Dans un entretien vidéo accordé à NewsManagers, Guy Parent responsable France deVanguard explique la particularité du géant de la gestion Vanguard, un groupe mutualiste où les clients des 187 fonds de droit américain sont aussi ses actionnaires. Cette structure permet de rendre aux investisseurs les économies d’échelle réalisées au fur et à mesure du développement de l’entreprise. Entre 2000 et 2018, Vanguard a multiplié par 10 ses encours et divisé par deux le niveau moyen de ses frais sur sa gamme. Il explique également jusqu’où ce cercle vertueux peut aller dans un contexte de guerre des prix dans la gestion passive.Pour voir la vidéo, cliquez ou copiez le lien suivant :http://newsmanagers.com/NewsManagersTV/unexpertvousparle.aspx?id=1532
Franklin Templeton Investments vient de nommer Alessandro Rongo en tant que directeur marketing et coordinateur de la communication pour l’Italie, rapporte Bluerating. Il sera basé à Milan et rattaché à Michele Quinto, co-branch manager et directeur commercial retail de Franklin Templeton Investments. Alessandro Rongo vient de Columbia Threadneedle Investments où il était responsable du marketing pour l’Europe du Sud wholesale à Londres. Il a aussi travaillé comme senior marketing manager au sein d’Invesco Asset Mangement. Chez Franklin, il sera responsable du développement des stratégies marketing pour Franklin Templeton, aussi bien du côté retail qu’institutionnel.
Une année record pour les family offices. L’an dernier, les family offices, qui gèrent le patrimoine de grandes familles ou d’entreprises familiales, ont enregistré au niveau mondial une performance moyenne de 15,5%, selon une étude réalisée par UBS et la société de recherche Campden Wealth Research (*). Un résultat exceptionnel qui fait suite à des gains de 7% en 2016 et de seulement 0,3% en 2015. Une nette augmentation de la prise de risque est à l’origine de cette multiplication par plus de deux de la performance de 2017 par rapport à celle de l’année précédente. La part des actions dans les portefeuilles se situe en moyenne autour de 28% et les investissements dans le private equity ressortent à 22%, avec des rendements moyens de 18% en 2017. D’une façon générale, les investissements alternatifs représentent en moyenne 46% des portefeuilles. Et 50% des family offices se disent bien décidés à encore augmenter leur exposition aux investissements directs, à savoir le private equity, dans les douze prochains mois."Ces bons résultats reflètent d’une part les marchés haussiers, d’autre part, la capacité des family offices à investir sur le long terme et dans des stratégies illiquides», commente Sara Ferrari, responsable de l’entité family-office chez UBS, citée dans un communiqué. L’enquête fait aussi ressortir les très bons résultats enregistrés par les family offices en Asie, surtout en raison de leur exposition aux pays émergents.L’enquête montre aussi que les deux cinquièmes environ (38%) des family offices sont engagés dans l’investissement durable. Emblématique de cette tendance, l’investissement d’impact a fortement augmenté, le nombre de family offices réalisant de tels investissements passant de 25% en 2016 à 33% en 2017. Plus généralement, 45% des family offices envisagent d’accroître leurs investissements durables au cours des douze prochains mois.(*) Le groupe suisse et la société de conseil ont interrogé 311 family offices dans le monde. Le patrimoine moyen géré par les family offices s'élève à 808 millions de dollars.
Le groupe Invesco vient de recruter deux gérants de portefeuille en charge des ETF obligataires, à savoir Deepak Bharti et Wayne Parker, rapporte le site Investment Week. Deepak Bharti arrive en provenance de DWS où il a été pendant quatre ans gérant de portefeuille ETF actions. Avant cela, il avait été gérant de portefeuille pendant six ans chez Barclays. Pour sa part, Wayne Parker était précédemment gérant d’ETF pendant trois ans chez FinEx London. Au cours de sa carrière, il est également passé chez FourWinds Capital Management et Jeffries Bache. Les deux nouvelles recrues sont basées à Londres et sont rattachées à Raphael Stern, responsable de la gestion de portefeuille ETF pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA) chez Invesco.
Old Mutual Global Investors (OMGI, la société reprise par Richard Buxton qui doit être renommée Merian Global Investors) a fermé le fonds Old Mutual Monthly Income High Yield Bond, lancé il y a un peu plus de trois ans, en juin 2015, rapporte le site spécialisé Citywire. La décision de fermer le fonds, effective depuis le 14 septembre, est liée à la sortie du plus important actionnaire du fonds. Le fonds, codirigé depuis début 2018 par Lloyd Harris et Deepa Abraham, aurait du coup été trop petit pour une gestion économique efficiente, d’où la décision de le fermer «dans le meilleur intérêt des actionnaires restants», a indiqué OMGI à Citywire.Le fonds a dégagé un rendement de 8% en dollar sur les trois ans à fin août 2018, contre 20% pour l’indice de référence ICE BofAML Global High Yield TR EUR Hedged sur la même période.
Les gérants Sanso IS et Convictions AM ont annoncé jeudi être entrés en négociation exclusive en vue de leur rapprochement. Soumise à l’agrément de l’AMF, l’opération prendra la forme d’une acquisition à 100% du capital de Convictions AM par Sanso IS, dans la perspective d’une fusion prévue au cours du premier trimestre 2019. Les encours sous gestion du nouvel ensemble dépasseront les 900 millions d’euros, dont 750 millions apportés par Sanso IS, avec une équipe de plus de vingt professionnels.
Cassette. Les émissions de dette à moyen et à long terme du Trésor français seront du même montant en 2019 qu’en 2018 : 195 milliards d’euros. Pourtant, les besoins de financement vont augmenter de 30 milliards (passant de 198 à 228 milliards). A cela deux causes, un déficit budgétaire en forte hausse de 81,3 à 98,7 milliards l’an prochain et un montant de refinancement de 130 milliards d’euros (contre 116 milliards pour 2018). Le besoin de financement supplémentaire sera assuré pour une part par des titres courts avec une augmentation du stock de BTF de 15 milliards. Ce dernier n’a cessé de diminuer ces cinq dernières années, les investisseurs rechignant à prendre du papier entre -0,50 % et -0,70 %. La charge de la dette augmentera de 500 millions l’an prochain à 42,1 milliards, prévoit l’AFT. Prenant acte de la fin du programme d’achats de la Banque centrale européenne, l’AFT prévoit large pour ses anticipations de taux : l’OAT 10 ans à 2,15 % fin 2019 et un passage des taux des BTF en positif début 2019.
Fin du soutien fiscal et budgétaire, menaces que fait peser le conflit commercial avec la Chine et quelques autres pays, cycle économique manifestement plus proche de sa fin que de son début, rien n’y fait. Pas moins de 69 % des investisseurs internationaux sont persuadés que les Etats-Unis sont la région la plus favorable en ce qui concerne les prévisions de bénéfices, selon les résultats de l’enquête BoA-Merrill Lynch. C’est un niveau record depuis 17 ans, indiquent les économistes d’Aurel BGC. Les montants astronomiques des rachats d’actions et les indices boursiers au paradis aux Etats-Unis confortent cet optimisme qui confine à la béatitude.
Une guerre commerciale d’accord, mais attention à ne pas mettre en danger ses intérêts vitaux. Dans un premier jet du projet « trumpien », les taxes à l’importation de produits « made in china » intégraient un éventail très large de produits. La dernière mouture a réduit son périmètre et ne contient plus les sièges bébés pour automobiles, les montres connectées et surtout les 17 terres rares indispensables à l’industrie américaine dont la Chine représente 80 % des approvisionnements. On peut jouer les va-t-en-guerre, aller la fleur au fusil affronter les importateurs chinois qui ne respecteraient pas les règles élémentaires du commerce, mais de là à se tirer une balle dans le pied. Tout de même…
Défis. Les nouvelles réglementations vont continuer de représenter le principal défi pour les gérants et investisseurs, selon une étude réalisée par SGSS en début d’année auprès d’une centaine de grands acteurs européens. La faiblesse des taux représente le deuxième souci majeur, c’est même la préoccupation première de plus de la moitié des investisseurs (« asset owners ») et de 40 % des investisseurs alternatifs, certains redoutant une crise immobilière comme effet d’un excès de liquidité. La pression tarifaire devrait rester une difficulté ces prochaines années, les gérants en attribuant l’origine, pour 46 %, à la gestion passive. L’étude analyse les tentatives de réponses à cette solution et fait une large place aux transformations technologiques engagées par les acteurs.
… milliards de dollars. C’est le montant de profits rapatriés par les entreprises américaines au premier semestre dans le cadre de l’exonération fiscale temporaire accordée par l’administration Trump, selon les données de la balance des paiements : 170 milliards au deuxième trimestre, après 295 milliards au premier. Ces rapatriements alimentent pour l’essentiel les rachats d’actions (environ 600 milliards par an depuis 2010). Les « buybacks » devraient atteindre 1.000 milliards de dollars cette année, selon Aurel BGC. Et battre leur record de 2007 : plus de 800 milliards.
Zencap Asset Management (AM) a remporté la gestion d’un fonds de 200 millions d’euros pour le compte de la Fédération Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés), a annoncé hier la filiale d’Ofi AM. Obtenu dans le courant de l’année, ce véhicule financera des PME et ETI françaises sur un horizon de 5 à 7 ans. La société de gestion, qui est par ailleurs en train de lever un fonds de 300 millions d’euros, devrait bientôt atteindre un milliard d’euros d’encours dédiés au financement des entreprises sur un total de plus de 2 milliards d’euros gérés par Zencap en dette privée.
Ostrum Asset Management (ex-Natixis AM) va recourir à un dispositif de rupture conventionnelle collective (RCC) pour supprimer 50 postes d’ici à fin 2020, soit 10% de ses effectifs, a déclaré une source syndicale à L’Agefi, confirmant les propos du patron de la filiale française de gestion d’actifs de Natixis dans Les Echos. «La RCC désigne quasiment les individus concernés par les suppressions de postes, qui incluent des 16 postes de gérants d’actifs, principalement dans les taux, le monétaire et les large caps, mais aussi des fonctions de middle office, juridiques et financières», regrette l'élu du personnel. En revanche, la recherche crédit et ‘quant’ n’est pas touchée et des postes seront créés en gestion actions.» Ostrum voudrait réduire ses coûts de 25% d’ici à fin 2020 et a déjà taillé dans les dépenses liées à ses prestataires externes, mais le point de départ et l’ampleur exacte des coupes restent imprécis aux yeux des syndicats. Premier affilié de Natixis IM, la structure faîtière des activités de gestion de Natixis, Ostrum souhaite aussi rationaliser sa gamme pour faire émerger plusieurs fonds phares gérant plusieurs milliards d’euros. Spécialiste de l’obligataire et principalement au service des réseaux de BPCE via l’assurance vie, la société de gestion gérait 315,7 milliards d’euros à fin juin.
A l’issue d’un appel d’offres lancé au mois de février, Zencap AM a remporté la gestion du premier fonds dédié à la dette privée de la fédération Arrco, de 200 millions d’euros. La stratégie du fonds consiste à financer les Petites et Moyennes Entreprises (PME) et les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) françaises sur un horizon de 5 à 7 ans. «Ce fonds dédié s’appuiera sur l’expertise développée par Zencap AM sur le segment du financement des entreprises à travers trois millésimes de fonds ouverts. Le dernier en date, Zencap Credit ETI III, actuellement en cours de commercialisation, vise un montant d’engagements de 300 millions d’euros, qui s’ajouteront aux 200 millions apportés sur la stratégie par la fédération Arrco», précise la société de gestion dans un communiqué. Au terme de la levée de fonds, les engagements et encours de ZenCap AM sur la stratégie de financement aux entreprises (y compris le fonds dédié pour la fédération Arrco), atteindront 1 milliard d’euros sur un total de plus de 2 milliards d’euros gérés en dette privée. AB.
Lors d’un séminaire organisé par le Réseau d’Administrateurs pour l’Investissement Responsable (RAIR) à l’occasion de la Semaine de la Finance Responsable, Alexis Masse, président du Forum pour l’Investissement Responsable, a déploré l'étroitesse de la démarche ISR des investisseurs français. «La Place travaille à des progrès de méthodologies en matière d’environnement, mais l’aspect social est encore le parent pauvre de la démarche», estime-t-il. Par ailleurs, du point de vue de l’environnement, la question est trop souvent réduite à celle du climat et à celle de l’atténuation, notamment en réfléchissant à des stratégies alignées avec une trajectoire +2°C. «Il y a pourtant une autre dimension à travailler, qui serait l’adaptation au changement climatique, mais nous en sommes encore loin», a souligné Alexis Masse, prônant la définition d’un modèle résilient. Ne pas oublier l’aspect social de l’ISR Mais si des efforts restent à faire du côté de l’environnement, le constat est encore pire d’un point de vue social, que le président du FIR qualifie de «parent pauvre» de la démarche ESG des investisseurs. Pourtant, selon lui, les entreprises dans lesquelles les employés sont heureux (faibles taux d’absentéisme, turnover ou accidents du travail) sont aussi celles qui performent le mieux. Mais les données qui sont envoyées par les entreprises sont “rares et très hétérogènes”, ce qui complique la construction d’une démarche socialement responsable des investisseurs. «Il faudra toutefois, par l’engagement des investisseurs, convaincre les entreprises de transmettre les données pour qu’ils puissent analyser leurs pratiques. Car il y a un intérêt global pour les investisseurs de long terme à trouver les bons indicateurs sociaux”, affirme-t-il. Pour les PRI, le changement climatique est une priorité absolue. “Certains investisseurs ont tendance à cantonner ce sujet à l’environnement, alors que c’est une urgence qui est aussi sociale et liée à la gouvernance», a insisté Marie Luchet, directrice des PRI France. Le réseau souhaite dorénavant travailler sur l’impact pour adresser le changement climatique, tout en étant en dialogue avec les pouvoirs publics et par le biais de coalitions d’investisseurs échangeant avec les émetteurs. Accompagner les entreprises dans leur transformation Mais pour Alexis Masse, pas question de se livrer au désinvestissement massif afin de se délester des énergies fossiles : «Cela serait dangereux car entraînerait une réorientation massive du capital sans accompagner les entreprises dans la transformation de leur modèle». Mais il y a aussi un problème d’acceptabilité. «Allez expliquer à un salarié de Total que vous n’investirez jamais dans la transformation de son entreprise, alors même que sa société souhaite basculer d’un modèle basé sur les énergies fossiles à un modèle plus bas carbone», illustre Alexis Masse avant de résumer : «Si on veut que la transition échoue, il faut désinvestir». Il y a pourtant urgence à agir. «Si nous en restons aux réglementations actuelles, nous nous orientons vers un scénario à +3,7°C», rappelle Marie Luchet. Selon elle, sans accélération de la réorientation des investissements, une réponse politique drastique surviendra entre 2025 et 2030. «Lorsqu’elle arrivera, cela sera beaucoup plus perturbant et dommageable pour les marché que si les acteurs s’en charge dès maintenant de manière progressive». AB.
Zencap Asset Management (AM) a remporté la gestion d’un fonds de 200 millions d’euros pour le compte de la Fédération Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés), a annoncé ce mercredi la filiale d’Ofi AM. Obtenu dans le courant de l’année, ce fonds est le de l’institution publique dédié à la dette privée, précise le communiqué de Zencap. Ce véhicule financera des PME et ETI françaises sur un horizon de 5 à 7 ans. La société de gestion, qui est par ailleurs en train de lever un fonds de 300 millions d’euros, devrait bientôt atteindre un milliard d’euros d’encours dédiés au financement des entreprises sur un total de plus de 2 milliards d’euros gérés par Zencap en dette privée.
Fidelity International on 25 September announced the appointment of Charles-Antoine Smet as director of sales to institutionals and businesses in Paris, from 1 October 2018. At the French office of Fidelity International, Smet will direct the institutionals and businesses unit, currently composed of Luc Sgualivato and Samir Bouheraoua. Smet, 41, has 18 years of experience in the asset management industry. He was a director at Allianz Global Investors, where he had served since 2006 as part of the institutional sales team, and joins Fidelity on 1 October 2018. He previously participated in the development of Swan Capital Management (2003-2006), where he focused on financial adviser and private bank clients. He began his career at Société Générale, and then at Goldman Sachs Inc & Cie. Smet is a graduate of the EM Lyon school of management, and has a degree in economics from Université de Paris II Panthéon-Assas. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
BNY Mellon Investment Management on 24 September announced that it has decided to stop the activities of EACM Advisors, a previously independent entity within the group, specialised in long-only and hedge fund strategies, totalling about USD3.9bn in assets under management as of the end of August 2018. The fund of hedge fund strategies, totalling about USD2.1bn under management, will be closed to new investors, and existing capital will be gradually repaid.It has also been decided, with the approval of the board of directors of the fund, to liquidate the Dreyfus Select Managers Long/short fund, for which EACM is the manager responsible for allocation. The liquidation is expected to take place on or about 30 November 2018, a statement says. The two long-only mutual funds from Dreyfus for which EACM is responsible for allocation, Dreyfus Select Managers Small Cap Value fund and Dreyfus Select Managers Small Cap Growth Fund, with total assets under management of USD1.8bn, will continue to be managed within BNY Mellon Investment Management.“Despite the long track record of EACM, demand for fund of hedge fund strategies has fallen. Following an evaluation of the market, we no longer consider the fund of hedge fund category to be an independent product range within our US asset management portfolio, in light of the integrated capacities we have elsewhere,” said Des MacIntyre, CEO for US asset management at BNY Mellon Investment Management and a member of the board of directors at EACM.
The DLPK group, which includes the Nortia, Nortia Invest and Haas Gestion companies, is currently in talks to acquire APREP, the website H24 Finance reports. The news has been confirmed to editors at NewsManagers by the directors of DLPK. “This acquisition project confirms the strong ambitions of the group in terms of development and diversification; the entry into our capital of an investor like Blackfin in February this year has allowed us to seize external growth opportunities,” explains Vincent Dubois, chairman of the DLPK group.Following the acquisition of Sélection 1818 in April this year, the planned acquisition of APREP comes as an addition to the diversification strategy of the group for its activities, by adding wealth planning. The group may offer a full range of services to its IFA clients, and build a presence in remote services with the Groupe Expert & Finance, which is currently in negotiations to acquire the platform Finaveo.The APREP platform, which has EUR2bn in assets under management, is controlled by the La Mondiale group, which did not wish to comment at this stage in the talks.If the acquisition is confirmed, assets under management by the DLPK group for the savings branch (life insurance and securities accounts) would total EUR12bn. Additionally, all employees at APREP would be integrated into the group, which also plans to increase its teams at its two locations (Paris and Roubaix), to ensure the consistency and quality of its service. In total, personnel at the group may reach 200 by 2019.
DNCA Finance (DNCA) is movnig to SRI. The French asset management firm, an affiliate of Natixis Investment Managers (Natixis IM), yesterday unveiled its new framework dedicated to socially responsible investment (SRI). “For two years, we have been called on by several of our clients to develop a range and expertise in the area of SRI,” explains Eric Franc, CEO of DNCA, at a meeting with the press. The asset management firm ultimately decided to move from words to deeds, and has recruited two analysts. Following the arrival of Léa Dunand-Chatellet in June 2018 as an analyst-manager and director of the responsible investment (IR) unit, DNCA in August welcomed Alix Chosson as an analyst in the same unit. The two will have the challenging job of developing the SRI approach at DNCA, as well as a dedicated range of funds. “This is a first step for our firm,” says Franc. Chosson, 31, began his career in 2010 at Amundi as a governance and SRI analyst, before joining Generali Investments, and then Standard Life Investments in 2013, where she participated in the implementation of the new ESG integration strategy and the creation of the impact investing process. In 2016, she joined the SRI team at Axa Investment Managers in London, where she participated actively in the development of climate change expertise. She then returned to France, to Natixis CIB, as a senior sell-side analyst specialised in environmental themes and carbon-intensive sectors. “Between us, we represent the IR team, which is fully integrated into the management team at the firm,” says Dunand-Chatellet. This team will eventually “gain one more person to do analysis,” she says. The construction of the team is accompanied by the creation of a new range of SRI funds, entitled DNCA Invest Beyond. “This range includes three funds, which have been converted to SRI, since their managers had already become aware of the need to take sustainable development challenges and corporate responsibility into account,” the director says. “These three funds represent about EUR500m in assets.” Specifically, the range includes two generalist funds: DNCA Invest Beyond Global Leaders (EUR349m in assets), which targets global leaders in the sustainable economic transition, and DNCA Beyond European Leaders (EUR26m in assets), which concentrates on the same theme, targeting European equities. The third vehicle, entitled DNCA Invest Beyond Infrastructure & Transition (EUR146m in assets), targets European equities, and aims to invest in infrastructure which contributes to the sustainable economic transition. The three funds are part of the DNCA Invest SICAV, the asset management firm states. DNCA is not planning to stop there. “In January 2019, we are going to launch new SRI funds as additions to the range, probably three of them,” says Dunand-Chatellet. These SRI funds will be managed on the basis of an approach which combines two major areas: corporate responsibility on the one hand, which evaluates the risks companies face, and on the other hand, the sustainable economic transition, which is considered a source of investment opportunity. “Our work is to identify relevant themes for the sustainable economic transition, and then, breaking this down, to select companies which contribute to it,” Dunand-Chatellet explains. “The combination of these two challenges is very important, since one requires the other.” As part of this approach, DNCA has decided to take SRI research on board internally, and to develop a proprietary analysis model, entitled Above and Beyond Analysis (ABA). “This proprietary model allows us to cover all stocks, including the ones which are poorly covered by traditional ratings agencies,” Dunand-Chatellet explains. “This allows us to be more flexible and to better map out the companies according to a risk/opportunity approach, which represents the key to our process.” At a presentation, Franc took the occasion to lay out an initial assessment of the activities of the firm. “Our assets under management now total EUR25.6bn as of 31 august 2018,” he said. Since the start of the year, its net inflows have totalled EUR1.2bn. The new bond team alone, led by Pascal Gilbert and François Collet, “has had EUR1.5bn in inflows,” says Franc. The CEO also points out that Natixis IM has increased its stake in the capital of the firm to 80%, and that Natixis IM has an objective of “controlling 100% of the firm by 2020.” p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
In response to recent media speculation, GAM confirmed yesterday that its internal investigation into the conduct of Tim Haywood, investment director of the ARBF funds, commenced following concerns raised by an internal whistle-blower. In line with its established processes, GAM took the concerns very seriously whilst also ensuring that it protected the existence and identity of the whistle-blower. GAM fully intends to continue to provide all appropriate protections to the whistle-blower. In November 2017, an internal investigation, supported by independent external counsel, was launched. In March 2018, the whistle-blower expanded on the initial concerns and contacted the FCA whilst keeping the company informed. The internal investigation evolved as more facts and circumstances were uncovered and identified a number of potential misconduct issues, the cumulative effect of which led to the decision to suspend Mr Haywood. As previously stated, no other employees are being investigated in relation to these matters and no evidence was found to indicate that such an investigation regarding other employees was required. The internal disciplinary process in respect of the suspended investment director is on-going. The liquidation of the ARBF funds which ensures that all investors are treated equally and fairly is continuing, with between 60% and 87% of the funds returned to date. The second liquidation payments will start in the week of 24 September 2018 with further fund assets being liquidated to cash and returned to investors over the following months, dependent on market conditions. No material client detriment has been identified to date and we continue to keep this under review. As previously stated, the potential conduct issues identified related to failure to conduct or evidence sufficient due diligence and failure to make accessible internal records of documents in certain instances. Additionally, the investigation concluded that Mr Haywood may have breached the company’s signatory policy and may have used his personal email for work purposes. He also breached the company’s gifts and entertainment policy. GAM Group CEO, Alexander Friedman, said: «At the heart of every modern financial services firm’s systems and controls should be a culture that encourages people to come forward with concerns about colleagues’ behaviour. The only way to maintain that culture is to protect those who are brave enough to do so and to hold accountable those found to be breaking the rules. This is central to trusted client relationships and we will never compromise on this point. I’m grateful to every one of our clients that has taken the time to understand our approach to these issues and we continue to work tirelessly in their best interests.»