p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } At the conclusion of its first fiscal half year ending on 31 March 2016, the British asset and wealth management firm Brewin Dolphin has posted a 42.2% decline in its pre-tax profits at GBP21.5m as of 31 March 2016, compared with GBP37.2m as of 31 March 2015. Net profits, for their part, total GBP17.2m as of the end of March 2016, compared with GBP30.1m as of the end of March 2015, a decline of 42.8% year over year. Over the first six months of its fiscal year, Brewin Dolphin has earned revenues of GBP137.2m, compared with GBP143.4m one year previously, a decline of 4.3%. Despite mediocre financial results, Brewin Dolphin has managed to maintain positive asset levels. As of 31 March 2016, its assets under management totalled GBP32.8bn, down 4.9% year over year (GBP34.5bn as of 31 March 2015) but up 2.5% compared with 30 September 2015 (GBP32bn). Growth in assets over the first six months of its fiscal year were driven by a positive market effect of GBP600m and a net inflow of GBP200m. Assets in discretionary funds totalled GBP25.9bn as of the end of March 2016, down 1.1% compared with the end of March 2015 (GBP26.2bn), but up 4.4% compared with the end of September 2015 (GBP24.8bn). This increase over six months is largely due to a positive market effect of GBP700m, while net inflows totalled GBP400m.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The British asset management firm Hargreaves Lansdown has posted net inflows of GBP2.3bn in the first four months of 2016, compared with GBP2.75bn as of the end of April 2015. Due to this performance, assets under management and administration total GBP60.3bn as of the end of April 2016, up 2.5% compared with the end of December 2015 (GBP58.8bn) and 9% compared with the end of April 2015 (GBP55.3bn).
If the United Kingdom were to leave the European Union («Brexit»), the operational and business impact would be manageable for most rated asset managers, says Moody’s Investors Service.Moody’s does not expect the loss of management and marketing passporting rights to have profound implications for the asset management industry overall, because many UK groups operate in continental Europe through subsidiaries, and vice versa for continental European managers."Even if UK managers would, from a EU perspective, become «third country firms» and would not benefit from passporting regimes, they would be well positioned to benefit from concessions available to third countries because existing legislation meets the EU requirements,» says Marina Cremonese, a Vice President at Moody’s."That said, post-Brexit financial market volatility would weigh on asset managers’ operating margins because of weak market performance and reduced investor appetite for risk. Non-UK based asset managers would also be affected if such market volatility spreads to continental Europe,» says Vanessa Robert, a Vice President and Senior Credit Officer at Moody’s
Société Générale Securities Services (SGSS) annonce avoir été mandaté par Sydbank Asset Management, une division de Sydbank A/S au Danemark, pour lui fournir des services de middle-office afin d’accompagner la croissance de leur activité dette marchés émergents à destination des institutionnels en Europe. SGSS assurera des services de gestion de transactions, la tenue de registre des soldes et des transactions, le traitement des dérivés, la gestion de collatéral et le reporting.
Le conseil d’administration du fonds de pension canadien Canada Pension Plan Investment Board (CPPIB) a annoncé, ce 19 mai, la nomination de Mark Machin au poste de président et directeur général en remplacement de Mark Wiseman qui va rejoindre BlackRock dans les prochains mois (lire par ailleurs). La nomination de Mark Machin sera effective le 13 juin 2016. Jusqu’à présent, il officiait au sein du CPPIB en qualité de « senior managing director » et responsable de l’international. Mark Machin a rejoint le CPPIB en mars 2012 pour prendre la responsabilité de l’organisation des activités d’investissement internationales et la gestion des relations avec les consultants à l’échelle mondiale du fonds de pension. Avant d’intégrer le CPPIB, il avait travaillé pendant 20 ans chez Goldman Sachs, où il a notamment occupé le poste de vice-président (« vice-chairman ») pour l’Asie hors Japon depuis Pékin. Pour sa part, Mark Wiseman a officié pendant 11 ans au sein du CPPIB, devenant son président et directeur général le 1er juillet 2012. Il avait rejoint le fonds de pension en 2005 en qualité de « senior vice-president » en charge des investissements privés puis il a été nommé « executive vice-president » en charge des investissements en 2010, responsable à ce titre de l’ensemble des activités d’investissement du CPPIB.Afin d’assurer une transition en douceur, Mark Wiseman va officier en qualité de conseiller senior (« Senior Advisor ») auprès du conseil d’administration jusqu’au 5 septembre 2016.
Le directeur général de la société norvégienne DNB Asset Management, Torkild Sindre Varran, va reprendre les fonctions de directeur des investissements (CIO) après le départ d’Alexandra Morris qui rejoint Skagen, rapporte Citywire. Il conservera ces fonctions jusqu’à la nomination d’un nouveau CIO.
Le groupe espagnol Renta 4 Banco, spécialiste de la gestion d’actifs et de la banque privée, vient d’enregistrer auprès de la CNMV, le régulateur espagnol des marchés, sa sicav luxembourgeoise afin de pouvoir commencer la commercialiser l’un des trois fonds inclus dans cette sicav, rapporte le site spécialisé Funds People. Les fonds concernés sont des répliques des véhicules Renta 4 Bolsa, Renta 4 Nexus et Renta 4 MILA, son tout premier fonds de droit luxembourgeois. Le fonds Renta 4 MILA a la particularité d’investir dans des actifs de pays appartenant à l’Alliance du Pacifique, à savoir le Chili, le Pérou, la Colombie et le Mexique. Les fonds Renta 4 Bolsa et Renta 4 Nexus affichent respectivement des encours de 45 millions d’euros et 150 millions d’euros. Ces trois produits sont disponibles sur la plateforme d’Allfunds Bank.Par ailleurs, Renta 4 Banco a indiqué que d’ici à la fin du mois de juin la gamme de fonds de sa sicav luxembourgeoise va s’enrichir avec l’intégration de nouveaux fonds répliqués, comme les fonds Renta 4 Valor Europa et deux fonds obligataires, à savoir Renta 4 Valor Relativo et Renta 4 Fija Internacional.
A fin avril, Julius Baer a vu ses actifs sous gestion augmenter de 2% à 305 milliards de francs suisses après les quatre premiers mois de l’année. La progression des encours prend en compte l’intégration de la société italienne Kairos Investment, qui a été consolidée dans les comptes de Julius Baer au 1er avril et représente des actifs sous gestion de 9 milliards de francs. Cet apport est contrebalancé par un effet de change négatif, en raison principalement de la force du franc par rapport au dollar et à la livre, précise le communiqué publié le 19 mai. Le groupe précise que la collecte a ralenti «sous les 3%» sur les quatre premiers mois de l’année, selon le communiqué, en raison de la mauvaise conjoncture en Europe orientale et en Amérique latine, d’un désengagement des clients en Asie et affectée par la régularisation d’actifs en France et en Italie. Mais grâce aux nouveaux conseillers recrutés depuis le début de l’année, Julius Baer maintient son objectif d’une hausse des souscriptions nettes de 4-6% sur l’ensemble de l’année.Le coefficient d’exploitation s’est inscrit «légèrement au dessus de l’objectif de 64-68%». En raison de la hausse du franc suisses par rapport à d’autres devises, Julius Baer s’est fixé un objectif d’économies de 50 millions de francs d’ici à la fin de l’année par rapport au budget initial.
Invité à intervenir à l’occasion de la conférence annuelle de l’association française des investisseurs pour la croissance (Afic), Emmanuel Macron s’est empressé de déclarer que « dans une économie ouverte, nous avons besoin de la finance». Abordant un certain nombre de sujets relatifs à l’épargne et à la fiscalité, le ministre de l’Economie s’est à nouveau exprimé en faveur d’une fiscalité qui favorise la prise de risque, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. « Nous avons une fiscalité qui favorise trop le capital dormant », a-t-il regretté. Plus généralement, Emmanuel Macron s’est félicité de la bonne santé du capital investissement en France, citant un fort dynamisme des levées de fonds. Ces dernières ont dépassé en 2015 les 10 milliards d’euros en France, soit un niveau moyen d’avant la crise de 2008. Pour continuer sur cette lancée, il est, selon le ministre, nécessaire que la France passe à un mode de financement en fond propre plus développé. Faciliter et dynamiser les levées de fonds permet en effet de favoriser l’innovation et de la soutenir pour qu’elle puisse s’imposer au niveau mondial. Dans cette optique, « le capital investissement est primordial », a souligné Emmanuel Macron qui souhaite notamment favoriser le développement du venture capital, le capital risque ainsi que le financement participatif . Ce dernier est complémentaire, selon le ministre, qui rappelle que le gouvernement a beaucoup travaillé sur le sujet, notamment en collaboration avec les acteurs du secteur des fintech. Le ministre souhaite également favoriser le réinvestissement pour que les entrepreneurs à succès puissent réinjecter du capital dans d’autres entreprises du secteur qu’ils ont envie de soutenir. « C’est ce qui nous a poussé à proposer le compte épargne investisseurs », précise Emmanuel Macron, rappelant que ce compte permettra à des entrepreneurs ayant cédé leur entreprise d'éviter une partie de la ponction fiscale sur la plus-value en cas de réinvestissement d’une partie de la cession dans de jeunes entreprises françaises. Le soutien des entreprises innovantes sera également assuré par le Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), piloté par le commissariat général à l’Investissement, dont la troisième génération (PIA3) disposera d’une enveloppe de fonds propres de 4 milliards d’euros pour soutenir des projets d’avenir dont une large partie sera dédiée au capital risque « et permettra d’abonder des fonds existants », note le ministre. Ces entreprises qui innovent, et qui réussissent, ce sont bien souvent les entreprises qui ont su prendre le train de la mutation numérique en marche. Mais cette transformation digitale, abordée lors d’une table ronde au cours de la conférence de l’Afic, n’est pas toujours bien comprise par les dirigeants, alors qu’elle peut être créatrice de valeur. Selon Sophie Flak, directrice de la RSE au sein d’Eurazeo, il est impératif que les dirigeants se mobilisent sur le sujet. Y voyant très souvent un problème de différence générationnelle, elle regrette que de nombreuses entreprises ne sanctuarisent pas les budgets liés au numérique. « Il faut impérativement que le board d’une entreprise soit composé d’au moins une personne qui maitrise le sujet du numérique », souligne Sophie Flak, pour qui la création de valeur liée à la transformation digitale est donc aussi un sujet de gouvernance. Jean-David Chamboredon, président de Isai, estime pour sa part que les budgets liés au digital dans les entreprises manquent d’envergure et doivent devenir plus gros afin de répondre aux transformations des entreprises face à la mutation numériques, ces changements étant « très gourmands en capital ». Plus généralement, les intervenants reconnaissent que la frilosité des dirigeants peut faire rater des occasions d’adapter une entreprise à la transformation digitale.
Mais à quoi jouent les sociétés de gestion ? On peut légitimement se poser la question cette semaine, quitte à forcer le trait et se demander si certaines d’entre elles ne seraient pas devenues « disruptives ». Le Larousse est formel : l’anglicisme désigne un phénomène perturbateur. Or, des sociétés de gestion risquent de l’être si l’on en croit les dernières nouvelles. D’un côté le sondage mensuel des gestionnaires d’actifs publié par BofA Merrill Lynch insiste sur l’été difficile que se préparent les asset managers, avec le Brexit comme principal risque extrême. D’un autre, un article du FTfm révèle que la contribution du secteur de la gestion d’actifs ayant soutenu financièrement les groupes de campagnes pro-Brexit a représenté… plus du double de celle pour la campagne en faveur d’un maintien dans l’UE ! De quoi y perdre son latin. Le tableau aurait-il suscité une certaine méfiance, y compris au sein des asset managers ? A voir. En tout cas, pour se développer, certains d’entre elles ont opté pour le « rachat » d’une équipe de gestion plus que l’acquisition d’un concurrent. Schroders est de ceux-là, qui va reprendre une équipe de onze professionnels chez Brookfield Investment Management spécialiste des ABS et des MBS. En matière de méfiance et de remise en cause, personne n’est d’ailleurs à l’abri. Pas même l’Autorité européenne des marchés financiers, qui vient d'être contestée dans certains de ses travaux. Et non des moindres puisqu’il est question des « closet tracking ». D’après la société SCM Private, l'étude du régulateur européen est « trompeuse » et « biaisée », et sous-estime l’ampleur du phénomène en Europe... Perturbateurs sur certains points, les gestionnaires d’actifs peuvent aussi être les victimes d’évolutions profondes. C’est ce que l’on prédit avec les clients de la génération des « millennials », beaucoup moins encline à détenir un fonds sous-performant plus d’un an, selon une étude de Legg Mason. A ce jeu, les investisseurs âgés de plus de 40 ans seraient trois fois plus nombreux à se montrer plus patients. Par ailleurs, la nouvelle génération est gourmande. A l’impossible, nul n’est tenu. Selon la même enquête, elle vise 11 % de rendement annuel pour ses investissements tout en privilégiant... le monétaire.Finalement, on en revient toujours à la même conclusion. Pour plaire aux investisseurs, les sociétés de gestion ont une solution : disposer de fonds performants… Pour cela, ils peuvent désormais compter sur les travaux de l’Investment Leaders Group qui vient de publier ces jours-ci deux rapports offrant des outils destinés à générer de la valeur sur le long terme et à la mesurer. Le tout affiche une forte connotation « ESG ». Sur ce dernier sujet, ils n’auront pas trop de mal à convaincre les professionnels des régimes de retraite. Une enquête mondiale menée par State Street auprès de 400 de ces professionnels démontre que seuls 16 % d’entre eux prévoient un « faible » intérêt pour ces stratégies. Pour sa part, le fonds souverain norvégien a franchi le pas depuis longtemps. Très impliqué dans l’extra-financier dans la gestion d’actifs, l’institution n’en est pas moins fin comptable. Et si les moteurs truqués de Volkswagen peuvent susciter de nombreux reproches de sa part, c’est surtout la perte financière liée au scandale du constructeur qui a conduit le fonds en tant qu’actionnaire à entamer, ces jours-ci, des poursuites en Allemagne contre le géant de l’automobile. Sinon, cette semaine a été l’occasion pour l’Autorité des marchés financiers de faire les comptes. Et de montrer comment elle les règlent... Dans son rapport annuel, il apparait que les sanctions pécuniaires ont représenté en 2015 plus de 21 millions d’euros. Les parlementaires ont semblé soucieux que les services du gendarme de la Bourse ne soient pas débordés par le nombre de dossiers à traiter. Aussi ont-ils décidé d'étendre la procédure de composition administrative aux abus de marché, beaucoup plus rapide. Et surtout permettant à la société incriminée de faire un chèque sans se reconnaitre coupable. Dans le monde de l’asset management, quelque part en Chine, il est clair que la composition administrative ne sera pas pour le « Madoff » chinois, coupable d’une fraude pyramidale de 774 millions de francs suisses. D’abord, l’homme est passé aux aveux. Ensuite, la rapidité n’est plus qu’une notion toute relative pour lui qui va sans doute passer le reste de sa vie derrière les barreaux. Quant à sa société, Zhongjin Asset Management, elle disparaitra sous sa forme actuelle. Corps et biens. Trop disruptive en fait.
La banque privée KBL Richelieu a annoncé, jeudi 19 mai, la nomination de Régis Brochot au poste de directeur général en remplacement d’Olivier Roy, qui quitte ses fonctions après onze années passées à la tête de l'établissement, rapporte L’Agefi. La nomination de Régis Brochot, qui a rejoint KBL Richelieu le mois dernier en qualité de directeur général adjoint, a été approuvée par le conseil d’administration. Elle reste soumise à l’approbation des autorités réglementaires compétentes.
La société de hedge funds Och-Ziff a contracté un emprunt de 49 millions de dollars pour un jet d’entreprise alors même qu’elle était confrontée à la possibilité d’une amende de plusieurs millions de dollars dans une affaire de corruption, rapporte le Financial Times. Depuis, elle a été obligée d’emprunter 120 millions de dollars supplémentaires pour préparer un accord de règlement en numéraires avec le Département américaine de la Justice qui devrait excéder 200 millions de dollars (une somme qui représente plus du double de ses bénéfices nets sur les trois dernières années). Le jet, qui a été payé avec un emprunt contracté en 2014, a été mis en vente par le hedge fund, mais celui-ci n’a pas trouvé d’acquéreur. Och-Ziff n’a pas souhaité faire de commentaires.
Acofi Gestion vient de lancer Predirec EnR 2030, un fonds de prêts obligataires libellés en euros et destiné à répondre aux besoins des acteurs des filières éolienne ou photovoltaïque sur des durées de 5 à 15 ans. Il dispose déjà de 45 millions d’euros de capacité d’investissement. Le fonds met en place des prêts amortissables ou in fine d’une maturité de 15 ans maximum, dont le remboursement est adossé aux contrats d’achat d’énergie à long terme. Le dimensionnement de ces prêts dépend principalement de la LTV ratio (loan-to-value) (maximum 66 %). Pour les investisseurs l’encours initial des prêts et le rendement attendu sont strictement adossés aux seuls flux de revenus attachés aux contrats d’achat. Le rendement cible attendu est de 5%.Les financements apportés permettent aux acteurs du secteur des énergies renouvelables de rester propriétaires de leurs portefeuilles d’actifs et de conserver la gestion de leurs parcs tout en menant d’autres projets en France et à l’international. Selon Eric Manchon, gérant du fonds, cité dans un communiqué, Predirec EnR 2030 constitue une solution d’investissement « taux » capable de démontrer que les engagements carbone ne pèsent pas sur les rendements attendus. Ce fonds participe à la création de nouvelles opportunités de développement pour les acteurs des énergies renouvelables en France ». En finançant les énergies renouvelables dans la zone euro, le fonds s’inscrit par ailleurs dans les politiques publiques appelées par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte et satisfait les critères du label Transition Energétique et Ecologique pour le Climat (TEEC).
BlackRock a recruté Mark Wiseman en tant que responsable de l’activité de gestion active en actions mondiales (Global Active Equity). Il est aussi nommé «senior managing director», membre du comité exécutif mondial (global executive committee ou GEC) et président du comité d’investissement mondial de BlackRock, un sous-comité du GEC. Il deviendra aussi président de BlackRock Alternative Investors et sera rattaché à Robert S. Kapito, président de BlackRock.Mark Wiseman est actuellement président et directeur général de CPP Investment Board, qui gère environ 280 milliards de dollars canadiens pour le compte du Canada Pension Plan et ses 19 millions de contributeurs et bénéficiaires.En tant que responsable de l’activité de gestion active en actions mondiales, Mark Wiseman chapeautera plus de 350 professionnels de la gestion de portefeuilles et des entreprises dans le monde, représentant 275 milliards de dollars de stratégies actions. Global Active Equity regroupe les activités Fundamental Active Equity (205 milliards de dollars) et Scientific Active Equity (70 milliards de dollars). A la tête de BlackRock Alternative Investors, il travaillera avec les co-responsables Mark McCombe et Matt Botein.Mark Wiseman rejoindra BlackRock en septembre.
Tarek Fayek Nakhla vient d'être nommé managing director au sein de l'équipe commerciale de la société de gestion allemande Mainfirst. Il sera en charge de la commercialisation d’actions européennes auprès de la clientèle nord-américaine. L’intéressé rejoint Mainfirst en provenance de Redburn, un courtier new-yorkais dont il était le co-fondateur. Mainfirst compte plus de 400 clients institutionnels sur les actions européennes.
Lazard Frères Gestion, la société de gestion d’actifs française du groupe Lazard, a annoncé jeudi 19 mai les nominations de Thomas Brenier, Monica Nescaut et Philippe Nahum en qualité d’associés-gérants.Thomas Brenier, 42 ans, est responsable des actions des pays nordiques chez Lazard Frères Gestion depuis 2007. A ce titre, il est le gérant des sicav Norden et Norden Small. Il a débuté sa carrière en 1999 dans le conseil en introduction en Bourse chez BNP Paribas. De 2000 à 2003, il est analyste « sell-side » au sein de la banque d’investissement suédoise Enskilda Securities, puis chez Société Générale de 2004 à 2007, sur différents secteurs liés aux hautes technologies.Pour sa part, Monica Nescaut, 46 ans, a rejoint le groupe Lazard en 1997 et elle occupe le poste de responsable commerciale Institutionnels chez Lazard Frères Gestion depuis 2004. Sa carrière a démarré en 1992 au sein de la Banque Worms – Groupe UAP comme commerciale sur le marché primaire actions auprès d’institutionnels européens. De 1995 à 1997, elle est analyste financier et conseiller en investissement sur le marché actions auprès des gestionnaires privés et de la clientèle institutionnelle à la Banque du Louvre. Puis, de 1997 à 2004, elle occupe la fonction de commerciale sur le marché primaire actions auprès d’institutionnels européens chez Lazard Frères – Lazard Capital Markets.Enfin, Philippe Nahum, 54 ans, est responsable du marketing, de la communication et de la stratégie chez Lazard Frères Gestion depuis 2014. Il compte près de 30 ans d’expérience en gestion institutionnelle et en banque privée. En 2000, il a rejoint Fidelity Investments France comme directeur général puis comme président directeur général et membre du comité exécutif Europe. En 2003, il est nommé directeur général chez Oddo Gestion Privée. Il rejoint ensuite BNP Paribas en 2006 en tant que directeur général de B Capital, puis «Head of Global Advice» pour BNP Paribas Personal Investors.
Les fonds gérés par Apax Partners ont annoncé, le 18 mai, la signature d’un accord définitif avec Pragma Capital en vue d’acquérir le groupe Sandaya d’hôtellerie Sandaya en partenariat avec ses fondateurs, François Georges et Xavier Guilbert, ainsi que Sofival Bpifrance, la Société Générale et Arkéa Capital Investissement. La finalisation de la transaction devrait intervenir avant fin mai 2016. Fondé en 2010, Sandaya est un groupe d’hôtellerie de plein air comptant 11 campings 4 et 5 étoiles de plus de 300 emplacements en France et en Espagne. Avec l’appui d’Apax Partners, le groupe Sandaya a pour ambition d’accélérer son développement en France et en Europe. Grâce à une enveloppe d’investissements de plus de 150 millions d’euros, la société compte maintenir un rythme soutenu d’acquisitions de camping 4 et 5 étoiles.
Man GLG a lancé un fonds total return pour Guillermo Ossés, son nouveau responsable des stratégies de dette émergente, croit savoir Citywire. Le GLG Global Emerging Markets Debt fund, domicilié à Dublin, a été agréé fin avril. Guillermo Ossés est arrivé en début d’année. Il était le responsable de la dette émergente chez HSBC Global Asset Management.
La banque suédoise SEB s’est associée à la société de gestion française Lyxor Asset Management pour lancer le fonds Lyxor SEB Multi-Strategy Fund, un hedge fund au format Ucits, offrant une liquidité quotidienne, qui donne accès à plusieurs gérants par le biais d’une plate-forme de comptes gérés, rapporte Realtid.se. Le fonds sera disponible pour les clients privés et institutionnels de la banque suédoise. Le fonds a vu le jour le 18 mai et compte cinq stratégies sous-jacentes : long/short actions, global macro, actions market neutral, event-driven et CTA. Une autre sera ajoutée dans les mois qui viennent. Le nouveau fonds bénéficie d’un capital de départ de 150 millions de dollars.
A l’issue de son exercice fiscal 2016 clos au 31 mars 2016, le groupe financier Investec a annoncé que son pôle de gestion d’actifs, Investec Asset Management (Investec AM), a enregistré une collecte nette de 3,2 milliards de livres, après 3,1 milliards de livres un an auparavant. Malgré cette solide performance commerciale, ses actifs sous gestion ont subi un repli de 2,3% pour revenir à 75,7 milliards de livres à fin mars 2016 contre 77,5 milliards de livres à fin mars 2015. La faute à un effet marché et de change négatif à hauteur de 5 milliards de livres. Dans un tel contexte, le résultat opérationnel d’Investec AM accuse une baisse de 9,5% sur un an pour s’établir à 134,8 millions de livres à fin mars 2016 contre 149 millions de livres à fin mars 2015.La tendance est relativement similaire pour son activité de gestion de fortune (« Wealth Management »). Au cours de l’exercice fiscal écoulé, cette division a ainsi réalisé une collecte nette 2,1 milliards de livres, contre 2,7 milliards de livres l’année passée. Malgré ces flux entrants positifs, ses actifs sous gestion sont en baisse de 1,3 % pour s’établir à 45,5 milliards de livres à fin mars 2016 contre 46,1 milliards de livres à fin mars 2015. L’activité de gestion de fortune a notamment été pénalisée par les difficultés des marchés actions britanniques. Pour autant, son résultat opérationnel progresse de 8,8% sur un an pour s’inscrire à 85,7 millions de livres au 31 mars 2016 contre 78,8 millions de livres au 31 mars 2015.
Les fonds de pension espagnols ont subi une décollecte nette de 28 millions d’euros au cours du mois d’avril, selon des données publiées par le cabinet VDOS. Pour autant, les encours ont progressé de 0,13% pour 66,6 milliards d’euros à fin avril 2016 contre 66,5 milliards d’euros à fin mars 2016, grâce à un effet marché positif de 117,6 millions d’euros.Au cours du mois écoulé, Caixa Bank a enregistré la plus forte collecte nette du secteur, avec 126,6 millions d’euros de souscriptions nettes. La banque espagnole devance Caja Rural (10,6 millions d’euros de collecte nette), Bankia (8 millions d’euros), Renta 4 (6,2 millions d’euros) et, enfin, Kutxabank (3,4 millions d’euros).A l’inverse, Barclays Bank a subi la plus forte décollecte mensuelle, avec 101,2 millions d’euros de sorties nettes. Suivent Santander (-21,5 millions d’euros), Allianz (-16,9 millions d’euros), BBVA (-12,7 millions d’euros) et, enfin, Banco Sabadell (-7,6 millions d’euros).
Natixis Global Asset Management (NGAM) a nommé Rafael Aldama Garaizabal au poste de commercial afin de renforcer son équipe commerciale dans la péninsule ibérique, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressé, qui a intégré le bureau de Madrid de NGAM, est rattaché à Christian Rouquerol, directeur commercial pour la péninsule ibérique. Il remplace Alberto Martinez Pelaez qui a récemment rejoint MFS Investment Management. Rafael Aldama Garaizabal, qui compte huit ans d’expérience dans la gestion d’actifs, arrive en provenance de Renta 4 où il était chargé des relations avec les clients institutionnels. Avant cela, il avait travaillé comme analyste chez GBS Finanzas et comme commercial au sein de Calyon (groupe Crédit Agricole).En parallèle, NGAM a également promu Maider Lasarte au poste de commercial pour la péninsule ibérique. L’intéressée travaille depuis juin 2013 au sein de l’équipe commerciale de NGAM en Espagne. Auparavant, elle a officié comme analyste chez Nazca Capital et comme assistante marketing Ayming.
Le conseil d’administration de Banca March, groupe espagnol spécialisé dans la banque privée et la gestion d’actifs, a annoncé mercredi 18 mai la nomination de José Luis Acea Rodriguez en qualité de directeur général (« Consejero Delegado). L’intéressé était jusqu’à maintenant « director general » de Banca March et directeur du Corporate Banking. Il remplace ainsi José Nieo de la Cierva, qui a pris de nouvelles responsabilités au sein du groupe bancaire, a indiqué Banca March dans un communiqué.En parallèle, Rita Rodriguz Arrojo, actuellement « directora general » de la banque et responsable du département des ressources humaines, a été nommée vice-présidente exécutive de Banca March.A l’occasion de ces nominations, Banca March a procédé à une vaste réorganisation de son équipe de direction. Ainsi, Angel Martinez Marañon, actuel directeur de la communication externe et de la qualité, a été nommé directeur de la banque commerciale et privée. José Manuel Arcenegui Linares, actuel directeur du département des fusions et acquisitions, a été nommé directeur du Corporate Banking. Pour sa part, Francisco Salas Ruiz, qui occupait jusque-là le poste de directeur territorial de la banque patrimoniale (« Wealth Management ») à Madrid, est nommé directeur de la banque patrimoniale pour l’ensemble du groupe. Enfin, Anselmo Martin-Peñasco Ciudad, actuel directeur du département de coordination des ressources humaines et de la gouvernance d’entreprise, devient directeur des ressources humaines du groupe.« Tous ces professionnels comptent plus de 20 ans d’expérience dans le secteur financier et ils font désormais partis du comité exécutif de la banque », a précisé Banca March.
Au premier trimestre, les fonds ouverts commercialisés en Italie ont enregistré une collecte nette de 13,4 milliards d’euros et les encours de la gestion collective sont ressortis à 897 milliards d’euros, selon des données publiées par Assogestioni, l’association professionnelle de la gestion d’actifs italienne.La collecte a été soutenue par les fonds monétaires (+7,7 milliards d’euros), les fonds diversifiés (+3,2 milliards d’euros) et les fonds actions (+1,2 milliard d’euros).A la fin du premier trimestre, le secteur de la gestion d’actifs dans son ensemble affichait des souscriptions nettes de plus de 27,5 milliards d’euros, ce qui permet au secteur d’atteindre un encours de plus de 1.857 milliards d’euros.Les gestions sous mandat enregistrent plus de 14 milliards d’euros de souscriptions nettes et approchent les 960 milliards d’euros d’encours.
Blado Investment a lancé jeudi matin quatre OPA sur quatre fonds immobiliers italiens, rapporte Milano Finanza. Les fonds ciblés sont Ovvero Polis (détenu par un groupe de banques populaires), Immobiliare Dinamico de BNP Paribas Real Estate, Mediolanum Real Estate et Alpha Immobiliare d’Idea Fimit. Tous les quatre sont cotés sur le segment Miv de Borsa Italiana. Blado Investment SCA est une société de droit luxembourgeois en commandite par actions gérée par Blado General Partner, qui est entièrement détenue par Elliott Associates, l’une des sociétés de hedge funds les plus connues au monde.
Le gestionnaire d’actifs britannique Miton Group a annoncé, ce 19 mai, le recrutement d’Andrew Jackson en qualité de gérant de fonds pour le CF Miton UK Value Opportunities Fund. L’intéressé rejoindra la société de gestion le 27 juin 2016 en provenance d’Ecclesiastical Investment Management (aujourd’hui EdenTree Investment Management) où il travaillait depuis novembre 2003. Chez EdenTree, il a notamment assuré la gestion du fonds UK Equity Growth. Cette arrivée fait suite aux départs en avril des gérants du fonds UK Value Opportunities, George Godber et Georgina Hamilton, partis rejoindre Polar Capital.
La société de gestion britannique Hargreaves Lansdown a réalisé une collecte nette de 2,3 milliards de livres au cours des quatre premiers mois de l’année 2016, contre 2,75 milliards de livres à fin avril 2015. Grâce à cette performance, ses actifs sous gestion et sous administration atteignent 60,3 milliards de livres à fin avril 2016, en hausse de 2,5% par rapport à fin décembre 2015 (58,8 milliards de livres) et de 9% par rapport à fin avril 2015 (55,3 milliards de livres).
A l’issue de son premier semestre fiscal clos au 31 mars 2016, le gestionnaire d’actifs et de fortune britannique Brewin Dolphin a enregistré une chute de 42,2 % de son bénéfice avant impôt. Ce bénéfice avant impôt ressort en effet à 21,5 millions de livres au 31 mars 2016 contre 37,2 millions de livres au 31 mars 2015. Son bénéfice net s’établit, pour sa part, à 17,2 millions de livres à fin mars 2016 contre 30,1 millions de livres à fin mars 2015, soit un plongeon de 42,8% sur un an. Au cours des six premiers mois de son exercice fiscal, Brewin Dolphin a engrangé des revenus de 137,2 millions de livres contre 143,4 millions de livres un an auparavant, soit un repli de 4,3%. Malgré des résultats financiers en berne, Brewin Dolphin a réussi à maintenir ses encours à flot. Au 31 mars 2016, ses actifs sous gestion s’établissent à 32,8 milliards de livres, en baisse de 4,9% sur un an (34,5 milliards de livres au 31 mars 2015) mais en hausse de 2,5% par rapport au 30 septembre 2015 (32 milliards de livres). La croissance des encours sur les six premiers mois de son exercice fiscal a été tirée par un effet marché positif de 600 millions de livres et une collecte nette de 200 millions de livres.Les encours de ses fonds discrétionnaires ont atteint 25,9 milliards de livres à fin mars 2016, en baisse de 1,1% par rapport à fin mars 2015 (26,2 milliards de livres) mais en progression de 4,4% par rapport à fin septembre 2015 (24,8 milliards de livres). Cette progression sur six mois est principalement à mettre au crédit d’un effet marché positif de 700 millions de livres tandis que la collecte nette est ressortie à 400 millions de livres.
BlackRock has hired Mark Wiseman as incoming Senior Managing Director and a member of the Global Executive Committee (GEC). Wiseman will become Head of BlackRock’s Global Active Equity business and will become Chairman of the BlackRock Global Investment Committee, the investment sub-committee of the GEC. He will also help support BlackRock Alternative Investors. Wiseman will report to Robert S. Kapito, President of BlackRock, and will join the firm in early September.Wiseman currently serves as President & Chief Executive Officer of CPP Investment Board, which manages approximately C$280 billion on behalf of the Canada Pension Plan and its 19 million contributors and beneficiaries.He will become Chairman of the Global Investment Committee, the GEC sub-committee that provides governance and oversight of investment performance; drives collaboration, including leveraging technology, across investment platforms; builds alingment on business growth and development plans; and facilitates product development and evolution.As Head of Global Active Equity, Wiseman will oversee more than 350 portfolio management and business professionals across the Americas, EMEA, and Asia Pacific regions, responsible for investing over $275 billion in equity-based investment strategies. Global Active Equity includes Fundamental Active Equity ($205 billion) and Scientific Active Equity ($70 billion).He also will become Chairman of BlackRock Alternative Investors (BAI), to support and partner with BAI Co-Heads Mark McCombe and Matt Botein.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Tarek Fayek Nakhla has been appointed as managing director on the sales team at the German asset management firm Mainfirst. He will be responsible for the sale of European equities to North American clients. Nakhla joins Mainfirst from Redburn, a New York broker which he co-founded. Mainfirst has over 400 institutional clients for European equities.