Corum propose un nouveau produit d’épargne, investi directement dans des entreprises de l’économie réelle et plus particulièrement dans les entreprises européennes en croissance : Corum Eco. Ce nouveau produit est né d’un constat, explique un communiqué. L’investissement direct dans les entreprises en croissance est à la fois opaque et compliqué, réservé à une faible proportion d’épargnants le plus souvent conseillés par des services de gestion privée. «Opaque car les stratégies d’investissement ne sont pas clairement expliquées et qu’il y a souvent des tiers qui font office de filtre entre l’épargnant et son investissement. Compliqué car l’investissement dans les entreprises se fait souvent via des assurances-vie et des comptes titres. Réservé à un petit nombre car pouvoir investir en direct dans des entreprises en croissance implique des sommes très importantes». Avec Corum Eco, «nous avons donc souhaité proposer un produit simple, compréhensible et accessible. L’argent de l’épargnant permet de financer directement les entreprises et leurs projets de développement sous forme de prêt». Corum Eco reprend les bonnes pratiques qui ont fait le succès des autres produits Corum en annonçant dès à présent son objectif de performance (4% - non garanti – de rendement annuel moyen sur la durée d’investissement recommandée), en proposant aux épargnants un dividende mensuel ou la possibilité de capitaliser leurs revenus. Corum Eco met aussi la transparence au centre de son modèle en communiquant avec clarté sur les entreprises dans lesquelles le fonds est investi.
Un an après l’ouverture de son bureau à La Réunion, la société de gestion Apicap développe ses activités en lançant le premier fonds professionnel de capital-investissement entrepreneurial dédié à l’accompagnement des entreprises réunionnaises, baptisé FPCI Entrepreneurs 974. Ce fonds, lancé en partenariat avec Koytcha Conseil, a vocation à financer une sélection de PME régionales, toujours dans le but de soutenir des projets créateurs de valeurs au cœur d’un tissu économique dynamique. Le FPCI Entrepreneurs 974 cherche à renforcer la croissance externe et la transmission des PME dans tous les secteurs d’activités représentatifs de l’économie locale. « Près de 12 millions d’euros de capitaux ont été levés auprès de 66 entrepreneurs et investisseurs institutionnels régionaux souhaitant contribuer au développement économique de La Réunion », précise Apicap dans un communiqué.Pour gérer ce nouveau fonds, Apicap a renforcé son équipe dans l’Océan Indien avec l’arrivée de Véronique Denos en tant que chargée d’affaires senior. Véronique Denos a une expertise des segments PME, corporate et institutionnels qu’elle a pu appréhender tout au long de son parcours professionnel de 19 années, du poste d’analyste crédits à celui de directrice de centre d’affaires, chez LCL, puis à la BRED Banque Populaire. « Nous avons levé plus de 20 millions d’euros depuis l’ouverture de notre bureau à La Réunion, et avec l’arrivée de l’expertise de Véronique Denos, Apicap dispose désormais d’une équipe de trois investisseurs dédiée à la croissance des PME ultramarines », explique Zaynah Amourani, directrice Océan Indien chez Apicap, cité dans un communiqué.
BNY Mellon Investment Management, qui gère 1.800 milliards de dollars d’actifs, lance le BNY Mellon Mobility Innovation Fund. Ce fonds thématique long-only d’actions internationales sera géré par une équipe d’investissement pilotée par Sean Fitzgibbon chez The Boston Company, une marque commerciale de BNY Mellon Asset Management North America. Il répliquera la première version de la stratégie lancée en Asie en début d’année et dont les encours s’élèvent à 3 milliards de dollars. Le fonds vise à générer une croissance à long terme du capital en investissant dans des entreprises de toutes capitalisations de marché « qui sont à l’origine d’une mutation en profondeur de la manière dont nous utilisons, alimentons et contrôlons nos moyens de transport », explique un communiqué. Le fonds investira dans des entreprises de secteurs variés impliquées dans la thématique de la révolution de la mobilité. Ces expositions incluent notamment les solutions logicielles innovantes et les nouvelles capacités d’infrastructures de données requises pour accompagner l’essor des véhicules autonomes, les systèmes avancés d’aide à la conduite (ADAS) nécessaires à la sécurité routière, l’envolée de la demande pour les véhicules électriques résultant de l’évolution du cadre réglementaire en faveur de l’énergie verte, et le recours de plus en plus important aux applications de co-voiturage. Le fonds sera disponible aux investisseurs basés en France, au Danemark, en Allemagne, en Italie, en Suisse, aux Pays-Bas, Espagne et au Royaume-Uni, mais également à des banques privées notamment à Singapour et à Hong Kong.
Ecosphere Capital Limited, détenu en majorité par la société de gestion Mirova, l’affilié de Natixis Investment Managers dédié à l’investissement durable, a annoncé ce 12 septembre le premier closing d’Althelia Sustainable Ocean Fund (SOF) un nouveau fonds d’investissement dédié au financement des projets et entreprises innovantes dans l’univers marin et côtier. Le fonds investit dans des modèles économiques à fort impact, susceptibles de se développer à grande échelle qui s’appuient sur le capital naturel de l’océan pour créer de la valeur, renforcer la résilience des écosystèmes côtiers, générer une croissance économique et des moyens de subsistance durables.Par l’intermédiaire du SOF, Ecosphere capital Limited a l’intention de déployer au moins 100 millions de dollars dans un portefeuille «activités marines durables» dans les pays en développement du monde entier. L’accent sera mis initialement sur l’Amérique latine et les Caraïbes. Les rendements sont générés par les intérêts sur les prêts, les participations aux bénéfices ou la vente d’actions. En plus d’offrir aux investisseurs des rendements de marché, les placements du fonds auront des répercussions positives importantes en termes de conservation. Un communiqué souligne que depuis sont lancement, le fonds a attiré plusieurs grands investisseurs institutionnels européens, dont la Banque européenne d’investissement, AXA Investment Managers et la banque de développement néerlandaise FMO, ainsi que des gestionnaires de patrimoine et des fondations basées aux Etats-Unis par l’intermédiaire du groupe Caprock et de la Banque interaméricaine de développement. Le fonds reste ouvert à d’autres investisseurs pour une période supplémentaire de douze mois, précise-t-on. Le SOF est le deuxième fonds de la gamme de produits Althelia Funds de Althelia Funds de Mirova. Cette activité est dédiée à l’incubation de stratégies d’investissement durables dédiées au capital naturel dans l’optique de leur permettre un développement à grande échelle. Le fonds sera géré par Simon Dent et David Barley.
Raise Ventures, le véhicule d’investissement ciblant les startups innovantes du groupe RAISE, a annoncé, mercredi 12 septembre, le « closing » de sa première levée de fonds à hauteur de 60 millions d’euros. Cette levée de fonds a été réalisée auprès d’une dizaine de grands groupes et d’entrepreneurs français, parmi lesquels Bouygues, Danone, L’Oréal ou encore Michael Benabou, co-fondateur de vente-privée.com. « La société d’investissement vise une taille de finale de 100 millions d’euros », indique Raise Ventures dans un communiqué.L’équipe investit des tickets compris entre 500.000 et 7 millions d’euros dans des startups innovantes et à forte croissance. De fait, Raise Ventures a d’ores et déjà réalisé deux premiers investissements. Ainsi, Bird Office, une plateforme de réservation de salle de réunion, a levé 5 millions d’euros auprès de Raise Ventures, Caphorn Invest, suivis par BNP Paribas Développement et Michael Benabou. Par ailleurs, la société Jabmo, spécialiste de l’account-based marketing, a levé 10 millions d’euros auprès de Raise Ventures et Idinvest.Enfin, Raise Ventures a annoncé le renforcement de son équipe avec l’arrivée de François Collet en tant qu’associé (« partner »). Avant de rejoindre Raise Ventures, François Collet était «partner» au sein de 360 Capital Partners où il a réalisé une dizaine d’investissements en «seed» et «early stage» (dont Tiller Systems, Bergamotte, Foodchéri, Exotec Solutions ou Alsid). Auparavant, il était directeur d’investissement au sein de CM-CIC Capital Privé où il a réalisé une dizaine d’investissements en «early stage» (dont ManoMano, Chauffeur Privé, LeKiosk ou Webinterpret). Il a débuté sa carrière en financement LBO chez Crédit Agricole CIB à Francfort.
Crux Asset Management, la société de gestion créée par Richard Pease, lancera le 17 septembre le FP Crux UK Special Situations, un fonds d’actions britanniques géré par Richard Penny, lequel a rejoint la société en juin 2018 en provenance de Legal & General Investment Management.Le nouveau fonds sera investi dans un portefeuille concentré de sociétés britanniques, avec une exposition possible aux autres marchés développés. Le fonds se focalisera sur les petites et moyennes valeurs qui sont délaissées et que Richard Penny juge intéressantes. Le gérant investira une partie de son patrimoine dans le fonds afin de garantir un alignement des intérêts avec les investisseurs.
Raise Ventures réalise sa première levée de fonds pour 60M€, auprès d’une dizaine de grands groupes et d’entrepreneurs français, parmi lesquels Bouygues, Danone et L’Oréal. La société d’investissement vise une taille finale de 100M€. L’équipe investit des tickets compris entre 500 000 et 7 millions d’euros dans des start-ups innovantes et en forte croissance, à l’image des deux premiers investissements : Bird Office, plateforme de réservation de salle de réunion pour un tour de table de 5M€ et Jabmo, spécialiste de l’account-based marketing pour un tour de table de 10M€. Raise Ventures vise à soutenir les entrepreneurs français et européens exploitant des technologies et des business models innovants et à accompagner leur développement, notamment à l’international. Lancée il y a un an, la structure s’inscrit dans le modèle de Raise puisque tous les membres de l’équipe consacrent 50% de leur intéressement sur les plus-values au profit du Fonds de Dotation RAISESHERPAS. AB.
La société de gestion suédoise Coeli Asset Management lance le hedge fund Coeli Altrua Macro qui sera géré par un duo recruté dernièrement, à savoir Namik Immelbäck et Filip Kozlowski. Le fonds associe une allocation aux actions, aux taux et aux devises avec des stratégies sur options qui visent à protéger le portefeuille contre les périodes de marché tourmentées.Namik Immelbäck a travaillé précédemment pour Millennium Partners à Londres et Tudor Investment Corporation à New York. Filip Kozlowski était responsable des investissements d’un family office à Monaco.
Le gestionnaire d’actifs alternatif The Carlyle Group a annoncé, ce 11 septembre, avoir levé 5,5 milliards de dollars de capitaux pour son huitième fonds immobilier américain, baptisé Carlyle Realty Partners VIII. La société de gestion a ainsi dépassé son objectif initial de 5 milliards de dollars. Le fonds Carlyle Realty Partners VIII investit exclusivement aux Etats-Unis dans l’immobilier résidentiel et commercial. Les sept précédents fonds immobiliers de Carlyle ont investi dans une large palette de secteurs, à savoir les résidences familiales, les résidences pour personnes âgées, les logements pour étudiants, les bureaux ou encore les hôtels. Depuis la levée de son premier fonds immobilier américain en 1997, Carlyle a investi 14,6 milliards de dollars à travers 747 opérations. La société affiche 17 milliards de dollars d’actifs sous gestion dans le domaine de l’immobilier américain.
La transition s’organise chez Carmignac. Hier, la société de gestion a en effet annoncé la nomination de David Older en tant que gérant officiel du fonds Carmignac Investissement (3,9 milliards d’euros d’actifs sous gestion), un fonds qu’Edouard Carmignac, 71 ans, supervisait seul depuis 1989. Il va également prendre en charge le portefeuille actions du fonds phare Carmignac Patrimoine, étant nommé co-gérant du fonds aux côtés d’Edouard Carmignac et Rose Ouahba, responsable de l’équipe obligataire.Arrivé chez Carmignac en 2015 en tant que gérant actions senior spécialisé sur les secteurs des technologies, des télécoms et des médias, David Older a été promu responsable de l’équipe actions début 2017. Il fait également partie de l’équipe de direction des investissements créée par Edouard Carmignac rassemblant les gérants les plus expérimentés parmi lesquels Rose Ouahba, Frédéric Leroux et Didier Saint-Georges. « Sa longue expérience en matière de génération d’alpha a déjà grandement contribué à la performance de nos portefeuilles actions globales, explique la société de gestion dans un communiqué. Dans un environnement de marché qui va rester complexe, les compétences reconnues de David Older pour tirer parti du meilleur de son équipe d’experts, analystes et gérants, constitueront une source déterminante et durable de génération d’alpha pour Carmignac Investissement. »Edouard Carmignac ne lâche toutefois pas les rênes de la gestion. Il demeure toujours directeur des investissements et co-gérant de Carmignac Patrimoine. Cette montée en puissance de David Older doit lui permettre «de se concentrer sur l’allocation globale stratégique du fonds». « Je dispose désormais de la richesse de talents nécessaire pour que je puisse concentrer mon attention sur le façonnement de fortes convictions de marché, essentielles à la performance de long terme, explique Edouard Carmignac, cité dans un communiqué. Cela est rendu possible par la confiance totale que j’accorde à David Older en étendant la délégation de gestion des portefeuilles actions globales, déjà importantes, et qui a été accrue au fil des ans. »Par ailleurs, à compter du 14 septembre, la gestion financière du fonds Carmignac Investissement sera déléguée en totalité à Carmignac Gestion Luxembourg, filiale de Carmignac Gestion S.A., a indiqué la société de gestion dans un communiqué.
Lazard Asset Management Limited (Lazard AM) a nommé Rob Barrett en qualité de directeur (« director ») afin de piloter les efforts de développement commercial de la société de gestion sur le marché des institutionnels britanniques, rapporte le site InvestmentEurope. L’intéressé arrive en provenance d’Axa Investment Managers où il était responsable des ventes institutionnelles au Royaume-Uni. Auparavant, il a occupé le poste de chargé commercial auprès des institutionnels pour le Royaume-Uni et l’Irlande. Au cours de sa carrière, il a également évolué chez HSBC Global Asset Management et JP Morgan.
Le gestionnaire d’actifs Invesco vient d’enrichir sa gamme d’ETF multifactoriel avec le lancement d’un nouveau fonds axé sur les marchés émergents, rapporte le site Investment Week. Baptisé Invesco Goldman Sachs Equity Factor Index Emerging Markets Ucits, ce nouveau produit offre aux investisseurs une exposition à cinq facteurs : « value », momentum, qualité, taille (« size ») et « low beta ». Coté au London Stock Exchange, cet ETF suit l’indice Goldman Sachs Equity Factor Emerging Markets Net Total Return, qui offre une exposition à plus de 300 valeurs réparties sur 30 marchés émergents à travers le monde. Les frais de ce nouveau produit sont fixés à 0,65%.
VanEck a annoncé le 7 septembre une réduction de ses frais sur le VanEck Vectors Green Bond ETF. A compter du 1er septembre, les frais sur l’ETF passent de 0,40% à 0,30%. Ce véhicule est le seul ETF coté aux Etats-Unis à proposer une exposition ciblée au secteur en pleine croissance des obligations vertes. L’ETF réplique l’indice S&P Green Bond Select, qui comprend des obligations vertes émises pour financer des projets favorables à l’environnement, et qui englobe des obligations émises par des organismes supra-nationaux, des gouvernements et des entreprises dans de nombreuses devises. Les obligations doivent porter la qualification de «verte» attribuée par la Climate Bond Initiative (CBI), qui fait la promotion d’investissements dans l'économie bas carbone.A fin juillet 2018, les actifs sous gestion de VanEck s'élevaient à 48 milliards de dollars, dont des fonds ouverts, des ETF et des mandats institutionnels.
La boutique de gestion Barius Capital, basée à Munich vient de lancer, en partenariat avec la société de services aux fonds Hansainvest, un fonds dédié aux petites capitalisations européennes, Barius European Opportunities, à destination tant des particuliers que des investisseurs institutionnels, rapporte le site spécialisé Das Investment.Le portefeuille du fonds sera constitué pour l’essentiel de micro et de small caps. Les capitalisations de ces sociétés s'échelonnent entre 50 millions d’euros et 1 milliard d’euros, le coeur du portefeuille devant être constitué de capitalisations se situant entre 100 millions et 500 millions d’euros. Un univers au total d’environ 3.000 valeurs dont le fonds ne retiendra que 25 à 30 valeurs affichant des modèles d’affaires rentables, des cash flows importants et peu de consommation de capital.
Créé en 2016 sous l’égide de deux anciens dirigeants de Marco Polo Foods et d’un ex-membre du fonds agroalimentaire Céréa Partenaire, FnB Private Equity a clôturé la levée de son tout premier véhicule, rapporte Capital Finance. Ce dernier, qui a vocation à prendre des participations majoritaires dans des PME du monde de l’alimentation, a ainsi réuni 135 millions d’euros, en s’appuyant à 80 % sur l’apport d’institutionnels, tels que le Fonds européen d’investissement, BNP Paribas ou AG2R La Mondiale. FnB Private Equity a déjà soutenu trois sociétés : Bur Distribution (épicerie fine), Lartigue & Fils (foie gras) et Valade (produits à base de fruits).
La société de gestion Ciclad a mis un terme à la levée de son sixième fonds en récoltant 180 millions d’euros, selon les informations réunies par Capital Finance. Cette somme va être intégralement dédiée au financement de petites et moyennes entreprises françaises, dont les valorisations ne dépassent pas 50 millions d’euros.
Tabula, la nouvelle société d’ETF obligataires créée par Michael John Lytle, a lancé son premier ETF. Il s’agit du Tabula European Performance Credit Ucits ETF, qui proposera aux investisseurs une exposition au marché des obligations d’entreprises en Europe, tout en cherchant à éliminer le risque de taux des indices d’obligations d’entreprises traditionnels. L’ETF, qui suit l’indice iTraxx itraxx Europe Performance Crédit, est coté à Londres et affiche des frais de 0,50 % («ongoing charge figure»). Le fonds affiche pour le moment 10 millions d’euros d’actifs. Pour le moment, le fonds est enregistré à la vente au Royaume-Uni et en Irlande et il est en cours de demande de passeport pour la France.
Pictet a procédé à de nombreux changements dans son équipe de fonds actions thématiques depuis le début de l’année, mais l'équipe est globalement plus importante avec désormais 31 gérants contre 27 fin 2017. Parmi les grands départs, on notera que Nolan Hoffmeyer n’est plus cogérant du fonds Pictet Digital, Simon Gottelier et Arnaud Bisschop ne sont plus les gérants du fonds Pictet Water et Frédéric Dupraz n’est plus gérant du fonds Pictet Security. De nombreuses nominations et recrutements ont eu lieu pour compenser.Concernant Pictet Digital, c’est Olivier Djopwouo et Stanislas Effront qui cogèrent désormais le fonds avec l’autre cogérante Sylvie Séjournet. Le fonds Pictet Water est lui désormais cogéré par Cédric Lecamp, qui avait géré le fonds pendant quelques années après son lancement, ainsi que par Louis Veilleux, Peter Rawlence et Hans Peter Portner, qui a lancé la stratégie. Enfin, le fonds Pictet Security, que Frédéric Dupraz co-gérait avec Yves Kramer est toujours co-géré par ce dernier mais il sera désormais assisté d’Alexandre Mouthon, ancien spécialiste produit du fonds, et Rachele Beata. Pictet a également recruté Moritz Dullinger en provenance de RobecoSAM, qui dirigeait auparavant le fonds RobecoSAM Healthy Living. Il est maintenant affecté au fonds Pictet Health & Biotech. Il travaillera sur ce fonds aux côtés de Tazio Storni, Grégoire Biollaz et Lydia Haueter.Enfin, le fonds Pictet-Nutrition a également changé son équipe de gérant, Cédric Lecamp et Gertjan van der Geer quittant leur poste. Il sera géré par Alice de Lamaze et Mayssa Al Midani. Gertjan van der Geer, qui a lancé la stratégie (alors Pictet-Agriculture) en 2009, se consacrera désormais exclusivement à la stratégie Global Thematic Opportunities lancée en 2016.On notera enfin que la gestion du fonds Pictet-Global Environmental Opportunities est renforcée par l’arrivée d’un troisième gérant au côté de Luciano Diana et Gabriel Micheli.. Il s’agit de Yi Du qui arrive de Hong Kong, où il était analyste sur les valeurs asiatiques des utilities et des énergies renouvelables chez JP Morgan.