Aviva Investors has hired Simon Young as UK equities fund manager. He joins from BlackRock, where he was UK equities fund manager, managing over GBP1 billion in core UK equity and income mandates for a range of institutional, charity and fiduciary clients.He is based in London and reports to Trevor Green, head of UK equities. In this new role, Simon will work on Aviva Investors’ institutional UK Equity Fund and assist on the GBP992 million retail UK Equity Income Fund.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } The threshold of 1,000 ETFs listed on the Swiss stock market was passed first quarter 2015, due to the registration of 39 new ETFs, bringing the total to 1,018, according to statistics for first quarter released by Six Swiss Exchange. A total of 19 companies created instruments, which are traded by 23 official market makers. The top five providers are UBS, ComStage, iShares, Lyxor and db x-trachers, which collectively represent 70% of the 1,018 ETFs listed. In terms of volumes traded in the quarter, iShares and UBS are the top two players, with about 80% of volumes.
Précédé par des rumeurs de plus en plus insistantes, l’accord de rapprochement entre Pioneer Investments et Santander Asset Management a finalement été annoncé jeudi en fin d’après-midi, éclipsant les autres nouvelles de la semaine. Il donne naissance à un poids lourd de la gestion d’actifs, avec 400 milliards d’euros d’encours sous gestion.Figurant dans le «top 10" des sociétés de gestion européennes, le nouveau groupe dépasse de loin NN Investment Partners – anciennement ING Investment Management - qui gère 186 milliards d’euros et aspire à devenir l’un des leaders de la gestion d’actifs en Europe. La société néerlandaise affiche aussi des ambitions fortes en France, visant 5 milliards d’euros d’encours sous gestion dans les trois ans qui viennent. Pour y parvenir, elle compte notamment se renforcer auprès des investisseurs institutionnels, un marché encore fortement dominé par les filiales de gestion des grandes banques françaises, selon une étude de bfinance. A noter par ailleurs que l’une d’elles, Natixis Global Asset Management, a annoncé l’ouverture d’un bureau en Uruguay. En dépit des vacances scolaires qui s’accompagnent souvent d’une chute notable d’activité, le marché français de la gestion a aussi été le théâtre cette semaine de quelques annonces importantes. Outre les derniers résultats de Carmignac Gestion et ceux de Neuflize OBC, lequel rejoint le club des sociétés gérant plus de 50 milliards d’euros, on notera le retour de Stéphane Toullieux. L’ancien directeur général de la Financière de l’Echiquier refait surface en acquérant 5 % de Trusteam Finance via sa société de conseil. Et il ne devrait pas s’arrêter là… Les rémunérations ont également été à la une de l’actualité en cette fin avril. Le Financial Times nous dévoilait lundi le classement des dirigeants les mieux payés du secteur de la gestion d’actifs à l'échelle mondiale. Sans surprise, le patron de BlackRock arrive en tête... alors que sa société s’est fait taper sur les doigts cette semaine par le gendarme boursier des Etats-Unis. Parallèlement, Unigestion, l’un des acteurs de la gestion de hedge funds, milite pour un remaniement des frais versés aux gérants.Enfin, l’autre thème qui aura marqué la semaine est celui des réseaux sociaux. Deux études en font mention, notamment une qui se focalise sur le marché français. Il en ressort que, sur la Toile, les petites sociétés peuvent faire aussi bien que les grandes. Mais l’une d’elles semble quand même se démarquer par sa présence. Il s’agit d’Amundi… Retrouvez ces articles ci-dessous. Bonne lecture !
Les actifs sous gestion de la banque privée allemande Berenberg ont progressé l’an dernier de 20% ou 6 milliards d’euros pour atteindre 36,1 milliards d’euros, selon un communiqué de la société. Sans préciser le montant de la collecte nette qui a contribué à cette évolution, Berenberg relève que la part de l’international dans les encours est passée au cours des cinq dernières années de 20% à 50%. Les effectifs de la banque privée ont augmenté l’an dernier de 9% ou 103 personnes à 1.250. Berenberg a notamment ouvert des bureaux à San Francisco et Chicago en 2014. Après Hambourg qui compte un effectif de 737 personnes, les trois plus grandes implantations de Berenberg sont Londres (213), Zurich (84) et Francfort (83).
Le cap des 1,000 ETF listés en Bourse suisse a été franchi au premier trimestre 2015 grâce à l’enregistrement de 39 nouveaux ETF, ce qui porte le total à 1.018, selon les statistiques de premier trimestre communiquées par Six Swiss Exchange. Ce sont au total 19 sociétés qui ont créé ces instruments qui sont traités par 23 « market makers » officiels. Les cinq principaux fournisseurs sont UBS, ComStage, iShares, Lyxor et db x-trackers qui représentent collectivement 70% des 1.018 ETF cotés. En termes de volumes traités durant le trimestre, iShares et UBS sont les deux plus gros acteurs avec environ 80% des volumes.
L'éditeur de logiciels dédiés à la gestion d’actifs NeoXam a annoncé le 23 avril l’acquisition de Nexfi, éditeur de progiciels financiers spécialiste des gestions complexes. Tracker 3, sa solution phare, permet aux asset managers de maîtriser toute leur chaine de valeur front et middle-office. «Cette opération consolide la position de NeoXam comme acteur majeur dans le domaine des solutions d’asset management en Europe. Les apports croisés des équipes Nexfi et NeoXam vont permettre au groupe de couvrir un spectre métier exceptionnellement riche tout en élargissant les compétences technologiques de NeoXam qui disposera désormais d’une très forte expertise .NET», souligne un communiqué. NeoXam fournit des solutions front, middle et back-office aux gérants, administrateurs de fonds et aux assureurs. Fort de 25 années d’expérience, NeoXam sert plus de 120 clients dans plus de 25 pays. Près de 7.000 milliards de dollars d’actifs sont traités quotidiennement sur les solutions NeoXam par plus de 10.000 utilisateurs.
Scor Global Investments (Scor GI), société de gestion d’actifs du groupe Scor , poursuit le renforcement de ses fonctions centrales avec des nominations clés au sein du pôle contrôle des risques, conformité et contrôle interne et une évolution de la composition de son directoire. Eric Talleux est nommé directeur du contrôle des risques. Il dirige le contrôle des risques, la conformité, et le contrôle Interne, et est rattaché à François de Varenne, président du directoire de Scor Global Investments. Raphaëlle Poupon rejoint également la société en tant que responsable conformité et contrôle interne (RCCI), sous la direction d’Eric Talleux. Le directoire de Scor Global Investments est élargi pour accueillir, aux côtés de Benjamin Ayache, directeur des opérations et Fabrice Rossary, directeur des investissements, Olivier Nolland, directeur des ventes et du marketing, et Eric Talleux, directeur du contrôle des risques. Le directoire est présidé par François de Varenne. «Après une très belle année 2014 en termes de collecte, Scor Global Investments poursuit le renforcement de son organisation pour soutenir son expansion et la croissance des actifs gérés pour compte de tiers.La création d’une direction de contrôle bénéficiant d’une perspective holistique des risques témoigne de notre volonté de placer la maîtrise des risques au coeur de notre gestion. L’expertise d’Eric Talleux dans les domaines des risques de marché, des risques opérationnels, du contrôle interne et de la conformité sera un atout pour poursuivre notre développement auprès des investisseurs institutionnels», souligne François de Varenne, cité dans un communiqué Avant de rejoindre Scor GI, Eric Talleux a travaillé cinq ans chez Lyxor AM où il a occupé successivement les postes de responsable du développement Asie à Hong Kong, puis responsable de la gestion volatilité, puis responsable du département du contrôle des risques, de la conformité et du contrôle interne. Depuis novembre 2013, Éric Talleux était membre du comité de direction de Lyxor AM. Auparavant, il a travaillé chez SGAM puis SGAM AI, à Paris et Singapour, en tant que gérant de fonds et responsable de l’activité de gestion discrétionnaire volatilité. Il a débuté sa carrière au sein de la Banque Paribas en tant que trader dérivés de taux, il a été responsable du desk taux FRF, puis responsable du desk Swaptions et Caps et Floors EUR à Londres. Il a ensuite été trader pour compte propre en obligations convertibles avant de rejoindre SGAM. Raphaëlle Poupon était précédemment consultante spécialisée en conformité réglementaire auprès de prestataires de services d’investissement, et auditeur de sociétés de gestion et fonds d’investissement chez KPMG Audit pendant près de 14 ans.
La société de gestion italienne Azimut a acquis 60 % de Quest Investimentos, une boutique brésilienne gérant environ 615 millions d’euros, pour un montant estimé à 21,5 millions d’euros.Cette opération lui permet de doubler sa taille au Brésil, à 1,11 milliard d’euros, et de franchir un pas supplémentaire vers son objectif de long terme de devenir une société de gestion indépendante qui compte au Brésil. La maison transalpine est déjà présente dans le pays d’Amérique latine, dont le secteur de la gestion d’actifs pèse 750 milliards d’euros à fin décembre 2014, avec Azimut Brasile.Fondée en 2001 par l’ancien ministre brésilien des Télécommunications et ancien président de la banque nationale de développement BNDES Luiz Carlos Mendonça de Barros, Quest gère principalement des produits actions et s’affiche comme l’une des sociétés de gestion les plus performantes au Brésil, selon un communiqué. Elle est connue surtout pour ses fonds haut rendement comme Quest Ações, Quest Small Caps e Quest Equity Hedge. Composée d’une trentaine de personnes, elle s’adresse aux investisseurs institutionnels (qui représentent 55 % de sa clientèle), aux individus fortunés et investisseurs privés (34 %) et aux institutions financières (10 %). Avec Azimut Brasile, les deux sociétés formeront la joint venture AZ Quest. Pour revenir à l’opération, le fondateur Luiz Carlos Mendonça de Barros, la banque d’investissement BTG Pactual et l’équipe de gestion vendront respectivement 35 %, 15 % et 10 % du capital de Quest à Azimut. Luiz Carlos Mendonça de Barros restera président du comité de conseil d’AZ Quest. Le management de Quest, qui conservera son indépendance pour les décisions opérationnelles et d’investissement, sera lié à la société pendant au moins huit ans. Enfin, une partie des revenus issus de la vente seront réinvestis dans la société et dans le recrutement de nouveaux professionnels, ce qui permettra notamment de diversifier l’offre.
Lombard Odier Investment Managers a recruté Giancarlo Fonseca et Daniela Oprandi en Italie, rapporte Bluerating. Le premier, nommé responsable de la distribution, aura comme objectif de développer la clientèle des conseillers financiers et banquiers privés, tandis que la seconde s’occupera des ventes sur le segment wholesale (fonds de fonds, mandats et assurance vie). Le duo sera rattaché à Andrea Argenti, responsable Italie de Lombard Odier IM. Giancarlo Fonseca vient de Goldman Sachs AM Italia où il a été directeur exécutif et responsable de la distribution retail. Il a auparavant travaillé chez Alico WM et Ubi Banca. Daniela Oprandi a été commerciale institutionnelle au sein de différentes sociétés dont UniCredit Corporate & Investment Banking, Morgan Stanley et Intermonte Sim.
AcomeA devient la première société de gestion à distribuer des fonds de droit italien par le biais de la plate-forme Allfunds Bank, rapporte Bluerating. La société de gestion et la plate-forme en ligne détenue par Santander et Intesa Sanpaolo ont signé un accord pour la commercialisation des 14 produits AcomeA : quatre fonds diversifiés multi-classes d’actifs, six fonds actions géographiques, deux fonds de trésorerie et deux fonds obligataires internationaux.
Attendu toute la semaine, l’accord de rapprochement entre Pioneer Investments et Santander Asset Management a finalement été annoncé jeudi en fin d’après-midi. Il donne naissance à un poids lourd de la gestion d’actifs doté d’un encours de 400 milliards d’euros, grâce aux 225 milliards d’euros de la maison italienne et aux 172 milliards d’euros de l’espagnole. La nouvelle structure, qui a collecté un total de 25 milliards d’euros en 2014, portera le nom de Pioneer Investments et se classera parmi les 35 principales sociétés de gestion à l’international et dans le top 10 européen en termes d’encours, selon un communiqué. Elle sera dirigée par Juan Alcaraz, l’actuel CEO de Santander AM, nommé directeur général global, tandis que Giordano Lombardo, le directeur des investissements de Pioneer Investments, qui avait repris les fonctions de directeur général suite au départ du précédent CEO Sandro Pierri, devient directeur mondial des investissements de la nouvelle entité. La société, souligne le communiqué, sera présente dans 30 pays et bénéficiera d’une exposition à l’Amérique latine, l’Amérique du Nord, l’Asie et de positions de leader en Europe. De plus, elle pourra compter sur « un réseau de distribution retail sans équivalent en Europe et en Amérique latine ». L’accord préliminaire annoncé jeudi au terme de plus de sept mois de négociations conduira à la création d’une holding portant le nom de Pioneer Investments, qui contrôlera les activités américaines de Pioneer, ainsi que la combinaison des activités de Pioneer et Santander AM en dehors des Etats-Unis. UniCredit d’un côté et les sociétés de capital investissement Warburg Pincus et General Atlantic, déjà actionnaires de Santander AM, de l’autre, détiendront chacun 50 % de la holding, qui à son tour possédera 100 % de Pioneer US et 66,7 % de l’entité issue de la fusion de Pioneer et Santander AM hors des Etats-Unis. Le solde sera détenu par Santander. Ce dispositif semble permettre à cette dernière d’éviter tout lien avec les Etats-Unis, alors que la filiale américaine de la banque espagnole a échoué aux stress tests de la Federal Reserve en 2014.L’accord se base sur une valeur d’entreprise de 2,75 milliards d’euros pour Pioneer Investments et 2,60 milliards d’euros pour Santander Asset Management en incluant la participation de 49,5 % dans la plate-forme Allfunds Bank. Les banques UniCredit et Santander avaient confirmé fin septembre être en discussions en vue d’une fusion de leurs activités respectives de gestion d’actifs.
Le promoteur d’ETF WisdomTree a annoncé le recrutement de Nizam Hamid au poste de directeur commercial pour WisdomTree Europe.Il sera responsable d’une équipe chargé de la commercialisation des 7 ETF cotés sur le marché européen.Avant de rejoindre WisdomTree Europe, Nizam Hamid a occupé un certain nombre de postes stratégiques dans le secteur des ETF, notamment en tant que responsable de la stratégie ETF pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) de Blackrock/BGI et responsable de la stratégie ETF et responsable adjoint des ETF en Europe de Lyxor AM.
La société de gestion britannique Seven Investment Management ou 7IM vient de lancer une série de fonds actions gérés passivement qui visent une surperformance de 1% à 2% par rapport à l’indice de référence à des coûts inférieurs à ceux des fonds gérés activement, rapporte Investment Week. Les trois premiers de ces fonds, 7IM European (ex UK) Equity Value fund, 7IM UK Equity Value fund et 7IM US Equity Value fund, ont été lancés la semaine dernière. Un autre fonds, le 7IM Emerging Markets Equity Value fund, sera lancé cet été. Les trois premiers fonds sont chargés à 0,35% tandis le fonds dédié aux actions émergentes le sera à 0,40%. Les fonds seront gérés par Chris Darbyshire, Alessandro Laurent et Christopher Cowell.
Standard Life Investments a lancé son quatrième fonds dette émergente pour Richard House et Kieran Curtis, rapporte Investment Week. Le fonds Emerging Market Debt Unconstrained sera investi dans des émissions gouvernementales ou d’entreprises de plus de 70 pays émergents, à la fois en devises fortes et locales.
Aviva Investors vient de recruter Simon Young en tant que gérant de fonds actions britanniques. L’intéressé vient de BlackRock où il occupait une position similaire et gérait plus de 1 milliard de livres en actions britanniques pour différentes clients.Chez Aviva Investors, Simon Young est basé à Londres et rattaché à Trevor Green, responsable des actions britanniques. Il travaillera sur le fonds UK Equity pour les institutionnels et contribuera à la gestion du fonds UK Equity Income pour le retail représentant un encours de 992 millions de livres.
Il semblerait que le boom des réseaux sociaux chez les sociétés de gestion ait atteint son point d’orgue l’année dernière et que le nombre de créations de comptes se stabilise désormais, selon la dernière étude réalisée par l’agence Sand. En effet, on enregistre une augmentation des nouveaux comptes de 3% entre septembre 2014 et avril 2015 alors qu’elle était de plus de 14% entre juin et septembre 2014. Cette consolidation se confirme également dans la répartition de l’utilisation de ces réseaux sociaux qui reste relativement inchangée depuis deux ans (60% sur LinkedIn, 25% sur Twitter et 15% sur Google). LinkedIn reste clairement le 1er réseau social utilisé par les sociétés de gestion puisqu’elles sont 326 (62%) à utiliser ce support. Le nombre moyen d’abonnés à ces pages entreprise a quant à lui presque doublé en un an puisqu’il passe de 303 en juin 2014 à 579 en avril 2015 ! Un intérêt grandissant dont les sociétés de gestion ne semblent pas encore tirer parti puisqu’elle ne sont que 35% à proposer un profil complet et que seules 40% y diffusent des actualités. Cela dit, les sociétés de gestion sont peu actives sur leur page LinkedIn. Si 40% d’entre elles ont publié au moins une actualité, elles restent peu nombreuses à le faire régulièrement. De son côté, Twitter semble avoir trouvé son rythme de croisière auprès des sociétés de gestion puisque seulement 11 comptes se sont créés en un an. Le nombre moyen d’abonnés a par contre explosé puisqu’il est passé de 516 en juin 2014 à 1081 en avril 2015. Une «belle récompense», estime l'étude, pour les 128 sociétés de gestion qui ont fait le choix de ce support. Mais là aussi, le réseau est sous-exploité. En effet, sur les 128 sociétés présentes sur Twitter, seulement 31% y sont actives. Autrement dit, 69% des sociétés y publient moins d’un post par mois. Ce qui est très peu sur un support comme Twitter. Google, le dernier-né des réseaux sociaux, poursuit sa lente progression sur le secteur de la gestion d’actifs mais commence à enregistrer quelques bons résultats. Si le nombre de comptes créés progresse sensiblement (+38% en un an), le nombre moyen d’abonnés reste cependant faible (13,5). Mais la particularité de Google+ est, comme pour Youtube, qu’il ne faut pas se focaliser sur le nombre d’abonnés mais sur le nombre de visites. Ainsi les pages G+ créées par les sociétés de gestion ont, en moyenne, été vues par 11.450 visiteurs (soit plus de 50% en un an). Parmi les sociétés les plus dynamiques sur LinkedIn, figurent notamment Amundi, Foncière des Régions SGP, Axa IM et Lyxor AM. Sur Twitter, les principaux acteurs sont Alven Capital Partners, Elaia Partners, Amundi et Hi Nov. Du côté de Google+, les sociétés les plus actives sont Amiral Gestion, Expert & Finance Investment Managers, Amundi et Gemway Assets. On peut également observer que parmi les dix sociétés les plus actives sur les trois réseaux, seule Amundi se retrouve dans le quatuor de tête dans les trois classements. Et seulement deux autres sociétés figurent dans le Top 10 sur les trois réseaux : Carmignac et Natixis Asset Management.
Les actifs sous gestion de Janus Capital Group se sont inscrits fin mars à 189,7 milliards de dollars contre 183,1 milliards de dollars à fin décembre 2014 et 174,1 milliards de dollars un an plus tôt, a annoncé le groupe dans un communiqué publié le 23 avril. Cette évolution est le fruit d’un effet marché positif de 5,6 milliards de dollars et d’une collecte nette d’actifs de long terme de 1,1 milliard dollars, précise le communiqué de Janus. La collecte nette de long terme sur les actions ressort à 1,6 milliard de dollars, celle portant sur les obligations s’inscrivant à 0,8 milliard de dollars. Le bénéfice net du trimestre s’est replié à 44,6 millions de dollars, soit 0,23 dollar par action, contre 46,7 millions de dollars ou 0,24 dollar par action au quatrième trimestre 2014.
DNCA Finance a annoncé jeudi 23 avril avoir recruté Yingying Wu au sein de son équipe Quality Growth, qui totalise 500 millions d’euros d’encours sous gestion. Elle occupera le poste de senior equity analyst et travaillera aux côtés de Carl Aufret et Rajesh Varma. Sa mission est le suivi des positions existantes et la recherche de nouvelles idées d’investissement destinées aux gérants. Avant de rejoindre DNCA Finance, l’intéressée faisait partie des équipes de BNP Paribas Asset Management à Paris où elle co-gérait des mandats globaux et couvrait le secteur de la consommation discrétionnaire."DNCA Finance a connu une croissance exceptionnelle au cours de ces dernières années. Nous souhaitons aujourd’hui diversifier nos expertises. L’arrivée de Yingying WU au sein de notre équipe Quality Growth s’inscrit dans notre ambition de renforcer ce style de gestion ainsi que nos compétences sur les marchés internationaux», souligne Eric Franc, directeur général de la société de gestion.DNCA, qui fait désormais partie de Natixis Global Asset Management, gère 16 milliards d’euros au 20 avril 2015.
Eric Schmidt, le président milliardaire de Google, a pris 20 % au capital de DE Shaw, une société de hedge funds précédemment détenue par Lehman Brothers Holdings, via sa société d’investissement Hillspire, rapporte le Financial Times. Hillspire a précisé que cette participation était passive et que DE Shaw continuera à fonctionner de manière indépendante. Basé à New York, DE Shaw gère un encours de plus de 36 milliards de dollars à fin mars.
La société de gestion alternative BlueCrest Capital Management, basée à Jersey, a ouvert un bureau à Hong Kong l’an dernier pour constituer une équipe spécialisée sur les actions asiatiques qui compte désormais 11 personnes, gestionnaires et analystes, selon une personne proche de la société, a indiqué l’agence Bloomberg.La dernière recrue, qui vient de prendre ses fonctions, est Karyo Oh, qui a rejoint la société en tant que gérant. L'équipe spécialisée sur les actions asiatiques est dirigée par James Chen, un ancien managing director de Barclays.
InverCaixa, l’entité qui regroupe les activités de gestion d’actifs de CaixaBank, affiche des actifs sous gestion de 37,7 milliards d’euros, 1,1 million de clients et une part de marché de 17,5% qui ne serait que de 16,4% sans l’apport des activités rachetées à Barclays en 2014, a indiqué le groupe bancaire espagnol à l’occasion de la publication de ses résultats trimestriels. Avec le rachat des activités en Espagne de banque commerciale, gestion de patrimoine et banque d’entreprise de la britannique Barclays, CaixaBank a gagné 550.000 nouveaux clients et augmenté son activité commerciale, souligne un communiqué. Gonflé par l’intégration de ces activités, le bénéfice de CaixaBank a d’ailleurs fait un bond de 99,1% à 375 millions d’euros au premier trimestre.
La société suédoise lance quatre fonds à son nom dont la gestion est déléguée à d’autres sociétés de gestion, rapporte realtid.se. Il s’agit d’un fonds actions monde géré par MFS, un fonds marchés émergents géré par Van Eck, un fonds immobilier géré par Odin et un fonds de petites capitalisations suédoises géré par Carnegie. D’autres fonds seront lancés prochainement.
Au premier trimestre 2015, SEB Wealth Management, la division de la banque suédoise dédiée à la gestion d’actifs, a enregistré des souscriptions nettes de 24,8 milliards de couronnes suédoises (soit 2,6 milliards d’euros), dont 21,8 milliards de couronnes auprès des investisseurs institutionnels et 3 milliards de couronnes auprès de la banque privée. Cela est légèrement supérieur à la collecte du quatrième trimestre 2014, qui s’était inscrite à 23 milliards de couronnes, et en forte hausse par rapport à celle du premier trimestre 2014 où elle était ressortie à 4,7 milliards de couronnes.A fin mars, les encours sous gestion de SEB Wealth Management s’élèvent à 1.756 milliards de couronnes suédoises (soit 187 milliards d’euros), en hausse par rapport aux 1.635 milliards de couronnes de fin 2014 et aux 1.436 milliards de couronnes fin mars 2014.Le bénéfice d’exploitation est ressorti à 817 millions de couronnes suédoises (87 millions d’euros), également en augmentation par rapport aux 647 millions du quatrième trimestre 2014 et aux 441 millions du premier trimestre 2014.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } In first quarter 2015, SEB Wealth Management, the division of the Swedish bank dedicated to asset management, posted net inflows of SEK24.8bn (or EUR2.6bn), of which EUR21.8bn came from institutional investors, and SEK3bn from the private bank. This is slightly higher than inflows in fourth quarter 2014, which totalled SEK23bn, and up steeply compared with first quarter 2014, when they totalled SEK4.7bn. As of the end of March, assets under management at SEB Wealth Management totalled SEK1.756trn (or EUR187bn), up compared with SEK1.635trn as of the end of 2014, and SEK1.436trn as fo the end of March 2014. Operating profits totalled SEK817m (EUR87m), also up compared with SEK647m in fourth quarter 2014 and EUR441m in first quarter 2014.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } CaixaBank is reinforcing its positions in asset management at InverCaixa, the entity which is home to the asset management activities of CaixaBank, which has assets under management of EUR37.7bn, 1.1 million clients, and a market share of 17.5%, which would be only 16.4% were it not for the addition of activities acquired from Barclays in 2014, the Spanish banking group has announced at the publication of its quarterly results. With the acquisition of the Spanish activities of the British commercial, wealth management and business bank Barclays, CaixaBank gains 550,000 new clients, and increases its commercial activities, a statement says. Profits at CaixaBank, boosted by the integration of these activities, have also leapt 99.1% to EUR375m in first quarter.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Four groups of investors on 23 April published a guide outlining a range of strategies and solutions investors can use to address climate change, including low carbon investment, managing and reducing carbon exposure in portfolios, and engagement, as investors around the world work to scale up their efforts to invest in clean energy and shift to lower carbon assets, according to a joint statement from the ERAFP and IIGCC, the forum grouping institutional investors and asset management firms to address climate change. The guide, entitled “ Climate Change Investment Solutions: A Guide for Asset Owners,” is a joint project carried out by the IIGCC in Europe, the Investor Network on Climate Risk (ENCR) at Ceres in North America, the IGCC in Australia-New Zealand, and the Asia Investor Group on Climate Change (AIGCC) of the ASrIA in Asia. The project covers four areas: firstly, a strategic review which looks at how you integrate climate change into investment beliefs and investment policies; then strategic asset allocation, covering the measurement and managing of climate change risks and opportunities within existing asset allocation and through evolving asset allocation over time. The third area, mitigation investment actions, looks at options for reducing the carbon intensity of existing assets, along with opportunities to invest in low carbon, clean energy and energy efficient assets. And lastly, adaptation investment actions : it looks at options for reducing the vulnerability of existing assets to the physical impacts of climate change as well as building exposure to adaptation solutions.
The ETF promoter WisdomTree has announced the recruitment of Nizam Hamid to the position of head of sales for WisdomTree Europe. He will be responsible for a team dedicated to sales of 7 ETFs listed on the European market. Before joining WisdomTree Europe, Hamid served in a variety of strategic positions in the ETF sector, including head of ETF strategy for the Europe, Middle East and Africa (EMEA) region at Blackrock/BGI, and as head of ETF strategy and deputy head of ETFs for Europe at Lyxor AM.
Expected all week, the agreement regarding a merger between Pioneer Investments and Santander Asset Management was announced on Thursday evening. It results in a global asset manager with EUR400 billion in assets under management. The combined firm will be called Pioneer Investments and will rank among the top 35 firms globally and top 10 in Europe by assets. Furthermore, it will offer an expansive global distribution footprint, with a presence in over 30 countries and exposure to both growing and well-established regions such as Latin America, North America, Asia, as well as a leading position in Europe. In addition, long-term distribution agreements with UniCredit and Santander will result in «unparalleled retail distribution capabilities in Europe and Latin America», according to a press statement.Juan Alcaraz, current CEO of Santander Asset Management, will be the global chief executive officer, and Giordano Lombardo, current CEO and group chief investment officer (CIO) of Pioneer Investments, will be the global CIO of the new company.The preliminary agreement, signed after more than 7 months of discussions, will lead to the establishment of a holding company, with the name Pioneer Investments, which will control Pioneer’s US operations along with the combination of Pioneer and SAM’s operations outside the US. UniCredit and the Private Equity Firms will each own 50% of the holding company, which will in turn own 100% of Pioneer US, and 66.7% of the combination of Pioneer and SAM’s operations outside the US, while Santander will directly own the remaining 33.3% stake. The combined firm will continue to operate as one global entity, led by a single global management team, focusing on meeting the needs of its clients worldwide. The agreement is based on an Enterprise Value of EUR2.75 billion for Pioneer Investments and EUR2.60 billion for Santander Asset Management (including its 49.5% stake in AllFunds Bank).
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Lombard Odier Investment Managers has recruited Giancarlo Fonseca and Daniela Oprandi in Italy, Bluerating reports. Fonseca, who has been appointed as head of distribution, will aim to develop the client base of financial advisers and private bankers, while Oprandi will be resonsible for sales to the wholesale segment (funds of funds, mandates, and life insurance). The two will report to Andrea Argenti, head for Italy at Lombard Odier IM. Fonseca joins from Goldman Sachs AM Italia, where he had been executive director and head of retail distribution. He previously worked at Alico WM and Ubi Banca. Oprandi has been in institutional sales at various companies, including UniCredit Corporate & Investment Banking, Morgan Stanley, and Intermonte Sim.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Assets under management at Janus Capital Group as of the end of March totalled USD189.7bn, compared with USD183.1bn as of the end of December 2014, and USD174.1bn one year previously, the group announced in a statement released on 23 April. This development is the fruit of a positive market effect of USD5.6bn, and a net inflow of long-term assets of USD1.1bn, Janus says in a statement. Long-term net inflows to equities totalled USD1.6bn, while inflows to bonds totalled USD0.8bn. Net profits for the quarter fell to USD44.6bn, or 0.23 per share, compared with USD46.7bn, or USD0.24 per share in fourth quarter 2014.