Partners Group et le fonds de pension canadien OPTrust, qui gère plus de 20 milliards de dollars d’actifs, ont décidé d’acquérir ensemble 50% de Superior Pipeline Company, une entreprise d’infrastructures énergétiques basée aux Etats-Unis. Cette dernière était jusqu’ici détenue entièrement par Unit Corporation, qui gardera le reste des parts. Superior Pipeline Company a été valorisée à 600 millions de dollars au cours de cette transaction, précise dans un communiqué le gestionnaire d’actifs suisse.Fondée en 1996 et basée en Oklahoma, Superior Pipeline Company est une entreprise énergétique fournissant des services à des producteurs de gaz. La majorité de ses revenus proviennent de contrats à long terme et de contrats à coûts fixes.
UBS Asset Management a lancé à la Bourse de Milan l’UBS ETF J.P. Morgan USD EM Diversified Bond 1-5 UCITS ETF Euro Hedged, rapporte Bluerating. Le produit, dont la version sans couverture du risque de change est déjà disponible sur la Bourse italienne, permet de s’exposer à la dette émergente sur des émissions à brève échéance. Avec ce nouvel ETF, la gamme d’ETF d’UBS présente en Italie se monte à 23 produits.
Au cours de l’assemblée générale d’Assogestioni, l’association italienne des professionnels de la gestion, Marco Carreri, directeur général d’Anima, a été élu vice-président. Il occupera ce poste aux côtés de Santo Borsellino (Generali) et de Lorenzo Alfieri (J.P. Morgan).Au cours de cette assemblée, qui s’est déroulée mercredi, les représentants des sociétés membres ont approuvé à l’unanimité le budget 2018.
Les investisseurs institutionnels détiennent plus de 2.000 milliards de dollars dans les hedge funds, et plus de 5.250 établissements institutionnels, soit 45% de l’univers des institutionnels, investissent activement dans la classe d’actifs. Mais seulement trois types d’investisseurs totalisent plus de la moitié des capitaux institutionnels investis dans les hedge funds, souligne Preqin. Les fonds de pension publics et privés représentent 9% et 15% respectivement des investisseurs dans les hedge funds, mais ils représentent aussi 22% et 19% des capitaux institutionnels engagés dans la classe d’actifs. De la même façon, on ne compte que 24 fonds souverains investis dans les hedge funds, mais ils représentent 10% en cumulé des capitaux investis. A l’inverse, les fonds de dotation et les fondations, 602 et 956 investisseurs respectivement, investissent environ 19% de leurs actifs dans les hedge funds. Ces acteurs institutionnels investissent ainsi près du cinquième de leurs actifs totaux mais leur taille relativement modeste fait que le pourcentage de leurs investissements totaux est à peu près équivalente à celle du petit groupe des fonds souverains, chacun pesant environ 10% du total des capitaux institutionnels. La plupart des institutionnels sont majoritairement investis dans les hedge funds, tout particulièrement les fonds de dotation, à hauteur de 83%, et les fondations (66%). En revanche, seulement 34% des fonds souverains et 29% des compagnies d’assurances sont présents dans les hedge funds. Et les allocations des compagnies d’assurances ne dépassent pas la barre des 4%. Les assureurs attendent aussi beaucoup des hedge funds : une espérance de rendement moyen de 6,8%, la plus élevée parmi les institutionnels, contre seulement 4,4% du côté des fonds souverains.
La division family office de Fidelity Investments a annoncé la nomination de Rupal Poltack en qualité de senior vice president, Family Office Strategy. Dans ses nouvelles fonctions, l’intéressé, rattaché à Andrew Fay, responsable de la division, sera chargé de développer les relations de Fidelity avec les organisations dédiées régionales et nationales, de superviser les évolutions de l’activité et des produits, et de se concentrer sur l’innovation et la transformation digitale.Depuis son lancement en 2004, l’activité family office affiche 134 milliards de dollars d’actifs sous administration pour le compte de 400 familles très fortunées (UHNW, ultra high net worth). Avant de rejoindre Fidelity Investments, Rupal Poltack a travaillé pendant neuf ans pour un single family office en qualité de directeur financier et responsable des opérations. Il a également été membre de nombreux comités consultatifs dans le secteur du family office.
Spirit Reim et un investisseur institutionnel français ont annoncé ce 29 mars l’acquisition, dans le cadre d’un Club Deal, d’un portefeuille de locaux d’activités d’un montant de 13 millions d’euros, à travers le FIA « Esprit Pierre » géré par OFI Pierre, société de gestion de fonds immobiliers. Ce premier portefeuille est composé de 6 bâtiments neufs qui représentent près de 10 000 m² situés en Ile-de-France. Ils constituent les premières tranches de quatre parcs d’activités situés à Pierrefitte-sur-Seine (Parc Spirit Séverine), Bois d’Arcy (Parc Spirit Méliès III), Bussy-Saint-Georges (Parc Spirit Graham Bell) et Villebon-sur-Yvette (Parc Spirit de l’Atlantique). Ces actifs ont été développés par Spirit Entreprises, structure de promotion en immobilier d’entreprise du Groupe Spirit. Les surfaces sont déjà louées à 93 %, auprès de 11 locataires de qualité pour une période ferme moyenne de quatre ans. « Nous nous réjouissons de cette acquisition qui constitue un investissement de qualité à la fois rationnel, diversifié et en parfaite adéquation avec notre volonté d’investir à horizon de 2021 la somme de 100 millions d’euros dans des parcs d’activités », commente Joëlle Chauvin, directeur général d’OFI Pierre, citée dans un communiqué.
John Hancock Investments vient de lancer le fonds Hancock Small Cap Growth qui est géré par une équipe de gérants de Redwood Investments, une boutique d’investissement actions basée à Boston. « Le processus d’investissement de Redwood, qui associe analyse quantitative et recherche fondamentale, inclue l’utilisation d’outils propriétaires sophistiqués pour identifier et capturer de la valeur à partir des inefficiences découvertes sur le marché des petites capitalisations », explique Andrew G. Arnott, president et CEO de John Hancock Investments et responsable Wealth and Asset Management, Etats-Unis et Europe.Le fonds est géré par Valerie B. Klaiman, Michael J. Mufson, Ezra S. Samet, Jennifer K. Silver et Anthony E. Sutton. Cette équipe gère une stratégie petites valeurs suivant le même processus d’investissement que celui du nouveau fonds depuis 2005.
Tikehau Capital continue sa marche en avant. Au cours de l’année 2017, la société de gestion indépendante a ainsi réalisé une collecte nette de 3,9 milliards d’euros, tirée par l’ensemble de ses métiers et confirmant des chiffres préliminaires publiés début mars. De fait, l’activité de dette privée a en enregistré 1,5 milliard d’euros de souscriptions nettes tandis que les stratégies liquides ont capté 1,1 milliard d’euros de flux nets entrants. En parallèle, les métiers « immobilier » et « investissement en capital » (private equity) ont enregistré une collecte nette de 400 millions d’euros et 900 millions d’euros respectivement. Les actifs sous gestion du groupe se répartissent entre le périmètre gestion d’actifs (11,4 milliards d’euros) et le périmètre private equity / investissements directs (2,4 milliards d’euros). Grâce à cette dynamique, les actifs sous gestion de Tikehau Capital ressortent à 13,8 milliards d’euros à fin 2017, en croissance de 38,2% par rapport à fin 2016. Outre l’effet collecte nette, la progression des encours a été tirée par un effet de marché positif de 400 millions d’euros, compensés toutefois par un effet de distribution (-500 millions d’euros).A l’issue de l’exercice 2017, Tikehau Capital a dégagé un résultat net part du groupe de 314,4 millions d’euros contre 124,6 millions d’euros en 2016 sur une base proforma. Dans le détail, sur l’exercice 2017, les activités de gestion d’actifs ont vu leurs revenus augmenter de 47% pour s’établir à 57,9 millions d’euros contre 39,4 millions d’euros en 2016. « Cette augmentation traduit la croissance des actifs sous gestion du groupe sur l’exercice 2017 », explique Tikehau Capital. Le résultat opérationnel de ce pôle d’activités ressort à 16 millions d’euros à fin 2017 contre 3,5 millions d’euros à fin 2016. Sur les 11,4 milliards d’euros d’actifs d’actifs du périmètre gestion d’actifs, « 81% (soit 9,2 milliards d’euros) sont générateurs de revenus et plus de 15% (soit près d’1,7 milliard d’euros) le seront à l’avenir, laissant un potentiel de croissance important de nos revenus », indique le groupe. Par ailleurs, Tikehau Capital précise que, en 2017, les investissements réalisés par l’ensemble des fonds ont sensiblement augmenté et s’élèvent à 3,3 milliards d’euros cotre 1,8 milliards d’euros en 2016. En parallèle, les activités d’investissement ont réalisé un résultat opérationnel de 347,3 millions d’euros à fin 2017 contre 119,2 millions d’euros à fin 2016. « Ce résultat provient de variations positives de juste valeur pour 323,2 millions d’euros et de revenus des actifs en portefeuille pour 64,1 millions », indique Tikehau Capital. De fait, les contributions aux revenus du portefeuille proviennent principalement de la cession de la participation détenue par la société dans DRT (Les Dérivés Résiniques et Terpéniques) pour 160 millions d’euros, correspondant à un TRI de 128% et à un multiple de 5,0x, et des revenus et revalorisations d’Eurazeo pour 104 millions d’euros. « Le résultat des activités d’investissement bénéficie également de la contribution d’autres participations, telle que HDL-Assystem, mais aussi de la performance des fonds Tikehau Capital », ajoute la société de gestion. A fin décembre 2017, les capitaux propres de Tikehau Capital s’élèvent à 2,5 milliards d’euros contre 1,5 milliard d’euros à fin 2016. Des fonds propres que la société « envisage d’utiliser pour accélérer le développement de ses activités de gestion d’actifs, qui ont vocation à devenir le principal moteur de ses résultats », indique Antoine Flamarion, co-fondateur de Tikehau Capital, cité dans un communiqué. La société a réitéré son objectif visant à atteindre les 20 milliards d’euros d’actifs sous gestion à horizon 2020. Pour y parvenir, « le développement international est une priorité », souligne Tikehau Capital. La part des clients internationaux dans les encours du périmètre « gestion d’actifs » est déjà passée à 27% en 2017, « soit un taux de croissance annuel moyen de 84% depuis fin 2015 », observe la société. En 2018, Tikehau Capital entend poursuivre l’élargissement de son offre de fonds, souhaitant notamment augmenter la part de l’immobilier et du private equity dans ses actifs sous gestion. Ainsi, la société travaille à la levée d’un fonds immobilier dit opportuniste, ciblant les rendements les plus élevés, ainsi qu’un fonds de private equity dédié à l’investissement minoritaire. « En parallèle, le groupe poursuivra la levée de nouveaux millésimes des fonds existants et pleinement investis, à l’image par exemple du fonds Novo 2018 qui finalise sa levée de fonds fin mars 2018 », avance Tikehau Capital. A l’occasion de la publication de ses résultats, Tikehau Capital a indiqué avoir pris une participation de 2,8% au capital de DWS dans le cadre de l’introduction en Bourse de la filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank.
Florence Gaubert est nommée Head of External Affairs pour le groupe Edmond de Rothschild. Sarah Arnett est nommée directeur de la communication pour la France et responsable de la marque pour le Groupe. Elles sont rattachées à Robert Jenkins, chief brand and marketing officer du groupe Edmond de Rothschild, basé à Genève, précise un communiqué publié ce 29 mars. Dans ses nouvelles fonctions, Florence Gaubert est en charge de définir la stratégie de relations presse du groupe et de coordonner sa mise en œuvre au sein de ses différentes entités. Florence Gaubert aura également pour mission de développer les relations institutionnelles du Groupe. Sa nomination est effective depuis le 5 mars 2018. Titulaire d’un DEA d'économie internationale (Paris I – Panthéon Sorbonne) et du diplôme de la SFAF, Florence Gaubert débute sa carrière en 1997 chez Actus Finance et Communication, en tant que consultant presse, avant d’être nommée directeur de clientèle. Entrée au service des relations publiques de la COB en 2000 comme responsable communication institutionnelle, elle prend en charge le développement des relations presse internationales à l’occasion de la création de l’Autorité des Marchés Financiers en 2003. Nommée adjointe au chef du service de la Communication de l’AMF en 2007 et responsable de la communication des sujets « gestion d’actifs, marchés et protection de l'épargne », elle devient directrice de la communication et membre du comité exécutif de l’AMF en 2011. La nomination de Sarah Arnett est effective depuis le 1er novembre 2017. Arrivée dans le Groupe le 1er mai 2014, Sarah Arnett était jusque-là en charge de de la communication d’Edmond de Rothschild pour la Suisse. Sarah Arnett est titulaire d’une licence d’Administration Economique et Sociale de l’Université Panthéon-Assas Paris II, complétée d’une formation en Information et Communication au CELSA, Université Paris-Sorbonne et d’une formation Direction Marketing à l’ESCP (European School of Management). Elle débute sa carrière en 1996 au sein de l’agence de communication Fortiter, où elle gère la communication corporate. En 2000, elle rejoint le CCF et pilote le changement d’identité de la Banque puis orchestre le lancement de la marque HSBC en France (2005). En 2008, elle devient responsable de la Marque au sein du Groupe RATP où elle a notamment travaillé sur l’architecture et les plateformes de marques du Groupe, sur la communication publicitaire et la politique de partenariats, ainsi que sur la stratégie digitale. Elle rejoint Edmond de Rothschild en 2014.
PAI Partners («PAI») a bouclé la levée de son fonds PAI Europe VII après moins de trois mois de marketing actif. La société revendique plus de 15 milliards d’euros de demande, assure avoir dépassé son objectif initial de 4 milliards d’euros et dit avoir atteint son plafond de 5 milliards d’euros. Les engagements globaux sur l’ensemble des fonds levés par PAI («PAI Funds») s'élèvent désormais à plus de 16 milliards d’euros.La demande provenait d’investisseurs institutionnels, notamment des fonds de pension publics et privés, des fonds souverains, des compagnies d’assurance et des family offices d’Europe, des États-Unis et du Canada, d’Asie, du Moyen-Orient et d’Amérique latine. Environ 26% du capital provenait d’investisseurs aux États-Unis et au Canada, 50% d’Europe et 17% d’Asie.«Nous avons déterminé le hard cap très tôt dans le processus de souscription, qui a formellement démarré en septembre. Car nous sommes au pire moment pour changer de stratégie, de taille ou de secteurs : les valorisations ont considérablement augmenté», a détaillé ce matin à L’Agefi Ivan Massonnat, associé responsable des relations investisseurs et des levées de fonds chez PAI Partners. Le véhicule restera donc centré sur l’Europe, en dépit de l’ouverture d’un bureau aux Etats-Unis, qui restera destiné à l’accompagnement des sociétés du portefeuille de PAI Partners. Le fonds n’ira pas non plus dans le secteur de la technologie, très demandé. Le gestionnaire voulait également enrichir sa base de souscripteurs. Conséquence, le ticket maximal a été fixé à 150 millions d’euros. Si cela a pu bloquer certains grands investisseurs internationaux qui exigent des mises minimales importantes, PAI Partners n’enorgueillit de compter parmi ses souscripteurs le fonds de pensions de l’Etat de Washington, celui des enseignants du Texas (Texas TRS), Acera, mais encore le canadien PSP Investments. Il compte pour la première fois huit institutionnels japonais (dont Japan Post Bank) et une demi-douzaine de sud-américains - contre un seul dans le fonds 6.
Pour de nombreux clients, la taille de Vanguard et sa collecte record mettent de plus en plus sous pression la société de gestion connue pour son suivi clients dévoué et la faiblesse de ses frais, rapporte le Wall Street Journal. Le groupe américain n’a pas d’agences physiques, ce qui signifie que plus de 20 millions de clients interagissent avec lui en ligne ou par téléphone. L’année dernière, plusieurs clients se sont plaints via twitter, des forums de discussion sur l’investissement et dans des interviews avec The Wall Street Journal de problèmes techniques, de faiblesses administratives. Vanguard n’est pas la seule société d’investissement à subir des problèmes techniques dernièrement. Mais peu de sociétés peuvent se targuer d’avoir le même niveau de dévotion envers les clients que Vanguard.
Jusqu’ici supervisées par Michel Roserens, les relations investisseurs du suisse Vontobel vont passer sous la responsabilité de Michèle Schnyder. Depuis une dizaine d’années chez Vontobel, Michel Roserens, qui avait en charge les relations investisseurs depuis trois ans, a pris un congé sabbatique au terme duquel il a décidé de ne pas réintégrer Vontobel et de donner une nouvelle orientation à sa carrière, rapporte le site spécialisé finews.Avant de rejoindre Vontobel, Michèle Schnyder assurait depuis plus de cinq ans les relations investisseurs du groupe Adecco après avoir travaillé entre autres chez Swiss Re et à la Deutsche Bank.
Credit Suisse Asset Management a décidé de limiter les souscriptions pour son fonds robotique Credit Suisse (Lux) Global Robotics Equity Fund à un maximum de 1 million de dollars par ordre à compter du 9 avril 2018. A partir de cette date, la société de gestion suisse n’acceptera plus les ordres dépassant ce montant, sauf s’il s’agit d’un ordre en regroupant plusieurs.Credit Suisse AM explique que, compte tenu du succès du thème d’investissement de la robotique, le fonds a enregistré une collecte importante depuis son lancement le 30 juin 2016, et atteint un encours de 2,2 milliards de dollars. Or, « la capacité d’investissement pour les acteurs « purs » dans les segments de la robotique, de l’intelligence artificielle et de l’automatisation est limitée », détaille la société de gestion. La décision de ralentir la collecte a donc été prise, « pour protéger les investisseurs actuels et pour s’assurer que le fonds continue à être géré en ligne avec les objectifs d’investissement ». En revanche, les rachats ne sont pas soumis à des restrictions. Cette mesure n’affecte pas les autres fonds thématiques, qui conservent une ample capacité d’investissement.
Royal London Asset Management a enregistré l’an dernier une collecte nette de 2,8 milliards de livres, en progression de plus de 20% par rapport à l’année précédente, selon des chiffres publiés ce 29 mars. Les actifs sous gestion sont passés de 100 milliards de livres en 2016 à 114 milliards de livres à fin décembre 2017 en raison de conditions de marché plus stables, indique la société de gestion. Les actifs sous administration de la plateforme Ascentric ont de leur côté progressé de 17% d’une année sur l’autre à 14,4 milliards de livres grâce à une modification de la tarification.Afin de lever les incertitudes liées à la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, Royal London a décidé d’installer une filiale en Irlande. Les coûts de cette initiative, ainsi que les coûts relatifs à la mise en oeuvre de la directive MIF II ont représenté au total 208 millions de livres, contre 82 millions de livres en 2016.
Schroder liquide le fonds Schroder GAIA Paulson Merger Arbitrage qui était géré par la société d’investissement de John Paulson, a appris Citywire Selector. Le groupe américain a expliqué qu’il serait de plus en plus difficile de respecter les règles Ucits du fonds et a donc renoncé à son mandat. Les deux sociétés avaient lancé le fonds en juin 2014. Il gérait 57,7 millions de dollars fin février.
Man Group a recruté Simon Finch en tant que responsable des investissements pour le crédit au sein de Man GLG, un poste nouvellement créé. L’intéressé, qui compte 25 années d’expérience dans le crédit, vient de CQS où il était directeur des investissements et gérait le fonds multi-asset crédit de la société. Il sera responsable de l’activité crédit de Man GLG et supervisera les équipes de gestion de portefeuilles crédit. Il sera rattaché à Teun Johnston, CEO de Man GLG et travaillera étroitement avec le directeur des investissements de Man GLG, Pierre-Henri Flamand, et le directeur des investissements de Man Group, Sandy Rattray. Il rejoindra également le comité exécutif de Man Group et l’équipe de gestion de Man GLG.
Julian Horton, qui a occupé plusieurs postes importants au sein de l’équipe de distribution chez BNY Mellon Investment Management, va quitter la société en juin, a appris Investment Week. Il était dernièrement directeur, en charge des institutions financières au Royaume-Uni. Il avait rejoint Newton Investment Management en 1998.
James Southern a quitté son poste de directeur commercial de Mirabaud Asset Management après une réorganisation de l’équipe de distribution basée à Londres, rapporte Investment Week. L’intéressé avait rejoint la société en 2015 pour occuper ce poste nouvelle créé, sous la direction de Paul Boughton, responsable commercial et marketing pour le Royaume-Uni et l’Europe du Nord. Confirmant l’information, Mirabaud a toutefois réaffirmé son engagement à l’égard du marché britannique.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Institutional investors hold over USD2trn in hedge funds, and over 5,250 institutional establishments, 45% of the institutional universe, are currently invested in the asset class. But only three types of investors account for over half of the institutional capital invested in hedge funds, Preqin reports. Public and private pension funds represent 9% and 15% of investors in hedge funds, respectively, but they also represent 22% and 19% of institutional capital placed in the asset class. In the same way, there are only 24 sovereign funds investing in hedge funds, but they represent a cumulative total of 10% of capital invested. Meanwhile, endowments and foundations, with 602 and 956 investors, respectively, invest about 19% of their assets in hedge funds. Htse institutional players thus invest nearly one fifth of their total assets, but their relatively modest size means that the percentage they represent of total investments is more or less equivalent to that of the small group of sovereign funds, accounting for about 10% of total institutional assets. Most institutionals have a majority of their assets inveted in hedge funds, particularly endowments, with 83%, and foundations (66%). However, only 34% of sovereign funds, and 29% of insurance companies, are present in hedge funds. And allocations by insurance companies are only 4%. Insurers expect a lot from hedge funds: they hope for average returns of 6.8%, the highest level among institutionals, compared with only 4.4% for sovereign funds.
FTSE Russell announced the classification of Saudi Arabia as a Secondary Emerging market within the FTSE Global Equity Index Series (GEIS) on March 28, 2018, as part of the Country Classification Interim Update. The Kingdom’s entry into the international equity markets marks a major milestone in its quest to grow and diversify its economy, according to a press release. Using the FTSE Saudi Arabia Inclusion Index Series, the country makes up 2.7% of the FTSE Emerging Index, ranking it among the 10 largest emerging stock markets. The planned initial public offering of national oil giant Saudi Aramco could almost double that weight to an estimated 4.6% and significantly raise the EM index’s Middle East exposure. The implementation will commence in conjunction with the March 2019 semi-annual review and be completed by December 2019. The initial 25% tranche will be split over March and April 2019 to ensure a smooth phasing-in of Saudi Arabia. The remaining 75% will be implemented in conjunction with the quarterly reviews in June, September and December 2019.FTSE Russell said that Saudi Arabia is a large, wealthy nation in the early stages of a bold initiative to grow and diversify its economy away from its dependency on its oil industry, which accounts for 43% of GDP and 75% of exports. At nearly US$684 billion in nominal GDP, it ranks as the largest economy in the Gulf region and the fourth- largest economy in the emerging-market (EM) universe, excluding China (at US$11.2 trillion).
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Not as smart as they seem: smart beta ETFs are not meeting up to the expecations of investors. Most of the existing products are earning returns which are not higher, but loer, than their benchmark indices, according to a study undertaken by the German asset management firm Flossbach von Storch (“Smart Beta ETFs - Euphemismus par excellence,” Agniszka Gehringer and Kai Lehmann). Out of 160 smart beta ETFs reviewed in the study, 63% did less well than their benchmarks, the study finds. The average smart beta ETF has performance 0.5% lower than the benchmark. Last but not least, the returns from more than three quarters of smart beta ETFs is lower than the tracking index established by ETF designers. Smart beta ETFs have still earned average returns of 10.8% in 2017, but in a context of gains last year, this is not surprising, the authors say. Rather than investing in costly smart beta variants, investors would do well to invest in traditional ETFs, which cost less and do better, the authors of the study say.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Florence Gaubert has been appointed as head of external affairs for the Edmond de Rothschild group. Sarah Arnett is appointed as director of communications for France, and head of the brand for the group. They will report to Robert Jenkins, chief brand and marketing officer at the Edmond de Rothschild group, based in Geneva, a statement released on 29 March says. In her new role, Gaubert will be responsible for defining the press relations strategy for the group, and coordinating its implementaion at the various entities. Gaubert will also be responsible for developing institutional relationships for the grpup. Her appointment takes effect from 5 March 2018. Gaubert, with a DEA degree in international economics from the university of Paris I – Panthéon Sorbonne, and a diploma from SFAF, began her career in 1997 at Actus Finance et Commnication, as a press consultant, and was then appointed as director of clients. After joining the public relatons department at COB n 2000 as head of institutional communication, she became responsible for developing international press relations at the creation of the Autorité des Marchés Financiers in 2003. Aftger serving as deputy to the head of the communications department at the AMF from 2007 and as head of communciations for asset management, markets, and savings protection issues, she became director of communiations and a member of the executive board at the AMF in 2011. The appointment of Arnett takes effect from 1 November 2017. Arnett, who joined the group on 1 May, 2014, holds a license in economic and social administration from the Université Panthéon-Assas Paris II, a training course in iniformation and comminciation from CELSA, Université Paris-Sorbonne, and a training course in marketing management from the European School of Management (ESCP). She began her career in 1996 at the communications agency Fortiter, where she oversaw corporate communication. In 2000, she joined CCF, and oversaw the change in identity at the bank, then organized the launch of the HSBC brand in France (2005). In 2008, she became head of the brand for the RATP group, whre she worked on the brand architecture and platforms for the group, publicity communication, and the partnership policy, as well as digital strategy. She joined Edmond de Rothschild in 2014.
PAI Partners (“PAI”), a pan-European private equity firm, announced the final close of the PAI Europe VII fund after less than three months of active marketing. With demand of over EUR15 billion, the Fund surpassed its original EUR4 billion target and hit its UER5 billion hard cap. Aggregate commitments across all funds raised by PAI now total more than EUR16 billion.PAI Europe VII attracted capital commitments from a broad range of institutional investors, notably leading public and private pension funds, sovereign wealth funds, insurance companies and family offices from Europe, the USA and Canada, Asia, the Middle East and Latin America. Approximately 26% of capital came from investors in the USA and Canada, 50% from Europe and 17% from Asia.The Fund received «strong «support from PAI’s existing LP base in addition to new investors who had a long-established dialogue with PAI.
Credit Suisse Asset Management has decided to limit subscriptions for the Credit Suisse (Lux) Global Robotics Equity Fund to a maximum of USD 1 million per order as of April 9, 2018. As of this date, the fund management will not accept any new orders that exceed USD 1 million, unless the order is an aggregated order and the subscriber certifies at the time of placing it that none of the underlying orders exceeds the threshold of USD 1 million. «Given the attractiveness of the investment theme, the fund has recorded substantial inflows since its inception on June 30, 2016, reaching an asset volume of USD 2.2 billion. However, the capacity for pure-play investments in the segments of robotics, artificial intelligence, and automation is limited. To protect current investors and to ensure that the fund continues to be managed in line with its investment objectives, the decision was taken to limit subscriptions to a maximum of USD 1 million per order,» according to a statement. Redemptions remain possible without restrictions. All of the other thematic equity funds, such as the Credit Suisse (Lux) Global Digital Health Equity Fund and the Credit Suisse (Lux) Global Security Equity Fund, still have ample investment capacity and are not affected by this measure..
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The asset management firm Investcorp, a specialist in alternative investments, has announced the appointment of Jan Erik Back as chief financial officer for the group. Back will begin in the role this summer, a statement says. Back has over 30 years of experience in the financial sector. He has worked at SEB, Skandia and Handelsbanken. He was most recently executive vice president and chief financial officer for the Scandinavian financial services group SEB. Assets under management at Investcorp total over USD22bn.
Man Group has announced that Simon Finch is joining the firm as CIO of Credit at Man GLG, its discretionary investment management engine.In this newly created role, he will be responsible for Man GLG’s credit business and will have oversight of the credit portfolio management teams. Simon will report to Teun Johnston, CEO of Man GLG, and will work closely with Man GLG’s CIO Pierre-Henri Flamand and Man Group’s CIO Sandy Rattray. Simon will join Man Group’s Executive Committee and Man GLG’s management team.Simon has 25 years of experience in credit investing and joins Man GLG from CQS, where he was CIO and ran the firm’s multi-asset credit fund. He joined CQS in 2004, and his career also includes roles at Abbey National, where he was head of portfolio management.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Royal London Asset Management posted net inflows last year of GBP2.8bn, up by more than 20% compared with the previous year, according to statistics released on 29 March. Assets under management have increasd from GBPq100bn in 2016 to GBP114bn as of the end of December 2017, due to more stable market conditions, the asset management firm indicates. Asstes under management by the Ascentric platform, for their part, are up by 17% year over year, to GBP14.4bn, due to a modification to pricing. To alleviate uncertainty concerning the exit of the United Kingdom from the European Union, Royal London has decided to create an affiliate in Ireland. The cost of this initiative, and costs relating to the implementation of the MiFID II directive, have totalled GBP208m, compared with GBP82m in 2016.
La firme de conseil espagnole Return Kapital Solutions (RKS), spécialisée dans les investissements alternatifs notamment l’immobilier, vient de nommer Eva Benitez Cortés en qualité de directrice des relations avec la clientèle institutionnelle. Eva Benitez Cortés a plus de 25 ans d’expérience dans le secteur financier. Elle a travaillé en tant que banquier privé dans de nombreux établissements, dont Banif et Banco Popular. Elle a également travaillé dans des family offices et d’autres boutiques spécialisées comme Banco Etcheverria (désormais Abanca), précise un communiqué.
L’assurance vie investie dans le private equity va-t-elle décoller ? Les assureurs en doutent, compte tenu du projet du gouvernement, qui prévoit seulement l’investissement dans des fonds professionnels de private equity (FCPI). Les assureurs auraient voulu pouvoir gérer des fonds en unités de compte (UC) sur le mode des OPCI, avec une possibilité de rendre le fonds pour partie liquide. Il s’agit d'être en mesure de faire face aux demandes de rachat émises par les épargnants. «Notre idée, c’est une UC normale, liquide», affirme un assureur. Cette liquidité n’est pas assurée dans le cadre de la législation actuelle, ni dans celui du projet de loi Le Maire.