Le rythme de croissance de l’intérim, considéré comme un indicateur avancé de la situation générale de l’emploi, s’est stabilisé en France en avril, selon le barème Prism’emploi publié hier. Le mois dernier, le travail temporaire a enregistré une progression de 8,2% par rapport à avril 2015, comme le mois précédent. Tous les grands secteurs ont contribué à alimenter la progression de l’intérim en avril, mais avec une progression globale de 10%, «le secteur tertiaire se situe au-dessus de la tendance des autres grands secteurs», observe Prism’emploi.
Le rythme de croissance de l’emploi intérimaire, considéré comme un indicateur avancé de la situation générale de l’emploi, s’est stabilisé en France en avril, selon le barème Prism’emploi publié aujourd’hui. Le mois dernier, le travail temporaire a enregistré une progression de 8,2% par rapport à avril 2015, comme le mois précédent.
Les opportunités créées par le Brexit et les atouts français en matière de technologie et d’innovation devraient confirmer l'amélioration, selon le baromètre EY.
La production industrielle de la France a rebondi de 2,0% en mars, selon les données publiées hier par l’Insee, contre un consensus de 1%. La seule production manufacturière, qui restait sur trois mois consécutifs de baisse, a rebondi de 2,5%. Sur l’ensemble du premier trimestre, la production industrielle accuse un recul de 0,5% et la production manufacturière se contracte de 0,3%. Les données de février ont été révisées en légère baisse à -1,7% contre -1,6% précédemment.
La confiance des ménages a stagné en France en avril, se maintenant au niveau de sa moyenne de longue période à laquelle elle est ancrée depuis le début de l’année, selon les données publiées hier par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance se maintient pour le quatrième mois consécutif à 100 - son plus haut niveau depuis octobre 2007 - conformément aux attentes du consensus. La proportion de ménages estimant qu’il est opportun de réaliser des achats importants s’inscrit en hausse de trois points et repasse au-dessus de sa moyenne de long terme.
La confiance des ménages a stagné en France en avril, se maintenant au niveau de sa moyenne de longue période à laquelle elle est ancrée depuis le début de l’année, selon les données publiées mercredi par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance se maintient pour le quatrième mois consécutif à 100 - soit son plus haut niveau depuis octobre 2007 - conformément aux attentes des économistes interrogés par Reuters.
L'écart de rendement (spread) entre l’OAT française et le Bund allemand à 10 ans se resserre de plus de 19 pb ce matin après le résultat du premier tour de l'élection présidentielle française qui voit Emmanuel Macron placé en tête devant Marine Le Pen, pour revenir à un niveau d’environ 50 pb. Ce resserrement est à la fois lié à une détente des rendements français de plus de 10 pb à environ 0,85% sur le 10 ans, et à une hausse de 9 pb des rendements allemands de même maturité, à 0,34%.
La cour d’appel de Metz a annulé des prêts souscrits en franc suisse qui laissaient à l’emprunteur la totalité de la charge du risque de change le 6 avril dernier, les remplaçant par des prêts en euros à taux zéro, a annoncé hier le cabinet Dillenschneider Favaro & Associés, qui conseillait plus d’une centaine de clients ayant notamment souscrit ce type de crédits auprès du Crédit Agricole. «Ces arrêts constituent une jurisprudence très favorable à l’emprunteur français, non seulement pour les crédits en franc suisse, mais également pour tous les prêts en devises étrangères», précise le cabinet.
La France gagne légèrement en attractivité auprès des grands investisseurs internationaux malgré les incertitudes liées aux élections présidentielle et législatives à venir, selon une étude publiée hier par le cabinet A.T. Kearney. L’Hexagone s’est hissé cette année au septième rang du classement annuel de l’indice de confiance des investissements directs étrangers, soit sa meilleure performance à ce jour et une place de mieux qu’en 2016. Il gagne neuf places (4e) dans les plans d’investissements des entreprises américaines et neuf places également (5e) dans ceux des entreprises du secteur technologique.
L’Agence France Trésor (AFT) a annoncé ce matin l’adjudication, le jeudi 20 avril, d’un montant compris entre 750 millions et 1,25 milliard d’euros d’obligations assimilables du Trésor (OAT) indexées sur l’inflation en France (OATi) et dans la zone euro (OATei) à échéance 2021, 2025 et 2047.
Le nombre de créations d’entreprises en France a rebondi de 2,4% en mars pour s'établir à 47.518, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées hier par l’Insee. L'évolution du nombre total de créations en février a été confirmée en recul de 1%. En excluant les microentrepreneurs (ex-auto-entrepreneurs), les créations affichent en mars une progression de 2,2%, à 28.690. Au premier trimestre, le rythme de hausse du nombre cumulé de créations en données brutes a accéléré à 6,2%, après +4,2% en février.
Le nombre de créations d’entreprises en France a rebondi de 2,4% en mars pour s'établir à 47.518, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées ce matin par l’Insee. L'évolution du nombre total de créations d’entreprises en février a été confirmé en recul de 1% malgré une révision à la marge du nombre total de créations d’entreprises à 46.403. En excluant les microentrepreneurs (ex-auto-entrepreneurs), les créations d’entreprises affichent en mars une progression de 2,2%, à 28.690. Au premier trimestre, le rythme de hausse du nombre cumulé de créations d’entreprises en données brutes a accéléré par à 6,2%, après +4,2% en février, sous l’effet d’une forte augmentation des différents types d’entreprises.
Le gouvernement italien confirmera sa prévision de 1% de croissance en 2017 et relancera son programme de privatisation la semaine prochaine à l’occasion de la publication d’un nouveau programme budgétaire pluriannuel, a déclaré samedi Enrico Morando, secrétaire d’Etat à l’Economie. S’exprimant lors de l’atelier Ambrosetti à Cernobbio, Morando a ajouté que le gouvernement ferait état à compter de 2018 d’une tendance à la dimunution d’une dette publique qui n’a cessé d’augmenter dix années d’affilée. Cela s’appuierait sur des produits de privatisations représentant cette année 0,3% à 0,4% du PIB, a-t-il précisé. La dette italienne a atteint en 2016 133% du PIB.
Le déficit commercial de la France s’est sensiblement réduit en février par rapport à son niveau record de janvier tout en restant au-dessus de sa moyenne des dernières années du fait notamment d’importations d'énergie élevées, selon les statistiques CVS/CJO publiées vendredi par les Douanes. Il s’est inscrit ainsi à 6,57 milliards d’euros et se compare à un déficit de janvier révisé à 8,06 milliards (7,94 milliards en première estimation). Si l’on excepte le record de janvier, le déficit de février est le plus élevé enregistré sur un mois depuis quatre ans.
La Fédération française du bâtiment (FFB) a confirmé hier s’attendre cette année à une accélération de l’activité en volume, avec une hausse attendue de 3,4% tirée par le neuf, ainsi qu'à un redémarrage de l’emploi avec un solde net attendu de 10.000 postes. En 2016, le bâtiment a enregistré une croissance de 1,9% et vu ses effectifs se stabiliser, après huit années de crise et une contraction de 2,4% des volumes et 35.600 pertes d’emplois en 2015.
Si le nombre de créations d’entreprises en France a reculé de 1% en février à 46.385, le nombre de janvier a été revu à la hausse de 0,4 point à +1,9%, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées hier par l’Insee. Sur les trois mois achevés fin février, en données brutes, le nombre cumulé de créations d’entreprises est en nette progression sur un an (+4,2%): l’augmentation s’est manifestée pour tous les types d’entreprises, qu’il s’agisse des entreprises classiques (+5,8%), ou des immatriculations de micro-entrepreneurs (+2,7%). Mais il affiche un net ralentissement par rapport aux 7,7% observés sur les trois mois à fin janvier.
Si le nombre de créations d’entreprises en France a reculé de 1% en février à 46.385, le nombre de janvier a été revu à la hausse de 0,4 point à +1,9%, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées ce matin par l’Insee. Sur les trois mois achevés fin février, en données brutes, le nombre cumulé de créations d’entreprises est en nette progression par rapport à la même période un an plus tôt à un rythme de +4,2%, mais affiche un net ralentissement par rapport au rythme de +7,7% observé sur les trois mois à fin janvier. La hausse observée sur la période allant de décembre 2016 à février 2017 s’est manifesté pour tous les types d’entreprises, qu’il s’agisse des entreprises classiques (+5,8% des créations de sociétés), ou des immatriculations de micro-entrepreneurs, en augmentation de 2,7%.
La société japonaise Fujitsu a annoncé hier un investissement de plus de 50 millions d’euros sur cinq ans afin de soutenir l’innovation digitale en France, en partenariat avec le gouvernement. Fujitsu va ainsi ouvrir un centre d’excellence au sein de l’incubateur de l’Ecole Polytechnique et mettre en place un programme de recherche commun avec l’Inria sur l’intelligence artificielle.
L’agence Fitch a confirmé vendredi la note souveraine «AA» de la France et la perspective stable qui lui est associée. Fitch a dégradé pour la dernière fois la note de la France en décembre 2014, la faisant passer de AA+ à AA, avec une perspective stable.