Mark Barry a récemment été recruté par Robeco au poste de responsable de l’activité institutionnelle à Londres, selon IPE. L’intéressé rejoint le groupe néerlandais en provenance de Russell Investments, où il était «managing director» au sein du département dédié aux solutions de retraite pour les institutionnels. Dans ses nouvelles fonctions, il sera en charge des relations avec la clientèle institutionnelle britannique et la commercialisation de produits auprès de cette clientèle, notamment dans le fixed income, le private equity, les stratégies actions à faible volatilité et les actions émergentes.
Insight Investment, filiale du groupe américain BNY Mellon, a recruté Lloyd Thomas en qualité de gérant de portefeuille au sein de son entité dédiée à la gestion multi classes d’actifs. Basé à Londres, l’intéressé sera rattaché à Matthew Merritt, responsable de la stratégie multi classes d’actifs chez Insight Investment. Lloyd Thomas officiait précédemment en tant que gérant de portefeuille chez Mediolanum Asset Management où il a travaillé pendant six ans.
Le gestionnaire d’actifs britannique Kames Capital a annoncé, ce 14 septembre, la nomination de Ian Gatiss en qualité de gérant d’actifs au sein de son équipe dédiée à l’immobilier en direct. A ce titre, il sera chargé de la gestion d’actifs stratégique au sein de l’équipe dédiée aux fonds immobiliers directs. Basé à Londres, l’intéressé sera rattaché à Sarah Cockburn, responsable des fonds immobiliers chez Kames Capital. Ian Gatiss arrive en provenance de GE Capital Real Estate, filiale du conglomérat américain General Electric (GE), où il était responsable de la gestion actions («Head of equity asset management») pour le Royaume –Uni. Avant d’intégrer GE Capital Real Estate en 2003, Ian Gatiss était directeur associé et gérant de fonds chez BNP Paribas.
Le gestionnaire d’actifs américain JP Morgan Asset Management a nommé Michael Bell au poste de stratégiste marchés à l’échelle mondiale («global market strategist») au sein de son équipe «market insights» pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA), rapporte Reuters. L’intéressé arrive en provenance de la banque privée C. Hoare & Co où il officiait depuis sept ans en tant que stratégiste en investissement au sein de l’équipe macroéconomique et allocation d’actifs. Chez JP Morgan AM, Michael Bell remplace Kerry Craig, qui est parti en Australie pour piloter le développement du programme «market insights» de JP Morgan AM dans le pays. Michael Bell est basé à Londres et est rattaché à Stephanie Flanders, «chief market strategist» pour l’Europe et le Royaume-Uni chez JP Morgan Asset Management.
Giulia Pedrazzi est la nouvelle responsable du private banking de Veneto Banca, rapporte Bluerating. L’intéressée travaille dans le groupe bancaire italien vénitien depuis 2011.
A partir du 28 septembre, Euronext va introduire sur ses marchés européens d’actions traitées en continu un système d’enchères aléatoires pour la fixation de ces cours, rapporte L’Agefi. A l’avenir, le cours d’ouverture des titres sera fixé de manière aléatoire entre 9h00 et 9h00 et 30 secondes alors qu’il est fixé à 9h00 précises aujourd’hui. Le cours de clôture sera aussi fixé aléatoirement entre 17h35 et 17h35 et 30 secondes, plutôt que d'être figé à 17h35 pile. Les heures à partir desquelles les ordres peuvent s’accumuler avant la fixation des prix d’ouverture et de clôture restent inchangées (à 7h15 et 17h30).Ce système devrait empêcher qu’un grand nombre d’ordres soient entrés dans le but de faire décaler les cours avant d'être annulés juste avant le fixing, précise le quotidien.
L2G accueille Siparex à son capital afin de financer l’acquisition du Groupe SEDA. Implanté à Corbas dans le Rhône, le Groupe L2G est spécialisé dans la conception, la fabrication et le négoce de matériels d’équipement des cuisines professionnelles et des rayons frais des grandes et moyennes Surfaces. Depuis sa reprise en fin d’année 2009 par Dominique de Charry, son actuel dirigeant, le groupe a connu une croissance soutenue, supérieure à 20 % par an, et affiche à fin 2014 un chiffre d’affaires de près de 17 millions d’euros. Afin d’accélérer sa stratégie de développement, le groupe L2G s’associe avec Siparex, via le fonds SIPAREX MIDCAP II, afin de faire l’acquisition du Groupe SEDA. Créé en 1975 et basé près d’Avignon, SEDA est spécialisé dans le mobilier commercial réfrigéré et a réalisé un chiffre d’affaires de 18 millions d’euros en 2014. Cette acquisition permet à L2G de doubler de taille tout en renforçant son offre sur une gamme de produits complémentaires afin de se positionner comme un interlocuteur unique au service de ses clients. En outre, cette opération s’inscrit dans la stratégie de développement du groupe qui vise à poursuivre la réalisation de croissances externes ciblées dans des métiers complémentaires.
Le fonds de pension canadien Ontario Teachers’ Pension Plan (OTPP), qui gère 154,5 milliards de dollars canadiens d’actifs à fin 2014, a annoncé la nomination de Nicole Musicco au poste de directrice générale pour l’Asie-Pacifique et responsable de son bureau à Hong Kong. L’intéressée, qui compte une longue expérience dans le domaine du capital-investissement, a rejoint OTPP en 2002 et a occupé différents postes à responsabilité dont, récemment, celui de «vice president» de Teachers’ Private Capital au bureau de Toronto du fonds de pension. OTPP a ouvert son bureau de Hong Kong en 2013 et affiche désormais 12 milliards de dollars canadiens en Asie-Pacifique.
Le gestionnaire d’actifs japonais Nikko Asset Management (Nikko AM) vient de lancer sa stratégie actions asiatiques, dont les encours s’élèvent à 500 millions de dollars, en Europe, rapporte Citywire. Domicilié au Luxembourg, le fonds Asia ex-Japan Equity est géré par l’équipe dirigée par Peter Sartori et Eng Teck Tan, qui supervise 3 milliards de dollars d’actifs au total et compte 200 professionnels de l’investissement répartis dans 11 pays. «Nous avons lancé le fonds pour répondre à la demande des investisseurs en quête de spécialistes de placements gérés activement en Asie hors Japon», explique Peter Sartori dans le cadre d’un entretien à Citywire. Ce fonds est basé sur une stratégie «bottom-up» lancée initialement en 2006 et domiciliée à Singapour et en Australie. Depuis cette date, le fonds a dégagé un rendement (exprimé en dollars) de 9,06% contre 8,78% pour le MSCI Asia ex Japan Index, son indice de référence. Au cours des trois dernières années, son rendement s’établit à 14,12% contre 9,57% pour son indice de référence. Son portefeuille est concentré autour de 40 à 60 valeurs de moyennes et grandes capitalisations.
amLeague compte depuis cet été un nouvel adhérent à la gestion marquée. La Financière Responsable. Mais, présent sur Newsmanagers TV, Olivier Johanet, son président, a vu large. Pas question de limiter son périmètre au seul mandat Actions Europe ISR. Bien que dédiée au développement durable, la société de gestion bataille dans les trois catégories «Actions zone euro», «Actions Europe» et «Actions Europe ISR». « Nous ne suivons pas une méthode d’exclusion », a expliqué le responsable, justifiant ainsi la possibilité pour La Financière Responsable d’appliquer sa gestion, quel que soit l’univers d’investissement considéré et la nature des gestions imposées – ISR ou non ISR. « Nous aimons toutes les entreprises sauf si elles ont un comportement nuisibles qui les empêche de créer de la valeur durablement », a t-il expliqué. En pratique, le responsable en est convaincu : on ne résume pas la qualité d’une entreprise à la seule lecture de ses résultats financiers. Autrement dit, il faut intégrer des critères non financiers. « Il faut chercher comment la société créé de la valeur avec l’ensemble de ses parties prenantes (clients ; fournisseurs, personnel). Puis ces données non financières doivent être chiffrées pour être raccrochées à des analyses financières», a-t-il indiqué. Au final, l’analyse de cet ensemble donnera une idée de la qualité du management et elle permettra de déterminer les meilleures entreprises. Dans la pratique, La Financière Responsable passe au crible 62 indicateurs extra-financiers chaque année et ce depuis six ans. Le tout concernant 120 entreprises. D’où il ressort qu’il existe bien des relations entre données financières et non financières. « Tout ce travail nous permet de bénéficier d’un crédit d’impôt recherche et nous sommes les seuls dans ce cas », a rappelé Olivier Johanet. Ce dernier a néanmoins noté qu’il restait avant tout un financier qui croit avant tout à la performance de l’ISR. « Je suis un financier et mes clients m’ont donné un mandat de performance financière. Il faut que je rende compte de ce mandat », a-t-il souligné. Et de rappeler que depuis le début de l’année, sa gestion bat l’indice dividendes réinvestis de 6,5 points et sur douze mois, de 10,5 points de base.Enfin, interrogé sur les avancées de la manifestation COP21 qui se tiendra à Paris à la fin de l’année, le président de La Financière Responsable a espéré qu’à cette occasion on prendra conscience que les entreprises vertueuses qui luttent contre le réchauffement climatique, constituent de bonnes opportunités d’investissements, parce qu’elles savent faire des économies d’énergie ; être plus productives, et capables d’aligner leurs intérêts sur les intérêts de la société civile. « Je ne suis pas sûr que la COP 21 les fera émerger mais elle fera réfléchir vers cette absence de conflits entre croissance, situation éco et changement climatiques », a conclu Olivier Johanet. Pour voir la vidéo, cliquez sur le lien suivant :http://www.newsmanagers.com/NewsManagersTV/lesgerantssexpliquent.aspx?id=1266
Les dirigeants des activités britanniques de Pimco ont vu leurs rémunérations chuter d’environ 30 % en 2014, le groupe ayant souffert d’importants rachats dans le sillage du départ de Bill Gross, rapporte le Financial Times fund management. Les neuf administrateurs de Pimco Europe ont reçu collectivement 36,5 millions de livres l’année dernière, en baisse par rapport aux 48,6 millions de livres en 2013. Le dirigeant le mieux payé, qui reste anonyme, a obtenu environ 15,7 millions de livres, en repli de 57 % par rapport à 2013.
BlackRock annonce le lancement d’un nouveau fonds event-driven en Europe. Compartiment de la sicav BlackRock Strategic Funds (« BSF »), le fonds Global Event Driven est le premier fonds event-driven UCITS lancé par la société de gestion américaine sur le marché européen. Le fonds est géré par Mark McKenna, responsable mondial de la stratégie actions event-driven de BlackRock, qui a rejoint la société l’année dernière après un passage chez Harvard Management Company (HMC), dont il a co-fondé la stratégie event-driven. Le portefeuille du fonds sera investi sur un large éventail d’opérations sur titres (fusions, scissions et restructurations annoncées, acquisitions génératrices de synergies, activisme collaboratif...). Il privilégiera les actions et, au gré des opportunités, pourra investir sur l’ensemble de la structure du capital, adoptant des positions longues et des positions synthétiques longues comme courtes dans un ensemble diversifié de secteurs sur les marchés développés. « Les opportunités ne manquent pas pour les stratégies event-driven. Les entreprises sont confrontées à une croissance organique faible, mais leurs marges sont au plus haut et leurs trésoreries abondantes. Dans ce contexte, elles seront obligées de réaliser des opérations stratégiques pour créer de la valeur pour les actionnaires. 2015 a déjà été un excellent cru pour les opérations de fusions/acquisitions et nous pensons que le niveau soutenu de l’activité va perdurer, dans tous les segments : ce sera l’occasion d’exploiter le différentiel de valeur créé par ces opérations capitalistiques, synonymes de profondes transformations », a commenté Mark McKenna.
UCITS net sales fell to EUR 114 billion, down from EUR 283 billion in the first quarter, according to the lateste quarterly statistical release of The European Fund and Asset Management Association (EFAMA). UCITS net sales totaled EUR 397 billion during the first half of 2015, up from the EUR 274 billion in January-June 2014. Long-term UCITS, i.e. UCITS excluding money market funds, attracted net inflows of EUR 144 billion, down from EUR 236 billion in the first quarter. The three main types of long-term UCITS recorded lower net sales during the quarter. Equity funds recorded net sales of EUR 22 billion, down from EUR 43 billion. Bond funds recorded net sales of EUR 32 billion, down from EUR 79 billion. Multi-asset funds recorded net sales of EUR 72 billion, down from EUR 101 billion. Long-term UCITS have also increased during the first half of this year to EUR 380 billion from the EUR 282 billion during this period last year. Money market funds registered a turnaround in net sales to post net outflows of EUR 30 billion in the second quarter, against net inflows of EUR 47 billion recorded in the first quarter. AIF net sales increased to EUR 48 billion in the second quarter, up from EUR 18 billion in the first quarter. This increase in net sales was mainly due to a turnaround in net sales of equity funds to net inflows of EUR 4 billion compared to net outflows of EUR 13 billion in the first quarter. Net sales of multi-assets also increased to EUR 32 billion, up from EUR 22 billion in the first quarter. Institutional net sales declined to EUR 38 billion, down from EUR 54 billion in the first quarter. European investment fund assets decreased 0.8 percent during the second quarter of 2015 to stand at EUR 12,632 billion at end June 2015. Net assets of UCITS declined by 0.9 percent to stand at EUR 8,167 billion at end June 2015, whilst total net assets of AIFs declined by 0.8 percent to stand at EUR 4,455 billion at quarter end.
BlackRock has announced the launch of a new event-driven fund in Europe. The Global Event Driven fund, a sub-fund of the BlackRock Strategic Funds (“BSF”) Sicav, is the first event-driven UCITS fund to be launched by the US asset management firm on the European market. The fund is managed by Mark McKenna, global head of event-driven equity strategy at BlackRock, who joined the firm last year, after spending time at Harvard Management Company (HMC), where he co-founded the event-driven strategy.The portfolio of the fund will invest in a wide range of securities operations (mergers, spinoffs and announced restructuring, acquisitions which generate synergies, collaborative activism...). He will prefer equities, and as opportunities present themselves, may invest in the entire capital structure, to adopt long and synthetic long and short positions in a wide variety of sectors in developed markets.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Spanish common investment funds were fully victim to the volatility on the financial markets in August. As of 31 August, their assets totalled EUR217.94bn, a decline of EUR4.028bn, or 1.8%, compared with July, according to statistics released by Inverco, the Spanish asset management association. Despite this passing inconvenience, the Spanish fund industry has remained on a positive trend since the beginning of the year. At the conclusion of the first eight months of the year, assets under management rose 11.9%, or EUR23.09bn, from EUR194.84bn as of 31 December 2014 to EUR217.94bn as of 31 August 2015. In the month of August alone, net inflows totalled EUR731m. Due to this result, net subscriptions total EUR22.927bn since the beginning of 2015.
NextStage AM renforce sa gamme avec le lancement du FIP NextStage Rendement 2022. Le produit sera investi à hauteur de 100% avec un objectif d’investir dans une vingtaine de PME françaises, familiales ou des entrepreneurs actionnaires, principalement implantées dans les régions Ile-de-France, Bourgogne, Rhône-Alpes et Provence Alpes Côte d’Azur. L’objectif du portefeuille est d’investir via des obligations convertibles à hauteur de 60% maximum. Le FIP ouvre droit, dès la souscription, à une réduction de 18% de l’impôt sur le revenu, ainsi qu’à une exonération des plus-values (hors prélèvements sociaux), précise la société de gestion.
Le mois d’août a été particulièrement sévère pour les quatre ténors américains de la gestion d’actifs. A l’issue du mois écoulé, AllianceBernstein (AB), Franklin Templeton, Invesco et Legg Mason ont en effet subi un fort repli de leurs actifs sous gestion.La palme de la plus grosse déconvenue revient à Franklin Templeton qui a dévoilé une chute de 5,7% de ses encours pour s’établir à 806 milliards de dollars à fin août contre 854,7 milliards de dollars à fin juillet. La société de gestion n’a toutefois livré aucune explication à cette sérieuse contre-performance.Invesco ne fait guère mieux. Au 31 août 2015, ses actions sous gestion ressortent en effet à 776,4 milliards de dollars contre 806,7 milliards de dollars au mois de juillet, soit une baisse de 3,8% d’un mois sur l’autre. Ce repli est lié «à des effets marchés et de change défavorables et à de la décollecte nette à la fois sur les fonds monétaires et les fonds de la gamme PowerShares QQQ», explique la société de gestion dans un communiqué. A lui seul, l’effet de change négatif a engendré un recul de ses encours de l’ordre de 1,9 milliard de dollars. AllianceBernstein est logé à la même enseigne, ses encours reculant de 3,1% sur un mois pour s’établir à 471 milliards de dollars fin août 2015 contre 486 milliards de dollars fin juillet 2015. «L’effet de marché négatif est l’origine de la majorité de cette baisse», explique le gestionnaire d’actifs dans un communiqué. La société de gestion reconnaît également avoir enregistré des rachats nets tout au long du mois écoulé, sans divulguer le moindre chiffre.Enfin, Legg Mason limite la casse avec un recul de 1,95% seulement de ses encours pour ressortir à 681,9 milliards de dollars à fin août contre 695,5 milliards de dollars à fin juillet. Au cours du mois écoulé, la société de gestion a subi une décollecte nette de 1,2 milliard de dollars sur les produits de long terme tandis que les produits de liquidité ont enregistré une collecte, compensée par une collecte nette de 3,4 milliards de dollars. L’effet de change négatif a entraîné une baisse de ses actifs sous gestion de l’ordre de 500 millions de dollars au cours du mois d’août.
Le patron des crédits structurés chez Natixis Asset Management, Stéphane Caron, a quitté la société le 30 août, selon le site spécialisé Citywire. Stéphane Caron occupait cette fonction depuis janvier 2011. Il avait repris la gestion du fonds Natixis European ABS IG (328,5 millions d’euros d’actifs) en septembre 2012. Il pilotait également le Natixis European ABS Opportunities fund avec Sébastien André. Ces fonds seront désormais gérés par Alexandre Boulinguez, qui a rejoint Natixis il y a quatre ans, et Sébastien André, qui travaille dans la société depuis neuf ans.
Le gestionnaire d’actifs britannique Pemberton Asset Management a annoncé, ce 14 septembre, le recrutement de Geoffroi de Saint-Chamas pour diriger ses activités en France. L’intéressé, qui compte plus de 25 ans d’expérience sur les marchés européens des financements d’entreprises et d’acquisitions, était jusqu’à présent responsable du conseil en financement en France de la banque Lazard. Avant de rejoindre Lazard en 2009, il a été co-responsable des financements d’acquisitions chez Royal Bank of Scotland (RBS) en France. Entre 2006 et 2008, il a également été membre des comités de crédit pour RBS à Londres. Geoffroi de Saint Chamas a débuté sa carrière chez Paribas et a occupé divers postes dans le domaine du conseil et des financements structurés chez Indosuez et au Crédit Agricole.
La société de gestion Mandarine Gestion vient de renommer son fonds Mandarine PME, devenu le 1er septembre 2015 Mandarine Europe Microcap. Ce fonds commun de placement (FCP) est un fonds actions spécialisé dans la sélection de micro-capitalisations européennes, c’est-à-dire de sociétés cotées avec une capitalisation boursière inférieure à environ 800 millions d’euros. Son indicateur de référence est désormais le MSCI Europe Microcap NR. L’ancien benchmark était le Stoxx Europe Small 200 DR (dividendes nets réinvestis) jusqu’au 31 août.Géré par Sébastien Lagarde, qui a rejoint Mandarine en mai dernier, Mandarine Europe Microcap donne accès à un univers d’investissement attractif qui permet aux investisseurs de diversifier leur exposition au sein de l’univers actions européennes. « Contrairement aux idées reçues, la très grande diversité économique des micro-capitalisations fait qu’elles sont peu corrélées entre elles, ce qui en fait un univers moins volatil que celui des grandes valeurs, a expliqué Sébastien Lagarde, le 14 septembre à l’occasion d’un point de presse. Moins bien couvert par les analystes, moins dépendant des conditions macroéconomiques, cet univers des micro-capitalisations européennes recèle de nombreuses inefficiences de marchés, offrant un terrain propice au stock-picking ! »"Ce fonds PEA–PME original offre une opportunité d’investissement attractive, riche en diversifications sectorielle et géographique avec une sélection de sociétés réparties dans plus de 15 pays européens. La gestion du risque est par ailleurs un autre atout du fonds, avec une attention particulière portée à la liquidité du portefeuille, permettant de s’affranchir des idées reçues sur les microcaps», a précisé Rémi Leservoisier, directeur général de Mandarine Gestion. «Avec son prisme européen, le nouveau fonds devrait intéresser beaucoup plus d’investisseurs», a estimé Sébastien Lagarde qui affiche un très bon historique de performance puisqu’il gérait une stratégie tout à fait similaire chez AXA Investment Managers avant de rejoindre Mandarine. Les actifs sous gestion du fonds s'élèvent actuellement à un peu moins de 11 millions d’euros avec une population d’investisseurs essentiellement retail. Le périmètre européen devrait permettre d'élargir le cercle des investisseurs, notamment en Allemagne où les fonds de fonds et les family offices sont très intéressés par la stratégie. Et si la collecte évolue favorablement, les institutionnels devraient définitivement asseoir le fonds dans le paysage. En attendant, la transformation de l’ancien fonds a permis d’amortir les tout récents chocs de marché. Cela dit, depuis sa création fin 2013, Mandarine Europe Microcap R affiche une progression de près de 32% à fin août 2015 contre un gain de 17,37% le Stoxx Europe Small 200 DR pour une moindre volatilité. Caractéristiques du fonds Mandarine Europe Microcap : Date de création Date de création 31/12/2013 Souscripteurs concernés Tous Eligible PEA et PEA PME Code ISIN (part R) FR0011640945 Frais de gestion (TTC) 2,20% + com. de surperf. Devise de libellé EUR Frais de souscription 2% max Valorisation Quotidienne Décimalisation Dix millième
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The asset management firm Mandarine Gestion has renamed its Mandarine PME fund, which on 1 September became Mandarine Europe Microcap. The equity fund is specialised in the selection of European microcaps, meaning publicly-traded busiensses with a market capitalisation of less than about USD800m. Its benchmark indicator is now the MSCI Europe Microcap NR. The former benchmark had been the Stoxx Europe Small 200 DR (net dividends reinvested), until 31 August. Mandarine Europe Microcap, managed by Sébastien Lagarde, who has over 10 years of experience on the market and joined Mandarine in May last year, offers access to an attractive investment universe, which allows investors to diversify their exposure to the European equity universe. “Contrary to conventional wisdom, the very great economic diversity of microcaps means that they have limited correlation between them, which makes for a less volatile universe than large caps,” Lagarde, manager of the Mandarine Europe Microcap, explained on 14 September at a press conference. “With its European prism, the new funds is expected to interest many more investors,” Lagarde says, adding that he has a very good track record since he had managed a similar strategy at AXA Investment Managers before joining Mandarine. Assets under management in the fund now total slightly under EUR11m, with an essentially retail investor population. A European perimter will allow for the circle of investors to be enlarged, particularly in Germany, where funds of funds and family offices are very interested in the strategy And if inflows develop favourable, institutionals are expected to join the fund.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The British asset management firm Pemberton Asset Management on 14 September announced that it has recruited Geoffroi de Sain-Chamas to direct its activities in France. Saint-Chamas, who has over 25 years of experience in European corporate finance and acquisition markets, had previously been head of finance advising in France for the Lazard bank. Before joining Lazard in 2009, he was co-head of acquisition financing at Royal Bank of Scotland (RBS) in France. From 2006 to 2008, he was also a member of the credit committees for RBS in London. Saint-Chamas began his career at Paribas and has served in a variety of positions in the area of consulting and structured finance at Indosuez and Crédit Agricole.
August was particularly cruel to the four tenors of US asset management: AllianceBernstein (AB), Franklin Templeton, Invesco and Legg Mason have all seen steep declines in their assets under management.The largest decline is at Franklin Templeton, which has revealed a 5.7% decline in its assets, to USD806bn as of the end of August, compared with USD854.7bn as of the end of July. The asset management firm has not offered any explanation for this.Invesco is doing little better. As of 31 August 2015, its assets under management totaled USD776.4bn, compared with USD806.7bn in July, a decline of 3.8%. This decline is related to “unfavourable market and currency effects and net outflows both from money market funds and funds of the PowerShares QQQ range,” the asset management firm explains. Negative currency effects alone provoked a decline in assets of about USD1.9bn.AllianceBernstein is in the same boat: its assets have fallen by 3.1% in one month, to USD471bn as of the end of August 2015, comapred with USD486bn as of the end of July 2015. “Negative market effects are responsible for the majority of this decline,” the asset management firm explains. The asset management firm also admits that it has posted net redemptions throughout the past month.Lastly. Legg Mason has limited the damage, with a decline of only 1.95% in its assets, to USD681.9bn as of the end of August, compared with USD695.5bn as of the end of July. The asset management firm has seen a net outflow of USD1.2bn from long-term products, while liquidity products have posted inflows, offset by a net inflow of USD3.4bn. Negative currency effects resulted in a decline in assets under management of about USD500m in August.
Muzinich & Co on 14 September announced the appointment of Patrick Tinchant as chief operating officer for European private debt. Before joining the firm in July last year, Tinchant spent 9 years in the structured finance department at AXA Investment Managers, where he developed exprtise in settlement of multi-jurisdiction loans for leveraged finance and private debt portfolios. Tinchant had previously served for 6 years as head of middle office at Rabobank International. He will now serve at the Paris office of Muzinich & Co.Muzinich & Co has also confirmed the appointment of Salim Hasnat to the private debt team at the Paris office of the firm, as senior director. Before joining Muzinich & Co, Hasnat spent 15 years at Rabobank International, where he was most recently head of acquisition financing for France. He has served in the leveraged finance departments of Rabobank in Paris, London, and New York, where he created, structured and oversaw numerous financing for senior and subordinate debt as part of a wide variety operations.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Insight Investment, an affiliate of the US BNY Mellon group, has recruited Lloyd Thomas as portfolio manager at its entity dedicated to multi-asset class management. Thomas will be based in London, and will report to Matthew Merritt, head fo the multi-asset class strategy at Insight Investment. Thomas had previously served as a portfolio manager at Mediolanum Asset Management, where he worked for six years.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The British asset management firm Kames Capital on 14 September announced the appointment of Ian Gatiss as asset manager on its team dedicated to direct real estate. In this position, he will be responsible for the management of strategic assets as part of the team dedicated to direct real estate funds. Gatiss joins from GE Capital Real Estate, an affiliate of the US conglomerate General Electric (GE), where he had been head of equity asset management for the United Kingdom. Before joining GE Capital Real Estate in 2003, Gatiss had been associate director and fund manager at BNP Paribas.
Les principaux indices boursiers chinois ont clôturé en nette baisse mardi, portant leur recul à 6% en deux séances sur fond d’inquiétudes persistantes sur l’état de l’économie chinoise. Au lendemain d’un recul de 2,67%, l’indice composite de Shanghai a encore cédé 3,55% mardi et l’indice CSI300 des principales valeurs cotées à Shanghai et Shenzhen a chuté de 3,93%. Les volumes sont restés faibles en l’absence d’orientation après la chute de 40% des marchés boursiers chinois durant l’été.
Le gouvernement brésilien a dévoilé lundi soir des mesures d’austérité drastiques combinant baisses des dépenses et hausses des impôts pour un montant total de 65 milliards de reals (15 milliards d’euros). L’essentiel de cette somme proviendra du rétablissement pour une durée de quatre ans de la taxe sur les transactions financières (CPMF) qui permettra de lever 32 milliards de reals l’an prochain, à condition que le Congrès se laisse convaincre d’adopter une telle mesure à laquelle il s’est déjà opposé. Alors que le pays est entré en récession, les baisses de dépenses touchent les programmes de santé et de logement social, les investissements dans les infrastructures, les subventions agricoles ainsi que les salaires et les primes des fonctionnaires.
L’excédent commercial de la zone euro a atteint 31,4 milliards d’euros en juillet en données brutes, contre 21,2 milliards un an plus tôt, à la faveur d’un bond de 7% des exportations qui contraste avec la hausse de seulement 1% des importations, a annoncé Eurostat mardi. Pour l’ensemble de l’Union européenne, l’excédent commercial s’établit à 12,9 milliards d’euros contre 1,2 milliard en juillet 2014. Avec la chute des cours du pétrole, la facture énergétique de l’UE est tombée à 201,3 milliards d’euros en juillet contre 268,7 milliards un an plus tôt.
Le retour à l’équilibre des comptes de la Sécurité sociale n’interviendra pas avant 2020 au mieux, ce qui accroît les risques d’aléas sur la maîtrise des dépenses et la dette, estime la Cour des comptes. Dans son rapport annuel sur le sujet paru mardi, elle appelle à des efforts «plus ambitieux» sur les dépenses, particulièrement pour l’assurance-maladie, où l’objectif a été tenu mais dont le rythme de hausse reste soutenu. La Cour rappelle dans son rapport que la réduction du déficit a été une nouvelle fois obtenue par une progression des ressources (+3,3%) plus rapide que celle des dépenses (+2,2%).