Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Les volumes sont tirés par les renouvellements de lignes non tirées et une certaine reprise des financements d’acquisitions de taille moyenne, selon une analyse du marché par Crédit Agricole CIB.
Construction de nouveaux réacteurs, foisonnement d’initiatives et de start-up vers des technologies de quatrième génération, remontée du prix du combustible, les signes d’un printemps du nucléaire se multiplient. Avec une singularité : l’investissement privé veut y trouver sa place.
Cette fintech, qui a déjà octroyé 150 millions d’euros à 10.000 entreprises, accueille Valar Ventures à son capital et compte lancer son déploiement en Europe.
L’opérateur de maisons de retraite est au cœur d’une augmentation de capital de 237 millions d’euros. Si la tension politique post-dissolution ne lui facilite pas la tâche, le groupe dispose d’un atout dans sa manche.
Le marché primaire de la dette corporate est resté ouvert mais les émetteurs ont dû concéder des primes d’émissions. Vendredi les spreads s’écartaient vivement sur les marchés dérivés.
Le groupe de services informatiques est engagé dans une lourde restructuration financière pour laquelle il négocie notamment l'obtention de 1,5 milliard d'euros de nouveaux financements.
Le groupe tricolore de services numériques, qui ploie sous une dette de 4,8 milliards d'euros, a finalement préféré l'offre portée par Onepoint et son patron à celle défendue par le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. Les créanciers obligataires ont fait pencher la balance en faveur du premier. Mais les défis et incertitudes restent nombreux dans cette nouvelle ère pour Atos.
Le groupe d’informatique en difficulté a préféré le plan de restructuration porté par David Layani, fondateur de Onepoint, et par plusieurs créanciers. Les actionnaires seraient dilués à plus de 99%.
L’homme d’affaires tchèque, un des deux candidats à la reprise du groupe de services numériques en difficulté, est prêt à proposer aux créanciers d'obtenir jusqu'à 20% du capital d’Atos, sous forme de warrants, selon sa nouvelle offre consultée par L’Agefi.
Le gérant de dette privée a levé 1,8 milliard d'euros dans le cadre d’un fonds de deuxième génération. Il succède à un premier millésime de 1 milliard d’euros bouclé en 2021.