Amundi on Friday announced the appointment of LaurentGuillet as chief executive officer (CEO) of Amundi London Branch. He replaces Laurent Crosnier, who had held the dual role of CEO and chief investment officer since October 2010. Amundi has now decided to separate these two roles. Laurent Guillet will take on his responsibilities as chief executive officer, Amundi London Branch on 1st June, subject to regulatory approval, while maintaining his role as chief executive officer of Amundi Alternative Investments which he has held since May 2011. “Laurent’s objective will be two-fold,” a statement from Amundi states: “to focus on business development with UK investors building on Amundi’s strong expertise and to promote Amundi London’s fund management expertise globally.” Now focusing on the investment side of the business, Laurent Crosnier will maintain his responsibilities as CIO of the London Branch and deputy head of Amundi’s Fixed Income platform under the direction of Eric Brard, global head of Fixed Income.“In this role,” the firm says, “Laurent will continue to drive the business as a centre of excellence in fund management for all global products including credit, government bonds, and emerging market debt, and equities.” Laurent Guillet has been CEO of Amundi AI since May 2011 and was previously Deputy CEO, having joined in April 2007 to focus on the managed account platform. Crosnier, for his part, was appointed CIO of Amundi London Branch. In October 2010, he took on the position of CEO of Amundi London Branch, retaining his role of CIO and continuing to act in this capacity.
A growing number of institutional investors are considering allocating assets to alternative indices as a new active approach to beta management, according to a study by Northern Trust of 51 institutional investors representing cumulative assets of USD800bn under management.“Rather than considering investment strategy options as active or passive, investors are now considering that there is a continuum of options within beta solutions, with traditional indices weighted by cap-sizes on one hand, and 10)% active strategies on the other,” explains John Krief, managing director of asset management for Europe, the Middle East and Africa (EMEA) at Northern Trust.Among the institutionals surveyed by Northern Trust, three out of ten are invested in alternative indices, while 32% are considering using these indices. Among those who already use them, six out of ten say that they have increased their allocation in the past two years.Alternative indices are attractive to investors, since they allow access to returns, while capturing exposure to specific factors such as value momentum and volatility. But the study finds that taking a decision to invest in a hedge fund, and choosing which index to invest in, represent active decisions: 60% of investors surveyed say that the decision to allocate to an alternative index is equivalent to an active investment decision, and required the same level of due diligence. The study finds that value and low volatility are the factors most sought after by investors (more than 50% of respondents), and that the vast majority of them (over 92%) say that they are seeking to reduce risk via exposure to alternative indices. Diversification is also cited by 84.6% of investors, while only 54% mention returns.
Les actifs sous gestion de Lazard s’inscrivaient fin mars au niveau record de 172 milliards de dollars, en progression de ont progressé de 3% par rapport à fin décembre et de 10% par rapport à fin mars 2012, selon un communiqué publié le 26 avril.Au premier trimestre, le pôle gestion d’actifs a enregistré une décollecte nette de 995 millions de dollars qui a été compensée par un effet marchés positif. Les commissions de gestion ont totalisé 220 millions de dollars, en hausse de 5% par rapport au quatrième trimestre 2012, et de 10% par rapport au premier trimestre 2012. Les revenus d’exploitation de la gestion se sont inscrites au niveau record de 240 millions de dollars, en hausse de 14% par rapport au premier trimestre 2012. La banque franco-américaine a toutefois fait état d’une chute de 40% de son bénéfice net au premier trimestre à 15 millions de dollars (en US GAAP), en raison d’une forte baisse (-39%) de ses honoraires dans l’activité des fusions-acquisitions et d’une charge exceptionnelle de 26 millions de dollars liée à son programme de réduction des coûts.
Le montant de la rémunération variable accordée par BNP Paribas à ses salariés a connu une hausse de 14% en 2012 par rapport à 2011, pour atteindre 559 millions d’euros, selon un communiqué de la banque française.Seule une partie de ces bonus, à savoir 188 millions d’euros, a déjà été versée. Le solde, soit 371 millions, sera réparti sur sept échéances, entre septembre 2013 et septembre 2016, sous réserve de performances à venir cependant.La banque a expliqué cette hausse par les meilleurs résultats obtenus l’an passé par les activités de conseil et de marchés de capitaux, dont un résultat brut d’exploitation en progression de 24,8%. Elle fait néanmoins valoir que le montant des bonus accordés en 2012 reste inférieur de 45% à celui de 2010.Cette rémunération variable a été attribuée aux salariés susceptibles d’avoir une incidence significative sur le profil de risque de l’entreprise, notamment les traders, précise BNP Paribas.Les dirigeants mandataires sociaux bénéficient eux d’un plan de rémunération à long terme dont la valeur comptable à la date d’attribution s'établit à un million d’euros au total, ajoute-t-elle.Les 559 millions d’euros de bonus ont été attribués à 3.252 salariés, soit une rémunération variable moyenne d’environ 172.000 euros. Dans le détail, elle a atteint 3,96 millions d’euros pour quatre membres de l’organe exécutif, 531,9 millions pour 3.189 membres de la banque de financement et d’investissement et 22,8 millions pour 59 salariés classés comme appartenant au reste du groupe.
Le gestionnaire américain Waddell & Reed Financial (acronyme : WDR) affiche pour janvier-mars un bénéfice net de 53,9 millions de dollars contre 52,4 millions pour le quatrième trimestre 2012 et 46,8 millions pour la période correspondante de l’an dernier.Les encours ont atteint 103,8 milliards de dollars fin mars contre un précédent record de 96,4 milliards trois mois plus tôt et 93,8 milliards un an auparavant. Les souscriptions nettes sont ressorties à 2,1 milliards de dollars contre des sorties nettes de 165 millions en octobre-décembre et des rentrées nettes de 1,3 milliard au premier trimestre 2012.
Selon L’Agefi, Henri de Castries, PDG d’Axa, s’est vu attribuer au titre de l’exercice 2012 une rémunération totale de 4,73 millions d’euros, contre 4,64 millions (-15% sur un an) pour Denis Kessler, son alter ego chez Scor. D’une façon générale, les patrons assureurs restent largement mieux rémunérés que les banquiers. Essentiellement grâce à leurs plans de stock-options et d’attribution conditionnelle et différée dans le temps d’actions, dont la valeur est comptabilisée immédiatement. Les banques, elles, n’en attribuent plus mais les plans d’actions à long terme s’y développent. Ce mécanisme explique en grand partie la forte hausse (+69%) de la rémunération totale attribuée à Frédéric Oudéa (société Générale). Baudouin Prot (BNP Paribas) affiche également une rémunération relativement élevée pour un président non exécutif : près de 2 millions d’euros, dont 825.000 de part variable, précise le quotidien.
Initialement, les clients du gestionnaire alternatif SAC Capital de Steven A . Cohen avaient jusqu’au 15 février pour demander le remboursement de leurs investissements à raison d’un quart par trimestre; ce délai avait été repoussé au 15 mai sous la pression de Blackstone et, vendredi, Tom Conheeney, président de SAC Capital, a annoncé qu’ils disposent d’un délai supplémentaire jusqu’à la mi-août pour demander le remboursement de leurs parts pour la fin de l’année. Cela doit permettre d’attendre des informations espérées plus favorables sur l’affaire de délits d’initiés en cours, rapporte The Wall Street Journal.Depuis le début de l’année, les clients ont déjà demandé le remboursement de 1,7 milliard de dollars, soit environ le quart des encours externes de SAC Capital.Selon un proche du dossier, SAC Capital a offert en février la possibilité pour les souscripteurs d’être remboursés d’un tiers de leur investissement sur chacun des trois trimestres suivants. La proposition de vendredi porte sur des remboursements de 50 % au troisième et au quatrième trimestres.
Les actifs gérés par T. Rowe Price Groupe Inc au 31 mars ont atteint le niveau record de 617,4 milliards de dollars contre 554,8 milliards un an plus tôt, qui étaient déjà un record. Ils ont augmenté de 40,6 milliards de dollars au cours du premier trimestre par rapport aux 576,8 milliards de fin décembre, également un record.Durant le premier trimestre, les souscriptions nettes sont ressorties à 3,3 milliards de dollars contre des sorties nettes de 4,2 milliards en octobre-décembre et des rentrées nettes de 12,4 milliards pour la période correspondante de 2012. L’effet de performance a représenté 37,3 milliards de dollars contre 6,6 milliards au quatrième trimestre de l’an dernier et 52,9 milliards pour janvier-mars 2012.Le bénéfice net de janvier-mars s’est situé à 241,9 millions de dollars contre 188,4 millions pour le trimestre précédent et 197,5 millions de dollars durant la période correspondante de l’an dernier.
L’économiste Jean-Paul Betbeze rejoint le cabinet Deloitte France en tant que conseiller économique. Fondateur de Betbeze Conseil SAS, HEC, Docteur et Professeur de Faculté en Sciences économiques, Jean-Paul Betbeze était auparavant Chef Economiste du Crédit Lyonnais puis du Crédit Agricole. Jean-Paul Betbeze est également membre de la Commission Economique de la Nation, du Cercle des économistes et du Comité scientifique de la Fondation Robert Schumann.
Le premier fournisseur d’ETF au monde, BlackRock, envisage de liquider le iShares Diversified Alternatives Trust, un ETF géré activement disponible sur le marché depuis 2009 et qui pèse 57,6 millions de dollars, rapporte IndexUniverse.Le fonds affiche un rendement annualisé de 0,87% depuis son lancement, avec une faible volatilité et de très faibles corrélations avec les marchés, mais les investisseurs ne semblent pas s’intéresser à ce véhicule qui décollecte depuis deux ans après avoir culminé à 141 millions de dollars en 2011.
Le gérant Sam Console a décidé de quitter UBS, six mois seulement après avoir été désigné pour remplacer le gérant star Lawrence Kemp sur deux stratégies actions américaines du groupe, rapporte Citywire.Sam Console et l’analyste Peter Bye pilotaient les fonds UBS (Lux) Equity –USA Growth + et UBS US Growth+ depuis novembre 2012, date du départ de Lawrence Kemp.
Le Credit Suisse estime qu’il existe un gros potentiel de croissance dans la gestion de fortune globale, même si les activités seront à l’avenir nettement différentes de ce qu’elles étaient par le passé, a estimé le 26 avril le président du conseil d’administration de Credit Suisse, Urs Rohner, devant les actionnaires réunis en assemblée générale. La constitution de fortune se déplace vers les marchés émergents et la stratégie doit en tenir compte, pour réaliser le potentiel offert par ces marchés.Credit Suisse défend toutefois son modèle intégré, l’une de ses principales forces, selon Urs Rohner. L’Investment Banking reste cependant «central et important». La collaboration étroite entre Investment Banking et Private Banking & Wealth Management permet de servir les clients de manière plus ciblée, a-t-il souligné En raison du changement de l’environnement, les banques suisses doivent relancer leurs activités de gestion de fortune en revoyant notamment les standards de conseil et l’offre aux clients de solutions de placement conformes à la fiscalité. Accepter sciemment des fonds non déclarés de clients ne peut plus être un modèle pour l’avenir, a souligné le président.
Deutsche Bank renforce ses activités internationales de gestion de fortune en Suisse, rapporte L’Agefi suisse. Gérard Piasko est nommé chief investment officer du wealth management suisse de Deutsche Bank, ainsi que chief investment strategist et membre du comité exécutif élargi des activités du wealth management pour le marché EMEA. Auparavant, Gérard Piasko a travaillé chez Credit Suisse et Julius Baer et, à partir de 2010, auprès de Banque Sal. Oppenheim jr. & Cie (Suisse).
La Banque Cantonale de St-Gall (SGKB) a annoncé vendredi qu’elle revoit sa stratégie en matière d’activités de gestion de fortune transfrontalières. Plusieurs options stratégiques sont envisagées, y compris la possibilité de vendre certaines divisions de ses filiales Hyposwiss. Aucune décision n’a été prise à ce stade, précise la banque qui entend communiquer des informations complémentaires dès que des décisions auront été prises.
Au premier trimestre, le rendement des investissements du Government Pension Fund - Global (GPFG) a été de 8,3 % sur la poche actions et de 1,1 % sur le portefeuilles d’obligations. Au total, précise Yngve Slyngstad, CEO de Norges Bank Investment Management (NBIM), qui gère l’ex fonds pétrolier par délégation de la Banque de Norvège, la performance du GPFG a été de 0,3 % supérieure à celle de son indice de référence.Dans la mesure où la couronne norvégienne s’est affaiblie au premier trimestre par rapport à plusieurs des monnaies principales du monde, l’effet de change positif pour le fonds a été de 93 milliards de couronnes. De plus, le GPFG a bénéficié d’un transfert de 60 milliards de couronnes de la part de l’Etat. A fin mars, l’encours ressortait à 4.182 milliards de couronnes, dont 62,4 % en actions, 36,7 % en obligations et 0,9 % en immobilier.
Le gestionnaire américain iShares (BlackRock) a annoncé le lancement de quatre ETF obligataires à horizon qui arrivent à échéance chacun le 31 mars de leur année de référence. Tous sont chargés à 0,10 %, précise Index Universe.Dans le détail, il s’agit des fonds suivants :• iShares 2016 Investment Grade Corporate Bond ETF (acronyme sur NYSEArca : IBCB)• iShares 2018 Investment Grade Corporate Bond ETF (IBCC)• iShares 2020 Investment Grade Corporate Bond ETF (IBCD)• iShares 2023 Investment Grade Corporate Bond ETF (IBCE)
Le groupe bancaire américain Citigroup a annoncé le 26 avril l’acquisition des activités de conservation de titres de sa concurrente néerlandaise ING en Europe de l’Est.Les activités reprises pèsent quelque110 milliards d’euros d’actifs financiers dans sept pays (Bulgarie, Hongrie, République tchèque, Roumanie, Russie, Slovaquie et Ukraine), selon son communiqué. La transaction, dont le montant n’a pas été divulgué, devrait être finalisée au premier trimestre 2014. Les actifs sous conservation de Citigroup s'élèvent à 13.500 milliards de dollars. Cette opération s’ajoute à la longue liste des désinvestissements consentis depuis un an par ING pour rembourser l’aide publique de 10 milliards d’euros qui lui a été accordée en 2008 lors de la crise financière. La banque a ainsi récemment cédé ses 49% dans l’assureur vie coréen KB Life Insurance (pour 115 millions d’euros) et ses 5% dans le groupe financier sud-coréen KB Financial Group (500 millions d’euros. ING a aussi vendu sa participation dans le groupe financier américain Capital One (pour 2,4 milliards d’euros), ainsi que ses activités de banque en ligne en Grande-Bretagne (pour un montant non précisé), au Canada (pour 2,5 milliards d’euros) et aux Etats-Unis (pour 9 milliards de dollars).
Natixis AM annonce sur son site qu'à compter de ce jour, le fonds Natixis Actions Euro Growth devient Natixis Actions Europe Rendement. En outre, la part IC (*) pourra être souscrite en dix-millième de part.(*) Code Isin : FR0010270009
Kempen Capital Management a annoncé le recrutement de deux gérants de portefeuille senior. Ils intègrent l’équipe dédiée aux hedge funds. Igor Puljic, 36 ans, rejoint la société néerlandaise en provenance de Key Asset Management, où il occupait les fonctions de CIO adjoint et de gérant du fonds de fonds alternatif multistratégie de la maison. Marjoleine van der Peet, 38 ans, rejoindra Kempen CM en juillet. Elle travaillait auparavant chez GAM en tant que senior investment analyst and gérante. KCM gère deux fonds de fonds, Kempen Orange Investment Partenership et Kempen Non-Directional Partnership, avec des encours totaux de 738 millions de dollars à fin mars.
Pour le premier trimestre 2013, le néerlandais Van Lanschot affiche un bénéfice net de 24,8 millions d’euros contre une perte de 164,7 millions en octobre-décembre et un bénéfice net de 16,8 millions pour la période correspondante de l’an dernier.Les actifs de la clientèle (y compris dépôts d'épargne et comptes courants) se sont accrus de 700 millions d’euros à 53 milliards au 31 mars, principalement grâce à l’effet de marché et aux souscriptions nettes de la division gestion d’actifs.
«Björn Thiemann ayant décidé de quitter l’entreprise pour relever d’autres défis professionnels», Deka Immobilien Investment a nommé Esteban de Lope pour le remplacer dès le 1er mai comme gérant principal du fonds immobilier offert au public Deka-ImmobilienEuropa (*) qui pesait 11,98 milliards d’euros fin décembre sur un encours total de 24 milliards pour DekaImmobilien Investment et WestInvest.L’intéressé a rejoint Deka en 2002 et il gérait depuis sept ans le fonds immobilier offert au public Deka-ImmobilienGlobal (**) dont l’encours se situait fin 2012 à presque 3,11 milliards d’euros. Il sera remplacé à ce poste par Till Schulz-Eickhorst, qui fait partie de l’équipe achat et vente d’actifs à l’international et gestion immobilière.(*) DE0009809566(**) DE0007483612
KBC Securities Pologne a annoncé, vendredi 26 avril, la concentration de ses services de titres (« Securities Services ») sur différentes activités : l’Electronic Desk Access, l’accès téléphonique et l’accès direct à la Bourse de Varsovie et aux marchés internationaux ; les services de compensation, de règlement et de conservation sur les marchés polonais et internationaux ; les prêts et les emprunts de titres ; le courtage intégré et les services de dépositaire pour les marchés polonais et internationaux ; les services d’internalisation des tâches (Business Process Insourcing), couvrant toute la chaîne du traitement des titres, à d’autres organismes financiers, y compris l’exécution des ordres, le dépôt, le front end, le back office et d’autres solutions informatiques y afférentes.À la suite de ce recentrage, les autres activités polonaises de KBC Securities (courtage au détail, ventes institutionnelles, market making, recherche et corporate finance) cesseront d’exister, indique un communiqué. KBC Securities Pologne a signé un accord cadre avec Dom Maklerski Banku Ochrony Środowiska S.A. (“DM BOŚ”), qui a préparé une offre pour les clients de détail. Cette offre n’oblige nullement les clients de détail à adhérer à un accord avec DM BOŚ. Les clients de détail concernés seront informés personnellement. Cette procédure, précise KBC, n’entraînera aucuns frais pour eux.
Le britannique Charlemagne Capital a annoncé son intention de lancer dans les prochaines semaines une version coordonnée de son fonds equity long/short Oaks Emerging and Frontier Opportunities Fund dont le gérant principal est Stefan Böttcher. Le hedge fund «offshore» a généré depuis son lancement une performance supérieure à 25 % avec une volatilité ex-ante de 12 %. Le portefeuille peut être investi au maximum à 15 % en obligations.La poche longue actions doit évoluer entre 50 et 100 % pendant que la poche «courte» sera comprise entre - 15 et - 50 %. En brut, l’exposition actions peut varier entre 70 et 150 %.Le fonds coordonné aura une liquidité hebdomadaire et l’encours sera limité à 150 millions d’euros. Il est prévu que 75 % du portefeuille puissent être liquidés en cinq séances boursières.L'écart-type sera plafonné à 12 %, mais il n’a jamais dépassé jusqu'à présent 8,5 %, soit moins de la moitié des 24-25 % qui sont généralement affichés par les fonds d’actions émergentes long-only. Le beta par rapport à l’indice MSCI Emerging se situera entre 0,2 et 0,4, alors que le fonds vise une performance double de celle de l'écart-type.
Le groupe Ashmore vient d’ouvrir un bureau en Indonésie où elle distribuera ses fonds à travers le réseau bancaire indonésien, rapporte Funds Europe.Le groupe est déjà présent dans le pays au travers de sa gamme dédiée à la dette émergente, aux actions et aux situations spéciales.
Selon Expansión, le capital-investisseur américain KKR devrait annoncer très prochainement un prêt de 300 millions d’euros de son fonds de situations spéciales à la société espagnole de matériaux de construction Uralita. Cela permettrait à ce groupe contrôlé par la famille Serratosa de rembourser la dette à échéance 2014 dont il est redevable à des établissements comme le Santander et Bankia.Selon les proches du dossier, l’opération s’effectuerait par le biais d’une émission d’obligations à sept ans qui serait souscrite entièrement par KKR, ces titres étant nantis par les actifs d’Ursa, une filiale d’Uralita spécialiste des matériaux isolants.
Grâce à l’acquisition de Gestión del Mediterraneo, filiale de la caisse d'épargne CAM (lire Newsmanagers du 6 juin 2012), les actifs du pôle gestion d’actifs du Banco Sabadell ont atteint 8.987 millions d’euros fin mars, contre 8.585 millions trois mois plus tôt et 8.295 millions un an auparavant. L’encours des fonds de pension a pour sa part gonflé de 27,4 % en glissement annuel à 3.731 millions d’euros contre 2.929 millions ; il se situait à 3.709 millions au 31 décembre.Le bénéfice net du Banco Sabadell pour janvier-mars a chuté de 51,1 % sur la période correspondante de 2012, à 51,1 millions d’euros, essentiellement en raison de provisions de 324,9 millions d’euros imposées par le gouvernement pour l’assainissement du bilan (plan Guindos).
A la tête du pôle de gestion immobilière du groupe Amundi, Nicolas Simon peut se réjouir du succès rencontré par l'OPCI Grand Public Opcimmo l'an dernier. Avec 75 % de parts de marché, ce produit a été l'un des moteurs pour le décollage de ce marché longtemps atone. Le directeur général d'Amundi Immobilier revient pour Newsmanagers sur les raisons de cette réussite, tout en détaillant les projets pour la clientèle institutionnelle, autre axe fort de la société.
Amundi a annoncé vendredi la nomination de Laurent Guillet au poste de directeur général d’Amundi London Branch. Il remplace Laurent Crosnier qui occupait à la fois les postes de directeur général et de directeur de la gestion depuis octobre 2010, Amundi ayant décidé désormais de séparer ces deux fonctions. En pratique, Laurent Guillet prendra ses nouvelles fonctions le 1er juin - sous réserve de l’approbation des autorités de tutelle compétentes - tout en conservant celles de directeur général d’Amundi Alternative Investments qu’il dirige depuis mai 2011. «Son objectif est double», indique un communiqué d’Amundi : «développer l’activité commerciale auprès des investisseurs britanniques en s’appuyant sur des expertises reconnues de la société de gestion et promouvoir mondialement l’expertise de gestion d’Amundi London Branch.» Pour sa part, Laurent Crosnier conserve donc ses fonctions de directeur de la gestion d’Amundi London Branch et de directeur général adjoint de la plateforme de Gestion taux sous la responsabilité d’Eric Brard, responsable Mondial des gestions Taux. «Dans ce rôle», indique la société, «il poursuivra sa mission consistant à faire de Londres le centre d’excellence pour la gestion de l’ensemble des produits internationaux : crédit, dette souveraine, dette marchés émergents et actions.» Directeur général d’Amundi Alternative Investments depuis mai 2011, Laurent Guillet occupait auparavant, depuis avril 2007, le poste de directeur général délégué. Pour sa part, Laurent Crosnier a été promu directeur de la gestion d’Amundi London Branch en 2010 puis, nommé la même année directeur général d’Amundi London Branch, tout en conservant son rôle de directeur de la gestion.
Pour les institutionnels, Allianz Global Investors (AGI) vient de lancer un «Spezialfonds» permettant de participer à des projets dans le domaine des énergies renouvelables, le Allianz Renewable Energy Fund (AREF), rapporte Das Investment.Ce produit, qui démarre avec les engagements de souscription de 100 millions d’euros et dont la durée est de 25 ans, est géré par l’équipe que dirige Armin Sandhövel, CIO Renewable Energy / Infrastructure Equity, et qui a été transférée chez AGI fin 2012 en provenance d’Allianz Climate Solutions.Le portefeuille sera principalement investi dans la zone euro, dans des parcs d’éoliennes et des installations photovoltaïques, mais pourra aussi s’engager dans les domaines des centrales hydroélectriques et les unités de production de bioénergies.
Au 1er juin, Eduardo Moran fera son entrée du directoire de Commerz Real (pôle immobilier de la Commerzbank) comme chief risk officer. L’intéressé, qui est entré à la Commerzbank en 1997, est actuellement chief credit officer corporates pour l’ensemble du portefeuille allemand et étranger de clientèle entreprises de la banque des PME (Mittelstandsbank) ainsi que pour la clientèle entreprises pour la division corporates & markets.Eduardo Moran remplacera Frank Jenes, qui sera désormais chargé au sein du directoire des participations dans des entreprises, de la distribution du leasing mobilier et de la structuration des actifs.