P { margin-bottom: 0.08in; } VAM Funds, a fund management firm domiciled in Luxembourg, is opening its UCITS IV platform (including marketing and administration services) to retail and institutional asset management firms, Investment Europe reports. The firm estimates that this could help small asset management firms manage the weight of regulations and administration as well as extend their sales.
Palatine Asset Management est la filiale de la Banque Palatine, l’une des galaxies de l’univers du groupe Banques Populaires Caisses d’Epargne (BPCE). Dominique Hartog, président du directoire de la structure parisienne, évoque pour Newsmanagers le retour des institutionnels sur les classes d’actifs plus risquées ainsi que les ambitions de la société de gestion à l’international. Notamment en Suisse où Palatine AM vise tout particulièrement les sociétés de gestion.
Esemplia, la société de gestion dédiée aux marchés émergents mondiaux appartenant à Legg Mason Global Asset Management, a recruté deux personnes, rapporte Fund Web. Il s’agit de Steve Triantafilidis, nommé principal et responsable des investissements, et de Michael Bourke, gérant des stratégies long-only.Le premier travaillait précédemment chez Vontobel Asset Management en tant que managing director et responsable des actions monde. Michael Bourke était chez FPP Asset Management, en tant qu’associé et gérant marchés émergents.
Selon Bloomberg, les rentrées nettes de la banque privée de BNP Paribas en 2012 ont doublé à 7,5 milliards d’euros grâce à la clientèle chinoise, singapourienne, indonésienne et malaisienne. Vincent Lecomte et Sofia Merlo, les deux co-dirigeants du pôle, espèrent doubler les encours et les recettes en Asie sur les trois à cinq prochaines années, mais l'établissement français compte se développer aussi en Turquie, en Pologne et au Maroc en attirant les particuliers très haut de gamme disposant d’au moins 25 millions d’euros d'épargne financière.
VAM Funds, la société de gestion de fonds domiciliée au Luxembourg, ouvre sa plate-forme Ucits IV (incluant des services de marketing et d’administration) aux sociétés de gestion retail et institutionnelles, rapporte Investment Europe.La société estime que cela pourrait aider les petites sociétés de gestion à gérer le poids de la réglementation et de l’administration ainsi qu’à élargir leur distribution.
La banque privée suisse Julius Baer envisage de doubler son effectif en Asie pour le porter à plus de 1.000 d’ici à 2015, a indiqué le CEO de l'établissement, Boris Collardi, dans un entretien au quotidien chinois South China Morning Post.Julius Baer va notamment recruter des experts en investissement dans la région afin de répondre à la demande de la clientèle fortunée en pleine croissance. Les clients asiatiques recherchent des rendements de 10% à 20%, beaucoup plus élevés que les taux de 3% à 5% attendus en Europe, relève Boris Collardi.
Le fonds de pension public norvégien a réalisé en 2012 la deuxième meilleure performance de son histoire avec un rendement de 13,4% grâce au net rebond des marchés boursiers, selon un communiqué publié le 8 mars par la Banque de Norvège.Alimenté par les revenus pétroliers de l’Etat et réinvesti en actions, obligations et dans l’immobilier hors de Norvège, le fonds pesait 3.816 milliards de couronnes, soit quelque 517 milliards d’euros à la fin de l’année, contre 3.312 milliards fin 2011.La progression est essentiellement due à la performance des investissements en actions étrangères, qui représentent 61,2% du portefeuille total et qui ont affiché un rendement de 18,1%. Le rendement des obligations a atteint 6,7% tandis que celui des investissements immobiliers s'élevait à 5,8%. Ces deux secteurs représentent respectivement 38,1% et 0,7% du portefeuille.La valeur comptable du fonds a été érodée de 220 milliards de couronnes du fait du renchérissement de la couronne norvégienne par rapport aux autres devises. Mais ces effets de change n’ont pas d’incidence réelle sur la valeur du fonds appelé à rester investi hors de Norvège. L’examen de l’allocation régionale montre d’ailleurs que le fonds est désormais investi à moins de 47% en Europe contre 53% il y a un an alors que la poche émergente approche les 9%.
Le suisse Partners Group Holding a decidé de créer deux postes supplémentaires dans son conseil d’administration et de pratiquer quelques changements dans le chief executive office ainsi que dans l’executive board dans un contexte de très rapide croissance de l’activité.Steffen Meister, CEO depuis 2005, sera proposé à l’assemblée générale du 2 mai comme nouveau membre exécutif du conseil d’administration, président du business development committee et membre des comités risk & audit ainsi que nomination & compensation. Il devrait aussi siéger dans le nouveau comité stratégie ainsi que dans le markets committee, ces deux derniers étant présidés respectivement par Alfred Gantner et Urs Wietlisbach.Le conseil d’administration prévoit aussi de proposer à l’assemblée générale la nomination de Patrick Ward comme administrateur non exécutif et membre du markets committe avec le titre de chairman UK & Middle East. Basé à Londres, il vient de quitter Goldman Stachs Asset Management International, où il a passé 33 ans, en dernier lieu comme advisory director et chairman.La transition sans heurts de la direction opérationnelle se fera avec la nominration au 1er juillet 2014 de Christoph Rubeli et André Frei come co-CEO. Ces deux personnes travaillent depuis respectivement 14 et 12 ans chez Partners Group.Christoph Rubeli, qui est associé de Partners Group, était déjà responsable des investissements directs dans le private equity, activité qu’il continuera d’exercer. André Frei est également associé de Partners Group et responsable du client services business department et chief risk officer.En outre, Reto Schwager, associé, und Raphael Meier, managing director deviendront au 1er juillet co-heads du client services business department.Enfin, Andreas Knecht, general counsel et associé, sera nommé membre de la direction générale à compter du 1er juillet 2013.
Avec l’enregistrement par la CNMV de la sicav luxembourgeoise Digital Funds, J. Chahine Capital est la première société de gestion étrangère à prendre pied en Espagne depuis le début de cette année, rapporte Funds People. Les deux compartiments agréés par le régulateur espagnol sont Digital Stars Europe et Digital Stars Europe Ex-UK.Funds People rappelle que 16 gestionnaires étrangers sont arrivés en Espagne en 2012.
Le Handelsblatt constate que la vente par la Deutsche Bank de la BHF-Bank à RHJ International (Kleinwort Benson) conclue en septembre 2012 n’a toujours pas obtenu le feu vert de la BaFin. Cela tient au fait que le régulateur allemand ne passe pas au scanner financier uniquement le groupe Kleinwort Benson mais également les repreneurs qui lui sont associés dans cette opération, à savoir BlackRock, le milliardaire Stefan Quandt et le conglomérat chinois Fosun. La BaFin a confirmé ne pas être encore en possession de tous les documents demandés. Cependant, on peut compter que l’autorisation sera accordée en avril ou début mai.
DBX ETF Trust a déposé le 31 janvier une demande d’agrément auprès de la SEC (form N-1A) pour le db X-trackers Harvest CSI 300 Index ETF qui répliquera l'évolution de l’indice CSI 300 d’actions chinoises cotées à Shanghai ou Shenzhen et encore interdites d’accès aux étrangers.Ce produit, qui devrait être coté sur la plate-forme NYSE Arca, n’a pour l’instant ni acronyme, ni indication de taux de frais sur encours. Le «sub-adviser» du fonds sera Harvest Global Investment Ltd, dont DWS, filiale de gestion de la Deutsche Bank, détient 30 %.
Le firme d’audit Ernst & Young recherche actuellement douze experts du secteur de la gestion d’actifs, neuf senior managers et trois managers, pour sa practice «Performance Improvement» au sein du pôle des services financiers (FSO).Le descriptif de poste décline les offres de services de la practice à destination tant des gestionnaires traditionnels que de la gestion d’actifs alternative.
Exane Asset Management a renforcé l’équipe de gestion de son fonds long/short actions (445 millions d’euros) avec l’arrivée de Pierre Bernardin, spécialiste des moyennes capitalisations, rapporte Citywire Global. Il travaillera aux côtés de Charles-Henri Neme qui pilote la stratégie Exane Funds 1 – Ceres depuis son lancement en février 2007. Pierre Bernardin a rejoint Exane en 2006.
Si la plupart des fonds espagnols ont été sinistrés par la crise financière qui a provoqué une chute des marchés et la fuite des souscripteurs, certains produits orignaux, les «fonds d’auteur», ont d’ores et déjà digéré cette période difficile, constate Cotizalia. C’est le cas du Pegasus de Renta4 (géré par Miguel Jiménez) dont l’encours est passé depuis fin 2007 à aujourd’hui de 14 millions à 160 millions tandis que la valeur liquidative (VL) augmentait de presque 40 %.Chez Bestinver, le Bestinfond de Francisco García Paramés, Álvaro Guzmán et Fernando Bernad a vu sa VL augmenter de 27 % par rapport à 2007, tout comme l’EDM Ahorro géré par Karina Sirkia.Quant au Cartesio X géré par Cayetano Cornet et au BK Kilimanjaro de Vicente López, leur VL est à présent supérieure de respectivement 20 % et 9,2 % à celle de 2007. La situation est bien sûr plus difficile pour les fonds spécialistes des seules actions espagnoles puisque l’ibex a perdu au total plus de 40 %. Et même le BPA Fondo Ibérico Acciones, de Gonzalo Lardiés, affiche une VL inférieure de 21 % à son niveau d’avant la crise.
Le néerlandais van Lanschot de Bois-le-Duc (s-Hertogenbosch) affichait fin 2012 un encours de 40,9 milliards d’euros, soit 11 % de plus qu’un an auparavant. Mais si le «private & business banking» (18,7 milliards d’euros contre 19 milliards) a supporté des sorties nettes de 1,9 milliard d’euros, la gestion d’actifs, principalement logée chez Kempen Capital Management, a collecté en net 2,3 milliards d’euros pour atteindre 22,2 milliards d’euros contre 17,7 milliards fin 2011.Van Lanschot précise qu’en raison de 121,7 millions d’euros d’amortissements sur les plus-values et de charges exceptionnelles de 35,7 milliards, l’exercice 2012 se solde par une perte nette de 155,4 millions d’euros contre un bénéfice net de 43,1 millions pour l’année précédente.Le coefficient d’exploitation, en tenant compte des charges exceptionnelles, s’est détérioré à 77,9 % contre 76,5 %.
La société de gestion italienne Azimut Holding a dégagé en 2012 un bénéfice consolidé de 160,6 millions d’euros, contre 80,4 millions en 2011. Le chiffre d’affaires consolidé est ressorti à 433,6 millions d’euros, contre 325,7 millions en 2011.A fin 2012, les encours totaux d’Azimut s’élevaient à 19,6 milliards d’euros, dont 17,5 milliards d’euros gérés en interne. Un dividende de 0,55 euro par action sera distribué (0,25 euro en 2011).
State Street Global Advisors (SSgA) travaille actuellement au lancement de deux ETF pour se protéger contre l’inflation par le biais de TIPS, rapporte IndexUniverse.Les fonds, le SPDR Barclays 0-5 Year TIPS ETF et le le SPDR Barclays 1-10 Year TIPS ETF, se trouvent sur la partie courte et moyenne de la courbe, les TIPS étant généralement proposés avec des maturités de 5, 10 et 20 ans. Alors que les investisseurs restent préoccupés par la montée éventuelle des pressions inflationnistes, le marche offre actuellement 11 ETF indexés sur des TIPS qui ont enregistré une collecte de 1,88 milliard de dollars au cours des douze derniers mois. Le plus gros est iShares Barclays TIPS Bond fund dont les actifs sous gestion s'élèvent à 22 milliards de dollars d’actifs.
Depuis le début de cette année, Meeschaert a transformé des FCP existant depuis le 26 juin 1989 pour proposer une allocation d’actifs non seulement tactique mais, en combinant les fonds de droit français MAM Patrimoine (plutôt tactique) et le MAM Optima 25-125 (deux fonds mutés le 2 janvier 2013) une exposition stratégique,. Comme l’a indiqué le 8 mars Philippe Troesch, président du directoire de Meeschaert Asset Management, la disponibilité de ces deux supports s’avère commercialement judicieuse, parce que le portefeuille moyen des clients se limite à 0,4 million d’euros et parce que les deux produits proposés permettent de se positionner, en combinaison, sur trois classes d’actifs, les actions, les obligations et le monétaire. Si Meeschaert Asset Management affiche un encours de l’ordre de 1,2 milliard d’euros, les deux fonds pèsent respectivement environ 40 millions d’euros pour le Patrimoine et 50 millions pour le MAM Optima 25-125 (ces deux chiffres correspondent à l’exposition minimale et maximale aux actions), tandis que les fonds ISR affichent des actifs de 300-350 millions d’euros.
La société de gestion française Roche-Brune a annoncé vendredi l’arrivée de Ronan Franck de Preaumont en tant que spécialiste produit. Il sera l’interlocuteur privilégié des conseillers en gestion de patrimoine, précise un communiqué. Agé de 27 ans, Ronan Franck de Preaumont a connu une première expérience professionnelle en tant que « négociateur » chez Cholet Dupont, puis en « sales trading » chez GDF SUEZ Trading.Thibault Saint-Raymond continuera d’assurer les relations avec les investisseurs institutionnels, les multi-gérants et les family offices.Roche-Brune AM est contrôlée par le Groupe Primonial à hauteur de 67%. Elle gère près de 100 millions d’euros à partir de Paris et Lyon.
Le Fonds stratégique d’investissement (FSI) a publié vendredi 8 mars ses résultats 2012 marqués par la très forte dépréciation de la valeur de FranceTelecom ainsi que, dans une moindre mesure, par les provisions constatées sur Hime-Saur. Ainsi, le FSI a décidé de déprécier sa participation de 13,6 % dans le capital de l’entreprise pour un montant de 2,4 milliards d’euros. D’autre part, le FSI a décidé de déprécier intégralement la ligne Hime-Saur, soit 277 millions d’euros, compte tenu de la restructuration financière en cours.Au total, le résultat net part de groupe du FSI affiche, en 2012, une perte de 2,054 milliards d’euros contre un bénéfice de 629 millions d’euros en 2011. «Les dépréciations de lignes de participation apportées, comme les bénéfices distribués aux actionnaires, ont un impact sur les capitaux propres mais n’obèrent pas la trésorerie indispensable à la poursuite de la mission du FSI, au service des entreprises», note un communiqué qui précise que le FSI dispose de 18,4 milliards d’euros de capitaux propres en normes IFRS.L’an dernier, le Fonds a investi directement ou indirectement 1,5 milliard d’euros dans plus de 800 entreprises. L’investissement direct s’est élevé à 1,2 milliard d’euros dans 37 entreprises dont 4 grandes entreprises, 11 entreprises de taille intermédiaire et 22 PME.Enfin, depuis 2009, le portefeuille acquis en direct a conservé sa valeur à 4,2 milliards d’euros. Il a par ailleurs rapporté plus de 100 millions d’euros de revenus.
Nicolas Sarkozy est courtisé par des fonds souverains, dont celui du Qatar, qui sont prêts à le soutenir pour lancer un fonds de private equity, selon les informations du Financial Times. Le fonds souverain du Qatar et d’autres investisseurs ont proposé d’investir jusqu’à 500 millions d’euros au total pour un fonds piloté par l’ancien président de la République, indiquent des personnes proches du dossier. Mais il aurait mis le projet en suspens ces dernières semaines car il envisage de retourner en politique.
Selon L’Agefi, de grands noms du monde de l’entreprise et de la finance française monteraient un fonds de capital-investissement, destiné à accompagner les entreprises de taille intermédiaire mais aussi à soutenir financièrement une fondation de promotion de l’entrepreunariat. Le projet est, entre autres, piloté par Gonzague de Blignières, senior partner d’Equistone Partners Europe, ainsi que par Clara Gaymard, actuellement présidente de General Electric France et vice-présidente de GE International. Le fonds d’investissement baptisé Raise prendrait des participations minoritaires dans une vingtaine d’entreprises hexagonales de taille intermédiaire ou participerait à des augmentations de capital afin de les aider à se développer à l’international. L'équipe de gestion du fonds renoncerait à une partie de ses «carried interests» pour les reverser à la Fondation Raise, précise le quotidien.
Selon les données compilées par L’Agefi, les entreprises du CAC 40, hors sociétés financières, verseront cette année à leurs actionnaires un peu plus de 33 milliards d’euros de dividendes, au titre de l’exercice 2012. Soit quasiment 2 milliards de plus que l’an dernier. Cette stabilité tranche avec la baisse annoncée des résultats pour 2012 (-23%). Les groupes de l’indice parisien vont ainsi reverser au total à leurs actionnaires près de 68% de leurs bénéfices. Plusieurs groupes n’ont d’ailleurs pas hésité à conserver intact leur dividende malgré une très forte baisse de leurs bénéfices, indique le quotidien. C’est le cas de Bouygues, dont le dividende unitaire a été maintenu à 1,6 euro, malgré une chute de 41% du bénéfice net.
Deux membres de l’équipe marchés émergents de Pictet Asset Management ont quitté la société, révèle Investment Week. Il s’agit de Peter Jarvis, qui co-gérait le portefeuille Pictet Russian Equities et le fonds Pictet Emerging Markets, et d’Isabelle Alexander, qui gérait la partie Amérique latine des fonds marchés émergents mondiaux. Pictet ne prévoit pas de remplacer les deux personnes.
En Chine continentale, la concurrence est de plus en plus vive dans le secteur naissant de la gestion d’actifs. Le pays va bientôt compter plus de 80 sociétés de gestion. Dernière arrivée, Donghai Funds, qui a obtenu le feu vert de l’autorité de tutelle bancaire, la China Banking Regulatory Commission (CBRC) le 19 février dernier, et qui a reçu ensuite son agrément de la China Securities Regulatory Commission (CSRC) pour exercer en tant que société de gestion fin février. La société basée à Shanghai, qui envisage d’avoir en priorité des organismes de placement collectif type mutual fund ainsi que des comptes ségrégés, a trois grands actionnaires, Donghai Securities (45%), Shenzhen Peng Bo Group (30%) et Suzhou Xiangcheng Jiangnan Chemical Fiber Group (25%). Parallèlement, les candidatures se multiplient. Fin février, six sociétés de gestion attendaient le feu vert de la CBRC pour déposer leur demande d’agrément auprès de la CSRC.
Berlin prévoit d’emprunter moins que prévu sur les marchés en 2014, selon Der Spiegel qui cite des sources gouvernementales. S’appuyant sur une économie solide, l’Allemagne pourra compter sur des revenus fiscaux supplémentaires qui pourraient lui permettre de n’emprunter qu’entre 6 et 8 milliards d’euros, bien moins que les 20,7 milliards prévus jusqu'à présent.
Pékin a présenté hier les contours d’un vaste plan de réorganisation gouvernementale qui prévoit notamment la division par deux du nombre d’agences de niveau ministériel et la dissolution du puissant mais impopulaire ministère des Chemins de fer. Il est par ailleurs prévu de renforcer les pouvoirs des régulateurs dans les domaines de l’alimentation et des médicaments.
L’agence de notation a abaissé la note souveraine de l’Italie, la ramenant de A- à BBB+, évoquant des élections législatives qui n’ont pas abouti à une majorité claire et le risque que la récession qui frappe le pays soit plus longue que prévu. Elle a assorti sa note d’une perspective négative. Elle pourrait encore abaisser cette note si la récession devait s’aggraver. «Les résultats peu concluants des législatives italiennes des 24 et 25 février font qu’il est improbable qu’un nouveau gouvernement stable puisse être constitué dans les prochaines semaines», souligne Fitch. «Le quatrième trimestre 2012 confirme que la récession en cours en Italie est l’une des plus profondes en Europe», ajoute l’agence. Fitch anticipe une contraction du PIB de 1,8% cette année en Italie, après 2,4% en 2012. L’annonce de Fitch a provoqué un repli de l’euro et une progression des rendements des obligations italiennes sur le marché secondaire mais les marchés ont été dans l’ensemble peu réactifs.
Selon le bureau national des statistiques, la production industrielle chinoise a grimpé de 9,9% sur les deux premiers mois de 2013, par rapport à la période comparable de l’année précédente. Le panel Bloomberg tablait sur une progession de 10,6% en rythme annuel entre les mois de janvier et février après 10,3% en décembre.
Un document du FMI relayé par Der Spiegel incite le gouvernement allemand à promouvoir l’investissement public et privé, dont le faible niveau depuis de nombreuses années menace les perspectives de croissance du PIB à long terme. Il juge par ailleurs les finances publiques allemandes saines.