Le spécialiste du private equity Partners Group, vient d’annoncer l’ouverture d’un bureau àToronto auCanada. Il s’agit du quatrième bureau de la société dans la région, portant le total de ses bureaux dans le mondeà 20. «Notre présence à Toronto va nous permettre de répondre à la demande croissante d’un large spectre d’investisseurs canadiens pour des solutions de private equity. Ces dernières représentent une large composante dans les portefeuilles de nombreux investisseurs, contribuant substantiellement à l’augmentation de leurs performances globales», indiqueDavid Layton, Co-CEO of Partners Group, cité dans un communiqué. La société a nomméBrad Ballard, ex-Blackrock disposant de 15 années d’expérience dans l’industrie, pour diriger les activités de l’entreprise au Canada et renforcer le réseau et les relations d’investissements déjà existantes. La présence de Partners Group en Amérique du Nord remonte à 2000 avec l’ouverture d’un bureau à New York. Aujourd’hui, la société emploie plus de 250 personnes dans cette région, à New York, Houston et au siège américain de Denver. En 2018, 18 % des demandes clients de la firme venaient d’Amérique du Nord et près de la moitié des investissements réalisés l’ont été dans la région. Pour mémoire, en février 2019, Partners Group a vendu sa participation dans le terminal passagers de l’aéroport «Billy Bishop Toronto City Airport» (BBTCA) pour le compte de ses clients. Une participation qu’elle avait acquis en 2015 avec le consortium Nieuport Aviation.
À l’occasion de la publication de son premier édito en tant que nouveau président de la Chambre National des Conseils en Gestion de Patrimoine, Julien Séraqui a donné quelques élémentssur les premières mesures mises en oeuvre suite à son élection. Première information, la signature d’un accord avec la société de gestion Oddo BHF portant surla rémunération des mandats de gestion surles comptes-titres et PEA pour les clients des adhérents de la CNCGP. «Cet accord est l’illustration parfaite du travail de défense de nos intérêts que la Chambre mène avec nos partenaires», s’est félicité Julien Séraqui dans son édito. Autre information, la nomination de l’ancien président de la CNCGP, Benoist Lombard, en tant que lobbyiste de la Chambre pour l’année 2019. Il prend la succession deGuy de Panafieu, qui occupait ce poste depuis 6 ans et part à la retraite. «Guy nous a ouvert des portes, dans la haute fonction publique et auprès des législateurs français et européens, qui nous étaient fermées jusque-là. Il aurait été extraordinairement préjudiciable pour la défense de nos intérêts que nous perdions un tel réseau qui nous a permis de sauver notre business model fondé sur les rétrocessions de commissions», explique Julien Séraqui. Le nouveau président de la Chambre a profitéde ce premier exercice littéraire pour rappeler la volonté de la CNCGP d’obtenir son agrément en tantqu’association de courtiers. Un cheval de bataille qu’il nous avait lui-même exposé au moment du dépôt de sa candidature il y a plusieurs semaines. C’est sur ce sujet que l’ensemble des associations de CGP plancheront au cours de 2019 puisque la loi Pacteva créer des associations de courtiers sur le modèle des associations de CIF. Or,95 % des adhérents de la CNCGP aujourd’hui sont courtiers et cette activitéreprésente en moyenne 60 % des chiffres d’affaires de leurs cabinets. Par ailleurs, la composition du Comex est désormais officielle avec Jean-Luc Delsol (vice-président), Yves Mazin (vice- président), François Auvillain (trésorier), Virginie Tricoit (présidente de la commission gestion des cabinets) et Bertrand Lefeubvre (secrétaire). «La création des associations de courtiers au 1er janvier 2020 et des associations d’IOB un an plus tard, nous obligera peut-être à nommer un vice-président par type d’activité (CIF, courtier, IOB), c’est pourquoi je proposerai au conseil d’administration la nomination de Bertrand au poste de troisième vice-président lorsque la modification des statuts le permettra», précise le dirigeant. Enfin, le nouvel homme fort de la Chambre a annoncé la composition de toutes les commissions et la création d’une nouvelle baptisée «Innovation & Fintech» qui aura pour but de réfléchir à l’impact des nouvelles technologies sur les CGP. «Ne les craignons pas, j’ai la certitude qu’elles seront une source de gains de productivité importants pour nous tous», insiste Julien Séraqui.
Aberdeen Standard Investments a recruté un nouveau spécialiste des investissements actions senior pour l’Asie-Pacifique en la personne de Ben Sheehan. Il occupait jusqu’ici le poste de spécialiste produit senior pour les actions asiatiques chez HSBC Global Asset Management. En poste depuis février, il est basé à Hong-Kong. Diplômé de l’Université Deakin en Australie, il fut notamment analyste de fonds chez Standard & Poor’s (2005-2007) avant de rejoindre HSBC GAM comme analyste-recherche senior (2007-2013) puis directeur associé chargé du service client (2013-2015).
La société de gestion américaine Principal Financial compte acquérir les activités d’épargne-retraite de la banque Wells Fargo pour 1,2 milliard de dollars. Ces activités qui incluent des opérations aux États-Unis, aux Philippines et en Inde, représentent 827 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Jon Weiss, directeur du département de gestion de fortune et de gestion d’actifs dont dépend l’épargne-retraite, avait indiqué qu’il souhaitait réaliser 600 millions de dollars d’économies d’ici 2020 lors d’une réunion investisseurs en 2018. Dans cette optique, il a engagé Nyron Latif, un ancien de Goldman Sachs, afin de rationaliser le département début 2019.
Patrick Héritier, qui a pris les rênes de Pleion (ex-Plurigestion) il y a à peine deux ans, souhaite accélérer le développement de la société de gestion suisse. «Nous envisageons d’accueillir des actionnaires stratégiques au sein du groupe afin de financer notre croissance. Nous sommes prêts à faire une opération de M&A», déclare le patron de Pleion au site spécialisé finews. L’ancien pilote de ligne passé à la gestion de fortune chez UBS et Julius Baer souhaiterait doubler de taille. Dans l’immédiat, les actifs sous gestion, qui s'élèvent à 1,5 milliard de francs, pourraient atteindre la barre des 2 milliards de francs d’ici à la fin de l’année, espère Patrick Héritier qui recrute des chargés de clientèle. Patrick Héritier souhaite se développer sur le marché suisse mais également en Europe. Pleion a récemment ouvert un bureau à Monaco, avec une équipe d’une dizaine de collaborateurs, et travaille à l’acquisition d’une participation majoritaire dans une société luxembourgeoise qui fait de la gestion d’actifs et qui a un passeport européen pour la gestion de fortune. «Nous attendons une réponse de la CSSF», indique le responsable.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Altair Finance AM a recrutéJuan Cánovas del Castillo et Alberto Sánchez en qualité d’analystes actions, rapporte Funds People. Ils travailleront notamment sur l’analyse de valeurs pour le fonds Altair European Opportunities. Les deux analystes travaillaient auparavant chez Fidentiis.
Anacap Financial Partners, fonds de private equity spécialisé sur les services financiers, aurait mandaté la banque d’affaires Vulcain pour céder sa participation majoritaire dansEllisphere, qui propose de l’information économique et financière aux entreprises, rapporte Capital Finance. Anacap avait acquisEllisphere auprès de Natixis en 2017, plusieurs investisseurs parmi lesquels ICG, IK Investment Partners, Abénex ou Eurazeo PME seraient intéressés.
Mubadala Investment Company, the Abu Dhabi-based strategic investment company, and global investment firm The Carlyle Grouphave announcedthat funds affiliated with Carlyle will acquire a significant minority interest in Compañía Española de Petróleos, S.A.U (Cepsa) from Mubadala. The transaction, based on an enterprise value of $12bn,is subject to customary regulatory approvals and is expected to close by end 2019. The agreement marks theconclusion of a dual-track process through a public offering and private placement, conducted by Mubadala to bring in new partners as part of its portfolio management strategy. “We are pleased to have reached agreement with Carlyle and to have them partner with us as shareholders in Cepsa. Carlyle is an established, respected and experienced investor with significant assets under management in the global energy sector”, said Musabbeh Al Kaabi, CEO, Petroleum & Petrochemicals, Mubadala.”
Investec Asset Management has hired James Elliot, ex-JP Morgan, as head of multi-asset investment, a newly created role,Citywire Wealth Manager reported. In his new functions, he willoversee £19.4bnin client assets. He willbe responsible for leadingInvestec’sexisting solutions and develop new ones.James Elliot will report directly to the firm’s co-chief executive Domenico Ferrini. Philip Saunders and Michael Spinks,co-heads of multi-asset growth, andJohn Stopford, head of multi-asset income, will retain their roles as well as their existing portfolio management responsibilities, explained Citywire. James Elliothas 24 years’ experience in the asset management industry. He most recently worked for JP Morgan, where he was responsible for developing the firm’s international multi-asset solutions business.
La société de gestion américaine BlackRock a nommé Carlos Takahashi en tant que responsable du marché brésilien depuis le 1er mars, selon un mémo interne consulté par Citywire Americas. Carlos Takahashi, ancien directeur général de Banco de Brasil Asset Management,était le conseiller de BlackRock au Brésil depuis 2016. Citywire Americas ajoute que dans sa lettre aux actionnaires publiée le 8 avril, le directeur général de BlackRock Larry Fink a mis en avant le Brésil comme une région présentant des opportunités significatives pour la firme. Il a également indiqué qu’un responsable local, en l’occurrence Carlos Takahashi, avait été nommé pour accélérer la croissance et stimuler l’innovation auprès de la clientèle brésilienne.
A new circular of Spanish financial market authority CNMV is entering into force today, Tuesday 9 April. It is aiming to adapt the regulation to the European provisions on money market funds, contained in Regulation (EU) 2017/1131, which lays down uniform rules to avoid different levels of investor protection and to prevent and mitigate any potential contagion risks resulting from possible sudden and massive redemptions of money market funds. Hence the current definitions of short-term money market funds and money market funds in Spain are replaced by the ones laid down in the new regulation: public debt constant net asset value short-term money market funds (MMFs);low volatility net asset value short-term MMFs;variable net asset value short-term MMFs and variable net asset value standard MMFs. A new category has been introduced on the bond side with the“Euro fixed-income”category that is split into two sub-categories: Short term Euro fixed income and Euro fixed income. In addition, the passive management classificationis broken down into two sub-categories: index-tracking CIS (which replaces the current category “Passive management CIS”) and non-guaranteed specific return target CIS.
Le fonds américain Carlyle va racheter jusqu’à 40% du groupe pétrolier et gazier espagnol Cepsa actuellement sous le contrôle intégral de Mubadala, un fonds émirati qui avait renoncé l’an dernier à l’introduire en bourse, a annoncé ce dernier. Carlyle va prendre une part dans Cepsa, «entre 30 et 40%» indique Mubadala dans un communiqué, ajoutant que la transaction valorise le groupe espagnol à 12 milliards de dollars. L’opération devrait être finalisée d’ici la fin de l’année et Mubadala restera l’actionnaire majoritaire du groupe espagnol, dont il a le contrôle depuis 2011. «Nous sommes heureux d’avoir trouvé un accord avec Carlyle c’est une étape importante dans l’histoire de Cepsa, vieille de 90 ans», s’est félicité Musabbeh Al Kaabi, CEO de la branche Pétrole et Pétrochimie de Mubadala. Fin octobre, le fonds émirati avait renoncé à introduire à la Bourse de Madrid au moins 25% de Cepsa, refroidi par l’état des marchés financiers à l’époque
In his annual letter to shareholders, Larry Fink, BlackRock’s CEO, says he wants BlackRock «to become one of the country’s leading global asset managers». «In China, which is one of the largest future growth opportunities for BlackRock, we are focused on building an onshore presence», he wrote. In the Financial Times, the CEO said “we hope to have a majority-controlled asset management [business] in China and we are very engaged with the Chinese regulators.” In his long letter, Larry Fink shows also interest for Latin America. He recalls that «we recently hired our first head of Brazil to oversee our long-term business strategy in the country». «Becoming increasingly local and investing in high-growth markets around the world» is one of BlackRock’s three pillars of BlackRock’s long-term strategy. The two othersare: capturing the shift from product selection to portfolio construction and being the leader in technology across the asset management value chain.
Renaissance Technlogies, l’une des sociétés de hedge funds les plus influentes et secrètes, a drastiquement réduit l’utilisation de stratégies pariant sur des modèles sur les marchés de futures, un signe de l’affaiblissement de la popularité de ces stratégies, rapporte le Financial Times. La société fondée par Jim Simons et gérant 60 milliards de dollars, a diminué le recours à ces stratégies dans son fonds Renaissance Institutional Diversified Alpha (RIDA) à hauteur des deux tiers à la fin de l’année dernière, selon des sources proches du dossier. Résultat, seule une très petite portion des actifs de RIDA est désormais investie dans des stratégies de futures. RIDA a gagné 3,23 % l’an dernier.
AXA Investment Managers (AXA IM) a annoncé ce lundi 8 avril le lancement du fonds AXA World Funds Framlington Clean Economy, dédié à la transition énergétique et à la gestion durable de l’eau. Géré par Amanda O’Toole, le fonds sera investi dans des actions d’entreprises cotées de tailles variées, y compris dans des pays émergents. Le fonds visera 4 objectifs d’impacts conformes aux Objectifs de Développement Durable des Nations Unies : la mobilité durable, l'énergie intelligente, l’alimentation responsable, et le recyclage et la réduction des déchets. En matière de mobilité durable, il couvrira le développement des véhicules électriques, les progrès significatifs dans la technologie des batteries et le développement de systèmes de réduction des émissions. Pour l'énergie intelligente, le fonds investira dans les énergies renouvelables, les maisons et immeubles plus écologiques avec des réseaux d’électricité numérisés et des solutions de stockage d’énergie, et les usines économes en énergie. En ce qui concerne l’alimentation responsable, il étudiera les sociétés travaillant sur l’agriculture de précision, la réduction de la demande excessive en produits à base d’animaux, les innovations en biosciences et les entreprises dont la technologie améliore la qualité de l’eau potable et en réduit sa consommation. Enfin, pour ce qui est du recyclage et de la réduction des déchets, les gérants étudieront les entreprises qui limitent les dommages environnementaux, en réduisant les déchets, en facilitant le recyclage et ou en contrôlant et réduisant la pollution. Le fonds est autorisé à la commercialisation pour les investisseurs professionnels et particuliers en France, en Allemagne, en Autriche, en Belgique, au Danemark, en Espagne, en Finlande, en France, en Italie, au Liechtenstein, en Norvège, aux Pays-Bas, au Portugal (particuliers seulement), en Suède et au Royaume-Uni.
Emad Rajaie has joined DoubleLine Capital as head of the firm’s Middle East relationship management. He comes from Pimco where he worked for 10 years, based in London, and was co-head of the fixed income investment manager’s business in the Middle East and Africa. «The Middle East is a region of strategic importance to DoubleLine,» said Jeffrey Gundlach, CEO and chief investment officer of DoubleLine Capital. DoubleLine plans to open an office in the Middle East «in the near future», according to a press statement.
Ils atteignent désormais environ 6% sur la dette à beta élevé et sur le high yield depuis le début d'année, et dépasse les 3% sur le segment investment grade.
Le groupe Mirabaud vient de recruter Antoine Hollard en tant que gérant privé en France, a appris NewsManagers. L’intéressé a rejoint la société en avril, peut-on lire sur son profil Linkedin.Il travaillera en étroite collaboration avecFrédéric Rozier, responsable portfolio manager du groupeMirabaud. Auparavant, Antoine Hollard travaillait en tant que conseiller indépendant pour le family office MJ&Cie et au sein de Pelham, une société de conseil dédiée aux entrepreneurs qu’il avait lui-même créé en 2010. Au cours de sa carrière il a également travaillé chez Majencia, Quinette Gallay ou encore Vivendi. Il a par ailleurs été président du MEDEF 93 et 94 entre 2011 et 2014.
Alors qu’un avis de convocation a été envoyé aux actionnaires d’Amundi pour son assemblée générale ordinaire et extraordinaire qui se tiendra le jeudi 16 mai 2019, on y apprend que le conseil d’administration va demander à ce qu’Yves Perrier, dont le mandat d’administrateur vient à expiration cette année, soit renouvelé pour une nouvelle période de trois ans qui prendra fin à l’issue de l’assemblée générale des actionnaires de 2022. Yves Perrier, 64 ans, est également directeur général d’Amundi. Parmi les autres administrateurs, William Kadouch-Chassaingen, actuel directeur financier de la Société Générale est présenté en remplacement du mandat d’administrateur de Laurent Goutard, démissionnaire, pour la durée du mandat de ce dernier restant à courir, soit jusqu'à l’issue de la réunion de l’assemblée générale des actionnaires de la société, appelée à statuer sur les comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2020. Virginie Cayatte, directrice financière d’Adisseo et administratrice indépendante d’Amundi, dont le mandat vient aussi à expiration pourrait être renouvelée pour une nouvelle période de trois ans qui prendra fin à l’issue de l’assemblée générale statuant sur les comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2021. L’avis de convocation indique les mêmes éléments pour Xavier Musca, par ailleurs président du conseil d’administration d’Amundi et directeur général délégué du Crédit Agricole SA, la maison-mère d’Amundi, et de Robert Leblanc (administrateur indépendant d’Amundi et PDG d’Aon France).
Dans sa lettre annuelle aux actionnaires, Larry Fink, le directeur général de BlackRock, fait part de son ambition de «devenir l’une des principales sociétés de gestion en Chine». «En Chine, qui constitue l’une des plus grandes opportunités de croissance pour BlackRock, nous sommes concentrés sur l’établissement d’une présence offshore», écrit le dirigeant de la principale société de gestion au monde. Dans le Financial Times, le dirigeant explique même espérer « avoir une société de gestion contrôlée à majorité en Chine et nous sommes très impliqués auprès des régulateurs chinois». Selon des sources du quotidien, BlackRock serait en discussions avec CICC Fund Management, une filiale à 100% de la banque d’investissement publique China International Capital Corps, pour acquérir une part majoritaire dans son unité d’investissement. Dans sa longue missive publiée lundi, Larry Fink fait aussi part de son intérêt pour l’Amérique latine, rappelant que le groupe a récemment recruté son premier responsable du Brésil. L’investissement dans les marchés «à forte croissance» et la présence locale fait partie des trois objectifs stratégiques de long terme énoncés par Larry Fink dans sa lettre. Les deux autres sont: capter le passage de la sélection de produits à la construction de portefeuilles et être leader dans la technologie dans toute la chaîne de valeur de la gestion d’actifs.
DoubleLine a recruté Emad Rajaie en tant que responsable de la gestion des relations avec le Moyen-Orient. L’intéressé vient de Pimco où il a travaillé pendant 10 ans à Londres et était co-responsable de l’activité au Moyen-Orient et en Afrique. «Le Moyen-Orient est une région d’importance stratégique pour DoubleLine», a commenté Jeffrey Gundlach, fondateur, CEO et directeur des investissements de la société de gestion. D’ailleurs, DoubleLine prévoit d’ouvrir un bureau au Moyen-Orient «dans un futur proche», indique un communiqué.
Investec Asset Management a recruté James Elliot, ex-JP Morgan, en tant que directeur de l’investissement multi-asset, un poste nouvellement créé,rapporteCitywireWealth Manager. Dans ses nouvelles fonctions, l’intéressé sera responsable de quelques 19,4 milliards de livres d’actifs. Il aura pour mission de superviserles stratégies multi-asset déjà en place mais également d’en lancer de nouvelles. Il sera rattaché à Domenico Ferrini, co-CEO d’Investec AM. Philip Saunders etMichael Spinks, co-directeurs du «multi-asset growth», etJohn Stopford, directeur du «multi-asset income», conserveront leurs postes ainsi que leurs responsabilités actuelles de gestion, précise le media britannique. James Elliot a 24 ans d’expérience dans la gestion d’actifs. Il a récemment travaillé pendant 7 ans au sein de JP Morgan, où il était notamment responsable du développement des solutions multi-asset de la firme à l’international.
Martin Stolker a été promu directeur de la sélection de gérants chez ABN Amro Investment Solutions, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. L’intéressé coiffera les équipes d’analystes basées à Paris et Amsterdam. A fin juillet 2018, les actifs sous gestion et conseillés par ABN Amro Investment Solutions s'élevaient à plus de 30 milliards d’euros, indique sur son site la société qui compte une centaine de collaborateurs à Paris, Amsterdam et Francfort.
Martin Stolker has been promoted to director of management selection at ABN Amro Investment Solutions, the specialist website Fondsnieuws reports. Stokler will lead teams of analysts based in Paris and Amsterdam. As of the end of July 2018, assets under management and advised by ABN Amro Investment Solutions totalled over €30bn, the firm, which has over 100 employes in Paris, Amsterdam and Frankfurt, says on its website.
Lefond de placement immobilier de droit suisse Procimmo a changé de dirigeant.Patrick Richard, président et co-fondateur du fonds et Philippe Beckers (vice-président) se sont retirés du conseil d’administration avec effet au 1eravril 2019, date à laquelle la société a tenu son assemblée générale ordinaire 2019.Patrick Richard a quitté son poste pour se consacrer à ses activités aux États-Unis. Un nouveau président du conseil a donc été nommé en la personne deSerge Ledermann. L’intéressé travaille en tant que consultant pour plusieurs fondations, caisses de pension et family offices. Il est également administrateur indépendant au sein de sociétés actives dans les services financiers. Au cours de sa carrière professionnelle, il a occupé des postes de haute direction auprès des Retraites Populaires et des banques privées J. Safra Sarasin, Lombard Odier et Union Bancaire Privée. De son côté, Yves Hervieu-Causseprend la place de Philippe Beckers et occupera désormais le poste de vice-président du conseil d’administration. Ce dernier alancé pendant sa carrière plusieurs sociétés avec succès, dont notamment Aforge Finance et Hugo Fund Services SA, dont il est aujourd’hui administrateur délégué et Acolin Holding AG pour laquelle il occupe actuellement le poste de vice-président. Arno Kneubühler, CEO de Procimmo SA, fera également son entrée dans le conseil d’administrationen qualité d’administrateur délégué, de sorte à assurer une transition optimale entre la direction en place et le nouveau conseil d’administration.
Trois fonds d’investissement de Credit Suisse contiennent environ 4 milliards de dollars d’actifs liés à Greensill, une fintech au cœur de la crise qui a mis GAM à genou, a appris Financial News. Les trois fonds ont été créés ces deux dernières années et se focalisent sur le financement de la chaîne d’approvisionnement. Tous les actifs des fonds de Credit Suisse sont sourcés par Greensill. L’an dernier, les relations de Greensill avec l’un des gérants star de GAM, Tim Haywood, a été le centre d’une enquête qui a conduit à la chute du cours de la société de gestion.
Ardian a annoncé ce 8 avrill’acquisition d’une participation minoritaire dans Rivalis, le premier réseau d’accompagnement des dirigeants en France, dans le cadre d’une opération d’OBO minoritaire aux côtés du management. Créée en 1994 à Colmar, l’entreprise familiale s’est développée rapidement pour devenir aujourd’hui un des principaux spécialistes de l’accompagnement des dirigeants de TPE-PME en France grâce à un réseau de plus de 500 conseillers indépendants et plus de 17.500 utilisateurs. «Avec l’entrée d’un investisseur tel qu’Ardian, nous nous dotons des moyens d’accélérer sur notre marché notamment en renforçant notre expertise digitale et en ayant la capacité de mettre en place une stratégie d’acquisition ciblée», a commenté Lionel Valdan, co-fondateur de Rivalis, cité dans un communiqué
Les fusions et acquisitions dans le secteur de la gestion d’actifs devraient se multiplier cette année, les groupes gérants plus de 1.000 milliards de dollars d’actifs engloutissant la collecte et laissant leurs plus petits rivaux se débattre, écrit le Financial Times fund management. Les spéculations vont bon train concernant les prochains sur la liste des sociétés qui seront rachetées. Les analystes se demandent si Natixis pourrait s’intéresser à La Banque Postale Asset Management et comment Morgan Stanley Investment Management peut doubler ses actifs. Par ailleurs, Yves Perrier d’Amundi et Marty Flanagan d’Invesco seront-ils tentés de refaire des opérations, se demande le FTfm? Parmi les cibles faisant le plus l’objet de rumeurs figure DWS. Son avenir dépendra de si Deutsche Bank, son actionnaire majoritaire, fusionne avec Commerzbank. L’une des manières de financer l’opération serait en effet de vendre DWS. Allianz envisagerait un rachat, mais cela pourrait poser des problèmes de concurrence. Les autres partenaires pourraient inclure Amundi, UBS, Natixis ou Generali. DWS pourrait aussi vendre Xtrackers, susceptible d’intéresser JPMorgan Asset Management ou Goldman Sachs Asset Management. WisdomTree est aussi fréquemment cité comme cible d’acquisition. Le FTfm cite aussi GAM, actuellement en position difficile, et Eastspring, dont l’avenir est compliqué par les projets de Prudential de se séparer de M&GPrudential. Les rumeurs de cession d’Eastspring ont aussi été alimentées par le départ récent de trois dirigeants.