State Street Global Advisors, la division de gestion d’actifs de State Street Corporation, a annoncé ce 24 mai le lancement d’une catégorie d’actions en euro avec couverture de change pour le SPDR Thomson Reuters Global Convertible Bond UCITS ETF. Donnant accès à plus de 270 titres obligataires, ce fonds indiciel coté est le premier, et le seul ETF mondial axé sur les obligations convertibles en actions.« Les obligations convertibles sont souvent comparées à un avion doté de plusieurs moteurs » commente Ludovic Djebali, directeur SPDR ETF France chez State Street Global Advisors, cité dans un communiqué. « Les moteurs ne fonctionnent pas tous en même temps, mais la nature hybride de la stratégie lui permet d’évoluer avec succès dans des environnements de marché différents. Depuis le lancement de cette stratégie en 2014, nous avons observé une forte demande dans notre catégorie d’actions libellée en dollars, avec plus de 750 millions de dollars d’actifs sous gestion. Aujourd’hui, le lancement de notre catégorie d’actions en euros avec couverture de change au sein du SPDR Thomson Reuters Global Convertible Bond UCITS ETF apporte à nos clients un nouvel instrument pour faire face à la plus grande volatilité qui caractérise l’environnement de marché actuel. » Les SPDR ETF représentent plus de 650 milliards de dollars d’actifs sous gestion investis dans 247 ETF dans le monde, y compris 29,2 milliards de dollars investis dans 93 ETF domiciliés en Europe, et 20,9 milliards de dollars investis dans 20 ETF en Asie-Pacifique.
Robeco et son pôle RobecoSAM viennent de lancer une stratégie crédit fondée sur les objectifs de développement durable des Nations Unies, RobecoSAM Global SDG Credits. Elle vise à « contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable des Nations unies et à surperformer l’indice Bloomberg Barclays Global Aggregate Corporate », précise un communiqué. Le nouveau fonds utilise le nouveau cadre ODD mis au point par RobecoSAM et s’appuie sur les ressources de Robeco en matière de gestion crédit. Il intègre à l’analyse fondamentale des critères ESG financièrement pertinentes sur les émetteurs, applique une longue liste d’exclusions fondées sur les valeurs et n’investit que dans des obligations d’entreprises dont la notation ODD est neutre ou au moins positive. Au-delà des titres de créance traditionnels, le fonds se positionne également sur les obligations vertes dotées d’un solide potentiel de performance. En outre, ses spécialistes dédiés de l’actionnariat actif collaborent avec les entreprises sur différents enjeux liés aux ODD.Le cadre exclusif de RobecoSAM comporte trois étapes : tout d’abord, il cherche à savoir dans quelle mesure les produits et services de l’entreprise contribuent aux ODD. Dans un deuxième temps, les analystes confirment que l’activité de l’entreprise est compatible avec les ODD et, enfin, des vérifications sont faites pour s’assurer que l’entreprise n’a pas été mêlée à des controverses de type marée noire, fraude ou corruption. Le résultat de cette démarche est exprimé par un score ODD. Les analystes crédit de Robeco et leurs homologues en investissement durable de RobecoSAM ont cartographié quelque 450 sociétés. Au total, 62 % des émetteurs ont été considérés comme apportant une contribution positive, et nos recherches ont démontré qu’il existait un vivier plus que suffisant pour créer un portefeuille de crédit international diversifié ayant un impact positif sur les ODD. Des rapports d’impact exclusifs sont également préparés pour comparer l’impact du portefeuille à son indice de référence. Ils se divisent en cinq catégories : besoins fondamentaux, santé de la planète, société durable, égalité et opportunité, solidité des institutions.
WisdomTree lance le WisdomTree Cboe S&P 500 PutWrite UCITS ETF sur les Bourses de Londres, Milan et Francfort. Cet ETF offre aux investisseurs la possibilité de réduire la volatilité et de dégager des rendements ajustés au risque élevés par rapport au S&P 500, explique la société. Pour cela, il emploie une stratégie d’options.
Acatis Investment, la société de gestion indépendante basée à Francfort avec 5 milliards d’euros d’encours, a fait enregistrer en Italie son fonds diversifié Acatis Gané Value Event, rapporte Funds People Italia. Le produit, géré par Universal-Investment-Gesellschaft, est investi dans différentes classes d’actifs.
Raymond James Asset Management International rouvre son fonds Raymond James Microcaps à compter du jeudi 24 mai 2018. Le fonds était fermé aux souscriptions depuis fin 2016. Cette réouverture fait suite à « la modification du prospectus du fonds, à compter du 24 mai 2018 selon laquelle le seuil de réouverture des souscriptions passe de 55 000 000 € à 70 000 000 € d’actif net du fonds et le seuil de fermeture des souscriptions passe à 80 000 000 € au lieu de 60 000 000 € précédemment », explique la société de gestion.Créé en décembre 2007, le fonds Raymond James Microcaps est investi dans des petites sociétés européennes, principalement françaises (capitalisations
«L’odysée de l’AI commence ! ". C’est ainsi que La Financière de l’Echiquier a intitulé une invitation presse dans laquelle elle indique qu’elle lance «le premier véhicule d’investissement dédié à l’intelligence artificielle en France». On y apprend notamment que Rolando Grandi sera le gérant de ce fonds baptisé Echiquier Artificial Intelligence. La conférence est prévue pour le 12 juin.La société de gestion avait déjà lancé FCM Robotique, en janvier 2015, qui investissait aussi dans l’intelligence artificielle. Rolando Grandi en est également le gérant, tandis que C&M Finances, une société qui s’est spécialisée en délégation de gestion, gère la stratégie devises, couverture et exposition du fonds, ainsi que l’allocation actions et cash. LFDE est en charge de la sélection des valeurs et la construction du portefeuille.
La société d’investissement britannique Inflexion Private Equity a annoncé la clôture des fonds Inflexion Buyout Fund V et Inflexion Partnership Capital Fund, sécurisant respectivement des engagements de 1,25 milliard de livres et 1 milliard de livre. « Les deux fonds ont été sursouscrits et ils ont atteint leur ‘hard cap’ quatre mois seulement après leur lancement », a souligné la société dans un communiqué. Les deux fonds ont pu compter sur le soutien d’investisseurs existants tout en réussissant à en attirer de nouveaux provenant de Etats-Unis, d’Europe et d’Asie. Ces investisseurs sont des institutionnels tels que des fonds de pension publics ou d’entreprise, des compagnies d’assurance et des fonds souverains.Ces deux fonds pourront investir des tickets allant jusqu’à 200 millions de livres dans des entreprises à forte croissance et à forte rentabilité. Dans le détail, le fonds Buyout Fund V prendra des participations majoritaires tandis que le fonds Partnership Capital Fund a vocation à prendre des participations minoritaires.
Legal & General Investment Management (LGIM) a lancé le L&G Future World Gender in Leadership UK Index Fund (‘GIRL’ fund) investi sur les entreprises britanniques favorisant la diversité des genres. Le fonds sera accessible aux investisseurs individuels par le biais de la plate-forme de finance personnelle de LGIM et aussi via des conseillers financiers.LGIM va noter et classer les entreprises en fonction de quatre critères de la diversité des genres : la présence des femmes aux conseils d’administration, la proportion de femmes à des postes de direction, la proportion de femmes à des postes d’encadrement et la proportion de femmes dans les effectifs. Les entreprises devront atteindre un minimum de 30 % de représentation des femmes pour ces quatre critères. Les notes sont basées sur la recherche propriétaire de LGIM et son alignées sur la politique de vote et d’engagement de la société de gestion. Maintenant que les entreprises ont commencé à publier leurs données sur la différence de rémunération entre hommes et femmes, LGIM va songer à intégrer cela dans un cinquième critère.Le fonds suit un indice conçu par LGIM d’environ 350 entreprises parmi les plus grandes au Royaume-Uni, le Solactive L&G Gender in Leadership UK. « L’inégalité hommes/femmes est l’un des problèmes clés de notre ère – et l’un de ceux qui génère beaucoup de frustration », commente Helena Morrissey, responsable de l’investissement personnel de LGIM, connue pour défendre la cause des femmes dans la finance. « Plutôt que de se sentir piégé ou découragé, agissons. Je suis enthousiaste à l’idée du lancement du fonds GIRL, qui donne à tous le pouvoir d’utiliser notre argent pour aider les entreprises à progresser. Lorsque nous investissons dans le succès des femmes, nous investissons dans le succès de l’entreprise. Collectivement, nous pouvons aider à atteindre l’égalité hommes/femmes et améliorer la diversité des genres au Royaume-Uni », poursuit-elle.
La société de gestion américaine VanEck élargit son offre en Italie avec le lancement de cinq ETF à la Bourse de Milan, rapporte Funds People Italia. Ces nouveaux fonds sont les suivants : VanEck Vectors Global Fallen Angel High Yield Bond UCITS ETF, VanEck Vectors Emerging Markets High Yield Bond UCITS ETF, VanEck Vectors Natural Resources UCITS ETF, VanEck Vectors Preferred US Equity UCITS ETF et VanEck Vectors Global Mining UCITS ETF.
La société de gestion Alto Invest, spécialisée dans l’investissement dans les PME-ETI européennes innovantes et rattachée à Eiffel Investment Group, a annoncé, hier, le lancement du FCPR Alto Avenir. Ce fonds commun de placement à risque cible les PME-ETI françaises et européennes « armées pour capter la croissance issue de grandes tendances structurelles », explique la société dans un communiqué. « A travers Alto Avenir, dont le minimum de souscription est réduit par rapport aux FCPR traditionnels, Alto Invest démocratise l’accès au capital-investissement et permet aux investisseurs particuliers d’accéder à une classe d’actifs habituellement réservés aux investisseurs institutionnels », poursuit le gestionnaire d’actifs. De fait, le minimum de souscription est abaissé à 10.000 euros.Concrètement, le fonds Alto Avenir cherche à identifier les PME et ETI qui, depuis la France, l’Allemagne, la Suède, l’Italie ou encore le Royaume-Uni, disposent « des clés pour accompagner la mutation de nos sociétés, et devraient ainsi connaître une forte croissance ». Ce véhicule d’investissement aura donc vocation à investir dans tous les secteurs de l’économie, des services aux personnes à l’industrie 4.0, de la santé à la transition énergétique, souligne Alto Invest.Les parts du FCPR Alto Avenir peuvent être souscrites en nominatif pur ou depuis un compte titres. Par ailleurs, Alto Invest indique avoir impliqué plusieurs assureurs-vie dans la conception du fonds, avec l’objectif qu’il soit référencé dans leurs supports unités de compte. « Dans ce domaine, le travail se poursuit », indique Alto Invest sans plus de détails.
Vanguard annonce avoir déposé un premier dossier auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) pour l’ETF Vanguard Total World Bond. Il s’agira du premier ETF du secteur domicilié aux Etats-Unis offrant aux investisseurs un accès à l’ensemble de l’univers obligataire “investment grade” dans un portefeuille unique, indique la société de gestion américaine. Le fonds doit être lancé au troisième trimestre de cette année.Le fonds sera structuré comme un ETF d’ETF, investissant dans deux ETF à bas coût de Vanguard : le Vanguard Total Bond Market ETF (BND) et le Vanguard Total International Bond ETF (BNDX). Le nouveau fonds cherche à suivre l’indice Bloomberg Barclays Global Aggregate Float Adjusted Composite et devrait avoir un coût de 0,09 %.
Fidelity International a annoncé que son modèle de frais de gestion variables est désormais disponible pour cinq fonds actions de sa SICAV luxembourgeoise. Depuis hier, les investisseurs ont la possibilité d’investir dans une part sans rétrocession de commissions (« clean share class ») appliquant le modèle de frais de gestion variables au sein des fonds Fidelity Funds America Fund, Fidelity Funds Emerging Markets Focus Fund, Fidelity Funds European Growth Fund, Fidelity Funds European Larger Companies Fund et Fidelity Funds World Fund. Ces nouvelles parts permettent d’investir avec des frais de gestion annuels réduits de 0,10 %, soit s’élevant à 0,70 %. La partie variable des frais s’ajustera alors symétriquement à la hausse ou à la baisse en fonction de la performance du fonds par rapport à son indice de marché. Cette valeur sera déterminée sur une base annualisée de trois ans, exempte de tous frais et charges. Cette échelle atteindra un maximum de +0,2 % au-dessus des frais de gestion annuels et un minimum de -0,2 % en dessous, ce qui signifie que les frais maximum et minimums prélevés seraient respectivement de 0,90 % et 0,50 %. « Nous avons écouté et répondu au débat croissant sur la valeur d’une gestion active des fonds. Notre modèle de frais de gestion variables aligne clairement nos intérêts sur ceux de nos clients et, contrairement à la pratique commune sur le marché, nos frais seront impactés en cas de sous-performance. Il s’agit d’une étape importante pour démontrer notre engagement continu à offrir la meilleure valeur possible à nos clients. Nous sommes convaincus qu’il s’agit d’une étape importante dans l’avenir de la gestion active et nous espérons qu’elle incitera les clients à rester investis à long terme », explique Paras Anand, directeur des investissements actions, Europe, cité dans un communiqué. Les clients investissant via des portefeuilles dédiés, notamment les investisseurs institutionnels, auront accès à une version adaptée du modèle de frais s’ils le souhaitent. La valeur des investissements et des revenus qui en découlent peut évoluer à la hausse comme à la baisse et le client est susceptible de ne pas récupérer l’intégralité du montant initialement investi, prévient encore le communiqué.
Nordic Capital vient de boucler son fonds Nordic Capital Fund IX avec un peu plus de 4,3 milliards d’euros. Le fonds dépasse ainsi de 23 % son objectif de 3,5 milliards d’euros en seulement 7 mois compte tenu d’une forte demande, note un communiqué. Le fonds a été souscrit à hauteur de 70 % par des investisseurs des fonds précédents. Mais il a aussi attiré des nouveaux investisseurs. Au total, le fonds se compose de fonds de pension publics et privés (35 % environ), de fonds souverains (20 %), de fonds de fonds (15 %), de family offices (15 %), d’institutions financières et fonds de dotation (15 %). La clientèle du fonds est aussi diversifiée d’un point de vue géographique : 40 % viennent d’Amérique du Nord, 35 % d’Europe et 15 % d’Asie. Enfin, les 10 % sont de nouveaux investisseurs du Moyen-Orient et d’Amérique du Sud.Dans la lignée des fonds précédents, le fonds IX sera investi sur cinq secteurs clés : la santé, les services financiers, la technologie et les paiements, la consommation «retail» et les biens et services industriels. L’Europe du Nord sera centrale pour le déploiement du nouveau fonds.
Le gestionnaire d’actifs américain State Street Global Advisors (SSGA) a décidé d’intégrer des critères ESG (environnement, social et gouvernance) dans l’approche d’investissement de son fonds factoriel Multi-Factor Global Equity (398 millions de dollars d’encours), rapporte Citywire Selector. Ces changements sont effectifs à compter du 22 mai. Dans le cadre de cette modification, les actifs du fonds seront désormais transférés vers une nouvelle sicav, baptisée ESG Multi-Factor Global Equity Fund Sicav.
Géré par responsAbility depuis 2014, le fonds pour le climat, qui a pris la forme d’un partenariat public-privé ciblant les économies émergentes, a affiché l’an dernier une hausse de 48% des engagements en matière de financement. En 2017, les engagements de financement ont ainsi augmenté de 200 millions de dollars, soit une hausse de 48 %, pour atteindre 616 millions de dollars à la fin de l’année, selon un communiqué publié ce 18 mai. La part des investisseurs privés dans le fonds a doublé à plus de 30 % du total des engagements.Sur la même période, le fonds a poursuivi la diversification de son portefeuille, en ajoutant neuf institutions partenaires et en portant le nombre de marchés d’investissements à 22 répartis sur quatre continents. A fin 2017, les trente institutions partenaire du fonds avaient décaissé des prêts secondaires pour un montant de 137 millions de dollars, en augmentation de 53 % par rapport à 2016. Le volume des investissements a fait un bond de 43 %, soit la croissance annuelle la plus forte des cinq années écoulées, en le hissant à 482 millions de dollars à fin 2017. «En franchissant, début 2018, le seuil, psychologiquement important, des 500 millions de dollars d’engagements, le fonds est devenu l’un des principaux acteurs du secteur du financement de la lutte contre le changement climatique ouvert aux investisseurs privés», souligne le communiqué.Conformément à la mission du fonds visant à atténuer les conséquences du changement climatique, les projets financés depuis son lancement permettront d’économiser plus de dix millions de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les projets financés en 2017 ont contribué pour 1,7 million de tonnes à ce total.
Wells Fargo Asset Management (WFAM) a annoncé, ce 21 mai, le lancement du fonds Global Equity Absolute Return, compartiment de Wells Fargo (Lux) Worldwide Fund. Lancé officiellement le 26 avril, ce nouveau fonds est accessible à la fois aux investisseurs institutionnels et individuels. Ce véhicule vise à dégager une appréciation du capital à long terme et un rendement absolu ou positif indépendamment des conditions de marché. Le fonds s’appuie sur les conseils par délégation d’Analytic Investors et est géré par Harindra de Silva, Dennis Bein et David Krider. Le fonds investit essentiellement dans des titres de capital d’émetteurs des marchés développés, précise WFAM dans un communiqué.Le fonds est actuellement disponible en Autriche, Finlande, France, Allemagne, Irlande, Italie, Luxembourg, aux Pays-Bas, en Norvège, en Espagne, en Suède et au Royaume-Uni. Il devrait être enregistré par la suite à Hong Kong, au Portugal, à Singapour, en Corée du Sud et en Suisse.
Après l’acquisition en 2016 d’un portefeuille d’hôtels allemands, Swiss Life Asset Managers, Real Estate France a annoncé ce 17 mai l’ajout à son deuxième fonds hôtelier paneuropéen de deux hôtels à Milan acquis auprès de BNP Paribas REIM Italie pour le compte d’un OPCI Club Deal dédié à l’hôtellerie moyenne gamme géré par Swiss Life REIM (France). Ce portefeuille comprend les murs de 2 hôtels (458 chambres) à Milan. Ces établissements sont exploités en direct par deux acteurs majeurs de l’hôtellerie internationale : Rezidor (Radisson Blu Hotel Milan) et Accor (Novotel Milan Malpensa). «Ce portefeuille d’hôtels s’inscrit parfaitement dans la stratégie du fonds qui consiste à cibler des établissements hôteliers de grande qualité bénéficiant d’un mix de clientèle business et loisirs et exploités par des opérateurs expérimentés et reconnus. Avec près de 5 ans d’existence, notre pôle Hôtel poursuit son développement et confirme son savoir-faire», commente dans un communiqué Johanna Capoani, gérant senior – responsable du pôle Hôtels. «Ces acquisitions marquent notre entrée sur le marché immobilier en Europe du Sud, une région pour laquelle nous avons de fortes convictions. D’autres acquisitions devraient suivre en 2018", ajoute Fabrice Lombardo, directeur structuration et gestion de portefeuille.
Newton Investment Management (Newton IM) vient de lancer le fonds Sustainable Sterling Bond, un fonds obligataire d’investissement durable à destination des investisseurs particuliers, rapporte Investment Week. Il s’agit d’un troisième fonds durable lancé par la société de gestion cette année. Ce nouveau véhicule, cogéré par Howard Cunningham et Scott Freedman, investira dans des titres obligataires libellés en livres sterling ou couverts en livres sterling. Le fonds recherchera principalement des entreprises ayant des pratiques commerciales durables, sélectionnées sur la base d’une grille ESG (critères Environnement, social et gouvernance).
Dans une lettre aux porteurs, le groupe Janus Henderson Investors a annoncé sa décision de fermer définitivement le UK Strategic Income Unit Trust à compter du 2 juillet 2018. « Nous avons décidé de fermer ce trust car nous pensons que sa petite taille ne le rend plus viable », explique la société de gestion dans ce courrier. De fait, à fin décembre 2017, ce véhicule d’investissement affichait modestement 10,8 millions de livres d’actifs sous gestion. Dans ce contexte, « il est difficile de réaliser le niveau souhaité de diversification du portefeuille », ajoute Janus Henderson. La société de gestion estime même « qu’il est peu probable que le trust puisse attirer des niveaux importants de nouveaux flux ».
L’Union Bancaire Privée (L’UBP) a annoncé, ce 16 mai, le lancement d’une nouvelle stratégie sur sa plateforme alternative Ucits. Lancée en partenariat avec la société Cheyne Capital Management (UK), spécialisée dans l’investissement alternatif et basée à Londres, la stratégie U Access (IRL) Cheyne Arbitrage Ucits est le quatrième fonds de la plateforme alternative d’UBP, qui affiche aujourd’hui près de 700 millions de francs suisses d’actifs sous gestion. Ce nouveau fonds d’arbitrage est géré par Pierre di Maria, responsable des stratégies « event driven » au sein de Cheyne Capital. Il offre une liquidité journalière et suit une approche d’arbitrage combinant une composante principale de rendement (arbitrage de fusions) et une composante dite « mixed arbitrage », visant à tirer profit d’opportunités d’arbitrage qui ne sont pas liées aux fusions-acquisitions. « Géré selon une stratégie purement ‘market neutral’ avec un faible bêta au marché, le fonds a l’avantage d’avoir une exposition décorrélée des autres classes d’actifs et peut constituer pour les investisseurs un substitut intéressant aux instruments obligataires en matière de construction de portefeuille », ajoute l’UBP dans un communiqué.Outre la stratégie U Access (IRL) Cheyne Arbitrage Ucits, la plateforme alternative Ucits d’UBP comprend les fonds suivants : U Access (IRL) Trend Macro, une stratégie « global macro » discrétionnaire qui cherche à capitaliser sur les tendances macroéconomiques en investissant sur une large gamme d’instruments et de marchés liquides ; U Access (IRL) Electron Global Utiliy, une stratégie « long/short equity » qui cible plus particulièrement les secteurs des infrastructures, des « utilities » et des énergies renouvelables ; et, enfin, U Access (IRL) Nexthera Ucits, une stratégie « long/short equity » centrée sur le secteur de la santé.