Aegon Asset Management, qui regroupe les activités de gestion du groupe aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Chine et en Europe continentale, a nommé Kirk Buese en qualité de responsable des investissement («chief investment officer») de ses activités aux Etats-Unis logées dans Aegon USA Investment Management. Kirk Buese a pris ses fonctions le 7 septembre. Dans ses nouvelles fonctions, Kirk Buese chapeautera les différentes équipes d’investissement et poursuivra le développement des capacités d’investissement de la société.Kirk Buese, qui a plus de 25 ans d’expérience, a notamment été responsable mondial des actifs illiquides chez Aegon Asset Management. Il siège au comité de pilotage d’Aegon AM chargé des stratégies macroéconomiques et de l’allocation.
Aberdeen Asset Management a annoncé un recrutement en Corée du Sud dans le cadre de ses projets de développement dans le pays, rapporte Asian Investor. La société de gestion écossaise a embauché Kim Dong-ki en tant que senior manager, un poste nouvellement créé. Il est placé sous la direction du responsable de la Corée du Sud, Alex Kim. Avant de rejoindre Aberdeen, Kim Dong-ki était directeur associé de Russell Investments Korea où il était responsable du développement.
Marco Bolzoni, l’ancien responsable private banking equity advisory pour l’Italie de Credit Suisse, a remplacé Stefano Andreani en tant que gérant sur le fonds CS Italy Equity, révèle Citywire Global. Il a repris le fonds en août 2015 et gère désormais des portefeuilles investis sur les actions italiennes. Stefano Andreani a quitté la société pour rejoindre Lemanik, une boutique basée au Luxembourg.
Aviva Gestion a décidé de changer de dépositaire pour ses fonds d’investissement. Après avoir travaillé jusqu’ici avec Cecabank, Aviva Gestion a porté son choix sur BNP Paribas Securities Services, selon l’autorité des marchés financiers en Espagne (CNMV). Aviva Gestion n’a apporté aucune explication à ce changement Les actifs sous gestion d’Aviva Gestion s'élevaient à 1,04 milliard d’euros à fin juillet, contre 907 millions d’euros à fin décembre 2014, selon les statistiques d’Inverco.
HSBC Global Asset Management envisage de lancer une gamme de fonds multi-classes d’actifs, utilisant en priorité des véhicules d’investissement passifs avec la possibilité d’opter pour des fonds gérés activement, rapporte le site spécialisé Investment Week. Les trois fonds HSBC Global Strategy, classés selon leur exposition au risque, investissent dans les actions internationales, les obligations internationales et les titres de l’immobilier international sur les marchés développés et émergents. Ces fonds seront gérés par Jane Davies, cogérante de la gamme HSBC World Index Portfolio. Ces trois fonds, HSBC Global Strategy Cautious Portfolio, HSBC Global Strategy Balanced Portfolio, et HSBC Global Strategy Dynamic Portfolio, seront disponibles à compter du 16 octobre et seront chargés entre 0,17% et 0,2%. Les actifs sous gestion de HSBC GAM dans des produits multi-classes d’actifs s'élèvent à environ 60 milliards de livres.
Deuxième départ chez Vontobel en Asie. Après la démission en juin du directeur général (CEO) de Vontobel Financial Products pour la région Asie, la banque privée suisse voit le départ de son responsable commercial produits pour la région Asie Pacifique, Eugen Lee, un an seulement après son arrivée à ce poste. Il sera remplacé temporairement par Anup Gupta, directeur des activités Asie Pacifique de Vontobel, précise Finews citant des informations du magazine Asian Private Banker.
Depuis le début de l’année, l’industrie des fonds a collecté plus de 124,4 milliards d’euros, un montant record, selon les dernières statistiques de l’association allemande des sociétés de gestion BVI. C’est DeAWM qui mène le top 10 des sociétés de gestion en termes de collecte avec 15,10 milliards de souscriptions depuis le début de l’année, suivi d’Allianz Global Investors (11,02 milliards), Union Investment (6,8 milliards), DekaBank (5,10 milliards), Ethenea (2,5 milliards), Flossbach von Storch (1,9 milliard), BlackRock (1,8 milliard), Pioneer (875 millions), Universal Investment (860,3 millions) et Commerz Funds Solutions (625 millions).
Lancé en début d’année (Newsmanagers du 26 janvier 2015), le partenariat noué par la société de gestion Aviva Investors avec le groupement de boutiques Virtus Investment Partners produit ses premiers résultats avec le lancement du VirtusMulti-Strategy Target Return Fund. Ce fonds, en principe le premier d’une série dans le cadre du partenariat, affiche un objectif très spécifique : fournir des rendements équivalents à ceux des actions internationales tout en tolérant moins de la moitié du risque sur trois ans. Pour respecter ce cahier des charges, Aviva Investors propose de mettre en œuvre de multiples stratégies au travers de l’obligataire, des devises, des actions, des convertibles, des fonds monétaires, des ETF et des dérivés. Virtus Investment Partenrs regroupe plusieurs boutiques dont Cliffwater Investments, Duff & Phelps Investment Management, Euclid Advisors, Kayne Anderson Rudnick Investment Management, Kleinwort Benson Investors International, Newfleet Asset Management, Newfound Investments, Rampart Investment Management et Zweig Advisers
L'été n’a pas été de tout repos sur les marchés mondiaux, a rappelé Philippe Weber, responsable des études et de la stratégie de CPR AM vendredi lors d’une conférence consacrée aux perspectives de marché. En Europe, les différents indices économiques se sont replié suite aux négociations tendues sur le dossier grec. Depuis le 13 juillet et l’accord conclu entre Athènes et les institutions, ces indices se redressent et la publication du PIB européen au deuxième trimestre «a rassuré malgré le ralentissement notable de la conjoncture en France», a souligné l’expert. De nouveaux défis politiques sont attendus en Europe. Le dossier grec reviendra sur le devant de la scène avec des élections législatives prévues le 20 septembre, «un scrutin qui devrait être sous tension», estime Philippe Weber. En Espagne, les élections générales en décembre s’annoncent tendues pour le parti du premier ministre M. Rajoy, qui selon les sondages n’obtiendrait pas la majorité nécessaire avec ses alliés. Autre dossier chaud de l'été, la baisse de la croissance en Chine inquiète les investisseurs qui peuvent s’interroger sur l’influence de cette baisse sur les économies avancées, notamment celle des Etats-Unis. Philippe Weber appelle a la prudence et la modération. «Bien sûr, la Chine est une énorme puissance économique et commerciale, mais son poids ne doit pas être surestimé», a-t-il avancé, précisant qu’elle n’est pas la première destinatrice des exportations américaines. «La Chine ne représente que 7% des exportations des Etats-Unis. Si l’on ajoute les autres grands pays asiatiques (Japon, Corée, Inde), on arrive à 22%, tout au plus 25% si l’on inclut l’Australie et un ou deux autres pays du Pacifique», souligne l’expert de CPR AM, pour qui même si il y aurait des effets croisés, des effets de confiance, des effets financiers, des effets de change, on ne doit pas exagérer le risque. Philippe Weber est également revenu sur la modification du régime de change de la Chine en août. Ce mouvement peut en effet apparaître brutal, «mais ne fait guère que nous ramener au niveau de 2012 et c’est davantage le symbole et le changement de détermination de la parité centrale qui sont importants que l’impact macroéconomique éventuel d’une dévaluation de 4%», estime-t-il.Pour Laetitia Baldeschi, stratégiste de CPR AM, la baisse de l'économie chinoise est naturelle, due aux changements structurels que vit l'économie du pays. La contribution à la croissance de l’industrie classique ne cesse de diminuer au profit de celle du secteur tertiaire, mois évidente à mesurer. D’autres signaux positifs existent sur la Chine, rappelle la stratégiste, comme le dynamisme de l’investissement en infrastructures, largement soutenu par les autorités publiques. Enfin, la consommation des ménages reste soutenue, avec des ventes de détail en hausse de plus de 10% sur un an. Et concernant la chute de la Bourse chinoise, elle «certes été rapide mais elle ne fait que corriger une partie de l’excès des derniers mois», insiste Laetitia Baldeschi. Côté classes d’actifs, l'été a vu le coup de semonce sur les marchés financiers les a toutes touchées, avec les actions qui ont «payé un lourd tribut dans ce vent de panique, les bourses actions mondiales reculant de plus de 10% en quelques séances, effaçant ainsi les gains de toute une année», a rappelé Malik Haddouk, directeur de la gestion diversifiée de CPR AM. Toutes les classes d’actifs sont revenues à leurs niveaux de début d’année, les investisseurs ayant craint le ralentissement de la Chine ainsi qu’un arrêt de la politique monétaire accommodante aux Etats-Unis. En zone euro, la démission du Premier ministre grec fait craindre, là aussi, un report de la mise en application du programme finalisé avec les créanciers en juillet dernier. Malik Haddouk constate que le Japon et la zone euro restent les grands bénéficiaires de la réallocation de flux enregistrée depuis le début de l’année. «Les tendances restent inchangées même si on notera une accélération de la fuite des capitaux de la classe d’actifs émergents, un montant qui pourrait encore s’accélérer dans les mois à venir à moins que le pire soit déjà derrière nous», anticipe-t-il.Pour les mois à venir, faut-il se laisser tenter par les Bourses émergentes ? Si la baisse marquée des marchés émergents et des devises pourrait laisser penser que celles-ci, après cinq années de sous-performance face aux pays développés, redeviennent attrayantes, « il est selon nous encore trop tôt pour se positionner », prévient Malik Haddouk. « Les marges continuent à se détériorer et l’endettement progresse à nouveau. Nous restons, pour l’instant, prudents à l’égard des résultats des entreprises des économies émergentes. La dégradation des estimations de bénéfices reste sévère », souligne-t-il. Dans les pays développés, une certaine dynamique économique devrait se maintenir selon CPR AM, avec une croissance qui se raffermit aux Etats-Unis et en Europe. CPR AM anticipe dans son scénario central une remontée des taux directeurs aux Etats-Unis ( à 0,5%), un maintien au Japon (0,07%) et en zone euro (0,05%). La société de gestion table par ailleurs sur une hausse des Bourses de 5% aux Etats-Unis, de 7,5% au Japon et de 10% en zone euro. Toutefois, « les marchés actions sont à la merci du scénario chinois et un ralentissement plus prononcé de la Chine entraînerait une nouvelle fois une baisse marquée des indices actions », prévient Malik Haddouk. Dans ce contexte, CPR AM continue à privilégier la zone euro et a réduit son exposition aux actions japonaises, réallouée aux actions américaines.
Philippe Thel, spécialiste des financements immobiliers, vient de rejoindre BNP Paribas RealEstate en tant que senior advisor. Rattaché au directoire, il participera au comité exécutif international, précise un communiqué. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Philippe Thel est chargé de trois principales missions stratégiques pour le développement de BNP Paribas Real Estate, à savoir assurer le suivi des grands clients investisseurs, accroître la liaison avec BNP Paribas et maintenir une liaison étroite avec les équipes de financement afin de mieux répondre aux besoins des clients. Philippe Thel a fait toute sa carrière au sein du Groupe BNP Paribas. Recruté par le réseau Entreprises de Paribas en 1979, il a occupé diverses responsabilités avant d’être nommé responsable du secteur BTP, Ingénierie et Concessions - Grandes Entreprises. A ce titre, il a été membre du comité technique et financier de Cofiroute et a participé à l’étude de grands projets d’infrastructure. Philippe Thel a ensuite rejoint les Financements Immobiliers de Paribas. Nommé responsable des Financements Immobiliers France de BNP Paribas CIB (Corporate & Institutional Banking) en 2003, il en fut le responsable Europe de 2006 jusqu'à son arrivée chez BNP Paribas Real Estate. Membre du conseil d’administration de Klépierre de 2006 à 2014, il a également siégé au conseil d’administration de BNP Paribas Immobilier (devenue BNP Paribas Real Estate) au début des années 2000, puis il fut membre du conseil de surveillance de 2004 à 2015.
L’Agefi rapporte que KKR et Apollo Global Management veulent racheter la filiale de financement de stocks de General Electric, citant une information de Bloomberg. Les deux fonds de private equity ont formulé des offres voici deux semaines pour GE Capital Commercial Distribution Finance, qui possède pour 11 milliards de dollars d’actifs. GE pourrait choisir un acheteur d’ici la fin du mois.
Les fluctuations extrêmes des marchés actions en août ont révélé des problèmes sur le marché des ETF que les sociétés de gestion comme BlackRock tentent de comprendre, rapporte le Wall Street Journal. Les ETF n’ont pas tenu leur promesse de pouvoir être vendus ou achetés comme des actions lorsque le Dow Jones Industrial Average a abandonné plus de 1.000 points au cours des premières minutes de transactions le 24 août. Des dizaines d’ETF se sont négociés avec de fortes décotes par rapport à la somme de leurs participations, aggravant les pertes pour de nombreux investisseurs ayant vendu pendant le mouvement de panique. L’un des fonds touché par ces dislocations est le iShares Select Dividend ETF de BlackRock.
Credit Suisse Group compte vendre sa filiale de banque privée aux Etats-Unis et réduire ses activités de courtage dans le cadre d’un changement de stratégie que prépare le nouveau directeur général Tidjane Thiam, selon le Schweiz am Sonntag. Les résultats de la revue stratégique annoncée en juillet seront présentés au directoire du groupe début octobre, précise le journal en citant des sources internes non identifiées. Un porte-parole de la banque helvétique s’est refusé à tout commentaire. La filiale américaine de banque privée de Credit Suisse a environ 100 milliards de francs suisses d’actifs sous gestion mais n’enregistre pas de croissance, contrairement à sa rivale d’UBS. L’activité de «prime brokerage», qui fournit des services à des gros clients comme les hedge funds, et sa filiale d’investissements obligataires seront réduites afin de libérer du capital pour d’autres activités, ajoute le journal.
Les analystes ont réduit leurs prévisions de bénéfices pour Franklin Templeton, alors que la société de gestion américaine doit faire face aux pires rachats de son histoires, rapporte le Financial Times. Les sorties nettes du Templeton Global Bond fund, géré par Michael Hasenstab, ont atteint un niveau record en août (1,9 milliard de dollars), tandis que l’activité actions internationales de Franklin a souffert 16 mois consécutifs de retraits et voit ses encours chuter de 18 % sur un an. Les inquiétudes des actionnaires se concentrent sur l’exposition de plusieurs fonds de Franklin aux marchés émergents et sur la dépendance importante de la société à l’égard de la clientèle de particuliers, plutôt volatile.
Alors que les groupes belges Degroof et Petercam doivent entériner leur union le 1er octobre, François Wohrer, président du comité de direction pour la France du nouveau groupe, affiche clairement ses ambitions dans l’Hexagone. Ainsi, en « asset management », le nouveau groupe baptisé Banque Degroof Petercam se fixe l’objectif de gérer 2 milliards d’euros dans les trois ans, rapporte le quotidien Les Echos qui a rencontré le dirigeant du nouveau groupe bancaire. En banque privée, le nouvel acteur entend multiplier par deux les actifs sous gestion dans les cinq ans, sans livrer d’objectifs chiffrés. « Mon rôle est de développer l’activité en générant davantage de synergies entre les pôles déjà existants, et d’intégrer, en plus, le savoir-faire de Petercam, en particulier dans le domaine des investissements socialement responsables (ISR) », explique le dirigeant. La banque pourrait également grandir par croissance externe. « Nous pouvons très bien jouer un rôle d’accueil et de consolidation pour de petites structures de gestion de fortune pour qui les contraintes réglementaires deviennent trop lourdes », indique François Wohrer.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Since the beginning of the year, the fund industry has posted inflows of EUR124.4bn, a record amount, according to the most recent statistics from the German asset management association BVI. DeAWM leads the top 10 asset management firms for inflows, with EUR15.10bn in subscriptions since the beginning of the year, followed by Allianz Global Investors (EUR11.02bn), Union Investment (EUR6.8bn), DekaBank (EUR5.10bn), Ethenea (EUR2.5bn), Flossbach von Storch (EUR1.9bn), BlackRock (EUR1.8bn), Pioneer (EUR875m), Universal Investment (EUR860.3m), and Commerz Funds Solutions (EUR625m).
Arrivé il y a un an chez Amundi pour prendre la tête de la Distribution Externe France et Monaco, David Benmussa révèle les rouages de sa fonction, et quelques surprises dans la liste de fonds qui constitue une sélection de dix OPCVM sur une gamme de... 1 500 fonds ! De quoi susciter quelques envies des gérants pour y figurer, contraignant le responsable à savoir dire aussi "non" à ces professionnels...
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } Aegon Asset Management, which includes asset management activities in the United States, United Kingdom, China and continental Europe, has appointed Kirk Buese as chief investment officer for its activities in the United States, located at Aegon USA Investment Management. Buese began in the role on 7 September. In his new role, Buese will oversee the various investment teams, and will be repsonsible for the development of the investment capacities of the firm. Buese, who has over 25 years of experience, has served as global head of illiquid assets at Aegon Asset Management. He chaired the steering committee at Aegon AM responsible for macroeconimc strategies and allocation.
The asset management firm Calamos Investments, a specialist in convertibles, has announced the acquisition of the long/short booutique Phineas Partners, based in San Francisco. The transaction is expected to be completed in the next few weeks.Calamos has also announced modifications to its management structure. Four new senior members of the current investment team have been appointed as co-chief investment officers (co-CIO).Robert Behan, currently head of global distribution at Calamos, has been appointed chairman. He will retain responsibility for distribution, and has been responsible for management of activities and strategic growth initiatives.
As a meeting of the US Federal Reserve approoaches and the situation remains worrying in the Chinese economy, investors have continued to reduce their exposure to equity risk. Funds dedicated to equities have continued to see outflows of nearly USD19bn in the week to 9 September, according to a study by Bank of America / Merrill Lynch, based on statistics communicated by the specialist flow monitoring agency EPFR Global.In four weeks, outflows from equity funds total USD46bn. In the week under review, funds dedicated to emerging market equities, have posted outflows of USD4.5bn, while funds specialised in US equities have posted outflows of USD15.9bn. European equity funds have finished with net outflows of only EUR800m. Japanese equity funds were tehe only ones to finish in positive terriitory, with inflows of USD1.8bn.Since the beginning of the year, emerging market equity funds have seen outflows of USD58bn, while funds dedicated to European and Japanese equities have seen cumulative inflows of USD142bn. This divergence is partly based on a stronger US dollar and a less competitive Chinese economy. However, analysts at BofA Merrill Lynch are maintaining their buy indication for emerging markets.On the side of bonds, the week finished with net outflows limited to USD0.3bn, with inflows of USD1.4bn to US government bonds, but outflows of USD0.9bn from emerging market debt funds, and USD0.8bn from high yield debt funds.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } State Street Global Advisors (SSGA) has announced that assets in the SPDR DoubleLine Total Return Tactical ETF have topped USD1bn within six months. The ETF, developed as part of a partnership between SSGA and DoubleLine Capital, was launched on 23 February 2015, making the ETF the best-selling fund launched in 2015, a statement says.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } A partnership launched early this year by the asset management firm Aviva Investors and the group of boutiques Virtus Investments partners (see Newsmanagers of 26 January 2015) has produced its first results, with the launch of the VirtusMulti-Strategy Target Return Fund. The fund, which aims to be the first in a series as part of the partnership, has a highly specific goal: deliver returns equivalent to those for international equities, while tolerating less than half of the risk over three years. To achieve this specificiation, Aviva Investors is proposing to implement multiple strategies in bonds, currencies, equirtries, convertibles money markets, ETFs and derivatives. Virtus Investment Partners includes several boutiques, including Cliffwater Invesrtments, Duff & Phelps Investment Management, Euclid Advisors, Kayne Anderson Rudnick investment Management, Kleinwort Benson Investors International, Newfleet Asset Management, Newfound Investments, Rampart Investment Management and Zweig Advisers.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }a:link { } The coverage rate for corporate pension funds has deteriorated by 2.5 percentage points in the month of August, to 84.2%, according to the most recent statistics communicated by BNY Mellon Investment Strategy and Solutions Group (ISSG), a division of the Bank of New York Mellon. In the month under review, the value of assets has decreased sharply, though at the same time, engagements have fallen by only 0.9%, and the actualisation rate has risen 9 basis points, to 4.44%.
Asset managers are responding to institutional investors’ changing preferences and needs with myriad strategies and structures, according to new research from Cerulli Associates. «Embracing a vehicle-agnostic approach, managers are bringing investment strategies to market in just about any structural wrapper the client desires,» states Alexi Maravel, associate director at Cerulli, «especially lower cost vehicles, both those regulated by the Securities Exchange Commission (SEC) and those outside the SEC’s jurisdiction, like collective investment trusts (CITs).» «Offering separate accounts alone is not sufficient to compete in institutional channels,» Maravel explains. «CITs are popular for their lower cost and generally lower minimum investment threshold, but also their ability to be customized, particularly for larger plans.» In the wake of the global financial crisis, institutions have a heightened awareness of mitigating risks and getting more for their management fee dollar. In response, managers have conceived novel and often objectives-based investment strategies.
Arrivé il y a un an chez Amundi pour prendre la tête de la Distribution Externe France et Monaco, David Benmussa révèle les rouages de sa fonction, et quelques surprises dans la liste de fonds qui constitue une sélection de dix OPCVM sur une gamme de... 1 500 fonds ! De quoi susciter quelques envies des gérants pour y figurer, contraignant le responsable à savoir dire aussi "non" à ces professionnels...
BMO Global Asset Management (BMO) a recruté Luis Martín Hoyos en tant que responsable commercial pour l’Espagne pour travailler dans le nouveau bureau de la société à Madrid qui doit ouvrir en octobre 2015, rapporte Investment Europe. Il sera responsable de la distribution des produits et stratégies de la société canadienne en Espagne. Martín Hoyos travaillait précédemment pour BlackRock où il a passé plus de trois ans en tant que responsable commercial pour la clientèle retail et institutionnelle pour la région ibérique. Il sera placé sous la direction de Georg Kyd-Rebenburg, responsable de la distribution en Europe.
Les gestionnaires d’actifs répondent aux préférences et aux besoins changeants des investisseurs institutionnels au travers d’une multitude de stratégies et de structures, selon une étude publiée dans la dernière livraison du «Cerulli Edge - U.S. Institutional Edition». «Par la biais d’une approche agnostique, les gestionnaires proposent au marché des stratégies d’investissement dans n’importe quelle enveloppe souhaitée par le client, notamment les véhicules à bas coûts, à la fois ceux réglementés par la Securities & Exchange Commission (SEC) et ceux en dehors de la juridiction de la SEC comme les organismes de placement collectifs (CITs)», indique Alexi Maravel, associate director chez Cerulli. «Proposer seulement des comptes séparés ne suffit plus pour être concurrentiel dans le monde des institutionnels. Les CITs sont populaires pour leurs bas coûts et pour leurs seuils d’investissement minimum généralement moins élevés, mais également pour leur capacité à prendre des formats personnalisés», explique Alexi Maravel. Dans le sillage de la crise financière, les institutionnels ont une conscience aigue de la nécessité de réduire les risques et d’obtenir davantage pour un dollar de frais de gestion. Dans ce contexte, les gestionnaires ont su concevoir des stratégies d’investissement novatrices et souvent basées sur des objectifs.
Le taux de couverture des fonds de pension d’entreprises s’est détérioré de 2,5 points de pourcentage au mois d’août pour s'établir à 84,2%, selon les dernières statistiques communiquées par BNY Mellon Investment Strategy and Solutions Group (ISSG), une division de The Bank of New York Mellon.Durant le mois sous revue, la valeur des actifs a fortement diminué, alors que dans le même temps, les engagements ont reculé de seulement 0,9%, le taux d’actualisation augmentant de 9 points de base à 4,44%.
La production industrielle en zone a dépassé les attentes en juillet grâce à la hausse de l’activité des secteurs de l’énergie, des biens d’équipement et des biens de consommation durables, montrent les chiffres publiés lundi par Eurostat. Elle a augmenté de 0,6% par rapport à juin et de 1,9% sur un an. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,3% sur un mois et de 0,6% en rythme annuel.
La Chine restructurera les entreprises publiques dont la performance est médiocre et ira jusqu’à en fermer certaines, a déclaré lundi Zhang Xiwu, vice-président de la Commission d’administration et de supervision des actifs publics (SASAC). L’Etat chinois gère de manière centralisée 111 entreprises par le biais de la SASAC, tandis que les autorités locales détiennent et gèrent autour de 25.000 entreprises publiques. Ces entreprises publiques emploient près de 7,5 millions de salariés. Zhang a précisé que les marchés de capitaux, boursiers en particulier, seraient sollicités pour la vente des entreprises publiques peu performantes «au juste prix».