Un décret (1) paru au Journal officiel du 29 septembre publie un avenant à une convention fiscale France - Botswana. L’avenant concerne notamment l'échange d’informations entre les deux Etats pour prévenir l'évasion fiscale.
... d’arrêt maladie par an et par agent de la fonction publique correspondent à l’activité annuelle de 240.000 à 250.000 fonctionnaires, et à 12 milliards d’euros de rémunérations brutes chargées, selon un rapport de la Cour des comptes, qui pointe également une hausse de 21 % des jours d’arrêt de travail entre 2014 et 2019.
Le gouvernement français a présenté lundi sa stratégie de sortie du «quoi qu’il en coûte» mis en oeuvre depuis mars 2020 pour soutenir l'économie face aux répercussions de la pandémie de COVID-19. Le soutien de l’Etat sera désormais réservé aux secteurs ou régions toujours soumis à des restrictions sanitaires et connaissant encore des difficultés structurelles.
La confiance des ménages français s’est légèrement détériorée en août, selon l’enquête de conjoncture publiée vendredi par l’Insee. L’indicateur synthétique de confiance des ménages s’est établi à 99 pour le mois d’août, en recul de 1 point par rapport à juillet. A ce niveau, il ressort au-dessous de sa moyenne de longue période, qui se situe à 100. En août, «la part des ménages qui considèrent que le niveau de vie en France va s’améliorer au cours des douze prochains mois est en nette baisse pour le deuxième mois consécutif», a souligné l’Institut dans un communiqué. Le solde correspondant perd 9 points et passe au-dessous de sa moyenne, avec un indicateur synthétique de -34. En revanche, les craintes des ménages concernant l’évolution du chômage se stabilisent. Le solde correspondant se maintient au-dessous de sa moyenne de longue période, avec un indicateur synthétique de 28.
La confiance des ménages français s’est légèrement détériorée en août, selon l’enquête de conjoncture publiée vendredi par l’Insee. L’indicateur synthétique de confiance des ménages s’est établi à 99 pour le mois d’août, en recul de 1 point par rapport à juillet. A ce niveau, il ressort au-dessous de sa moyenne de longue période, qui se situe à 100.
Les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière prévoyaient en juillet une hausse de 10% de leurs investissements en 2021 par rapport à 2020, selon l’enquête trimestrielle publiée jeudi par l’Insee. «L’investissement en 2021 serait très dynamique dans la fabrication de biens d’équipement mais reculerait de nouveau dans le secteur automobile», a précisé l’institut de conjoncture. Les industriels ont par ailleurs estimé la chute de leurs investissements pour l’année 2020 à 9%, contre une précédente estimation pour cette même année de 12% dans l’enquête d’avril de l’Insee.
La Banque de France pourrait relever sa prévision de croissance économique pour 2021, actuellement à 5,75%, lors de la révision de ses estimations le mois prochain, a déclaré jeudi le gouverneur de l’institution, François Villeroy de Galhau. L’impact de la diffusion du variant Delta du coronavirus sera limité en Europe et se fera ressentir indirectement via le ralentissement de l’activité économique en Asie et aux Etats-Unis, a indiqué le banquier central lors d’une intervention à la Rencontre des entrepreneurs de France, organisée par le Medef. Les difficultés dans les chaînes d’approvisionnement porteront toutefois l’inflation à un niveau plus élevé que prévu à court terme bien que la Banque centrale européenne estime toujours que la hausse des prix sera temporaire. Les problèmes de recrutement seront un défi plus durable, que François Villeroy de Galhau a décrit comme le principal facteur freinant la croissance économique française.
Les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière prévoyaient en juillet une hausse de 10% de leurs investissements en 2021 par rapport à 2020, selon l’enquête trimestrielle publiée jeudi par l’Insee.
La Banque de France pourrait relever sa prévision de croissance économique pour 2021, actuellement à 5,75%, lors de la révision de ses estimations le mois prochain, a déclaré jeudi le gouverneur de l’institution, François Villeroy de Galhau. L’impact de la diffusion du variant Delta du coronavirus sera limité en Europe et se fera ressentir indirectement via le ralentissement de l’activité économique en Asie et aux Etats-Unis, a indiqué le banquier central lors d’une intervention à la Rencontre des entrepreneurs de France organisée par le Medef.
La Banque de France s’inquiète des difficultés de recrutement des entreprises qui semblent constituer aujourd’hui la principale menace à la reprise économique en France, a estimé jeudi son gouverneur sur Franceinfo. La banque centrale prévoit toujours +5,75% de croissance pour 2021 (le gouvernement +6%) et s’inquiète moins du variant Delta du coronavirus ou des difficultés d’approvisionnement (temporaires) que de l’offre d’emploi : «Les entreprises que nous interrogeons déclarent à la Banque de France pour 44% d’entre elles avoir déjà des difficultés de recrutement, alors qu’on est au tout début de cette reprise. La principale difficulté française, c’est l’insuffisance de l’offre de travail disponible : il n’y a pas de réforme plus essentielle dans notre pays que celle qui augmente cette offre de travail en quantité et en qualité», a déclaré François Villeroy de Galhau, évoquant les problèmes de formation, d’incitation et de sous-emploi des jeunes et des seniors.
La dette publique française a atteint un niveau record, à 118,2% du PIB ou 2.739 milliards d’euros en valeur à la fin du premier trimestre, indique une note publiée par l’Insee ce vendredi. La progression est certes moins importante qu’en début de crise, puisqu’elle était passé de 97,6% du PIB (2.379 milliards) fin 2019 à 115,1% (2.650 milliards) fin 2020, mais elle reste soutenue. Le plan de relance alourdit également la note. Après avoir baissé de 23,7 milliards d’euros au quatrième trimestre 2020, la dette publique en France «augmente nettement» de 89 milliards au premier trimestre 2021, précise l’Insee. Mais du fait de la constitution de trésorerie, principalement par l’Etat et la sécurité sociale (Acoss), la dette publique nette augmente de seulement 48,3 milliards.
La dette publique française a atteint un niveau record, à 118,2% du PIB ou 2.739 milliards d’euros en valeur à la fin du premier trimestre, indique une note publiée par l’Insee ce vendredi.
Même si l’activité rebondit sensiblement en 2021, la crise du Covid-19 aura un impact durable sur l’économie et les finances publiques de la France, rappelle le rapport annuel de la Cour des comptes sur le sujet. Comme elle l’a souligné dans son rapport au Premier ministre sur la stratégie de finances publiques pour la sortie de crise, l’institution présidée par Pierre Moscovici estime «nécessaire de renforcer le niveau de la croissance économique potentielle et de fixer le rythme de progression des dépenses conduisant à une réduction du déficit public suffisante pour permettre une décrue de l’endettement public au plus tard à compter de 2027».
Rétablissement. La Banque de France a sensiblement revu à la hausse ses prévisions de croissance. Dans ses nouvelles prévisions, présentées le 14 juin, elle table désormais sur un PIB en progression de 5,8 % en 2021, contre 5,5 % dans sa précédente estimation publiée en mars. La France se situerait ainsi bien au-dessus de la moyenne de la zone euro (4,6 %) et retrouverait son niveau d’activité pré-crise au cours du premier trimestre 2022.