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Mêlant acquisitions, partenariats et développements internes, la banque se positionne sur le commerce connecté pour séduire les marchands de toutes tailles.
E-commerce. Un rapport de CyberSource (groupe Visa) sur la gestion de la fraude dans le e-commerce au niveau mondial montre que les e-marchands les plus efficaces en la matière sont aussi ceux qui attachent le plus d’importance à trouver le juste équilibre entre offrir une expérience client de qualité, détecter précisément les commandes frauduleuses pour éviter les pertes et maîtriser le coût de la lutte anti-fraude. Autrement dit, leur gestion de la fraude est réellement centrée sur les clients. Et pour cela, ils utilisent davantage d’outils et exploitent mieux les données, ce qui réduit les vérifications manuelles. Parmi les outils jugés les plus efficaces : le numéro de vérification au dos de la carte bancaire, l’authentification biométrique, l’historique des commandes clients, l’authentification forte sur téléphone mobile et l’authentification du porteur par 3DSecure. Ce dernier dispositif, déjà ancien et longtemps accusé par les commerçants de leur faire perdre des ventes, est désormais reconnu comme efficace et offrant une meilleure expérience utilisateur. Cela devrait encore s’améliorer avec le déploiement de la version 2.0, qui permet d’échanger plus de données sur la transaction entre le commerçant et la banque et offre une expérience plus fluide sur mobile.
La plateforme de paiement pour les entreprises Adyen affiche pour l’année 2018 un revenu net de 348,9 millions d’euros (dont 192,5 millions réalisés au second semestre), en hausse de 60% par rapport à l’année 2017, pour un bénéfice avant impôt (EBITDA) de 181,9 millions d’euros (+83%), et un volume de transactions de 159 milliards d’euros (+47%). Durant cette période, Adyen a notamment ajouté parmi ses clients les marques H&M, Gap ou Farftech, précise-t-il dans un communiqué. Il a effectué 105 recrutements durant le second semestre et compte au total 873 employés dans le monde, dont 23 à Paris.
La Commission européenne envisage de nouvelles dispositions pour renforcer Target, le système européen de paiement instantané lancé l’an passé par la Banque centrale européenne. Il est perçu comme un concurrent direct des américains PayPal, Google, Facebook et Amazon et des chinois Alibaba et Tencent. Mais les banques européennes tardent à l’adopter, alors Bruxelles veut établir «une nouvelle norme mondiale de la technologie des paiements», a déclaré Valdis Dombrovskis, le commissaire européen chargé des services financiers, lors d’une conférence fintech à Bruxelles Les américains Visa et Mastercard dominent actuellement le marché européen des paiements par carte.
Edenred lance son offre de services de paiement aux entreprises en Afrique, avec Jumia Travel, premier portail de réservation d’hôtels en ligne en Afrique avec 25.000 hôteliers partenaires, et filiale du groupe Jumia, premier opérateur d’e-commerce sur le continent africain. En servant Jumia Travel, Edenred renforce son positionnement sur le territoire africain, où le secteur du voyage est en plein essor, à l’image de l’hôtellerie dont le chiffre d’affaires dans les principaux marchés devrait croître annuellement de plus de 7% d’ici à 2022.
Edenred lance son offre de services de paiement aux entreprises en Afrique, avec Jumia Travel, premier portail de réservation d’hôtels en ligne en Afrique avec 25.000 hôteliers partenaires, et filiale du groupe Jumia, premier opérateur d’e-commerce sur le continent africain.
La fintech française iBanFirst, spécialisée dans les paiements internationaux, a annoncé mardi le lancement d’une solution de financement pour les TPE, PME et ETI importatrices, nommée «Financement Import». Elle doit permettre une mise en place en deux semaines, contre trois à six mois dans une banque traditionnelle. Concrètement, iBanFirst pourra avancer la trésorerie des entreprises pour qu’elles puissent payer leurs fournisseurs à l’étranger rapidement et ainsi négocier des conditions plus favorables. Ce nouveau service financier s’inscrit dans le cadre de l’extension de l’agrément bancaire d’iBanFirst, qui lui permet de proposer des lignes de crédit adossées à un paiement.
La fintech française iBanFirst, spécialisée dans les paiements internationaux, a annoncé ce mardi le lancement d’une solution de financement pour les TPE, PME et ETI importatrices, nommée « Financement Import ». Elle doit permettre une mise en place en deux semaines, contre trois à six mois dans une banque traditionnelle. Concrètement, iBanFirst pourra avancer la trésorerie des entreprises pour qu’elles puissent payer leurs fournisseurs à l’étranger rapidement et ainsi négocier des conditions plus favorables. Ce nouveau service financier s’inscrit dans le cadre de l’extension de l’agrément bancaire d’iBanFirst, qui lui permet de proposer des lignes de crédit adossées à un paiement.
Secouée depuis plusieurs jours par des articles du Financial Times révélant de présumées malversations financières au sein de la filiale asiatique du groupe allemand de paiements, l’action Wirecard a encore chuté de 15% aujourd’hui à la Bourse de Francfort, portant à plus de 35% son plongeon cette semaine. La police de Singapour a annoncé aujourd’hui avoir perquisitionné les bureaux de la société à la suite de l’enquête ouverte cette semaine. « Hier, nous avons pris contact avec les autorités et nous nous sommes engagés à coopérer pleinement aux activités de l’enquête », a indiqué Wirecard. Le groupe allemand a toutefois réaffirmé que « les accusations portées contre les employés de Wirecard ne sont pas fondées ».
Wirecard a lourdement rechuté à la Bourse de Francfort jeudi, et clôturait en baisse de 15%, suite à un nouvel article du Financial Times. Sur la base d’un rapport préliminaire et de certains courriers électroniques qu’il a pu examiner, le quotidien indique que des transactions suspectes au sein de la société allemande de paiement électronique auraient été conçues pour éviter que des entités de Wirecard ne ratent des objectifs de profit. Wirecard a démenti. L’action a perdu environ un tiers de sa valeur boursière depuis le premier article du FT la semaine dernière sur des irrégularités financières présumées de la part d’un employé de la société à Singapour. Le groupe et son cabinet d’avocats à Singapour avaient fait savoir lundi qu’ils n’avaient trouvé jusque-là aucune preuve d’inconduite.
Wirecard a lourdement rechuté à la Bourse de Francfort aujourd’hui à la suite d’un nouvel article du Financial Times sur des malversations financières supposées au sein de la société allemande de paiement électronique.
Ingenico a annoncé lundi matin la nomination de Michel-Alain Proch comme directeur financier. Il remplace Nathalie Lomon, qui a décidé de quitter la société en 2018. Michel-Alain Proch occupait auparavant le poste de vice-président exécutif et directeur de la stratégie digitale de l’entreprise de services numériques Atos. Le changement de directeur financier intervient suite à la nomination en novembre dernier de Nicolas Huss au poste de directeur général, à la place de Philippe Lazare.
Ingenico a annoncé lundi matin la nomination de Michel-Alain Proch au poste de directeur financier à compter d’aujourd’hui. Il remplace Nathalie Lomon « qui a décidé de quitter la société en 2018 », a précisé le groupe de terminaux et de services de paiements. Nathalie Lomon s’est engagée à rester jusqu'à la fin du mois de février pour « faciliter la transition ».