Après Francfort (lire notre article du 14 décembre), db x-trackers fait coter sur le London Stock Exchange (LSE) son Global Fund Supporters ETF, qui réplique le Dow Jones Global Fund 50 Index to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria. Il s’agit d’un produit à réplication physique alors que, d’habitude, db x-trackers commercialise des fonds à réplication synthétique. Le TFE ressort à 0,25 %.L’indice Dow Jones Global Fund 50, qui sert de sous-jacent au fonds, réplique l'évolution des 50 plus grandes capitalisations qui soutiennent le Global Fund, une institution multilatérale qui finance la prévention et le traitement de la tuberculose, de la malaria et du VIH. Le Global Fund a déjà promis des investissements de plus de 21 milliards de dollars dans 144 pays. Les recettes de commission de gestion tirées de l’ETF par db x-trackers, après frais, seront directement affectées au Global Fund.
S’il conserve le même gérant, James Smith, l’Ignis International Emerging Markets Fund (71,1 millions de livres) s’appelle depuis le 21 mars Ignis International Emerging Markets Select Value Fund et la politique d’investissement a été modifiée, indique Fund Web. Il est désormais imposé à James Smith d’utiliser pour la couverture des futures sur au moins huit indices différents. De plus, le gérant est autorisé à investir au maximum 10 % de l’encours en ETF et en valeurs «non approuvées»
Si les trois quarts des actionnaires approuvent cette proposition lors de l’assemblée générale extraordinaire du 30 mars, François Zagame abandonnera la gestion de le Skandia Equity Income Fund (66 millions de livres), un fonds de fonds axé sur les valeurs britanniques, au profit d’O’Shaughnessy Asset Management, qui aura pour mission de transformer le produit en un fonds de fonds allant capter les dividendes élevés partout dans le monde. Le fonds changerait alors de nom au 31 mars pour devenir le Skandia Global Equity Income.
BlackRock renforce sa gamme de fonds actions avec le lancement de trois nouvelles stratégies. Les BlackRock Global Income, Continental European Income et World Resources Income funds seront ouverts aux investisseurs à compter du 31 mars.Le Global Income sera cogéré par Stuart Reeve et Richard Turnill et comprendra 50 à 70 grandes capitalisations pour un rendement supérieur à 1,5 fois le dividende sur une base annuelle de l’indice MSCI All Countries World. Le Continental Europe Income sera cogéré par Andreas Zoellinger et Alice Gaskell et comprendra 40 à 70 titres avec pour un objectif un rendement moyen d’au moins 110% de la performance moyenne de l’indice FTSE World Europe hors Royaume-Uni. Le fonds dédié aux ressources sera piloté par un trio, Richard davis, Joshua Freedman et Tom Holl. Doté de 60 à 90 valeurs, il vise un rendement supérieur à 150% de la performance de l’indice S&P Natural Resources.
Groupama Epargne Salariale et Groupama Asset Management ont annoncé, jeudi 24 mars, que la gamme Groupama Epargne Responsable, labellisée par le Comité Intersyndical de l’Épargne Salariale, évolue pour devenir l’offre principale proposée par Groupama Epargne Salariale aux entreprises et aux épargnants. La gamme en question qui représente 280 millions d’encours se compose de 6 FCPE gérés selon des critères d’analyse financière et extra-financière en conformité avec les processus de gestion ISR «best in class» Actions et Taux de Groupama Asset Management, indique un communiqué.
L’an dernier, 1.685 entreprises ont été accompagnées par des capital-investisseurs pour un montant total de 6,6 milliards d’euros investis, soit une progression de 61% du montant global investi et de 15% du nombre d’entreprises, selon l'étude annuelle réalisée par l’Association française des investisseurs en capital (Afic) en partenariat avec Grant Thornton sur l’activité des acteurs français en 2010. Jamais encore, le capital-investissements hexagonal n’a accompagné autant d’entreprises, souligne l’Afic dans un communiqué, dépassant même le nombre record de 1.595 entreprises accompagnées en 2008."Nous sommes dans une année de sortie de crise, avec des résultats globalement positifs, mais il reste des points de difficulté, notamment le capital risque», a estimé le 24 mars à l’occasion d’un point de presse le président de l’Afic, Hervé Schricke,. La reprise de l’activité a été notamment tirée par le capital-développement, avec 2,3 milliards d’euros investis dans 916 entreprises, soit une hausse de 28,5% des montants et de 17,6% du nombre d’entreprises par rapport à 2009. Le capital-transmission revient pour sa part à des montants significatifs, à plus de 3,5 milliards d’euros (x2,2 par rapport à 2009) dans 264 entreprises (+14,3%) Le capital-risque enregistre de son côté une augmentation de seulement 3,1% des montants investis à 605 millions d’euros, 458 start-ups françaises (+14,7%) ayant eu aunsu accès aux fonds propres indispensables à leur essor. Les chiffres 2010 montrent aussi que le poids des fonds levés auprès des particuliers (FCPI et FIP) est particulièrement élevé dans le financement de l’innovation (48%) et des PME régionales (26%). Les épargnants et les family offices figurent au premier rang des souscripteurs du capital-investissement (1,38 milliard d’euros), devant le secteur public (982 millions d’euros) et les fonds de fonds (872 millions d’euros), notamment internationaux. L'étude confirme en revanche le désengagement des banques et des entreprises d’assurances, leur présence étant divisée par un facteur de 5 à 6 par rapport à 2008 en raison des contraintes réglementaires à venir (Bâle III et Solvabilité II).
Sigma Gestion a annoncé, vendredi 25 mars, le lancement du FIP Convergence Fortuna 5.0, un fonds d’investissement de proximité composé majoritairement d’Obligations Convertibles en Actions (OCA) de PME françaises - le solde se réalisant en augmentation de capital de PME cotées. Le FIP, précise un communiqué, favorisera des sociétés en développement déjà financées par Sigma Gestion avec pour caractéristiques principales : - Business model éprouvé avec des flux de trésorerie positifs et récurrents - Chiffre d’affaires entre 2 et 40 millions d’euros- Secteurs diversifiés et complémentaires (industrie, services, distribution spécialisée, E-business, logiciel,…) -R égions Ile-de-France, Bourgogne, Rhône-Alpes. La durée d’investissement est prévue sur une durée d’investissement de 5 ans.
Partant du constat que les fonds ont tendance à surperformer au cours des premières années de leur existence, Barclays Wealth Managers France a créé le 21 décembre 2007 Barclays Alphastars Discovery, un fonds investi sur les nouveaux fonds de sociétés entrepreneuriales.Lancé à un moment difficile où les investisseurs se détournaient des actions, le produit n’a pas trouvé son public et a été mis de côté par les équipes commerciales. Face à l’amélioration de la conjoncture, Barclays Wealth Managers cherche aujourd’hui à le remettre sur le devant de la scène, d’autant que le fonds affiche désormais un historique de performance de trois ans. Son encours, de 21 millions d’euros, a vocation à être doublé, selon Alain Zeitouni, directeur de la multigestion de Barclays Wealth Managers France, tandis que Jean-Marie Feron, qui s’occupe du développement commercial, estime qu’il est possible d’aller plus loin. Barclays Alphastars Discovery se compose actuellement de 15 fonds long only investis sur la zone euro qui viennent d’être lancés par de nouvelles sociétés de gestion françaises ou européennes. Ces sous-jacents ont forcément moins de 24 mois d’existence, puisque au terme de cette période, l’équipe de multigestion qui pilote le portefeuille s’oblige à sortir (même si cela se fait progressivement). Cela l’oblige à toujours aller chercher de nouvelles idées. Bien sûr, les gérants peuvent liquider une position avant cette échéance si la performance n’est pas au rendez-vous ou bien si le fonds ne répond plus aux objectifs en termes d’allocation d’actifs.Dressant le bilan de ces trois premières années d’existence de Barclays Alphastars Discovery, Alain Zeitouni estime que le plus difficile a été le « sourcing » de nouveaux gérants. En effet, en rythme normal, une cinquantaine de nouvelles sociétés de gestion sont lancées chaque année en France sur les quinze dernières années. Sur ce total, seule une partie concerne des fonds long only zone euro. Or, en 2009, au lieu de 50 nouvelles sociétés, ce sont seulement 25 sociétés qui ont été créées, ce qui a réduit l’univers d’investissement. Heureusement, l’équipe de multigestion a pu aussi compter sur les apports des analystes basés au Royaume-Uni et en Allemagne. Parmi les fonds en portefeuille, Barclays Wealth Managers France détient des fonds de Fidecum, une société allemande, Talence Gestion, Montaigne Capital et Pléiade Asset Management.
Selon Expansión, la Royal Bank of Scotland (RBS) a entamé le processus de cession de son portefeuille de crédits «non stratégiques» en Espagne en vendant pour 286 millions d’euros des prêts accordés au plus fort de la bulle à des promoteurs immobiliers au fonds opportuniste Perella Weinberg Real Estate Fund pour un montant non divulgué, mais probablement avec une très forte ristourne. RBS cherche encore des acquéreurs pour quelque 700 millions d’euros de prêts
L’assureur Mapfre Vida a lancé mercredi le Fondmapfre Garantizado 1104, avec échéance au 4 mai 2015. Le capital est garanti à 100 % et la rémunération dépendra de la performance de l’EuroStoxx 50. Des fenêtres semestrielles de liquidité sont prévues à partir de la deuxième année.
Trois gestionnaires étrangers ont récemment obtenu des agréments de commercialisation en Espagne pour certains de leur OPCVM. Il s’agit des fonds Axa IM Euro Moderato (*) distribué par Axa Ibercapital et Mirabaud Active Allocation (**) distribué par Mirabaud Finanzas.Pour sa part, Pimco (groupe Allianz Global Investors) a fait enregistrer le Pimco Emerging Asia Bond Fund, le Pimco Emerging Markets and Infrastructure Bond Fund et PIMCO Global Advantage Fund, ce dernier répliquant l’indice fondamental GLADI (Global Advantage Index), qui a été développé en interne. (*) classe E, FR0010950055 et classe I, FR0010950063 (**) classe A, LU0562891944 et classe I, LU0562892165)
Partners Group a annoncé le 23 mars la finalisation de son programme d’investissement «Global Infrastructure 2009", avec un montant de 500 millions d’euros, soit le haut de l’objectif visé. Les investisseurs sont des caisses de pension publiques et privées, des assureurs, des institutions financières et des personnes privées, indique le groupe dans un communiqué.A fin 2010, 17 placements avaient été réalisés dans le cadre du programme, notamment dans le terminal australien d’exportation de charbon de Newcastle Coal Infrastructure Group ou encore dans les installations solaires italiennes de Rovigo. Des investissements ont également été effectués en Grande-Bretagne, en Inde, aux Pays-Bas, en France, en Suède et au Brésil. Les placements sont diversifiés, que ce soit par secteur d’activité, phase de financement ou encore type d’investissement, précise le communiqué.
Swiss & Global Asset Management, la société de gestion fournisseur des fonds Julius Baer, lance, en collaboration avec Swiss Hedge Capital, le fonds Swiss Hedge Trading Fund. Il s’agit du premier hedge fund «single manager» domicilié en Suisse et régulé par l’autorité de surveillance des marchés financiers (FINMA), selon Swiss & Global AM."Lancer un hedge fund dans un environnement onshore est une nouveauté en Suisse. Cette démarche reflète la tendance en faveur d’une transparence et d’une régulation accrue dans le sens de la protection des investisseurs. Nous estimons que ce domaine recèle encore un important potentiel de marché pour les années à venir», commente Reto Barbarits, chef de projet pour le Swiss Hedge Trading Fund auprès de Swiss & Global Asset Management. Swiss Hedge Trading Fund est un fonds long/short en actions qui suit une stratégie active de trading. Il se concentre sur les thèmes actuels de marché ainsi que sur les grandes tendances boursières. La majeure partie de ses investissements intervient dans des valeurs standards européennes. Swiss & Global Asset Management administre le fonds tandis que Swiss Hedge Capital est responsable de sa gestion.
Durant la semaine qui a suivi la catastrophe japonaise du 11 mars, les ETF sur les actions japonaises ont enregistré une collecte nette de 1,2 milliard de dollars, le plus gros montant jamais observé, selon les données relevées par TrimTabs Investment Research.Dans un premier temps, les investisseurs se sont délestés de leurs actions, pressés de prendre leurs bénéfices à l’issue d’un rally de trois mois. Mais les acheteurs se sont manifestés presque immédiatement dans la foulée compte tenu des valorisations très basses. Sur l’ensemble du mois de mars, la collecte nette pourrait dépasser la barre des 1,5 milliard de dollars, soit un montant supérieur au précédent record mensuel de 1,1 milliard de dollars enregistré en novembre 2005.
Aux Etats-Unis, on dénombre 7.500 fonds pour un encours sous gestion de 6.000 milliards d’euros d’encours. Soit une moyenne par fonds de 806 millions d’euros, selon les statistiques de Lipper. En Europe, ce ne sont pas moins de 26.000 fonds que l’on comptabilise pour un encours total de 3.600 milliards d’euros. Ainsi, un fonds européen pèse en moyenne seulement 137 millions d’euros ! Ce vivier, dont on prédit année après année la réduction sans succès, n’est pas encore près de diminuer. Hormis en 2009, le nombre de lancements de fonds en Europe est chaque année plus important que le nombre de fermetures ou de fusions. «La directive Ucits n’a pas conduit à une rationalisation des gammes», constate Dunny Moonesawmy, directeur de la recherche Europe de l’Ouest, Moyen-Orient et Afrique, qui s’exprimait à l’occasion d’une conférence organisée mercredi par FitchRatings. Pour lui, l’Europe demeure un marché très fragmenté par rapport à celui des Etats-Unis et il reste difficile de commercialiser un fonds de droit français dans d’autres pays. De plus, les besoins des investisseurs divergent en fonction de leurs pays d’origine. Parallèlement, l’innovation continue d’être très forte en matière de gestion d’actifs, avec des produits de niche censés répondre à une demande sans cesse mouvante. La prolifération s’explique aussi par le fait que la barrière à l’entrée pour les nouvelles sociétés de gestion est très basse, note Dunny Moonesawmy. Mais sur ce total de 26.000 fonds, très peu collectent. Par exemple, en 2010, 70 % des 5.000 fonds actions commercialisés en Europe ont drainé uniquement 10 % de la collecte. Inversement, une cinquantaine de fonds a capté 50 milliards d’euros, témoignant d’une véritable concentration des flux sur certains fonds, classes d’actifs, sociétés de gestion…Néanmoins, pour Dunny Moonesawmy, compte tenu du nombre croissant de gérants qui se retrouvent sans emploi et qui veulent lancer leurs sociétés, la rationalisation du secteur des fonds, dont on parle depuis une bonne dizaine d’années, n’est pas pour demain.
JP Morgan annonce avoir été mandaté par Invesco PowerShares pour proposer 17 de ses ETF enregistrés aux Etats-Unis sur la Bourse de Mexico, la Bolsa Mexicana de Valores. Les ETF seront cotés en pesos mexicain. Il s’agit des ETF suivants :• PowerShares MENA Frontier Countries Portfolio • PowerShares VRDO Tax-Free Weekly Portfolio • PowerShares Build America Bond Portfolio• PowerShares Insured National Municipal Bond Portfolio • PowerShares International Dividend Achievers™ Portfolio • PowerShares Fundamental High Yield® Corporate Bond Portfolio • PowerShares DWA Emerging Markets Technical Leaders Portfolio • PowerShares DWA Technical Leaders Portfolio • PowerShares 1-30 Laddered Treasury Portfolio • PowerShares Dividend Achievers™ Portfolio • PowerShares CEF Income Composite Portfolio • PowerShares High Yield Equity Dividend Achievers™ Portfolio • PowerShares DWA Developed Markets Technical Leaders Portfolio • PowerShares Zacks Micro Cap Portfolio • PowerShares Emerging Markets Sovereign Debt Portfolio • PowerShares Dynamic Large Cap Value Portfolio • PowerShares S&P 500 High Quality Portfolio
Amundi a lancé une Sicav monétaire, Amundi Money Market Fund Short Term (EUR), rapporte Citywire. Son objectif est de surperformer l’Eonia. La société de gestion prévoit aussi de lancer un compartiment en dollar dans les prochains mois et pourrait aussi lancer un fonds en livres sterling.
Selon Le Figaro, certains assureurs réfléchissent à apporter des retouches à leurs contrats d’assurance-vie. Pour tenir compte des changements induits par Solvabilité II, les assureurs qui offrent encore des taux minimums garantis sur huit ans, par exemple, songent à abandonner cette pratique. «Même si le taux promis est faible, autour de 2,5%, c’est une garantie supplémentaire qui accroît encore les exigences de fonds propres pour l’assureur», note Cyrille Chartier-Kastler, président de Facts & Figures. D’autres pistes sont évoquées comme changer la souplesse des nouveaux contrats (via la mise en place de pénalités de retrait anticipé par exemple), ou l’ajustement des frais. Les capitaux placés sur les supports en euros exigent plus de fonds propres que les unités de compte. Or, aujourd’hui, paradoxalement, les frais de gestion sont beaucoup plus faibles sur les premiers que sur les secondes, constate le quotidien. «Cette situation ne sera bientôt plus tenable pour les assureurs», souligne Cyrille Chartier-Kastler, qui prédit un renchérissement des frais de gestion des supports en euros, et une diminution de ceux appliqués aux autres supports. Quelques rares établissements se sont déjà engagés dans cette voie, comme HSBC, note Le Figaro.
Selon les dernières données de la FFSA (fédération française des sociétés d’assurances) pour le mois de février, les souscriptions enregistrées depuis le début de l’année s'élèvent à 23,9 milliards d’euros (-12 %). Il s’agit du troisième mois consécutif de recul, du jamais vu depuis deux ans.Les versements sur les unités de compte sont certes en légère hausse, de 1 %, à 3,7 milliards d’euros. Mais la collecte des supports en euros s’affiche en baisse de 14 % avec 20,2 milliards d’euros en février.La collecte nette de 2,9 milliards s'établit au total en très forte baisse par rapport à février 2010, à -41 %. L’encours des contrats d’assurance-vie ressort fin février à 1.351 milliards d’euros (+7 % sur un an).
NewAlpha Asset Management a annoncé le 23 mars avoir achevé un premier tour de table de 105 millions d’euros levés pour le fonds NewAlpha Genesis 4 auprès d’une dizaine d’investisseurs institutionnels. Le fonds, dont l’objectif final de collecte est fixé à 150 millions d’euros, pourra accepter des souscriptions supplémentaires jusqu'à fin juillet 2011.Le fonds a pour vocation d’investir dans des stratégies alternatives diversifiées issues de sociétés de gestion en phase de lancement ou de développement. Selon Hedge Fund Research, les gérants de moins de deux ans affichent une performance supérieure à l’ensemble de l’univers. Cette surperformance annuelle moyenne est de 6,3 % sur la période 1995-2009. L'équipe d’Analyse/Recherche de NewAlpha Asset Management, qui a traité plus de 300 propositions d’incubation en 2010, a déjà identifié, sélectionné et entamé des négociations avec plusieurs gérants présentant des caractéristiques attractives, tant en termes de performance future que de croissance de l’activité. NewAlpha Genesis 4 devrait réaliser ses premiers investissements avant la fin du premier semestre 2011. NewAlpha Genesis 4 a pour objectif d’offrir une performance annuelle comprise entre 8 et 12 % sur un horizon d’investissement de 3 ans minimum.