Conscients du rôle clef joué par les Petites et Moyennes Entreprises (PME) dans la relance de la croissance et de l’emploi en France, le groupe BNP Paribas et la Banque européenne d’investissement (BEI) ont décidé de renforcer leur soutien aux entreprises françaises via une ligne de crédit de 400 millions d’euros. Le contrat de financement a été signé le 14 mars 2014 au siège du groupe BNP Paribas par. Villeroy de Galhau, directeur général délégué du groupe BNP Paribas et Philippe de Fontaine Vive, vice-Président de la Banque européenne d’investissement (BEI).Il s’agit d’un financement d’envergure - 400 millions d’euros au total pour l’année 2014 - destiné à soutenir des projets d’investissements réalisés par des Petites et Moyennes Entreprises (PME) dans les secteurs clefs de l’agriculture, de l’industrie et des services en France. Grâce à la notation triple A de la BEI, les bénéficiaires de ce financement auront accès à des conditions financières favorables.« Nous plaçons les entrepreneurs au cœur de notre stratégie entreprises. Aussi avons-nous lancé, cette année, l’initiative « BNP Paribas entrepreneurs 2016 ». Nous avons ainsi annoncé 7 nouveaux engagements à destination des entrepreneurs, avec la mise à disposition d’une enveloppe minimale de 10 milliards d’euros de financement. Nous nous réjouissons de porter encore plus avant notre partenariat avec la BEI, » a déclaré François Villeroy de Galhau, Directeur général délégué de BNP Paribas en charge des Marchés Domestiques.Face au contexte économique actuel et à la demande croissante de financement des PME, le groupe BEI a renforcé son action en faveur des entreprises françaises. En 2013, le Groupe y a consacré 1,34 milliard d’euros de financements. Grâce à l’effet de levier de ces financements, 5,6 milliards d’investissements ont pu être réalisés par plus de 150 000 PME et TPE françaises en 2013.
Le fonds SG Actions Euro PME fait son apparition dans la gamme de fonds de la Société Générale. Le portefeuille est investi dans des actions de Petites et Moyennes Entreprises ou d’Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI), principalement situées en zone euro. Les investissements se caractérisent par une diversification en termes de secteurs d’activité et d’exposition géographique ainsi qu’une gestion de conviction qui privilégie la qualité du management et le potentiel de croissance, estimés par l’équipe de gestion. Caractéristiques : Code ISIN : FR0011674738Forme juridique : FCPFrais d’entrée : 2% max jusqu’à 30 000 EUR ; 1 % max au-delàFrais de sortie : néant Frais courants : 1,60 % de l’actif net moyen Périodicité Valeur Liquidative : quotidienne Eligible au PEA-PME/ au PEA/ à l’Assurance-Vie/au Compte-Titres OrdinaireAu moins 75% du portefeuille de SG Actions Euro PME est composé d’actions afin de répondre aux critères d’éligibilité du PEA-PME
Tikehau IM a annoncé plusieurs nominations, ce vendredi 14 mars, visant à renforcer ses équipes dédiées à l’immobilier et aux actions. Ainsi, Frédéric Jariel est nommé co-responsable de l’équipe immobilière, une activité qui a pour objectif de collecter 250 millions d’euros de capitaux en 2014. Expert comptable de formation, l’intéressé a démarré sa carrière chez Coopers & Lybrand en tant qu’auditeur avant de rejoindre en 1996 Archon Group France, une filiale de Goldman Sachs dédiée à l’immobilier où il a officié pendant 17 ans à différents postes en Europe. Dernièrement, il était directeur des opérations et directeur général de l’entité française.En parallèle, Thomas Friedberger et Vincent Mercadier ont rejoint l’équipe actions de Tikehau afin de développer davantage cette activité. Diplômé de l’ESCP majeure Finance, Thomas Friedberger a effectué toute sa carrière en salle de marchés. Après quatre ans chez Société Générale à Milan et Paris sur les obligations convertibles et les dérivés actions et une année chez JP Morgan sur les taux et le crédit, il a ensuite officié pendant 13 ans chez Goldman Sachs à Londres, Milan et Paris sur les dérivés de change puis les obligations convertibles et les dérivés sur actions. Depuis 2008, il était managing director au sein de la banque américaine avec des responsabilités sur la France et le Benelux.Vincent Mercadier, diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’Université de Berkeley, a débuté sa carrière en 2007 à New York en tant qu’analyste chez La Fayette Management. En 2010, il a rejoint Royal Capital Management à New York où il a intégré l’équipe de recherche en tant qu’analyste equity.
Les mois se suivent et se ressemblent pour les grandes gestionnaires d’actifs américains. Selon des données préliminaires, leurs encours ont poursuivi leur croissance au cours du mois de février.Ainsi, AllianceBernstein a enregistré une hausse de 2,9 % de ses actifs sous gestion, à 458 milliards de dollars fin février, contre 445 milliards fin janvier. Une évolution portée à la fois par un effet marché positif et une collecte nette dont le montant n’a pas été dévoilée.Franklin Templeton et Invesco ne sont pas en reste. Le premier a vu ses encours progresser de 2,9 % sur un mois, à 882,2 milliards de dollars, tandis que le second a enregistré une augmentation de ses actifs gérés de 3,4 %, à 791,2 milliards de dollars.Legg Mason affiche la croissance la plus faible de ce quatuor. A fin février, ses encours s’établissent à 695 milliards de dollars, soit une augmentation de 2,19 % par rapport aux 679,9 milliards de dollars d’actifs gérés fin janvier.
UniCredit a pour objectif de vendre ou d’introduire en Bourse sa société de gestion Pioneer Investments à un prix de 2-3 milliards d’euros, dans le cadre d’un programme de cessions d’actifs, révèle le Financial Times, citant des personnes proches de la banque. Cela pourrait intervenir dès l’année prochaine. UniCredit, qui a annoncé une perte record de 14 milliards d’euros la semaine dernière, avait déjà tenté de vendre Pioneer il y a quatre ans, mais avait abandonné le projet peu après l’arrivée de Federico Ghizzoni en tant que directeur général. Une personne proche du dossier explique que la banque a abandonné des négociations avec le français Amundi il y a quatre ans en raison de pressions politiques.
La société Schelcher Prince Gestion annonce le recrutement de Quentin Philippe pour renforcer son équipe de gestion convertibles et consolider son modèle d’organisation des synergies analyse/gestion, indique un communiqué. Auprès d’Hubert Lemoine, responsable des obligations convertibles, il apporte son expérience du secteur des technologies, médias et télécommunications, qui représente près de 25% du total des émissions mondiales d’obligations convertibles. Avant de rejoindre l’équipe de Schelcher Prince Gestion fin 2013, Quentin Philippe a lancé en 2012 la recherche transverse multi classe d’actifs d’Oddo Securities, associant les recherches Equity et Fixed Income avec un focus particulier sur les obligations convertible. .
Ken Tam, jusque-là responsable pour l’Asie du Nord chez JP Morgan Asset Management, a rejoint Deutsche Asset & Wealth Management (DeAWM) en Asie pour occuper la même fonction au sein de la compagnie allemande, croit savoir Asian Investor qui cite des sources proches du dossier.D’après le site d’information, Ken Tam, qui a passé 20 ans chez JP Morgan AM dont 7 années en tant que responsable pour l’Asie du Nord, sera chargé chez DeAWM de couvrir les activités dédiées aux clients retail et institutionnels pour l’établissement allemand dans cette même région.
Citi Investor Services a annoncé avoir remporté un mandat auprès du groupe East Capital pour la fourniture de services comprenant la conservation et l’administration de fonds pour le fonds récemment lancé China A-Shares Fund, un compartiment de la sicav-SIF East Capital (Lux) SCA. Citi Investor Services renforce ainsi une relation d’affaires déjà bien en place avec la société de gestion spécialisée sur les marchés émergents et les marchés frontières.
Société Générale est en passe de céder au groupe bancaire singapourien DBS Group Holdings ses activités de banque privée en Asie pour environ 250 millions de dollars (180 millions d’euros), ont indiqué le 14 mars à Reuters des sources proches du dossier. Un accord entre les deux établissements pourrait être annoncé dès ce lundi, ont ajouté ces sources.Ni la Société Générale ni le groupe DBS n’ont souhaité commenter ces informations. En janvier, des sources avaient indiqué que DBS était en discussions avancées avec la Société Générale pour reprendre la filiale de banque privée du groupe français en Asie.
Courant 2013, M&G Investments a vu ses encours sous gestion passer d’un niveau de 4,3 milliards d’euros à 8,1 milliards d’euros, rapporte Bluerating. « M&G vient de boucler sa meilleure année en Europe, et cela vaut aussi pour l’Italie, qui est désormais le deuxième pays d’Europe du groupe après le Royaume-Uni », a commenté Matteo Astolfi, directeur de M&G en Italie.
Le directeur général de Man Group, Emmanuel Roman, a vu sa rémunération plus que tripler l’année dernière à 3,4 millions de dollars, après que le bénéfice et le cours de l’action de la société de hedge funds a augmenté pour la première fois depuis 2009, rapporte Bloomberg. Emmanuel Roman a perçu un salaire de 1 million de dollars et des bonus estimés à 2,3 millions de dollars. En 2012, il avait perçu 1 million de dollars, mais aucun bonus.
Old Mutual Global Investors élargit sa gamme de produits. Comme évoqué fin 2013 (lire NewsManagers du 23 décembre 2013), la société de gestion a officialisé le lancement de trois nouveaux fonds multi-classe d’actifs de la gamme Foundation co-gérés par John Venture, responsable de la multigestion, Stewart Cowley, directeur des investissements pour le fixed income, et Paul Simpson, responsable des actions britanniques, rapporte FT Adviser. Ces trois produits investiront exclusivement dans des fonds d’Old Mutual exposés notamment aux actions et obligations. Selon le site d’information, l’objectif de ces fonds est de réaliser un rendement de 3 à 5 % au-dessus de l’inflation avec un horizon d’investissement de 5 à 10 ans.
Le gestionnaire d’actifs américain BNY Mellon a fermé deux fonds suite à la forte baisse de leurs actifs sous gestion, rapporte Citywire Global. Le premier véhicule concerné est le BNY Mellon Evolution Global Alpha, lancé en 2006 en tant que stratégie multi-classe d’actifs à performance absolue, qui affichait 6 millions de livres (7,18 millions d’euros) lors de sa clôture.Le second fonds est le BNY Mellon Latin America Infrastructure, lancé en 2010 et qui affichait environ 1 million de livres (1,2 million d’euros) à la date de sa clôture.
La société de gestion britannique Chelverton Asset Management, qui affiche environ 285 millions de livres d’encours, vient de nommer Richard Bucknell au poste de directeur des investissements au sein de son équipe actions non cotées (unquoted equities team), rapporte Fundweb. L’intéressé travaille pour Chelverton depuis septembre 2013 en tant que consultant. Précédemment, Richard Bucknell a officié chez Barclays Ventures, ISIS Equity Partners et Catapult Venture Managers.
La banque privée Sal. Oppenheim, basée à Cologne, a annoncé le recrutement d’Ulrich Hähner en qualité de nouveau responsable de la gestion institutionnelle qui va notamment conseiller les family offices et les fondations.Ulrich Hähner travaillait précédemment chez J. Safra Sarasin Deutschland en qualité de responsable de l’antenne de Cologne, responsable pour l’ensemble de l’Allemagne des solutions dédiées et de l’accompagnement des fondations et des familles fortunées.La banque a a par ailleurs regroupé au sein du pôle bancaire les services dédiés à la clientèle privée et institutionnelle, désormais pris en charge par Nicolas von Loeper, membre du directoire. Ce regroupement devrait notamment permettre de répondre plus facilement à l’intérêt croissant des investisseurs institutionnels pour les actifs illiquides, précise un communiqué.
En février, les fonds commercialisés en Norvège ont enregistré des souscriptions nettes de 29,7 milliards de couronnes norvégiennes, selon l’association locale des fonds d’investissement Verdipapirfondenes forening (VFF).La collecte a été drainée par les fonds obligataires, avec des souscriptions nettes de 32,5 milliards de couronnes. En revanche, les fonds actions et les fonds diversifiés ont vu sortir 3,1 milliards de couronnes.Le mois a été dominé par les investisseurs institutionnels, qui ont investi un montant net de 28,5 milliards de couronnes.
Value Partners franchit une nouvelle étape dans son développement. La société de gestion asiatique a enregistré en 2013 une croissance de ses actifs sous gestion de 23,5 % pour atteindre 10,5 milliards de dollars contre 8,5 milliards de dollars en 2012, a-t-elle annoncé le 13 mars. Cette évolution a été rendue possible à la fois grâce à un effet marché très positif et une importante collecte nette. Les souscriptions nettes se sont en effet établies à un niveau «record» de 1,3 milliard de dollars en 2013, contre seulement 200 millions de dollars en 2012, portées par l’appétit des investisseurs pour les fonds existants, de nouveaux mandats auprès des institutionnels et, enfin, le développement de son activité en Chine et à Taïwan.Sur l’ensemble de l’exercice écoulé, le chiffre d’affaires de Value Partners a progressé de 57,7 %, à 1 milliard de dollars de Hong-Kong (128,8 millions de dollars). L’an dernier, ses profits ont augmenté de 2,1 %, à 384,3 millions de dollars de Hong-Kong (49,5 millions de dollars).
L’investisseur Ram Bhavnani vient d’obtenir du régulateur espagnol, la CMNV, la possibilité pour sa Sicav Evolution Investment – qui gère aujourd’hui sa fortune personnelle – de s’ouvrir à la fois aux investisseurs institutionnels et aux investisseurs particuliers, rapporte Cotizalia. Il s’agit d’une petite révolution sur le marché espagnol puisque c’est la première fois qu’un tel véhicule se voit accorder la possibilité d’émettre différents types d’actions: les unes dédiées aux particuliers et les autres pour les institutionnels.Dans ce cadre, Ram Bhavnani a confié sa Sicav à Banco Madrid et à la société de conseil financier Cross Capital, jouant le rôle de gérant et de dépositaire. Son objectif est de rivaliser avec Warren Buffet, l’emblématique patron de Berkshire Hathaway, qui dispose également d’un véhicule similaire pour gérer sa fortune personnelle tout en étant ouvert aux investisseurs extérieurs.
BNP Paribas Securities Services et Axa Investment Managers ont élargi leur partenariat aux services de support à la distribution de fonds en Amérique latine. Cela a été rendu possible avec l’adhésion de BNP Paribas à la plateforme régionale de compensation NSCC (National Securities Clearing Corporation) en tant que fund member. Ainsi, les principaux courtiers latino-américains auront accès aux différentes gammes de fonds d’Axa IM. « L’Amérique latine, qui est désormais plus accessible, est un marché prioritaire pour nous. Avec ce partenariat renforcé, nous proposons désormais sur tout le marché latino-américain notre offre ONE (Offer to meet Needs Everywhere), un dispositif de service client très apprécié qui est déjà déployé en Europe et en Asie (…) », a commenté Joseph Pinto, chief operating officer chez AXA IM.
Selon L’Agefi, Noble Group, une filiale de Temasek, le fonds souverain de Singapour, propose de racheter le solde du capital d’Olam International. L’OPA valorise le premier négociant mondial en riz, café et cacao à 5,3 milliards de dollars de Singapour (3,01 milliards d’euros environ).
Discrète, Neuflize OBC Investissements que préside Stéphane Corsaletti n'en a pas moins connu une révolution qui s'est achevée à la fin de l'an dernier avec la fusion de cinq sociétés de gestion et une refonte de sa gamme. De quoi accroître son ambition alors qu'elle a déjà collecté plus de 3 milliards d'euros en 2013 et souhaite encore accroitre sa part de marché auprès des investisseurs institutionnels. Pour ce faire, NOBC Investissements vient de recruter deux gérants seniors d'obligations convertibles, une classe d'actifs clé tant pour cette clientèle que pour la société de gestion...
UBS s’inquiète pour sa branche dédiée à la gestion d’actifs. En 2013, UBS Global Asset Management (UBS GAM) a en effet accusé une deuxième année consécutive de décollecte nette, peut-on lire dans le rapport annuel publié le 14 mars sur le site internet du groupe bancaire suisse. De fait, après avoir subi 13,3 milliards de francs suisses de rachats en 2012, la société de gestion a de enregistré 19,9 milliards de francs suisses de retraits nets en 2013. Des chiffres qui incluent les flux sur les monétaires. Dans le détail, UBS GAM a connu une décollecte nette de 4,8 milliards de francs suisses hors monétaires et 15,1 milliards sur les seuls fonds monétaires. Cette situation préoccupe tout particulièrement le groupe UBS. «Global Asset Management a connu des retraits nets sur les actifs gérés pour le compte des clients en 2012 et 2013, peut-on lire dans le rapport annuel. La poursuite de cette décollecte pourrait affecter de manière négative les résultats de cette division.»Pour autant, à ce stade, UBS GAM affiche toujours des résultats globalement satisfaisants. Fin 2013, ses profits avant impôts ont progressé de 1,2 %, à 576 millions de francs suisses, contre 569 millions en 2012.
Le groupe UBS a fortement augmenté les bonus grâce à la solide performance réalisée en 2013. L’enveloppe destinée aux rémunérations variables est ainsi passée en l’espace d’un an de 2,5 à 3,2 milliards de francs, selon le rapport de gestion d’UBS publié le 14 mars.Un bond de 28% qui s’explique par le fait que ces primes avaient été réduites après le scandale de la manipulation du taux Libor. Le montant de 3,2 milliards de francs destiné aux bonus correspond au bénéfice net réalisé l’an dernier par la grande banque (3,17 milliards de francs).Le patron d’UBS, Sergio Ermotti, a vu sa rémunération nettement augmenter l’an dernier. Il a perçu 10,7 millions de francs, contre 8,9 millions en 2012. Le directeur général n’est toutefois pas le dirigeant le mieux payé du numéro un bancaire helvétique. Le responsable de la banque d’investissement, Andrea Orcel, a touché 11,4 millions de francs.
En 2013, la banque privée suisse Notenstein a légèrement augmentéses encours sous gestion, à 20 milliards de francs suisses à la fin de l’année. La perte des encours gérés pour le compte de clients étrangers a été compensée par une hausse des actifs gérés pour la clientèle suisse. L’intégration de la boutique TCMG Asset Management AG ajoute 6 milliards de francs aux actifs du groupe. La filiale 1741 Asset Management AG a pour sa part enregistré une hausse de 30 % de ses encours, à 2,5 milliards de francs suisses.
P { margin-bottom: 0.08in; } The Schelcher Prince Gestion company has announced the recruitment of Quentin Philippe as an addition to its convertibles management team and a consolidation of its analysis/management synergy model, a statement says. He will report to Hubert Lemoine, head of convertible bonds, and will contribute his expertise in the technologies, media and telecommunications sector, which represents more than 25% of total global convertible bond issues. Before joining the team at Schelcher Prince Gestion at the end of 2013, Philippe in 2012 launched transversal multi-asset class research at Oddo Securities combining equity and fixed income research with a particular focus on convertible bonds.
P { margin-bottom: 0.08in; } In order to accelerate its development, Tikehau IM on Friday, 14 March announced several appointments to reinforce its teams dedicated to real estate and equities. Frédéric Jariel is appointed as co-head of the real estate team, an activity which aims to bring in EUR250m in capital in 2014. Jariel, an accountancy expert by training, began his career at Coopers Lybrand. Thomas Friedberger and Vincent Mercadier join the equities team at Tikehau in order to develop this activity further. Friedberger is a graduate of ESCP in finance, and began his career as a market trader. Mercadier, a graduate of the Ecole Polytechnique and the University of California – Berkeley, began his career in 2007 in New York as an analyst at La Fayette Management.
P { margin-bottom: 0.08in; } Citi Investor Services has announced that it has won a mandate from the East Capital group to provide customer services includes fund custody and administration for the recently-launched China A-Shares Fund, a sub-fund of the East Capital (Lux) SCA Sicav-SIF. Citi Investor Services thus strengthens an already well-established relationship with the emerging market and frontier market specialist asset management firm.
P { margin-bottom: 0.08in; } The months are lining up for large US asset management firms. According to preliminary data, their assets continued to increase in february. AllianceBernstein has posted an increase of 2.9% to its assets under management, to USD458bn as of the end of February, compared with USD455bn at the end of january. This increase was driven both by positive market effects and a net inflow whose total has not been revealed. Franklin Templeton and Invesco have not been left behind. The former saw an increase in its assets of 2.9% month on month to USD882.2bn, while the latter posted an increase in assets under management of 3.4% to USD791.2bn at the end of February.Finally, Legg Mason posted an increase of 2,19% to its asset under management to USD695 bn at the end of february, compared to USD679.9 bn at the end of january.
UniCredit aims to sell or hold an initial public offering for its asset management firm Pioneer Investments, at a price of EUR2-3bn, as part of an asset sell-off programme, the Financial Times reports, citing sources close to the bank. The move may come next year. UniCredit, which announced a record loss of EUR14bn last week, had already tried to sell Pioneer four years ago, but dropped the plans shortly after the arrival of Federico Ghizzoni as CEO. A source familiar with the matter explains that the bank pulled out of talks with the French firm Amundi four years ago under political pressure.
P { margin-bottom: 0.08in; } BlackRock controls 5.246% of UniCredit, Bluerating reports, citing the most recent statistics from Consob, the Italian regulator. The stake is distributed between various funds of the US financial group, and dates from 7 March. As of the end of January, BlackRock already controlled 5% of the Italian bank.