Trois semaines après avoir émis sa première obligation en euros en 15 ans, la Chine va revenir sur le marché en dollars, selon Reuters. Elle a mandaté 13 banques. Cette opération est la troisième en deux ans dans cette devise depuis que le pays a relancé son programme d’émissions internationales. La Chine cherche à lever 3 milliards de dollars. C’est le même montant que la précédente émission en dollars l’an dernier. Lors de son retour sur le marché international en 2017, elle avait levé 2 milliards de dollars. Ce devrait être une émission multitranche à 3, 5, 10 et 20 ans. Elle n’est pas notée.
Moody’s veut profiter de la faiblesse des coûts de financement en Europe. L’agence de notation américaine a lancé une émission obligataire en euros, la première dans la monnaie unique depuis environ 5 ans. Les obligations auront une maturité de 10 ans. L’agence de notation suivrait ainsi de nombreux groupes américains venus ces derniers sur le marché de la dette en euros, comme Apple, Harley Davidson ou Abbott. Selon Bloomberg, les sociétés américaines non financières ont émis pour 84,6 milliards d’euros depuis le début de l’année, deux fois plus que le total de 2018.
Moody’s veut profiter de la faiblesse des coûts de financement en Europe. L’agence de notation américaine a lancé une émission obligataire en euros, la première dans la monnaie unique depuis environ 5 ans. Les obligations auront une maturité de 10 ans.
Banca Mediolanum a recruté Alberto Martini en tant que directeur wealth management. L’intéressé vient d’UBS où il a passé 20 ans. Il y était dernièrement head of growth, et était notamment responsable du développement de l’activité en Italie. «L’arrivée d’Alberto Martini nous permettra de donner une accélération à un secteur, celui des grands patrimoines, sur lequel nous investissons beaucoup», affirme Massimo Doris, directeur général de Banca Mediolanum.
Le sujet est sensible. Morgan Stanley comparaissait ce matin devant la commission des sanctions de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour des faits de manipulation de marché sur des obligations souveraines françaises et belges ainsi que sur des contrats futures sur des obligations françaises et allemandes.
L’Agence France Trésor (AFT) a procédé jeudi à l’adjudication de l’OAT 0,00% 25 novembre 2029, une «obligation benchmark» qui avait permis de lever 7,142 milliards d’euros le 3 octobre à -0,24% de rendement, et qui a de nouveau permis de lever 5,185 milliards jeudi matin, avec un rendement de -0,03%. Les adjudications de l’AFT ont également permis d’abonder d’autres souches : OAT 1,25% 25 mai 2034, de 1,182 milliard (sur 25,7 au total) à 0,24% de rendement ; OAT 1,50% 25 mai 2050, de 2,5 milliards (sur 24,3 au total) à 0,79% de rendement ; et OAT 1,75% 25 mai 2066, de 1,135 milliard (sur 11,7 au total) à 0,95% de rendement.
L’Agence France Trésor (AFT) a procédé jeudi matin à l’adjudication de l’OAT 0,00% 25 novembre 2029, une «obligation benchmark» qui avait permis de lever 7,142 milliards d’euros le 3 octobre à -0,24% de rendement, et qui a de nouveau permis de lever 5,185 milliards jeudi matin, avec un rendement de -0,03% alors que les rendements moyens de l’OAT à 10 ans étaient provisoirement repassés en territoire positif mercredi matin. Les adjudications de l’AFT ont également permis d’abonder d’autres souches : OAT 1,25% 25 mai 2034, de 1,182 milliard (sur 25,7 au total) à 0,24% de rendement ; OAT 1,50% 25 mai 2050, de 2,5 milliards (sur 24,3 au total) à 0,79% de rendement ; et OAT 1,75% 25 mai 2066, de 1,135 milliard (sur 11,7 au total) à 0,95% de rendement.