BNY Mellon renforce ses positions sur le terrain des hedge funds. Le groupe américain a annoncé, le 24 février, la signature d’un accord portant sur l’acquisition des 65 % de capital restants de HedgeMark International, un fournisseur de services de comptes gérés pour les hedge et d’analyse des risques dont il détenait 35 % depuis 2011. Sous réserve du feu vert des autorités réglementaires, l’opération pourrait être finalisée au cours du deuxième trimestre. Dans un communiqué, BNY Mellon indique que les compétences de HedgeMark seront intégrées dans ses offres Global Risk Solutions.Créée en 2009 et basée à New York, la société HedgeMark aide à la structuration, la surveillance et le contrôle des risques pour les hedge funds, en particuliers pour les comptes gérés pour les investisseurs institutionnels.
Le département Investissement Ile-de-France de BNP Paribas Real Estate Transaction, dirigé par Olivier Ambrosiali, renforce son équipe. Larry Young rejoint l'équipe au poste de directeur investissement international. Il conseillera les clients internationaux souhaitant investir en France. L’intéressé était dernièrement directeur adjoint du département Investissement de CBRE à Paris. Ingrid d’Harambure rejoint BNP Paribas Real Estate Transaction en tant que consultant investissement. Depuis 2011, elle était consultante au sein du département Global Private Solutions de CBRE. Cyril Kutalian est également nommé consultant investissement. Il a rejoint Atis Real (devenu BNP Paribas Real Estate Transaction) en 2006, comme consultant dans l'équipe Location Bureaux Ouest Ile-de-France, d’abord en Petites Surfaces puis pendant 4 ans en Moyennes Surfaces, avant de rejoindre le département Investissement. Ingrid d’Harambure et Cyril Kutalian sont en charge des opérations de bureaux inférieures à 15 millions d’euros, sous la responsabilité de Jean-Philippe Kuss, directeur adjoint du département Investissement Ile-de-France.
Belle prise pour BNY Mellon. Le groupe américain a annoncé, le 24 février, la nomination de Jeffrey A. Goldstein au sein de son conseil d’administration. Sa nomination doit encore être entérinée par une élection lors de l’assemblée générale de la compagnie, prévue le 8 avril 2014.Jeffrey Goldstein, 58 ans, ancien sous-secrétaire au Trésor des Etats-Unis et ancien directeur financier de la Banque Mondiale, affiche une longue carrière dans la finance. Il a débuté en 1984 au sein de la banque d’investissement James D.Wolfensohn, racheté en 1996 par Bankers Trust. Il devient d’ailleurs co-président de BT Wolfenshon. En 1999, il devient managing director de la Banque Mondiale avant d’être nommé directeur financier en 2003. Il rejoint ensuite, en 2004, la société de capital-investissement Hellman & Friedman en tant que managing director, poste qu’il quittera en 2009 lorsqu’il est nommé au Trésor américain. De 2009 à 2011, il occupe en effet les postes de conseiller au Secrétaire du Trésor puis de sous-secrétaire au Trésor en charge de la finance intérieure. Depuis 2011, il a réintégré Hellman & Friedman en tant que managing director en charge des investissements dans le secteur des services financiers.
«Une bonne année pour la gestion d’actifs», a souligné le 25 février le président du directoire de La Banque Postale, Rémy Weber, à l’occasion de la présentation de ses résultats annuels. De fait, les encours sous gestion des filiales du pôle gestion d’actifs de La Banque Postale ont enregistré l’an dernier une hausse de 3,5% à 150 milliards d’euros. Le PNB (produit net bancaire) affiche une progression de 11,9% à 134 millions d’euros. Les frais de gestion étant stables à 68 millions d’euros, le résultat brut d’exploitation a progressé de 27,2% à 66 millions d’euros. Le coefficient d’exploitation s’est amélioré de quelques dizaines de points de base pour s'établir à 52,7%.La collecte nette de La Banque Postale Asset Management s’est élevée à plus de 900 millons d’euros, hors CNP, portée par le dynamisme de la clientèle institutionnelle et malgré la décollecte constatée sur le segment des particuliers. La bonne tenue des marchés et la performance de la gestion permettent ainsi d’afficher fin 2013 un niveau d’encours supérieur de 4,5 milliards d’euros par rapport à 2012. La Banque Postale Gestion Privée a également enregistré de bonnes performances. La collecte nette, portée par la croissance de l’offre de mandats en assurance-vie, s'élève à près de 380 millions d’euros, en hausse de 63% par rapport à 2012.Tocqueville Finance enregistre un PNB stable à 14,3 millions d’euros, avec un redressement de la collecte au second semestre 2013 après un début d’année en demi-teinte.
La société de gestion spécialiste des marchés émergents Ashmore a accusé des rachats nets de 2,9 milliards de dollars sur les six derniers mois de 2013, pâtissant des sorties sur la classe d’actifs. Les encours ont décliné de 2,7 %. Le bénéfice avant impôts a baissé à 79,5 millions de livres, contre 114,1 millions au premier semestre de l’année.
F&C Asset Management a prévenu les investisseurs que ses revenus devraient avoir baissé au second semestre 2013 après un déclin des encours sous gestion, rapporte Money Marketing. Cet avertissement figure dans une lettre aux actionnaires détaillant le calendrier de l’acquisition de la société par BMO Global Asset Management. « Compte tenu d’une baisse des encours sous gestion moyens au second semestre 2013, les revenus devraient être plus faibles qu’au premier semestre de l’année », indique la société de gestion.
Ashmore Group a subi de plein fouet la violente tempête qui secoue les marchés émergents. Le gestionnaire d’actifs britannique spécialiste de ces marchés a en effet publié des résultats semestriels décevants. Ainsi, à l’issue de son premier semestre clos fin décembre 2013, Ashmore Group a accusé une décollecte nette de 2,9 milliards de dollars. Si la collecte brute est ressortie à 7,3 milliards de dollars sur la période, les rachats ont en revanche atteint 10,2 milliards de dollars. Résultat: ses actifs sous gestion baissent de 2,7 % pour ressortir à 75,3 milliards de dollars, contre 77,4 milliards de dollars à fin juin 2013.Dans un tel contexte, Ashmore Group a vu ses revenus reculer de 18 %, passant de 163,7 millions de livres à fin décembre 2012 à 134,6 millions de livres à fin décembre 2013. De même, son bénéfice avant impôt chute de 34 % pour ressortir à 79,5 millions d’euros, contre 120,2 millions de livres un an plus tôt.
Syz & Co s’ouvre les portes du marché scandinave. Le groupe bancaire suisse a annoncé, ce 25 février, avoir enregistré en Suède douze de ses fonds Oyster. Cette gamme est déjà enregistrée dans 10 pays européens. Le choix de la Suède n’est pas anodin. Avec 270 milliards d’euros investis, «le marché suédois des fonds de placement est un marché important en Europe et 76 % des Suédois épargnent à travers des fonds», observe Syz & Co.Comme dans d’autres pays européens, Oyster commercialisera ses fonds auprès de la clientèle d’investisseurs institutionnels, à savoir les fonds de pensions, les assureurs vie et les intermédiaires professionnels tels que les banques, les sociétés de gestion, les plateformes et les réseaux de distribution.
Axa Investment Managers (Axa IM) vient de procéder à deux recrutements afin d’étoffer son équipe obligataire asiatique, révèle Citywire Global. Ainsi, Jim Veneau a été nommé nouveau responsable du crédit Asie tandis que Christy Lee est nommée gérante au sein de l’équipe fixed income Asie.Ancien directeur des investissements chez HSBC Global Asset Management jusque-là basé aux Etats-Unis, Jim Veneau sera en charge des portefeuilles asiatiques crédit et fixed income et devra également assurer le développement de la stratégie crédit et fixed income d’Axa IM en Asie.Christy Lee, quant à elle, rejoint l’équipe d’Axa IM à Hong-Kong en provenance d’UBS Asset Management où elle était gérant-associé de portefeuille. Elle sera désormais responsable du développement et de l’exécution de la stratégie crédit d’Axa IM en se concentrant sur le marché du crédit pan-asiatique.
Northern Trust renforce ses positions en Asie-Pacifique. Le gestionnaire d’actifs, basé à Chicago, a annoncé ce 25 février l’ouverture d’un bureau de représentation en Malaisie afin d’accompagner ses actuels clients institutionnels et développer son activité dans le pays et dans la région. Il s’agit de la septième filiale de la compagnie en Asie.Afin de diriger cette nouvelle implantation, Northern Trust a recruté Ariani Rustam en provenance de Bank Negara Malaysia, la banque centrale du pays. Avant de rejoindre Northern Trust, elle a en effet officié pendant 12 ans au sein de l’institution où elle a été senior executive en charge de la gestion du risque, des opérations, de l’analyse quantitative et, au cours des cinq dernières années, directrice de la division External Fund Management au sein de laquelle elle a participé à l’introduction de nouvelles classes d’actifs pour diversifier l’investissement des réserves de la banque centrale malaisienne.La zone Asie-Pacifique constitue déjà un relais de croissance majeur pour Northern Trust. Ses actifs sous conservation y ont en effet progressé de 26 % par an entre 2008 et 2013 tandis que ses actifs sous gestion ont augmenté de 15% par an au cours des cinq dernières années.
Dans un long article, The Wall Street Journal revient sur le départ de Mohamed El-Erian de Pimco, dont il était directeur général, et tente de dépeindre l’ambiance que fait régner au sein de la société de gestion américaine son fondateur, l’emblématique Bill Gross.« Un environnement de travail très exigeant devenu moins collégial l’année passée, une détérioration des relations entre les deux dirigeants et des décisions prises par Bill Gross ayant semé la confusion parmi certains employés » seraient à l’origine du départ de Mohamed El-Erian.En juin dernier, Bill Gross et Mohamed El-Erian, longtemps considéré comme un successeur, se sont affrontés publiquement au sujet de la conduite du fondateur de la société, relate le WSJ. En novembre, le comité exécutif a tenté de les raccommoder. Mohamed El-Erian s’est même vu offrir davantage de pouvoir. Mais ce dernier a annoncé qu’il partait.« Tu ne peux pas partir », a protesté Bill Gross. « Nous avons besoin de toi ».Certains pensaient que les deux hommes allaient finir par surmonter leurs différends. En début d’année, Mohamed El-Erian a accepté de travailler avec un médiateur pour trouver une nouvelle façon de faire fonctionner la société. Mais Bill Gross a rejeté ce médiateur.Fin janvier, Mohamed El-Erian a donc annoncé à Bill Gross qu’il avait pris sa décision et partait.Dans l’article du WSJ, il apparaît par ailleurs que Bill Gross est un homme très exigeant avec ses employés, que les conditions de travail sont difficiles, mais que la société verse parmi les meilleures rémunérations du monde de la gestion.
Carl Vine, ancien managing director d’UBS et de SAC Capital Advisors, s’associe avec la société Dymon Asia Capital de Singapour afin de lancer un hedge fund actions long-short monde, indique Bloomberg. Le fonds sera principalement investi sur la région Asie Pacifique. La gestion du fonds sera assurée par une équipe dirigée par Carl Vine basée à Oxford. Dymon Asia Capital fournira l’infrastructure du fonds. Le produit se verra doté de 150 millions de dollars au départ et ne compte plus accepter de souscriptions à partir d’un encours de 500 millions de dollars, selon Bloomberg.
David Bonderman, le co-fondateur du fonds américain de private equity TPG a reconnu lors d’une conférence à Berlin réfléchir à une cotation, rapporte L’Agefi. Aucune décision définitive n’est toutefois encore prise, a précisé le responsable.
Tobam ne connait pas la crise. En 2013, la société de gestion a multiplié par deux ses actifs sous gestion. De 2,778 milliards de dollars au 31décembre 2012, ils ont atteint 5,568 milliards douze mois plus tard. Qui plus est, grâce à un effet souscriptions nettes représentant 2 milliards de dollars, le solde représentant l’effet performance. Interrogé par Newsmanagers, son président Yves Choueifaty a confirmé la vocation internationale de sa société dont 20 % des encours viennent d’outre-Atlantique et 73 % d’Europe du nord - et 8 % seulement de France. Une «anomalie» que l’emblématique responsable de Tobam regrette tout en pointant l’absence dans l’Hexagone d’une culture de l'épargne de long terme, «où le système des retraites par répartition est assimilable à un système par capitalisation de la dette»... L’Amérique développant une autre culture économique, Tobam a ouvert un bureau à New York quelques jours avant la fin de l’année dernière avec l’ambitieuse volonté de porter le poids de la clientèle américaine à 50 % de ses encours à un horizon de deux années. Pour se faire, le recours à un partenariat dans le monde de la distribution est envisagé. «Le développement de Tobam repose sur deux principes», indique Yves Choueifaty : " fabriquer sa légitimité en termes de gestion puis mettre en levier cette légitimité via un partenariat dans la distribution.» Pour l’Asie et le Moyen-Orient, où logiquement un bureau Tobam devrait être ouvert à terme, la société de gestion s’appuie aujourd’hui sur les forces de distribution d’Amundi qui a pris, l’an dernier, un ticket de 17,08 % au capital - aux côtés de Calpers qui en détient 12 %. Cette répartition pourrait-elle se modifier ? Yves Choueifaty botte en touche, préférant se polariser sur les résultats de ces rapprochements, notamment avec Amundi. Plutôt modeste en 2013, avec moins de 100 millions de dollars, la collecte via le géant français devrait connaitre un «très bon premier trimestre», de l’aveu du responsable, fruit de succès en Asie et au Moyen-Orient... En termes de développement, Tobam qui s’adresse essentiellement aux investisseurs institutionnels et pour une faible part aux banques privées, n’entend pas se fermer les portes d’autres clients, à l’image des conseillers en gestion de patrimoine indépendants pour qui sa gestion basée sur la diversification de l’investissement et l’anti-benchmark, doit être appréciée. Mais, fidèle à ses principes, cette entreprise ne se fera pas sans association dans le monde de la distribution. Reste à savoir comment ce développement pourra prendre corps. Car dès aujourd’hui,Yves Choueifaty prévient : si la taxe sur les transactions financières – qui n’est encore qu’une fiction selon ses termes – devait voir le jour et pénaliser ses clients, elle pourrait le conduire à prendre des décisions pour s’y soustraire. A commencer par la transformation de la nature juridique de ses fonds, tous actuellement de droit français.
Legg Mason Global Asset Management étoffe son équipe en Italie en nommant Stefano Colombo au poste de responsable des relations avec les clients, révèle Investment Europe. Avant de rejoindre Legg Mason, Stefano Colombo était en charge du service client chez State Street Global Advisors, après avoir travaillé chez PwC dans la division dédiée à l’industrie des services financiers, et plus particulièrement dans la gestion d’actifs et la banque privée.
Russell Investments a lancé en Italie le Russell Global Bond Fund Duration Hedged, une nouvelle classe de part qui couvre la duration du fonds Global Bond, rapporte Bluerating. « Cette nouvelle classe de part est une réponse pour les investisseurs qui veulent se protéger d’une éventuelle hausse des taux ou qui désirent choisir seuls leur propre niveau d’exposition à la duration », explique Michele Quinto, responsable commercial pour l’Italie de Russell Investments.
Nordea vient de signer un accord avec Banca Popolare di Vicenza, aux termes duquel la banque italienne distribuera les 66 compartiments de la Sicav Nordea 1 autorisés à la vente en Italie, rapporte Bluerating.
Robeco a fusionné ses fonds ressources naturelles et actions infrastructures en un seul fonds spécialisé sur les tendances de la croissance mondiale, rapporte Citywire. Le nouveau fonds s’appelle Robeco Global Growth Trends Equities et sera piloté par Henk Grootveld et Marco van Lent.
BBVA AM et Bankinter Gestión de Activos viennent d’enregistrer auprès de la CNMV, le régulateur espagnol, deux nouveaux fonds de gestion passive, révèle Funds People. Ainsi, Bankinter lance le fonds Bankinter Renta Semestral 2019, dont le portefeuille sera composé à 95 % de dette émise par les Etats de la zone euro ou les Communautés autonomes et à 5 % en liquidité. Ce véhicule pourra également investir en obligations privées ou publiques d’émetteurs de l’OCDE ayant une notation minimale de BB- ou identique à celle de l’Espagne.Pour sa part, BBVA lance le fonds BBVA Bonos Plazo VII, qui investira dans la dette émise par l’Espagne (initialement à hauteur de 96,6 %) et en liquidité. Si nécessaire, le véhicule pourra également investir dans des dettes émises par les Etats de la zone euro ou les Communautés autonomes, ainsi que dans des dettes privées en euros d’émetteurs de l’OCDE.Le montant initial d’investissement est de 500 euros pour le fonds de Bankinter et de 600 euros pour celui de BBVA. Les commissions de gestion sont fixées à 0,58 % pour le produit de Bankinter et à 0,85 % pour celui de BBVA.
Le gestionnaire d’actifs GAM vient d’enregistrer sur le marché espagnol, en tant que compartiments de sa Sicav luxembourgeoise GAM Star (Lux), deux nouveaux fonds de performance absolue, l’un centré sur les pays européens et l’autre sur les pays émergents, dévoile Funds People. Le premier fonds, baptisé GAM Star (Lux) European Alpha C EUR et qui compte un historique de plus de 10 ans, investit ainsi dans les actions des pays européens libellées en euros. Géré par Gianmarco Mondani, Roberto Cantaluppi et Paolo Longinotti, ce véhicule combine des stratégies long/short avec une approche bottom-up. Le deuxième fonds, GAM Star (Lux) Emerging Alpha C Euro, est orienté exclusivement sur les actions des pays émergents et est géré par Enrico Camera et Ian Cartmill. Actuellement, le portefeuille est principalement exposé au Moyen-Orient (6,27%), à l’Europe de l’Est (4,95%) et sur Taiwan (3,32%).
La «silver économie» (activités liées au vieillissement) s’est enrichie d’un fonds d’investissement sectoriel, rapporte L’Agefi. Un premier tour de table pour ce fonds de capital-investissement de 42 millions d’euros, a été réalisé auquel ont contribué Bpifrance (premier souscripteur à hauteur de 10 millions), les organismes de prévoyance et de protection sociale Klesia, Malakoff Médéric, Ircem Mutuelle (5 millions), Ocirp, Réunica, Humanis et Harmonie Mutuelle. Les instigateurs du projet espèrent atteindre 100 millions, voire légèrement au-delà, dans les douze mois. Géré par Innovation Capital (ex-CDC Innovation), le fonds entend investir entre 2 et 10 millions d’euros dans dix à quinze sociétés innovantes réalisant jusqu'à une dizaine de millions d’euros de revenus.
L’Etablissement de retraite additionnelle de la fonction publique (ERAFP) a publié sur son site la liste des marchés conclus par l'établissement en 2013 et établie dans les conditions définies par l’arrêté du 21 juillet 2011 pris en application de l’article 133 du code des marchés financiers.On y retrouve les traditionnelles sélections d’entreprises d’investissement pour l’attribution de mandats de gestion financière. Par exemple, Robeco AM, Natixis AM et Fundlogic ont été retenus pour un mandat portant sur des actions cotées de moyennes et grandes capitalisations Etats-Unis dans le cadre d’une gestion active ISR non benchmarkée.Mais on y apprend également que la société Ethifinance a été sélectionnée pour la formation des administrateurs de l’ERAFP sur la gouvernance, le contrôle interne et la déontologie. Ou encore que deux agences de conseil en vote aux assemblées générales ont été sélectionnées, Proxinvest pour l’analyse des AG de sociétés françaises, ISS pour l’analyse des AG de sociétés internationales On observe aussi que la société Fractales a été retenue pour la sélection d’un outil de gestion actif-passif et la mise en place d’un modèle ALM pour un régime de retraite par capitalisation. Et l’ERAFP a également retenu deux prestataires pour son assistance juridique, le cabinet d’avocats en droit public Adden, et le cabinet d’avocats d’affaires Allen & Overy. Mais l’objet du marché le précise bien : il s’agit d’une assistance «ponctuelle"…
Le fournisseur d’outils d’aide à l’investissement MSCI a publié le 25 février les résultats de son étude semestrielle sur les pratiques d’allocation des fonds de pension et des fonds souverains dans le monde. Une enquête réalisée au quatrième trimestre 2013 auprès de 80 institutionnels dans le monde représentant près de 4.000 milliards de dollars d’actifs."L’enquête montre que le plus grand défi des institutionnels est d’unifier les objectifs de long terme avec le caractère de court terme de la gestion d’actifs. Il ne ressort aucun consensus sur la fréquence des décisions d’allocation stratégique ou encore sur les méthodes utilisées. Cela peut entraîner de très grandes variations dans les résultats des investissements», indique Neil Gilfedder, managing director et responsable de la recherche analytique appliquée chez MSCI, cité dans un communiqué.L’enquête indique aussi que 95% des participants envisagent d’accroître ou de maintenir leurs allocations dans les classes d’actifs alternatives. Les raisons avancées pour la détention d’actifs alternatifs sont très variables. «Lorsqu’ils investissent dans l’immobilier notamment, certains institutionnels recherchent du rendement, d’autres du revenu et d’autres encore une diversification des risques. Sans une compréhension claire de la façon dont les classes alternatives contribuent au risque et au rendement au sein d’un portefeuille, ils n’ont aucune base sérieuse pour fixer des objectifs à leurs investissements», explique Neil Gilfedder.L’enquête s’est plus spécifiquement intéressée aux mesures prises par les institutionnels pour renforcer la gestion du risque de leur exposition à l’immobilier. A partir de données concernant 138 institutionnels, la recherche a analysé l’utilisation des indices de référence et la surveillance des risques de portefeuilles et de risques liés à la classe d’actifs. Bien que 70% des institutionnels utilisent des indices immobiliers, plus de 80% d’entre eux font preuve d’incohérences, notamment en utilisant des indices nationaux alors qu’ils investissement à l’international.
P { margin-bottom: 0.08in; } The Danish pension fund ATP, one of the largest in Europe (DKK592bn), has sold its German bonds and fixed income swaps for DKK20bn, in order to increase its investment in infrastructure, Financial Times fund management reports. It is the first major change for the fund since the arrival of its new CEO, Carsten Stendevad.
P { margin-bottom: 0.08in; } The bank UBS is prepared to pay EUR180m to EUR200m to the German tax authorities to avoid charges over its role in tax evasion practiced by Germans, according to the German newspaper Süddeutsche Zeitung. The bank “is preparing” to have to pay a sum of this order, the newspaper reports on the basis of “financial sources.” It would be “the largest penalty ever paid by a bank in Germany for complicity in tax evasion,” Süddeutsche Zeitung reports. The exact amount is subject to tough negotiations between the German authorities and the bank, the newspaper states. The regional government of North Rhine-Westphalia in 2012 purchased a CD containing information on German tax evaders, some of whose money was placed at UBS in Switzerland. In total, about CHF20bn in untaxed assets may have been placed by Germans with UBS, according to the Süddeutsche Zeitung.
P { margin-bottom: 0.08in; } The European acquisition financing landscape is changing considerably due to an increase in liquidity and a rapid inflow of alternative sources of capital offering new products, according to the 2014 report from DLA Paper on European acquisition financing, which surveyed more than 250 providers of debt, advising, sponsors and companies active in European financing markets. At the start of the year 2014, the outlooks for the European acquisition financing market appear much more optimistic than 12 years ago, with 70% of respondents expecting an increase in transaction activity this year, compared with 51% last year. In addition to a gradual increase in liquidity from traditional lenders, sponsors now have access to a wider range of debt providers, such as private debt fonds, bond funds and institutional investors. Private debt funds have a profound impact on the European market, participating in more than 50 deals in 2013, a significant increase over 2012. Given the volume of private funds raised and in pgrogess, with more than 30 having already raised funds, or in the process of doing so according to funds qurveyed. - this trend is expected to increase in 2014.
P { margin-bottom: 0.08in; } As part of the trial of four former employees of Bernard Madoff, his former secretary on Monday declared, in her own defence, that she considered the disgraced financier a “big brother” to her and that she granted him such trust that she never questioned his instructions, the Wall Street Journal reports. Annette Bongiorno, who worked with the fraudster for 40 years, considered him her “hero” and never imagined that he was orchestrating a massive fraud. The secretary said she learned everything from Madoff and was therefore not surprised that she often had to backdate documents.
P { margin-bottom: 0.08in; } The time bell has sounded for a cleanup at Ignis Asset Management (AM). The British asset management firm, an affiliate of the Phoenix insurance group, has announced a restructuring of its offshore fund range, in order to use Luxembourg as the single centre for its European funds. The merger of funds domiciled in Dublin, Ireland, into its Luxembourg structure aims to realise cost savings and to allow for greater growth of assets in the future. The Ignis AM Luxembourg Sicav currently has GBP2.6bn in assets (EUR3.15bn), compared with GBP300m (EUR363bn) for its Irish counterpart. “These changes will allow our activity to be concentrated on the most appropriate products, and those which we estimate are the most in phase with the future needs of our clients,” Ignis AM explains in a note.
P { margin-bottom: 0.08in; } Robeco has merged its natural resources and infrastructure equities funds into a single fund specialised in trends in global growth, Citywire reports. The new fund entitled Robeco Global Growth Trends Equities will be managed by Henk Grrotvels and Marco van Lent.
P { margin-bottom: 0.08in; } JP Morgan Asset Management is planning to reduce its annual fees for the JPM Emerging Markets trust to 0.75% from 1%, if assets in the fund reach GBP800m after 1 July, Money Marketing reports. Assets under management in the strategy managed by Richard Tetherington currently total GBP688m, The performance commission will be maintained at 10%. In second half 2013, the trust was down 5.7%, while the MSCI Emerging Markets Index was down by only 1.4%.