Les immatriculations de voitures neuves en France ont augmenté de 5,8% en décembre en données brutes par rapport au même mois de 2015, a annoncé hier le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Sur le seul mois de décembre, les immatriculations du groupe PSA se sont contractées de 3,5%, avec une progression de 5,0% pour la marque Peugeot mais des replis de 10,8% pour la marque Citroën et de 36,6% pour DS, la nouvelle marque haut de gamme du constructeur. Celles du groupe Renault ont augmenté de 0,6% avec une progression de 2,4% pour la marque éponyme mais un repli de 6,5% pour la marque low cost Dacia. Sur l’ensemble de l’année écoulée, la hausse du marché automobile français ressort à 5,1% en données brutes, avec 2.015.193 immatriculations, précise le CCFA. Le marché automobile français signe ainsi en 2016 une deuxième année consécutive de hausse vigoureuse, après +6,8% en 2015.
La population de la France, départements d’outre-mer compris, continue de progresser et atteignait 65,9 millions d’habitants au 1er janvier 2014, dernier chiffre de l’Insee confirmé par décret publié samedi au Journal officiel. Ce chiffre est l’addition de toutes les «populations municipales», c’est-à -dire des personnes enregistrées comme résidentes habituelles des communes françaises, ainsi que les détenus et les sans-abri recensés dans ces territoires. Selon les évaluations non encore officialisées de l’Institut national de la statistique, elle a continué à croître en 2015 et 2016 pour dépasser les 66,6 millions cette année, chiffre qui ne sera confirmé qu’au 31 décembre 2018. Au 1er janvier 2014, la seule population de France métropolitaine comptait un peu plus de 64 millions d’habitants.
Les prix à la production sur le marché français ont augmenté de 0,8% en novembre, un rythme proche de celui du mois d’octobre qui a été révisé à +0,9% (contre +0,8% en première estimation), montrent les données publiées hier par l’Insee. Sur un an, ils s’inscrivent en repli de 0,2%, contre -0,9% à fin octobre. Le mois dernier, la hausse des prix a été due pour l’essentiel aux produits énergétiques, hors produits pétroliers, ces derniers reculant de 5,4% après deux mois de hausse.
Le patrimoine économique national de la France a rebondi de 1,3% l’an passé après son recul de 1,8% en 2014, pour s'élever à 13.585 milliards d’euros, soit 7,6 fois le produit intérieur net (PIB - consommation de capital fixe) de 2015, selon des données publiées vendredi par l’Insee. Ce patrimoine recense les actifs et passifs des acteurs économiques comptabilisés à leur valeur de marché en fin d’année. Le patrimoine net des seuls ménages a représenté l’an passé 10.692 milliards d’euros, soit huit fois leur revenu disponible net et 2,4% de plus qu’en 2014.
L’Agence France Trésor a confirmé ce jeudi que le pays émettra l’an prochain 185 milliards d’euros de dette à moyen et long terme nets des rachats, un montant stable. Il faudra y ajouter les emprunts à court terme : l’encours de BTF (bons du Trésor à taux fixe et à intérêts précomptés) atteindra 133,9 milliards d’euros à fin 2016, soit une diminution de 18,7 milliards d’euros sur un an, mais il a vocation à rester stable l’an prochain.
Le chômage a encore légèrement reflué en France en octobre après sa baisse record de septembre, revenant à un plus bas de deux ans selon les chiffres publiés hier par le ministère du Travail. Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A a reculé de 0,3% le mois dernier à 3.478.800, soit 11.700 de moins qu'à fin septembre.
Le déficit commercial de la France s’est creusé à 5,2 milliards d’euros en avril en raison d’une reprise plus marquée des importations - notamment dans l’automobile - que des exportations, selon les chiffres publiés hier par les Douanes. Il fait suite à un déficit de mars corrigé à 4,2 milliards d’euros, contre 4,37 milliards en première estimation. Le déficit budgétaire de l’Etat a atteint 56,5 milliards d’euros à fin avril contre 59,8 milliards un an plus tôt, montrent par ailleurs les données publiées par le secrétariat d’Etat au Budget.
Le déficit commercial de la France s’est creusé à 5,2 milliards d’euros en avril en raison d’une reprise plus marquée des importations - notamment dans l’automobile - que des exportations, selon les chiffres publiés mardi par les Douanes. Il fait suite à un déficit de mars corrigé à 4,2 milliards d’euros contre 4,37 milliards en première estimation. Le déficit budgétaire de l’Etat a atteint quant à lui 56,5 milliards d’euros à fin avril contre 59,8 milliards un an plus tôt, selon les données publiées mardi par le secrétariat d’Etat au Budget.
Standard & Poor’s estime que les émissions de ces titres ont progressé de 31% l'an dernier à 13,2 milliards d'euros et devraient rester stables cette année.
L’indicateur de confiance des ménages français publié vendredi a progressé de 4 points au mois de mai pour atteindre 98 points, ce qui correspond à son plus haut niveau depuis octobre 2007, alors que le consensus Reuters tablait sur un indice stable. Si l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée est inchangée pour le quatrième mois consécutif, celle sur leur situation financière future a gagné 4 points. La proportion de ménages estimant qu’il est opportun de faire des achats importants augmente nettement: le solde correspondant gagne 7 points et progresse au-dessus de sa moyenne de long terme.
L’indicateur de confiance des ménages français a progressé de 4 points au mois de mai pour atteindre 98 points, ce qui correspond à son plus haut niveau depuis octobre 2007, alors que le consensus Reuters tablait sur un indice stable. Si l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée est stable pour le quatrième mois consécutif, celle sur leur situation financière future a gagné 4 points. La proportion de ménages estimant qu’il est opportun de faire des achats importants augmente nettement: le solde correspondant gagne 7 points et progresse au-dessus de sa moyenne de long terme.
Le déficit public de la France a baissé plus que prévu en 2015, grâce à une croissance économique plus soutenue, des taux faibles qui ont allégé la charge de la dette, mais aussi à la chute des dépenses d’investissement des collectivités locales (lire par ailleurs). Selon des chiffres publiées vendredi par l’Insee, le déficit s’est élevé à 77,4 milliards d’euros, soit 7,4 milliards de moins qu’en 2014 ; ce montant représente 3,5% du PIB, contre 4% un an plus tôt, alors qu’il avait été prévu à 3,8% à l’origine. Michel Sapin, le ministre des Finances, juge «parfaitement crédible» l’objectif d’un déficit ramené à 3,3% du PIB en 2016. La dette publique 2.096,9 milliards d’euros à fin décembre, soit 95,7% du PIB, contre 95,3% un an plus tôt.
Le déficit public de la France a baissé plus que prévu en 2015 grâce à une croissance économique plus soutenue, des taux bas qui ont allégé la charge de la dette mais aussi à la chute des dépenses d’investissement des collectivités locales. Selon des données publiées ce matin par l’Insee, le déficit s’est élevé à 77,4 milliards d’euros, soit 7,4 milliards de moins qu’en 2014 et l'équivalent 3,5% de la richesse nationale contre 4,0% un an plus tôt, alors qu’il avait été prévu à 3,8% à l’origine. Selon Michel Sapin, le ministre des Finances, il y a «maintenant tous les éléments qui rendent parfaitement crédible» l’objectif d’un déficit ramené à 3,3% du PIB en 2016. La dette publique 2.096,9 milliards d’euros à fin décembre, soit l'équivalent de 95,7% du PIB contre 95,3% un an plus tôt après avoir culminé à 97,8% à la fin du deuxième trimestre.
L’ASF a publié ce jeudi son « tableau de bord » annuel des métiers de financement spécialisés (crédit à la consommation, cautions, crédit-bail et affacturage). « L’activité des établissements de financement spécialisé au cours de l’année 2015 traduit une évolution d’ensemble positive, certains secteurs bénéficiant plus que d’autres de la reprise de la croissance », souligne un communiqué de l’Association des sociétés financières. La production annuelle de crédit-bail immobilier a ainsi augmenté de 2,1%, tandis que celle de l’activité de leasing a accéléré à 5,4%. L’affacturage poursuit par ailleurs sa progression avec une croissance de 9,5%. En hausse de 6,3%, à 36,7 milliards d’euros, la production annuelle de crédits à la consommation confirme son redémarrage grâce au dynamisme de la location avec option d’achat (LOA) dans l’automobile. Le volume de crédits à la consommation demeure néanmoins inférieur de 18% par rapport à son pic de 2007.