Les caisses de pension sont de moins en moins nombreuses en Suisse. Désormais, elles sont moins de 2.000, contre 18.000 en 1985, selon Le Temps. Globalement, les institutions de prévoyance suisses regroupent près de 4 millions d’actifs, versent des prestations (rentes et capitaux) à 1,09 milliard de rentiers. Tout cet univers représente un encours sous gestion de 720,23 milliards de francs suisses. La caisse Publica est la plus grande caisse de pension suisses, avec 40,45 milliards de dollars d’actifs selon le classement Towers Watson 2013.
Arrivé chez Generali Investments Europe en mai dernier en tant que directeur commercial et marketing, Andrea Favaloro fait le point avec NewsManagers sur 2014, qualifiée d’année de "transition". L’objectif de la société de gestion de l'assureur italien est de doubler la part de la clientèle externe, qui représente moins de 5 % des encours, d’ici à 2017. Pour y parvenir, Generali Investments Europe mise sur l’international.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } When institutional investors select multi-asset strategies, they seek absolute returns above all, according to the findings of a recent study published by NN Investment Partners. The study finds a preference on the part of investors for returns adjusted for stable risks, with one third (32%) declaring only an absolute return objective, though “cash plus x%” is the most appropriate benchmark for multi-asset strategies. Slightly over one in five investors (22%) cites a benchmark index based on the average performance of comparable funds, while 14% prefer a target return set in advance. However, 24% are of the opinions that benchmarks make no sense. On a three-year horizon, 70% of institutional investors predict that their peers will increase their exposure to multi-asset funds. 16% feel that the increase will be highly pronounced. The study finds that for “more than half (55%) of institutional investors, the main reason for this movement is that these investments represent a way to outsource strategic and tactical investment decisions.”
Some of the world’s largest and best known investors continue to make a big gamble on accelerating climate change by investing in heavily carbon-exposed assets, while only a small minority are blazing a trail to a safer, low-carbon world.The third annual Asset Owners Disclosure Project (AODP) index of the top 500 global asset owners found that nearly a half of the funds surveyed (232) did absolutely nothing to protect investments under their stewardship from the threat of climate change.The investors were given a score ranging from AAA to D based on the feedback they provided and publicly available information. The 232 investors that made no effort to recognise or address climate risk received a score of X.Among the X-rated investors are some of the world’s largest sovereign wealth funds, including the Abu Dhabi Investment Authority, the Government Pension Investment Fund of Japan and the China Investment Corporation.The AODP names nine asset owners as the best performers. Rated AAA, they are (in order of overall ranking): Local Government Super (Australia); KLP (Norway); CalPERS (US), ABP (The Netherlands); Environment Agency Pension Fund (UK) New York State Common Retirement Fund (US); Australian Super; PZW (The Netherlands) and AP4 (Sweden).The index lists the climate performance of the world’s largest 500 asset owners, including pension funds, insurance funds, sovereign funds, foundations and endowments. Together these funds own most of the assets in our global economy, amounting to nearly $40 trillion.“People understand that governments will not regulate carbon properly but they now realise that these massive funds at the top our financial system have legal and financial responsibilities to manage climate risks,” says Julian Poulter, AODP founder and chief executive.“Funds rated A or higher in the index are protecting their investments by engaging with the companies they own, divesting of heavily carbon-exposed assets, or deploying hedging strategies. The laggards – those rated D or X – have simply failed to calculate the odds of a “sub-clime” crisis’, he adds.
Le pôle gestion d’actifs du groupe State Street a subi des rachats nets de 38 milliards de dollars au premier trimestre 2015, annonce la société à l’occasion de la publication de ses résultats pour les trois premiers mois de l’année. Cela est principalement lié aux rachats saisonniers de SPY, son ETF sur le S&P 500, explique le groupe. Les ETF actions ont de fait accusé des retraits nets de 33 milliards de dollars sur le trimestre. Les ETF obligataires ont en revanche enregistré une collecte de 4 milliards de dollars. Au total, l’activité ETF est en décollecte nette de 27 milliards de dollars. State Street a aussi affiché un solde négatif entre rachats et souscriptions sur les stratégies institutionnelles de long terme, à hauteur de 8 milliards de dollars. Les fonds monétaires sont également dans le rouge, à 3 milliards de dollars. L’effet marché aurait permis à State Street de compenser la décollecte. Mais c’était sans compter sur l’impact négatif des changes (38 milliards de dollars). Au total, à fin mars 2015, les encours sous gestion de State Street ressortaient à 2.443 milliards de dollars, en léger repli par rapport aux 2.448 milliards de dollars de la fin 2014. En revanche, ils sont en hausse de 2,6 % sur un an.
Pendant vingt ans, Igor Tulchinsky et son équipe de traders quantitatifs ont contribué à étoffer les rendements de la société de hedge fund Millennium Management. Aujourd’hui, la société de 28,5 milliards de dollars et le gérant forment une joint venture qui permettra au trader bélarusse d’accepter de l’argent de l’extérieur et d’utiliser une plus large palette de stratégies de trading, rapporte The Wall Street Journal, citant des personnes proches du dossier. La joint venture devrait être lancée d’ici à la fin de cette année. Ce sera la première fois que le fondateur de Millennium, Israel « Izzy » Englander crée une société avec l’un de ses gérants. Igor Tulchinsky continuera à gérer de l’argent pour le hedge fund de Millennium. Cette initiative est plutôt inhabituelle dans le secteur des hedge funds où les grands gérants préfère négocier des rémunérations plus élevées ou lancer leur propre société. Igor Tulchinsky et son équipe de 400 personnes, qui opèrent en tant que WorldQuant, gère environ 4 milliards de dollars pour Millennium, sans compter l’argent emprunté.
LFPI Gestion s’associe à Montefiore Investment et entre en négociations exclusives avec les Groupes Chevrillon et HLD en vue du rachat d’Interflora, indique le gestionnaire d’actifs alternatifs dans un communiqué, vendredi 24 avril. Le Groupe Interflora affiche un chiffre d’affaires de plus de 150 millions d’euros, dont une part importante et croissante est réalisée sur Internet, répondant ainsi à de nouveaux besoins des consommateurs. LFPI Gestion entend accompagner la société spécialisée dans la transmission florale dans la probable réalisation d’opérations de croissance externe qui pourraient compléter l’offre de produits et services ou la couverture géographique dans le cadre d’une stratégie buy-and-build.
Selon plusieurs sources bancaires et financières que cite L’Agefi, les groupes Vedici et Medipôle Partenaires auraient engagé des discussions en vue d’un rapprochement. Le premier est dans le giron du fonds CVC Capital Partners depuis juin 2014. Le second, contrôlé par Bridgepoint, est lui-même issu du mariage de Medi-Partenaires, dans le giron de LBO France, et de Medipôle Sud Santé. Les intéressés ne font pas de commentaires.
Avec près de 50 milliards d’euros en mars, la collecte nette des fonds domiciliés au Luxembourg a été l’une des plus importantes de tous les temps, annonce l’Association luxembourgeoise des fonds (Alfi).Dans ce contexte porteur, les actifs nets gérés par les fonds domiciliés au Luxembourg ont progressé de 3,55 % sur le mois pour s’établir à 3.525 milliards d’euros à fin mars 2015. Depuis le début de l’année, la hausse est de 13,89 % et sur un an, elle atteint 30,1 % ! « Le Luxembourg conserve ainsi sa position de leader en termes de domiciliation de fonds », indique un communiqué. Au 31 mars, le nombre de fonds s’établit à 3.888 entités. L’Allemagne reste le principal initiateur de fonds de droit luxembourgeois (2.812 au total), devant la Suisse (2.585). Toutefois, les fonds lancés par des entités américaines ou britanniques affichent les plus forts encours sous gestion : 790,58 milliards d’euros pour les US et 579,799 pour le Royaume-Uni.
Deutsche Asset & Wealth Management (Deutsche AWM), la filiale de gestion d’actifs et de gestion de fortune du groupe Deutsche Bank, a vu ses revenus nets progresser de 29% au premier trimestre 2015. Ils atteignent ainsi 1,38 milliard d’euros au 31 mars 2015 contre 1,06 milliard au 31 mars 2014, a annoncé la banque allemande ce lundi 27 avril. Au cours du trimestre écoulé, les commissions de gestion et autres revenus récurrents ont augmenté de 34%, ou de 209 millions d’euros. A fin mars 2015, le résultat net avant impôts de Deutsche AWM s’établit à 291 millions d’euros contre 167 millions d’euros à fin mars 2014, soit une hausse de 125 millions d’euros ou de 75% sur un an.A l’issue du premier trimestre, ses actifs sous gestion ressortent à 1.159 milliards d’euros, en hausse de 120 milliards d’euros par rapport au 31 décembre2014. Cette croissance est à mettre au crédit d’un effet de change positif à hauteur de 63 milliards d’euros, d’un effet de marché positif de 46 milliards d’euros et, enfin, d’une collecte nette de 17 milliards d’euros. Dans le détail, la clientèle « retail » a généré 8 milliards d’euros de collecte nette, tandis que les institutionnels ont attiré 7 milliards d’euros de souscriptions nettes. En effet, Deutsche AWM a enregistré 2 milliards d’euros de collecte nette auprès des clients privés. Par ailleurs, dans le cadre de son nouveau plan stratégique à horizon 2020, Deutsche Bank a annoncé sa volonté « d’accélérer la croissance de Deutsche AWM ». Ainsi, sa filiale de gestion d’actifs vise une croissance de son bilan de 5% à 10% par an jusqu’à 2020, d’augmenter le nombre de ses gérants (« relationship managers ») de 15% dans ses marchés clés ainsi que le nombre de ses spécialistes produits. La banque allemande table également sur une croissance de 5% à 6% par an en moyenne des actifs sous gestion de sa filiale Deutsche AWM d’ici à 2020.
Les fonds actions japonaises ont enregistré des souscriptions nettes de plus de 1,3 milliard de dollars au cours de la semaine s’achevant le 22 avril, au moment où l’indice Nikkei 225 franchissait la barre des 20.000 points, montrent les dernières statistiques d’EPFR Global. Le pays semble avoir tapé dans l’œil des investisseurs en raison de la profondeur et de la cohérence de sa politique de relance. Dans le même temps, les marchés européens sont assombris par la politique et les actions américaines sont sous pression en raison d’une saison mitigée de résultats d’entreprises et de la perspective de la hausse des taux. Les fonds actions américaines devaient publier des rachats pour la neuvième fois consécutive sur les dix dernières semaines et les fonds actions européennes enregistraient leur collecte la plus faible depuis la deuxième semaine de janvier.Au total, les fonds obligataires ont enregistré des souscriptions nettes de 5,5 milliards de dollars, tandis que les fonds actions voyaient sortir 4,5 milliards de dollars. Les fonds monétaires ont attiré environ 10 milliards de dollars.
Dans le cadre de ses services de conseil en philanthropie, Banca Esperia, la banque privée de Mediolanum et Mediobanca, a noué un partenariat avec la fondation italienne San Patrignano pour lancer un fonds de philanthropie, rapporte Funds People Italia. Appelé Duemme San Patrignano, le produit, géré par Duemme SGR, la société de gestion de la banque, versera des revenus récurrents à la fondation dont l’objectif est d’accueillir des jeunes confrontés à de sérieux problèmes de drogue. Duemme SGR gère le fonds avec des frais réduits et la part de frais non perçus est dirigée vers la fondation. Ainsi, cela ne pénalise pas l’investisseur, qui peut en outre profiter de l’absence de commissions de surperformance. Il s’agira d’un fonds monde diversifié.
Le groupe Bellevue, qui comprend notamment Bellevue Asset Management, voit partir son directeur Urs Baumann, qui a démissionné avec effet à fin avril 2015. La décision a été prise d’un commun accord avec le conseil d’administration, selon un communiqué. C’est André Rüegg, qui dirige actuellement la division Asset Management, qui sera chargé de la direction opérationnelle à titre intérimaire.
Le Royaume-Uni et l’Irlande sont devenus le deuxième marché d’Unigestion, représentant 23 % des encours au 31 décembre 2014 qui ressortaient à 13,8 milliards d’euros. Les deux pays détrônent la France qui arrive troisième avec 22 % des encours. Le premier marché de la société de gestion institutionnelle reste naturellement la Suisse, son pays d’origine, avec 30 % des encours.« Même si nous avons abordé le Royaume Uni beaucoup plus tard que la France, il est normal que cela soit devenu notre deuxième marché car il s’agit d’un marché plus important », commente Jean-François Hirschel, managing director et responsable du marketing chez Unigestion, qui assure que cela ne traduit pas un ralentissement du marché français.L’autre marché qui « monte » chez Unigestion est le Canada, qui a passé la barre symbolique du milliard de dollars d’encours, soit 5 % des encours de la société. Désormais, la société de gestion suisse y compte deux bureaux, à Toronto et Montreal. Elle a lancé sur le territoire deux fonds de droit local. En 2014, les encours d’Unigestion ont progressé d’un peu moins de 3 milliards d’euros. Le moteur de la collecte, dont les chiffres n’ont pas été dévoilés, a été les actions, qui ont représenté 60-70 % des souscriptions. « Nous avons enregistré une jolie collecte sur le private assets, avec deux mandats de taille assez significative », ajoute Jean-François Hirschel. S’agissant des hedge funds, le troisième pilier de l’offre d’Unigestion, la société a enregistré « une collecte plus modeste, mais honorable par rapport à l’industrie », selon Jean-François Hirschel. Mais ce dernier ajoute qu’il s’agit d’un secteur « qui se réinvente ». « Si on écoute les investisseurs, la performance est médiocre, les frais sont trop élevés et c’est compliqué ». Mais il estime qu’Unigestion peut désormais répondre à ces préoccupations. « Concernant la complexité, nous avons désormais une offre à la carte. La période du fonds de fonds tout prêt et pour tout le monde est terminée. Sur les frais, nous allons bientôt introduire une nouvelle méthode qui permettra de payer uniquement pour les meilleurs fonds ». Aujourd’hui, Unigestion veut surtout miser sur sa nouvelle offre, devenue son quatrième pilier (en plus de la gestion actions, du private assets et des hedge funds), les cross asset solutions. Cette activité a été renforcée en 2014 avec le recrutement d’une équipe de Lombard Odier. Par ailleurs, parmi les projets de la société en 2015, Unigestion va lancer une stratégie sur les facteurs de risque dans les deux à trois mois qui viennent dans le domaine des actions. « Nous allons amener deux choses : la gestion active de chacun des facteurs, et l’allocation active sur chacun de ces facteurs en fonction des conditions de marché », précise Jean-François Hirschel.
Douglas Flint, le patron d’HSBC a confirmé l'étude d’un déménagement du siège de la banque sans évoquer de destination précise, rapporte L’Agefi. Le président a justifié cette initiative par les réformes réglementaires et structurelles intervenues depuis la crise financière. Et notamment la taxe bancaire (bank levy), dont le maintien est soutenu par l’ensemble de la classe politique britannique, va coûter cette année à la banque 1,5 milliard de dollars, contre 1,1 milliard l’an dernier. De même, HSBC, à l’image des autres banques britanniques, sera contrainte de séparer ses activités de banque de détail des activités d’investissement d’ici à 2019. Durant l’AG, Douglas Flint a également évoqué le risque d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européennePar ailleurs, HSBC a également dû répondre à maintes reprises durant l’AG sur son implication dans différents scandales, dont celui affectant sa banque privée suisse. Interrogé sur la pertinence du maintien de l'équipe dirigeante en place, Sir Simon Robertson, vice-président de HSBC, a confirmé que Douglas Flint et Stuart Gulliver bénéficiaient de la toute confiance du conseil d’administration : «le conseil n’a aucun projet de les changer», a-t-il déclaré.
Goldbridge Capital Partners, la société de gestion spécialisée dans la dette fondée par deux anciens gérants de BlueBay AM, a fermé, rapporte Citywire Global, qui cite Reuters. La décision a été prise suite à des pertes subies par le hedge fund obligataire de la société en 2014. Goldbridge a été lancée en 2011 avec 100 millions de dollars de fonds d’amorçage. La société était gérée par Gina Germano et Dipankar Shewaram, deux anciens de Bluebay AM.
Une nouvelle étude de Vanguard Asset Management citée par Funds Europe montre que les gérants actifs ont tendance à sous-performer leur indice de référence sur cinq, dix et quinze ans, principalement en raison de frais excessifs.Dans la catégorie des fonds actions monde, 64 % des gérants font moins bien que leur indice sur les 15 ans à 2014, tandis que plus de 87 % des gérants obligataires monde sous-performent sur la même période. Comparant la performance d’une gamme de fonds gérés activement et de fonds indiciels disponibles au Royaume-Uni pour les investisseurs particuliers, Vanguard montre que les fonds à bas coûts affichent une performance supérieure aux fonds les plus onéreux dans 10 des 11 catégories d’investissement sur les 10 ans à fin 2014. Dans les catégories actions et obligations monde, les fonds à bas coûts surperforment en moyenne de 1,2 % et 0,5 % par an respectivement. Et les fonds à bas coûts ont battu en moyenne les fonds qui facturent des frais élevés de 1 % par an sur 10 ans. « Les fonds actifs affichent un historique médiocre lorsqu’il s’agit de battre l’indice de référence sur le long terme, et l’une des raisons est qu’ils sont généralement plus chers que les fonds indiciels. De fait, la faiblesse des coûts constitue le seul facteur quantifiable qui est, selon nous, historiquement associé à des rendements moyens supérieurs dans le temps ».
Joachim H. Straehle était prévu comme président du conseil d’administration, il est désormais le président de la direction générale (CEO) d’EFG International, selon L’Agefi suisse. Il remplace John Williamson, qui a été nommé vice-président du conseil de la banque privée suisse. Il sera proposé comme président en 2016.
Institutional Investor revient sur le succès de la gamme des fonds thématiques de Pictet. Comprenant des fonds actions sur différents thèmes comme l’eau, le bois, les biotechnologies ou les énergies propres, la gamme de 10 produits totalise plus de 22 milliards de dollars d’encours sous gestion. Sur les 6 dernières années, la progression des encours atteint 400 %.
Crispin Odey et son épouse Nichola Pease ont vu leur fortune personnelle quasiment doubler en 2014, ce qui les propulse en tête des gérants de hedge funds les plus riches, selon le dernier classement Sunday Times Rich List, cité par Investment Week. Le couple affiche un patrimoine de 1,1 milliard de livres, soit une hausse de 580 millions de livres sur un an, selon le journal, qui en attribue le succès à Odey Asset Management. La société a vu son bénéfice tripler l’an dernier, ce qui a permis au gérant d’empocher environ 48 millions de livres. L’autre plus forte hausse de patrimoine, en termes absolus, a été enregistrée par David Harding de Winton Capital. Le haut du classement est occupé par le fondateur de Brevan Howard, Alan Howard, avec une fortune estimée à 1,5 milliard de livres, malgré une baisse qui permet au fondateur de BlueCrest Capital, Michael Platt, de le rejoindre avec 1,5 milliard de livres.
Richard Straus rejoint Julius Bär fin avril pour occuper le poste de responsable de la banque privée à Hong Kong, selon Finews, qui cite des informations de WealthBriefing Asia. L’intéressé était auparavant responsable Family Offices du groupe bancaire américain Citi Private Bank.
Le groupe bancaire espagnol BBVA a annoncé ce vendredi 24 avril que, suite à sa proposition de rachat de Catalunya Banc faite le 21 juillet 2014 et une fois que toutes les autorisations nécessaires ont été obtenues, il détient désormais environ 98,4% du capital social de Catalunya Banc. Le montant de l’acquisition s’élève à environ à 1,165 milliards d’euros. Comme le souligne le site d’information espagnol Funds People, dans le cadre de cette opération, BBVA acquiert une participation indirecte de contrôle de 100% de Catalunya Caixa Inversio, la société de gestion de fonds du groupe catalan. Ainsi, la future intégration de Catalunya Caixa Inversio au sein de BBVA Asset Management va porter à 31,8 milliards d’euros les actifs sous gestion totaux du groupe.
Gergely Majoros a quitté Gemway Assets, a appris Citywire Global. L’intéressé avait rejoint la boutique de gestion en septembre 2012 en tant qu’analyste marchés émergents et gérant de portefeuilles. Il faisait partie de l’équipe d’origine lorsque Bruno Vanier, un ancien d’Edmond de Rothschild Asset Management, a créé la société en septembre 2012. Les deux géraient le fonds GemEquity.
Federal Finance Gestion a recruté Léovic Lecluze à Paris dans son équipe de gestion actions, annonce la société de gestion. Il gérera un nouveau fonds, Federal Conviction Grande Asie, investi dans les actions de trois zones : Asie développée (Hong-Kong, Singapour), Asie émergente (Chine, Corée du Sud, Taïwan, Inde, Indonésie, Malaisie, Philippine, Thaïlande) et Japon. Avant de rejoindre la filiale du Crédit Mutuel Arkéa, Léovic Lecluze a créé et géré un fonds long/short à vocation humanitaire (Koonsao Global Macro Strategies), investi en actions internationales. Ce spécialiste des marchés asiatiques, japonais et émergents a aussi travaillé en tant qu’analyste-gérant au sein du groupe HSBC Asset Management et responsable des ventes chez Citigroup Global Markets. Dans le cadre du fonds qu’il gérera, il sélectionnera des titres de croissance et de qualité, de moyennes et grandes capitalisations. Le processus de gestion alliera approche bottum-up pour la sélection de titres en amont et approche top-down pour le pilotage du risque de marché en aval.
Amiral Gestion a annoncé la nomination de Monia Donnen au poste nouvellement créé de secrétaire générale. L’intéressée aura la responsabilité de la gestion administrative, juridique et financière de la société de gestion parisienne. Cette nomination porte à 17 collaborateurs, dont 12 au sein de l’équipe de gestion, le nombre de personnes au sein de la structure. Les encours sous gestion s’élèvent à plus de 800 millions d’euros.Monia Donnen commence sa carrière en 2002 en qualité de juriste au sein d’entités telles que Natixis Asset Management et RBC Investor Services, avant de rejoindre State Street en 2009 pour occuper la fonction de compliance officer.
BlackRock a recruté Yoshiyuki Izawa en tant que nouveau président et responsable du Japon, rapporte Asian Investor. L’intéressé rejoindra le groupe américain le 18 mai et remplacera Masato Degawa qui retourne à Londres après avoir occupé ces fonctions pendant quatre ans. Yoshiyuki Izawa travaillait précédemment à la Japan Post Bank, une institution financière détenue par le gouvernement, où il était président et CEO entre fin 2009 et mars 2015.
AEW Europe a annoncé l’acquisition d’un portefeuille de sept actifs commerciaux situés à Angers auprès de Vastned, pour le compte de son fonds Fondis, spécialisé dans les commerces en France. Ces actifs sont situés sur les deux principaux axes commerçants d’Angers, rue Lenepveu et rue d’Alsace, et sont loués à la FNAC, Zara, Grain de Malice, Histoire d’Or, Numéricable, La Fée Maraboutée et Sapotille. Cet ensemble d’actifs développe une surface totale de 4 452 m2.
La société de gestion finlandaise Fondita s’établit en Suède, près d’un an après l’acquisition d’une participation de 20 % par la société d’investissement Bure, rapporte Realtid.se. La firme a choisi de s’installer à Göteborg, selon Tommy Taponen, en charge des relations avec la clientèle et des ventes de Fondita. Ce dernier, un ancien de Skagen Fonder, a été recruté par Fondita pour s’occuper de l’activité suédoise aux côtés de Christian Carlsson. A noter que Fondita a aussi obtenu une autorisation au Luxembourg, ce qui signifie que la société pourrait aussi s’adresser à des investisseurs européens.
Arrivé chez Generali Investments Europe en mai dernier en tant que directeur commercial et marketing, Andrea Favaloro fait le point avec NewsManagers sur 2014, qualifiée d’année de "transition". L’objectif de la société de gestion de l'assureur italien est de doubler la part de la clientèle externe, qui représente moins de 5 % des encours, d’ici à 2017. Pour y parvenir, Generali Investments Europe mise sur l’international.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Richard Straus is joining Julius Bär at the end of April to serve as head of the private bank in Hong Kong, according to Finews, citing reports in WealthBriefing Asia. Straus had previously been head of Family Offices at the US banking group Citi Private Bank.