Amundi continue d’innover sur le marché européen des ETF avec le lancement d’Amundi ETF Floating Rate USD Corporate Ucits ETF. Cet ETF unique a été listé sur Euronext Paris et sera bientôt disponible sur les principales Bourses européennes.Amundi ETF Floating Rate USD Corporate Ucits ETF (code ISIN : FR0012647451) a pour indice de référence l’indice Markit iBoxx USD Liquid FRN Investment Grade Corporates 100 (Total Return, i.e. coupons réinvestis). Celui-ci offre un accès au marché des obligations à taux variables (ou FRN – «Floating Rate Notes») libellées en USD, pour s’exposer à une sélection de 40 à 100 valeurs les plus liquides, émises par des sociétés privées de pays développés. Sa méthodologie inclut notamment un filtre de liquidité, prenant en compte les volumes échangés et le nombre de transactions, pour retenir les obligations les plus liquides. L’indice est revu tous les mois, le poids total de chaque émetteur étant limité à 5 %. Avec des taux d’intérêt à des plus bas historiques, les obligations à taux variables permettent de réduire l’exposition d’un portefeuille aux mouvements de taux d’intérêt: elles se caractérisent en effet par une faible sensibilité prix aux fluctuations des taux du marché puisque le montant de leurs coupons en suit l’évolution. Tout particulièrement, leur rendement évolue dans le même sens que le mouvement des taux. Le premier ETF européen offrant une exposition aux obligations à taux variables libellées en EUR dont la maturité résiduelle est comprise entre 1 et 3 ans a été listé par Amundi ETF en septembre 2014 sur Euronext Paris. Cette nouvelle exposition aux obligations US, proposée avec un TER de 0,18%, démontre l’engagement d’Amundi à fournir aux investisseurs une boîte à outils complète de solutions d’investissement, souligne un communiqué.
Invesco PowerShares Capital Management lance sur NYSE Arca six ETF basés sur les indices Russell Pure Style, une nouvelle série d’indices smart beta introduits par le FTSE Russell.La gamme se compose de trois ETF « value » et de trois ETF « croissance », avec dans chaque catégorie un produit pour chaque taille de capitalisation.La catégorie value se compose ainsi du PowerShares Russell Top 200 Pure Value Portfolio, du PowerShares Russell Midcap Pure Value Portfolio et du PowerShares Russell 2000 Pure Value Portfolio, tandis que la catégorie croissance inclut le PowerShares Russell Top 200 Pure Growth Portfolio, le PowerShares Russell Midcap Pure Growth Portfolio et le PowerShares Russell 2000 Pure Growth Portfolio.« Les ETF peuvent être utilisés comme des outils tactiques pour ajuster une allocation de style existante en fonction des dynamiques du marché. Contrairement aux indices de style traditionnels qui pondèrent leurs composants en se fondant sur la capitalisation boursière, la méthodologie des indices Russell Pure Style pondère les constituants de l’indice en se basant sur leurs caractéristiques de style relatives, fournissant une plus grande précision de style et éliminant les chevauchements entre les valeurs croissance et value inhérents à la méthodologie traditionnelle », explique un communiqué diffusé mercredi aux Etats-Unis.
Le groupe Carlyle a annoncé mercredi 27 mai une levée de 656 millions d’euros pour son dernier fonds Carlyle Europe Technology Partners (CETP). La majorité des investisseurs sont basés en Europe et aux Etats-Unis. Le premier focus d’investissement portera sur les télécommunications européennes émergentes, les médias, les sociétés technologiques ainsi que d’autres entreprises proposant des opportunités de croissance à travers des innovations sans précédent dans les domaines de la technologie et de la propriété intellectuelle.La moitié des investisseurs dans ce nouveau fonds dont la levée a commencé en mai 2014 avaient investi dans le précédent, CETP II, clôturé à 522 millions d’euros en 2008.
Les fonds ouverts commercialisés en Italie ont enregistré en avril des souscriptions nettes de 11,6 milliards d’euros, ce qui porte à plus de 50 milliards d’euros la collecte depuis le début de l’année, montrent les derniers chiffres de l’association italienne des professionnels de la gestion Assogestioni. En quatre mois, les fonds italiens réalisent ainsi plus de la moitié de la collecte de l’ensemble de 2014 (91,4 milliards d’euros) qui avait été la deuxième meilleure année de l’histoire des fonds depuis 1998.La collecte d’avril a été portée par les fonds flexibles, qui laissent carte blanche au gérant, avec près de 5,6 milliards d’euros levés, soit un peu moins que les 6,9 milliards d’euros de mars. Les fonds obligataires, avec quasiment 4,6 milliards d’euros de flux entrants, et les fonds diversifiés, avec près de 2 milliards d’euros, ne sont pas en reste. En revanche, les fonds actions plongent dans le rouge, avec des rachats nets de 299 millions d’euros, contre +2,3 milliards d’euros collectés en mars.Depuis le début de l’année, ce sont les fonds flexibles qui affichent la plus forte collecte, avec plus de 20,9 milliards d’euros, suivis par les fonds obligataires (16,7 milliards d’euros), les fonds diversifiés (8,4 milliards) et les fonds actions (4,9 milliards d’euros). En prenant en compte les fonds fermés et les gestions sous mandat, le secteur italien de la gestion d’actifs affiche en avril des souscriptions nettes de 15,8 milliards d’euros, soit 71,2 milliards d’euros depuis le début de l’année. Enfin, Intesa Sanpaolo continue de dominer le classement des sociétés de gestion ayant le plus collecté en avril, avec 6,7 milliards d’euros levés, dont 5 milliards d’euros relatifs à sa filiale de gestion d’actifs Eurizon Capital. Suivent deux autres géants italiens : Generali avec 1,3 milliard d’euroe et Pioneer Investments (groupe UniCredit) avec près de 1,2 milliard d’euros. Parmi les groupes étrangers s’illustre Deutsche Asset and Wealth Management qui collecte 1,1 milliard d’euros. La société du groupe Deutsche Bank est suivie par Invesco (773 millions d’euros). Franklin Templeton, qui voit sortir 548 millions d’euros, reste tout de même le principal acteur étranger en Italie avec des encours de 26,3 milliards d’euros, talonné par JP Morgan Asset Management qui a vu fin avril ses encours bondir à 24 milliards d’euros.
Lofoten Asset Management, qui joue le rôle d’investment adviser auprès du fonds, a annoncé l’arrivée de deux nouvelles recrues pour le EI Sturdza Strategic Europe Value Fund en raison de l’intérêt de la clientèle pour cette stratégie d’investissement. Steven Bowen rejoint l'équipe en qualité d’analyste senior et de gérant de portefeuille tandis que Heidi Kruitwagen est recrutée comme spécialiste produits. Les actifs du fonds s'élèvent à 463 millions d’euros à fin avril et affichent une progression de 86% depuis le début de l’année. Depuis son lancement en octobre 2010, le fonds a dégagé un rendement 100,8% à fin avril. Steven Bowen a plus de 20 ans d’expérience dans le secteur financier, dont huit années passes chez Franklin Templeton. Heidi Kruitwagen travaillait précédemment chez UBS en tant que conseiller client senior.
CheBanca!, la banque retail du groupe italien Mediobanca, lance sa première gamme de fonds, les Yellow Funds, conçus en partenariat avec BlackRock et Duemme SGR. BlackRock gérera notamment trois stratégies de gestion de la volatilité au sein de cette Sicav. « Les Yellow Funds répondent à la demande croissante pour des solutions de protection du patrimoine et l’intégration du revenu en conjuguant rendements intéressants et composante de risque calculé », indique un communiqué. Lancé en janvier 2014, le pôle gestion d’actifs de CheBanca! a enregistré une collecte nette de plus de 1,8 milliard d’euros en un peu plus d’un an. Il propose plus de 1.000 fonds.
Les fonds qui utilisent des options dans leur gestion de portefeuille affichent de meilleures performances que les fonds traditionnels, selon une étude publiée par le Chicago Board Options Exchange (CBOE). L'étude s’est concentrée sur l’analyse des sociétés d’investissement régulées par la SEC, mutual funds, ETF et CEF (fonds fermés), qui utilisent des options cotées dans leurs gestion de portefeuille.Les fonds utilisant des options sont passés d’une dizaine en 2000 à 119 l’an dernier. L'étude a retenu les trois quarts d’entre elles, celles qui ont utilisé des options sur des indices d’actions américaines et/ou des options sur actions durant la période courant de l’an 2000 à 2014. Ces fonds affichent des rendements ajustés du risque, mesurés par le ratio de Sharpe ou le ratio de Sortino, supérieurs à ceux des indices S&P 500 et S&P GSCI.Autre enseignement, les fonds utilisant des options affichent une volatilité et des pertes maximales inférieures à celles observées sur les indices S&P 500 et S&P GSCI.
BNP Paribas a annoncé mardi 26 mai qu’elle ouvrait son Fonds Urgence & Développement à ses clients particuliers en France et doublait leurs dons, dans la limite d’un plafond d’un million d’euros par an, aux 3 ONG avec lesquelles ce fonds a noué un partenariat dès sa création en 2012 : CARE,Croix-Rouge française et Médecins Sans Frontières. Jusqu’alors réservé aux collaborateurs de BNP Paribas dans le monde et aux retraités de la Banque en France, ce fonds est un outil pionnier en matière de solidarité : à ce jour, chaque don de collaborateur a été doublé par BNP Paribas, avant d'être reversé aux 3 ONG partenaires. Au total, ce fonds a permis de collecter 1,5 million d’euros au profit de ces associations depuis son ouverture en 2012, répondant ainsi à des besoins humanitaires, par exemple lors des catastrophes naturelles qui ont touché les Philippines, les Balkans, et plus récemment le Népal.
Axa Investment Managers vient de lancer un fonds de crédit européen qui répond à la demande de la clientèle à la recherche d’une stratégie smart beta libellée en euro. Le fonds AXA WF Euro SmartBeta Credit Bonds est spécialement conçu pour des investisseurs institutionnels recherchant une exposition limitée aux marchés de crédit européens. Le fonds fonctionne selon une approche «buy and maintain» qui vise à préserver le capital tout en évitant les pertes de crédit et en réduisant les coûts de transaction. Le fonds investit principalement dans des obligations d’entreprises de qualité « investment grade » libellées en euros très diversifiées en termes d’émetteurs, de secteurs et géographies. L’équipe procède à une analyse rigoureuse des émetteurs afin d’éviter les pertes de crédit, tout en surveillant en permanence le portefeuille afin de s’assurer qu’il respecte le profil risque-rentabilité souhaité. La construction d’un portefeuille Smart impose de faire en sorte que 8 à 10% de ses actifs arrivent à échéance chaque année. Cette situation apporte une certaine souplesse qui permet de profiter des nouvelles opportunités offertes par le marché et de renouveler les positions du fonds sans induire des coûts de transaction élevés liés au manque actuel de liquidité du marché. Le gérant peut investir un montant limité en obligations d’entreprises non libellées en euro afin d’améliorer la diversification et de tirer profit des gains de taux de change, mais le risque devise et de duration sont couverts.Le fonds sera géré par Damien Maisonniac, qui a cogéré le AXA WF Global SmartBeta Credit Bonds fund depuis son lancement en janvier 2013. Le fonds est enregistré à la vente dans de nombreux pays européens, dont la France, l’Allemagne, la Suisse et le Royaume-Uni.AXA IM détient plus de 1,6 milliard de livres d’actifs sous gestion dans des stratégies SmartBeta Credit (au 31/12/2014) dont 900 millions en portefeuilles d’obligations d’entreprises libellées en livres et 700 millions en portefeuilles d’obligations d’entreprises internationales. Les stratégies SmartBeta Equity d’AXA IM représentent actuellement 2,4 milliards de livres.
Citizen Capital, fonds d’investissement spécialiste de l’impact investing, a annoncé le 26 mai le premier closing de son deuxième fonds à 37 millions d’euros. L’objectif final de 40 millions d’euros devrait être atteint d’ici la fin de l’année. La grande majorité des investisseurs historiques (bpifrance, CNP, AG2R La Mondiale, Amundi, Agrica...) renouvelle sa confiance à l’équipe de Citizen Capital et représente plus de la moitié des engagements du nouveau fonds. Ils sont rejoints par de nouveaux investisseurs institutionnels convaincus par sa démarche d’impact parmi lesquels le Fonds Européen d’Investissement (FEI) et Mirova (filiale de Natixis), et par des dirigeants d’entreprise et des family offices. Tout comme son prédécesseur, le fonds Citizen Capital II poursuit une stratégie d’investissement ciblant des PME en forte croissance économique avec deux objectifs d’impact social : s’engager aux côtés d’entrepreneurs qui transforment la société en relevant des défis sociaux ou environnementaux et favoriser la mobilité sociale par l’entrepreneuriat. Le nouveau fonds investira des montants compris entre 1 et 5 millions d’euros dans 10 à 12 entreprises en phase de développement/early growth, dont le chiffre d’affaires va de 1 à 50 millions d’euros. Avec près de 60 millions d’euros sous gestion, Citizen Capital est l’un des leaders de l’impact investing en Europe continentale. Lancé en 2008 par Laurence Méhaignerie et Pierre-Olivier Barennes avec 22 millions d’euros, Citizen Capital s’est affirmé dans le paysage du capital-investissement comme un fonds actif et engagé aux côtés des entrepreneurs avec une thèse d’investissement innovante fondée sur la synergie entre création de valeur sociétale et création de valeur économique. Citizen Capital a réalisé 7 investissements et deux cessions réussies avec Trace, groupe de medias spécialisé dans les musiques urbaines, et G2J, spécialiste des services de vidéoconférence.
Invesco a annoncé dans une information à la Bourse de Londres la nomination de la société Westhouse Securities en tant qu’unique conseiller financier et broker pour son produit de retraite Income Growth Trust. Westhouse Securities devrait assumer ses nouvelles fonctions à compter du 1er juin. Avec cette nomination, Invesco espère bien tirer parti des possibilités offertes par la réforme des retraites et pouvoir élargir sa clientèle.
Dans une interview au site suédois Realtid.se, Lars Hamich, responsable Europe de Van Eck Global, annonce l’introduction prochaine sur les Bourses de Francfort et Zurich de ses deux ETF déjà cotés à Londres : Market Vectors Gold Miners UCITS ETF et Market Vectors Junior Gold Miners UCITS ETF. Ces fonds sont les premiers à avoir été lancés en Europe par la société de gestion américaine. Mais Lars Hamich promet qu’il y en aura d’autres. Les ETF de Van Eck Global ont notamment été enregistrés à la vente en Suède, en Finlande et en Norvège.
La société scandinave Skagen a lancé mardi le fonds Skagen Focus géré par Filip Weintraub, qui a récemment réintégré la société, et Jonas Edholm. Ce fonds actions monde sera géré activement et investira dans des sociétés sous-évaluées, négligées par les analystes et le marché, ayant un potentiel de rebond. Les gérants seront ainsi en quête des entreprises affichant le meilleur potentiel de rendement ajusté au risque possible dans le monde entier, quel que soit le secteur d’activité, la région géographique ou la capitalisation boursière. Le portefeuille sera très concentré : les gérants choisiront 35 valeurs et les 10 principales valeurs représenteront 40-50 % du fonds.
Le gérant Access Capital Partners spécialiste du capital investissement a annoncé le closing final de son fonds de fonds Access Capital Fund VI Growth Buy-out Europe à 644 millions d’euros, dépassant son objectif initial. Le fonds a réuni un large éventail d’investisseurs internationaux dont 60% de compagnies d’assurance, 30% de fonds de pension et 10% de family offices, gestionnaires d’actifs et fondations. Les investisseurs historiques d’Access ayant réinvesti dans ce nouveau fonds représentent 75% des engagements totaux. ACF VI effectue des investissements primaires et secondaires dans des fonds européens de smaller buy-out et de situations spéciales présentant des stratégies de croissance attrayantes. Le fonds bénéficie d’une couverture exhaustive du marché européen ainsi que des relations actives qu’Access entretient avec les gérants européens établis comme émergents, fort de ses 16 années de présence sur ce segment en tant qu’investisseur de référence, indique un communiqué. Le fonds a d’ores et déjà effectué des engagements à hauteur d’environ 50% de sa taille dans des fonds primaires européens de smaller buy-out et dans des transactions secondaires.
Union Investment a annoncé une modification de son contrat de retraite UniProfiRente. Pour tenir compte de l’environnement de taux bas et de volatilité des marchés, l’allocation actions au sein d’UniProfiRente sera gérée beaucoup plus activement. Le nouveau fonds d’actions UniGlobal Vorsorge pourra ainsi réduire l’allocation actions jusqu'à 51% en cas de baisse des marchés et monter l’exposition jusqu'à 120% en cas de signaux positifs sur les marchés.
Algebris Investments, la boutique d’investissement dirigée par Davide Serra, travaille à la création d’un fonds dédié aux petites et moyennes entreprises italiennes, rapporte Funds People Italia. La nouvelle structure, qui sera bâtie sous la forme d’un partenariat avec les entreprises financières, devrait voir le jour début 2016. « Nous ciblerons les sociétés ayant un chiffre d’affaires compris entre 20 et 200 millions d’euros », indique Davide Serra, CEO et fondateur d’Algebris.
Invesco PowerShares lance à la Bourse de Milan l’ETF PowerShares S&P500 High Dividend Low Volatility, déjà disponible à la Bourse de Londres depuis le 12 mai.Le nouveau produit réplique physiquement l’indice S&P500 Low Volatility High Dividend Net Total Return, qui cherche à obtenir un rendement en ligne avec les cours et les performances des 50 entreprises américaines qui, au sein de l’indice S&P 500, affichent la plus faible volatilité, face à un rendement du dividende élevé.
Vanguard devait lancer jeudi le premier ETF sur le S&P 500 de Hong Kong, rapporte Asian Investor. Le fonds à réplication physique va concurrencer l’ETF synthétique de Deutsche.
Pimco étoffe son offre de fonds à horizon avec le lancement de nouvelles stratégies alliant une gestion active pour la partie obligataire et une gestion passive pour les allocations actions, rapporte l’agence Reuters. Les RealPath Blend funds doivent ainsi permettre aux investisseurs d’accroître leur capital tout en leur assurant un revenu régulier pendant leur retraite.
Grâce à un effet performance, l’encours des OPC non monétaires a augmenté en mars, indique la Banque de France dans sa publication Stat Info du 21 mai 2015. Il atteint 1.099,8 milliards d’euros, avec des souscriptions nettes de 0,5 milliard (après + 3 milliards en février). Les souscriptions nettes des fonds obligations (+2,4 milliards) et mixtes (+2,1 milliards) compensent les rachats nets des fonds actions (-2,9 milliards) et « autres fonds » (-1,1 milliard), indique la Banque de France. L’encours des titres d’OPC non monétaires se rapproche ainsi de son niveau le plus élevé atteint en juin 2007 (1.117,8 milliards en juin). Les actifs sous gestion des OPC monétaires, à 278,3 milliards d’euros, ont connu des rachats nets de 7,6 milliards d’euros, après des collectes nettes positives sur les deux premiers mois de l’année (+ 4,7 milliards en janvier et +3,3 milliards en février. Sur un an, les sorties nettes atteignent 11,8 milliards, soit 4 % de l’encours à fin mars 2014.