Pictet a procédé à de nombreux changements dans son équipe de fonds actions thématiques depuis le début de l’année, mais l'équipe est globalement plus importante avec désormais 31 gérants contre 27 fin 2017. Parmi les grands départs, on notera que Nolan Hoffmeyer n’est plus cogérant du fonds Pictet Digital, Simon Gottelier et Arnaud Bisschop ne sont plus les gérants du fonds Pictet Water et Frédéric Dupraz n’est plus gérant du fonds Pictet Security. De nombreuses nominations et recrutements ont eu lieu pour compenser.Concernant Pictet Digital, c’est Olivier Djopwouo et Stanislas Effront qui cogèrent désormais le fonds avec l’autre cogérante Sylvie Séjournet. Le fonds Pictet Water est lui désormais cogéré par Cédric Lecamp, qui avait géré le fonds pendant quelques années après son lancement, ainsi que par Louis Veilleux, Peter Rawlence et Hans Peter Portner, qui a lancé la stratégie. Enfin, le fonds Pictet Security, que Frédéric Dupraz co-gérait avec Yves Kramer est toujours co-géré par ce dernier mais il sera désormais assisté d’Alexandre Mouthon, ancien spécialiste produit du fonds, et Rachele Beata. Pictet a également recruté Moritz Dullinger en provenance de RobecoSAM, qui dirigeait auparavant le fonds RobecoSAM Healthy Living. Il est maintenant affecté au fonds Pictet Health & Biotech. Il travaillera sur ce fonds aux côtés de Tazio Storni, Grégoire Biollaz et Lydia Haueter.Enfin, le fonds Pictet-Nutrition a également changé son équipe de gérant, Cédric Lecamp et Gertjan van der Geer quittant leur poste. Il sera géré par Alice de Lamaze et Mayssa Al Midani. Gertjan van der Geer, qui a lancé la stratégie (alors Pictet-Agriculture) en 2009, se consacrera désormais exclusivement à la stratégie Global Thematic Opportunities lancée en 2016.On notera enfin que la gestion du fonds Pictet-Global Environmental Opportunities est renforcée par l’arrivée d’un troisième gérant au côté de Luciano Diana et Gabriel Micheli.. Il s’agit de Yi Du qui arrive de Hong Kong, où il était analyste sur les valeurs asiatiques des utilities et des énergies renouvelables chez JP Morgan.
UBS a annoncé ce 7 septembre le lancement d’un nouveau fonds de prévoyance, «UBS Vitainvest 100 World», qui comporte en règle générale une part d’actions comprise entre 95% et 100%. «Il est ainsi possible de mieux exploiter le potentiel de rendement à long terme des marchés d’actions et de constituer en conséquence la fortune de prévoyance sur la durée», indique un communiqué. Le fonds de prévoyance s’adresse aux personnes disposant d’un horizon de placement à long terme et disposées à accepter le risque plus élevé lié aux actions.Selon le communiqué, l’évolution démographique et un contexte de marché avec des taux toujours bas génèrent un déficit de financement dans l’AVS (assurance-vieillesse et survivants) et représentent aussi un défi d’envergure pour de nombreuses caisses de pension suisses. La prévoyance privée joue ainsi un rôle de plus en plus important. La faiblesse des taux complique l’investissement rentable des capitaux de prévoyance. Toutefois, l’évolution des dernières décennies révèle qu’en dépit de variations de valeurs plus importantes, sur une durée de placement d’au minimum dix ans, les actions ont généré des rendements plus élevés que toutes les autres formes de placement ou qu’un compte d’épargne, assure le groupe. «En conséquence, le fonds «UBS Vitainvest 100 World» représente une alternative intéressante pour la prévoyance privée avec un long horizon de placement», poursuit-il.Les fonds de prévoyance avec une part d’actions supérieure à 50% sont possibles dès lors que la fondation de prévoyance garantit que l’encours de la fondation reste, dans l’ensemble, diversifié de manière appropriée et que le risque engagé convient globalement pour des buts de prévoyance. UBS respecte cette politique de placement et répond ainsi aux exigences légales, assure le groupe. Contrairement à d’autres fonds de la gamme de produits UBS Vitainvest, précise le communiqué, le nouveau «UBS Vitainvest 100» n’est proposé que dans sa version de placements globaux «World». Avec un fonds «Swiss» qui investirait principalement dans des actions suisses, la diversification serait insuffisante et les exigences pour un produit de prévoyance ne seraient en conséquence pas respectées.
L’opérateur de marchés Euronext a annoncé ce 7 septembre le lancement par Amundi Asset Management d’un nouvel ETF qui sera coté sur Euronext Paris à compter du 11 septembre. Le nouveau véhicule, Amundi Stoxx GL AI, a pour sous-jacent l’indice Stoxx AI Global Artificial Intelligence ADTV5.Le nouvel ETF est chargé à 0,35%.
La société d’investissement dans les infrastructures InfraVia, fondée par Vincent Levita, vient de lever 2 milliards d’euros, le double du montant accordé en 2016, et passe la barre des 4 milliards d’euros d’actifs gérés, rapporte le quotidien Les Echos. Cette levée de fonds a été réalisée en l’espace de six mois auprès de 85 investisseurs français et internationaux d’Asie, d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient.
Spécialiste des produits structurés, Hedios a annoncé le lancement de H Performance 21, une solution de placement proposée dans le cadre du contrat d’assurance-vie Hedios Life (Suravenir). Selon le communiqué, ce produit offre un nombre plus important de possibilités de sortie et vise un objectif de rémunération de 13 % annuel (hors frais liés au cadre d’investissement, avant prélèvements sociaux et fiscalité). Un remboursement anticipé automatique est possible tous les trimestres (à l’issue de la première année) dès lors que l'évolution de l’indice Euronext Eurozone 40 EW Decrement 5 % (Indice de référence) est supérieure ou égale à + 5 % par rapport à son niveau initial. Les possibilités de remboursement automatique anticipé tous les trimestres (au lieu de tous les ans) augmentent la probabilité de sortie avec un gain, assure la société. S’il n’y a pas de remboursement anticipé, le capital est protégé au terme de la durée maximale de 12 ans, jusqu'à 40 % de baisse de l’Indice de référence. Les souscriptions sont ouvertes jusqu’au mardi 30 octobre 2018 (Les enveloppes étant limitées, la commercialisation peut cesser à tout moment et sans préavis). La souscription minimum est de 1.000 euros. La société indique que depuis la création des Gammes H en 2009, 43 supports sur 64 ont déjà été remboursés au 31 août 2018, avec une moyenne de rémunération nette de tous frais de 8,17 % par an (avant prélèvements sociaux et fiscalité de l’assurance-vie, source Hedios). Les supports Gammes H non encore remboursés conservent un risque de perte en capital en cours de vie et à leur échéance.
KKR a annoncé avoir bouclé la levée de fonds pour KKR Global Infrastructure Investors III, un fonds de 7,4 milliards de dollars axé sur la recherche d’opportunités d’investissement dans les infrastructures internationales, particulièrement dans les pays de l’OCDE. KKR investira 358 millions de dollars de capitaux aux côtés d’investisseurs externes via son bilan et les engagements de ses salariés.«L’ampleur actuelle de la demande d’investissement dans les infrastructures mondiales est tout simplement énorme et ne fait que croître, avec le besoin en capitaux disponibles plus importants», a déclaré Raj Agrawal, membre de KKR et responsable mondial des activités d’infrastructure de KKR. «Cette dynamique, associée à des sources de financement publiques limitées, a créé un besoin important de capitaux privés pour fournir des solutions d’infrastructure. Nous pensons que notre expertise sectorielle et notre plate-forme mondiale nous positionnent de manière unique pour aider à combler ce déficit de financement et nous sommes impatients de poursuivre notre croissance et notre engagement envers la classe d’actifs infrastructure. »Dans son communiqué, KKR assure avoir une approche axée sur le risque plutôt que sectorielle en ce qui concerne les infrastructure. «Conformément à cette approche, le Fonds se concentrera sur les investissements dans les infrastructures critiques à faible volatilité et à forte protection contre les baisses, KKR estimant pouvoir tirer parti de ses ressources de création de valeur mondiale pour résoudre les problèmes de sourcing, de structuration, d’exploitation et d’exécution», affirme le groupe américain.
Vanguard lance le Vanguard Total World Bond ETF, qu’il présente comme le premier ETF basé aux Etats-Unis qui offre aux investisseurs un accès à l’univers mondial des obligations « investment grade » dans un produit unique. Le nouvel ETF est coté sur le Nasdaq et cherche à répliquer le Bloomberg Barclays Global Aggregate Float Adjusted Composite. Ses frais ressortent à 0,09 %.Le fonds se structure comme un ETF d’ETF investissant directement dans deux ETF obligataires : Vanguard Total Bond Market ETF (BND) et Vanguard Total International Bond ETF (BNDX). Cela permet au nouveau produit d’atteindre immédiatement une taille critique en utilisant l’exposition existante des ETF sous-jacents. L’approche est similaire au Vanguard Total Corporate Bond ETF (VTC), lancé en novembre 2017.
I Squared Capital a annoncé la clôture de son fonds ISQ Global Infrastructure Fund II au plafond légal de 7 milliards de dollars, dépassant ainsi la cible initiale de 5 milliards de dollars. Le fonds a reçu des engagements de plus de 100 investisseurs institutionnels avec une demande sursouscrite et un taux de reprise atteignant plus de 80% par rapport au fonds précédent, assure un communiqué.«Le fonds est déjà investi à hauteur de 24% (...)», a déclaré Sadek Wahba, associé directeur d’I Squared Capital. «Nous voyons actuellement des opportunités à l’échelle mondiale avec des rendements ajustés au risque intéressants dans différents secteurs, dont l’énergie, les télécommunications, les transports et les services publics aux États-Unis et en Europe, ainsi qu’en Inde, en Chine et en Amérique latine.I Squared Capital gère un actif de plus de 13 milliards de dollars auprès d’investisseurs institutionnels.
Le fonds Silvestica Green Forest, qui est investi dans des actifs forestiers en Suède, Finlande et les pays baltes, est fermé aux nouvelles souscriptions, rapporte le site danois AMWatch. Le fonds forêt a été créé au printemps 2017 par SEB et est géré par CRK Forest Management. La banque suédoise en est le principal investisseur, les autres étant Folksam, KLP et un quatrième qui n’a pas souhaité être identifié. Selon Håkan Brodin, de SEB Institutional Sales, il est possible que le fonds rouvre, puisqu’il a suscité un fort intérêt de la communauté nordique. L’horizon d’investissement de chaque placement est d’au moins 12 ans. Le fonds est actuellement limité à 500 millions d’euros, car il est enregistré comme Alternative Investment Fund. Au-delà, il devra devenir un AIFM, ce qui implique davantage de règles.
Pour Novethic, il semble « prématuré » de développer une offre importante de fonds basés sur les objectifs du développement durable (ODD) adoptés par les Nations unies ou, pour les grands investisseurs, d’intégrer une dimension ODD dans leur reporting. « Ils s’exposent à un risque d’"ODD washing " en l’absence d’indicateurs d’impact pertinents, homogènes et fiables », écrit l’agence dans une nouvelle étude sur le sujet (« ODD : nouveau focus des agences de notation extra-financière »).Pourtant, après l’empreinte carbone des portefeuilles qui s’est développée massivement depuis 2015, on assiste à l’utilisation des ODD comme référence de reporting pour les investisseurs responsables. Dans le même temps, plusieurs sociétés de gestion ont lancé des fonds – une dizaine en tout - s’appuyant sur les ODD. Parmi elles figurent Aberdeen Standard Investments, Union Investments, UBS, Ofi AM, La Financière de l’Echiquier, Robeco SAM ou NN IP. Les ODD sont en effet de plus en plus souvent considérés par les investisseurs comme « le cadre adapté à l’évaluation de l’impact environnemental et social des démarches d’investissement responsable », observe Novethic.Adoptés en 2015, les ODD couvrent 17 thèmes prioritaires d’action, comme l’éradication de la pauvreté et de la faim, la santé pour tous ou la protection de l’environnement. Destinés aux Etats, ils doivent être atteints en 2030 à travers 169 cibles. Jusqu’à présent, seule deux agences de notation sur six dont l’offre a été analysée proposent explicitement un service d’analyse de contribution positive des entreprises aux ODD mais aussi leur impact négatif. Il s’agit d’ISS-Oekom, tandis que Trucost S&P est en phase de test. Mais la difficulté de proposer une offre dans ce domaine pour les agences de notation est le manque de données de la part des entreprises, qui ne se sont pas encore emparées sur sujet. « Une analyse ODD pertinente repose en effet sur la qualité des données fournies par les entreprises et leur capacité à publier des stratégies ambitieuses à horizon 2030 », souligne Novethic. « Cela supposerait non seulement de mesurer et amplifier leur contribution positive aux ODD mais aussi d’évaluer et diminuer leur impact négatif sur l’atteinte des ODD », poursuit l’agence. Ce qui n’est pas encore gagné…Le chaînon manquant est bel est bien l’analyse de la stratégie de l’entreprise. Pour mesurer la contribution positive ou négative d’une société, « il est nécessaire d’analyser comment les ODD sont pris en compte dans la stratégie de l’entreprise ». Or, aujourd’hui, les entreprises reportent à peine sur cet aspect.
La société de gestion Chainberry Asset Management, basée à Hambourg, et la société de services aux fonds Hansainvest ont annoncé ce 4 septembre le lancement d’un fonds actions dédié à la technologie blockchain. Il s’agit, selon un communiqué, du premier fonds actions dédié à la blockchain lancé sur le marché allemand. «La technologie blockchain apporte avec elle d'énormes changements dans l'économie», déclare Karsten Müller, directeur général de Chainberry. «L’impact de cette technologie est encore loin d'être apprécié complètement. Mais il est en revanche certain que le développement des infrastructures dans les prochaines années offre un énorme potentiel», poursuit le responsable.Pour constituer son portefeuille, le fonds a recours à l’analyse fondamentale classique mais il utilise également une grille de notation propriétaire des brevets des entreprises, pour l’essentiel dans les domaines de l’intelligence artificielle et de la blockchain.
Swedbank Robur, la société de gestion de la banque suédoise Swedbank, lance le fonds Swedbank Robur Fokus, un fonds actions monde avec un biais Europe du Nord, qui se focalise sur trois thèmes : des entreprises non cotées, dirigées par leurs actionnaires et/ou qui sont le résultat de scissions d’entreprises. Le portefeuille sera concentré sur 15 à 30 entreprises.Swedbank Robur Fokus sera géré par Henrik Carlman et Johan Strand.
Le gestionnaire d’actifs East Capital, spécialiste des marchés émergents et frontières, a annoncé, le 5 septembre, le lancement d’une version Ucits de sa stratégie axée sur les actions chinoises de type A (« A-Shares »). Cette démarche vise à offrir aux investisseurs « un meilleur accès aux opportunités d’investissement sur les marchés d’actions chinoises », indique la société de gestion dans un communiqué. La stratégie China A-Shares a pour objectif de délivrer une appréciation du capital à long terme en investissant dans des sociétés de grande qualité en Chine tout en intégrant des critères ESG (environnement, social, gouvernance) dans son processus d’investissement et de sélection de titres. Son indice de référence est le MSCI China A.
Inocap Gestion a annoncé ce 5 septembre plusieurs changements de nom concernant la gamme Quadrige. C’est ainsi que Quadrige devient Quadrige France Smallcaps, fonds investi dans les PME et ETM françaises. Quadrige Rendement devient Quadrige Rendement France Midcaps, fonds investi dans les ETI françaisesQuadrige Europe devient Quadrige Europe Midcaps, fonds investi dans les ETI européennes. Quadrige Multicaps devient Quadrige Multicaps Europe, fonds investi dans les actions des entreprises de la zone Euro de toutes tailles.Selon un communiqué, «ces changements de nom ne s’accompagnent d’aucune autre modification». Toutes les autres caractéristiques sont inchangées, «des objectifs de gestion, aux codes ISIN, en passant par les frais», souligne le communiqué. «Il s’agit de simplifier la lecture de la gamme et de préciser le positionnement actuel de chaque OPCVM, en vue de la création de nouveaux fonds avec d’autres stratégies de gestion».
WisdomTree a annoncé ce 4 septembre le lancement de nouvelles parts couvertes pour les fonds WisdomTree AT1 CoCo Bond Ucits ETF et WisdomTree Enhanced Commodity Ucits ETF sur les Bourses britannique (LSE), allemande (Deutsche Börse Xetra), et italienne (Borsa Italiana)."Le CoCo Bond ETF offre une exposition très large et diversifiée aux CoCos et l’indice couvre 95% de l’univers liquide des obligations CoCo AT1 des pays développés libellées en euro, livre et dollar. Pour les investisseurs qui souhaitent diminuer le risque de change dans leurs portefeuilles, le fonds propose désormais des parts couvertes en euro, en livre et en dollars sur la stratégie diversifiée sous-jacente», commente Rafi Aviav, responsable du développement produits en Europe chez WisdomTree.
Mes-placements.fr annonce ajouter à son contrat d’assurance-vie multisupports mes-placements Liberté (Spirica, filiale à 100% du Crédit Agricole Assurances), deux possibilités de gestion pilotée, l’une gérée par Amiral Gestion, société de gestion spécialisés dans la sélection de valeurs et l’autre par Active Asset Allocation (AAA), une société technologique spécialisée dans la gestion quantitative, au travers de 5 mandats exclusifs. Selon un communiqué, ces offres de gestion pilotée se différencient de celles présentes sur le marché, dans la mesure où le client peut cumuler au sein d’un même contrat gestion pilotée et gestion libre.
La société de gestion allemande Bantleon a annoncé le lancement d’un fonds diversifié international Bantleon Changing World, qui investit dans deux tendances de fond des prochaines années, le changement démographique et la transformation digitale. Le fonds devrait tirer parti du potentiel de croissance au-dessus de la moyenne de ces deux tendances. Le fonds s’intéressera également aux «mégatendances» dans le secteur des technologies comme l’industrie 4.0, la médecine et les systèmes autonomes.Le fonds sélectionnera des actions et des obligations dans le monde entier sur la base de critères fondamentaux, dont les critères liés au développement durable.Le fonds est chargé à 1,5%.
Jan Ehrhardt, vice-président du directoire de la boutique de gestion allemande DJE Kapital, est le nouveau gérant du fonds DJE Strategie II - DJE Strategie Global suite au départ fin juin de Markus Küppers, qui pilotait cette stratégie, rapporte le site spécialisé Fondsprofessionell. Jan Ehrhardt gère plusieurs autres fonds dont le DJE - Zins & Dividende.Les actifs du fonds DJE Strategie II - DJE Strategie Global, lancé il y a dix ans, s'élèvent à environ 200 millions d’euros. Depuis son lancement, le fonds affiche une performance annualisée de 3,77%.
Danske Invest lance un fonds dédié aux petites capitalisations suédoises, rapporte le site AMWatch. La stratégie prendra des décisions d’investissement en prenant en compte, au moins en partie, les critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance). Cette démarche pourrait inciter les sociétés à traiter plus à fonds les problématiques ESG, estime Danske Invest.