncé ce 10 octobrel’arrivée d’Alexandre Denby Wilkes et de Mathieu de La Rochefoucauld en tant que directeurs associés d’Amundi Private Equity Fund (Amundi PEF). Alexandre Denby Wilkes a commencésa carrière comme administrateur judiciaire collaborateur. En 2005, il rejoint l’investissement non coté en intégrant le fonds UFG Private Equity. Il y effectue des investissements en capital développement et capital transmission dans les PME. En 2009, il participe à la création du fonds d’investissement HLD, aux côtés de Jean-Bernard Lafonta, en tant que directeur associé. Il y réalise pendant 8 ans des opérations majoritaires et minoritaires dans des entreprises valorisées entre 30 et 500 millions d’euros. Puis il devient fin 2016 associé de la holding d’investissement Enthéos, spécialisée dans l’investissement en capital développement et capital transmission Small Cap. Mathieu de La Rochefoucauld a commencésa carrière en fusions acquisitions chez SG Hambros à Londres. Il rejoint l’équipe de capital investissement en nouvelles technologies chez SG Asset Management à Paris en 2000 et devient directeur associé en 2008. En 2011, il intègre l’équipe d’Amundi Private Equity Funds en charge des dossiers digitaux comme Sarenza, KDS, Netasq et TO DO TODAY. En 2017, il participe au lancement de Supernova Invest, joint-venture entre Amundi et le CEA. Membre du directoire, il s’occupe plus particulièrement de la mise en place du fonds Crédit Agricole Innovations et Territoires et réalise les premiers investissements du fonds dans des sociétés technologiques comme Robocath ou Afyren.
Après avoir annoncé récemment le lancement du fonds thématique G Fund Future for Generations, Groupama Asset Management poursuit le développement de son offre de solutions d’investissement responsable avec G Fund Global Green Bonds. Construitsur une gestion obligataire active incluant une sélectivité rigoureuse des émetteurs, G Fund Global Green Bonds investira principalement sur des titres obligataires «Green Bonds» («obligations vertes») ̶ 80 à 100% de l’actif net du fonds ̶ de toutes zones géographiques. Ce nouveau fonds a pour philosophie l’accompagnement des émetteurs dans leur dynamique de transition énergétique et écologique (par exemple: énergies renouvelables, contrôle de la pollution, transports propres, gestions des déchets, préservation de l’eau…) tout en visant la génération de performances financières. Pour y parvenir, l’équipe de gestion procède à une analyse fine de chaque émission en combinant étroitement critères financiers et extra-financiers. L’allocation active des différents moteurs de performance aboutit à une stratégie obligataire diversifiée. «Au regard du défi énergétique et écologique auquel nous sommes confrontés, nous souhaitions proposer une solution d’investissement obligataire qui soit en ligne avec les engagements et convictions historiques de Groupama Asset Management: non seulement en matière d’ESG, mais aussi en matière de performance financière à long terme pour nos clients-investisseurs», a commentéMarie-Françoise Giraud, gérante du fonds. Dans le détail, la sélection des titres s’appuie sur les principes d’éligibilité définis par Groupama Asset Management, appliqués aux caractéristiques du titre et de l’émetteur. L’équipe de recherche interne analyse ainsi les critères extra-financiers portant sur l’émission, à l’aune de la traçabilité et de la gestion des capitaux, du processus de sélection des projets et du respect des critères définis par les «Green Bond Principles», l’émetteur, à l’aune de sa performance ESG, la qualité environnementale des projets,et enfin, la transparence de l'émetteur et des projets. Le processus de gestion combine approches directionnelle, de valeur relative et assurantielle, en capitalisant sur 6 moteurs de performance: «allocation géographique», «allocationdirectionnelle taux et courbe de taux», «Allocation classes d’actifs taux et crédit», «bond-picking» (sélection des titres), «stratégies swap / inflation» et, enfin, «exposition aux devises». «Nous avons conçu G Fund Global Green Bonds comme une stratégie multi classes au sein des actifs obligataires (par exemple corporate, crédit, état …), ancrée dans un univers d’investissement mondial. A travers notre approche d’investissement dynamique et les moteurs de performance du fonds, notre objectif est de générer des performances quels que soient les cycles de marché», a expliqué Julien Moutier, responsable gestion de taux directionnelle et Aggregate. L'équipe de gestion s’engage notamment à publier un rapport mensuel détaillé auprès des investisseurs, indiquant entre autres l’évolution de l’empreinte carbone du fonds, de la part d’obligations vertes en portefeuille et des caractéristiques extra-financières des principales lignes d’exposition. A noter enfin que Groupama AM prévoit de faire une demande pour l’obtention du label GreenFin début 2020.
La Française Real Estate Managers (REM) a annoncé ce 10 octobre l’acquisitionen VEFA, auprès de Kaufman & Broad, d’une résidence de tourisme 4 étoiles sous enseigne Adagio. Située à proximité des bâtiments historiques de l’Hôpital La Grave, dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse, cette résidence, dont la livraison est prévue au premier trimestre2022, développera 114 appartements de nouvelle génération pouvant accueillir de 2 à 4 personnes. Elle bénéficiera d’une salle de sport, d’espaces communs conviviaux ouverts sur la ville et de 20 emplacements de stationnement. Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le cabinet KPMG ; Kaufman & Broad a été conseillé par l’étude du Boulevard Leclerc.
Ardian a annoncé ce 10 octobreavoir acquis une participation dans Saal Digital. Basée à Siegen, en Allemagne, l’entreprise est l’un des principaux fabricants de produits photo haut de gamme en Europe. Le montant de l’opération n’a pas été divulgué. En collaboration avec Ardian, l’entreprise souhaite développer ses activités et ainsi réaliser son potentiel de croissance «important», explique un communiqué. Les anciens actionnaires de Nordwind Capital et la famille Saal continueront à détenir une participation substantielle dans la société et ont réinvesti de manière significative au cours de la transaction, sans toutefois qu’aucun chiffre ne soit transmis. Florian Stellwag et Robin Saal continueront à diriger le développement commercial en tant que membres de l'équipe de direction aux côtés de Reinhard Saal et Tim Saal.
Une équipe de gérants a quitté Kairos, la filiale italienne de Julius Baer, pour créer un hedge fund actions, rapporte Bloomberg. Federico Riggio, Michele Fiumara, David Grazzini, Vittorio Villa et Flavio Russo, qui supervisaient le fonds Kairos Pegasus, sont partis fin septembre, selon des sources bien informées. La nouvelle société, Helikon Investments, aura des bureaux à Londres et à Milan. L’équipe se fera agréer auprès de la Financial Conduct Authority avant la fin de l’année et espère lancer le fonds en avril avec au moins 500 millions d’euros. L’objectif est de lever 1 milliard d’euros, selon ces sources. Federico Riggio, qui était en charge de la stratégie Kairos Pegasus, sera directeur des investissements de la nouvelle société. Paul McLenrnon, un ancien de Pacific Asset Management, Pensato Capital et Goldman Sachs Group, sera directeur des opérations.
En réaction aux annonces récentes des grands courtiers en ligne américains, le gestionnaire d’actifs Fildelity a renoncé ce jeudi à ses commissions commissions sur l’achat d’actions américaines, de fonds indiciels cotés (ETF) et de options. L’offre concerne les clients particuliers de sa plate-forme de négociation sur internet et sera étendue aux investisseurs professionnels en novembre.
En réponse à l’appel du président Macron lors du «France Digitale Day», leFonds de Réserve pour les Retraites (FRR)s’engage àinvestir 500 millions d’euros d’ici 2022 dans des fonds français de late stage/growth (actifs non cotés) et dans des fonds «global tech"gérés en France, dédiés à l’investissement dans des entreprises technologiques cotées. Ces montants s’ajoutent au programme de 2 milliards d’euros pour le financement de l’économie française (capital investissement, dette non cotée, immobilier et infrastructures) lancé en 2015 par le FRR et aujourd’hui largement investi.
Le gestionnaire alternatif américain KKR a annoncé la nomination de Jorge Lluch en tant que directeur de la firmeavec un focus sur le private equity en Espagne. Il prendra ses fonctions le 4 novembre au sein de l'équipe du non-côté pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique et sera rattaché àIñaki Cobo, responsable de l’Espagne et de l’Europe du Sud. Il a aura également en chargela coordination des autres plateformes d’investissement de KKR en Espane et au Portugal (infrastructures, immobilier et crédit). Jorge Lluch était auparavant directeur adjoint chezAdvent International.
Le hedge fund de Boaz Weinstein, Saba Capital Mangaement, a subi un revers dans son conflit avec Neuberger Berman Group pour obtenir davantage de pouvoir dans un des fonds de Neuberger, rapporte le Wall Street Journal. Saba Capital a proposé des changements sur lesquels les actionnaires du fonds ont voté la semaine dernière. Saba a déclaré avoir obtenu davantage de votes que Neuberger sur ses trois propositions, ce que Neuberger admet. Mais Saba a obtenu seulement une victoire: permettre au fonds d’envisager une offre publique d’achat visant à racheter des actions.Les deux sociétés sont en désaccord concernant le reste des résultats. Saba est un hedge fund qui prend des positions importantes dans les fonds fermés et essaie d’imposer des changements, comme un remaniement des conseils d’administration. Les sociétés de gestion résistent souvent. Les fonds fermés détiennent des titres et, comme les ETF, sont cotés sur une Bourse. Mais alors que les ETF suivent le prix des titres sous-jacents, ce n’est pas le cas des fonds fermés. Le fonds Neuberger se négocie avec une décote. Saba espère profiter du rapprochement du prix du fonds avec la valeur des actifs sous-jacents.
Le Fonds Européen d’Investissement (FEI),la branche de Private Equity de la Banque Européenne d’Investissement (BEI),et Kepler Cheuvreux, vont coopérer dans le cadre d’un fonds de fonds européen de Private Equity, dont le FEI est l’investment advisor. La coopération s’appuie sur deux éléments.D’une part, le FEI apporte son expérience dans le domaine du Private Equity et du Venture Capital. Les rendements des portefeuilles du FEI investis dans le Venture Capital Technology, dans le Venture Capital Life Sciences et dans le Growth Capital ont dégagédes rendements à deux chiffres sur les périodes de 3, 5 et 10 ans, assure un communiqué. D’autre part, Kepler Cheuvreux met à disposition sa plateforme de distribution et son organisation multi locale avec 12 bureaux en Europe et «l’un des plus larges réseaux clients».
Fidelity Investments a supprimé les commissions de transactions de son activité de courtage en ligne, rapporte le Wall Street Journal. La société s’aligne ainsi avec la décision prise par ses principaux concurrents la semaine dernière. A compter de jeudi, Fidelity cesse de facturer aux investisseurs individuels des commissions sur les transactions en ligne d’actions, ETF et options aux Etats-Unis. Pour les conseillers en investissement, les commissions seront réduites à zéro le 4 novembre. Le courtier en ligne de Fidelity a 21,8 millions de comptes. Avant jeudi, il facturait 4,95 dollars pour les transactions d’actions en ligne.