Nos articles d’actualité et d’analyse sur les économies et marchés (croissance, politique monétaire, indices boursiers) des pays dits émergents, soit la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, et des pays en voie de développement.
Le pays a placé 1,75 milliard de dollars d’obligations à 30 ans à des niveaux de spreads équivalents à ceux avant sa dégradation en catégorie spéculative.
Le gouverneur de la banque centrale australienne, Philip Lowe, a alerté hier des conséquences néfastes que provoquera sur l'économie du pays la remontée des taux en raison de l’endettement des ménages à des niveaux records. «Mon sentiment global est que la récente augmentation de l’endettement des ménages par rapport à leurs revenus a rendu l’économie moins résistante à des futurs chocs», a ainsi indiqué Philip Lowe. Et d’ajouter que «s’il ne s’agit pas d’un signal sur les perspectives de court terme d’évolution des taux d’intérêt en Australie, c’est en revanche un rappel qu’à terme nous pouvons nous attendre à une remontée des taux, au moins liée aux facteurs extérieurs».
Le gouverneur de la banque centrale australienne, Philip Lowe, a alerté ce matin sur les conséquences néfastes que provoquera sur l'économie du pays la remontée des taux en raison de l’endettement des ménages à des niveaux records. «Mon sentiment global est que la récente augmentation de l’endettement des ménages comparée à leurs revenus a rendu l’économie moins résistante à des futurs chocs», a ainsi indiqué Philip Lowe. Et d’ajouter que «s’il ne s’agit pas d’un signal sur les perspectives de court terme d’évolution des taux d’intérêt en Australie, c’est en revanche un rappel qu’à terme nous pouvons nous attendre à une remontée des taux, au moins liée aux facteurs extérieurs».
La baisse de taux de 50 points de base concédée par l’autorité russe sera suivie d’un pilotage monétaire au cas par cas, défini à chaque réunion en fonction de du contexte.
La banque centrale a pris mardi les marchés par surprise en relevant ses taux directeurs de 150 pb à 26,25%, après les avoir baissés de 200 pb en novembre.
Le président Jacob Zuma a remanié hier soir l’exécutif sud-africain, se séparant de son ministre des Finances, Pravin Gordhan, largement apprécié des marchés.
La banque centrale du Mexique a relevé hier son taux directeur pour la cinquième fois depuis le mois de septembre mais à un rythme plus faible qu’auparavant, le rebond du peso rendant moins nécessaire une action forte. Le comité de politique monétaire de Banco de Mexico a décidé à l’unanimité de relever d’un quart de point son principal taux à 6,50%, son niveau le plus élevé depuis le début 2009. Dans son communiqué, la banque centrale motive sa décision par son souci d’ancrer les anticipations d’inflation et dit aussi avoir pris en compte la hausse de taux d’un quart de point décidée par la Réserve fédérale américaine le 15 mars. Le taux d’inflation a atteint 5% début mars, un plus haut de huit ans, mais les banquiers centraux s’attendent à ce qu’il revienne vers l’objectif de 3% d’ici fin 2018.
Le président sud-africain, Jacob Zuma, a ordonné hier à son ministre des Finances, Pravin Gordhan, d’interrompre un déplacement en Grande-Bretagne. La nouvelle, annoncée par la présidence sans explication, a immédiatement eu un impact sur la devise sud-africaine, le rand, qui a perdu jusqu'à 1,7% de sa valeur. Sur les marchés financiers, les obligations ont reculé fortement et à la Bourse de Johannesburg les valeurs bancaires ont perdu plus de 2%. Le ministre se trouvait à Londres dans le cadre d’une présentation aux investisseurs devant ensuite se poursuivre aux Etats-Unis.
L’autorité des marchés de capitaux du Koweït a indiqué hier que le jour de règlement des actions cotées sera porté à T+3 d’ici la fin du mois d’avril, alors qu’il est actuellement fixé à T+2 pour les investisseurs étrangers et T+0 pour les investisseurs locaux. Le pays souhaite également introduire des activités de vente à découvert et des produits dérivés afin de se rapprocher des standards internationaux et espérer voir ses actions incluses dans les grands indices mondiaux.
Le président sud-africain, Jacob Zuma, a ordonné lundi à son ministre des Finances, Pravin Gordhan, d’interrompre un déplacement en Grande-Bretagne. La nouvelle, annoncée par la présidence sans explication, a immédiatement eu un impact sur la devise sud-africaine, le rand, qui a perdu jusqu'à 1,7% de sa valeur. Sur les marchés financiers, les obligations ont reculé fortement et à la Bourse de Johannesburg les valeurs bancaires ont perdu plus de 2%.
L’autorité des marchés de capitaux du Koweït a indiqué que le jour de règlements des actions cotées sera porté à T+3 d’ici la fin du mois d’avril, alors qu’il est actuellement fixé à T+2 pour les investisseurs étrangers et T+0 pour les investisseurs locaux. Le pays souhaite également introduire des activités de ventes à découvert et des produits dérivés afin de se rapprocher des standards internationaux et espérer voir ses actions incluses dans les grands indices mondiaux. «Nous travaillons avec les investisseurs étrangers et locaux pour faire du Koweït le marché le plus sophistiqué de la région», a indiqué Mishaal Al-Usaimi, le vice-président de l’autorité.