Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'évolution des dettes publiques des principaux pays et sur leurs incidences pour l'économie et le secteur financier.
Fitch a confirmé hier la note de crédit «A» du Japon, à laquelle est assignée une perspective stable, laquelle atteste selon l’agence d’un équilibre général des risques baissiers et haussiers. Fitch observe que le principal élément qui freine une amélioration de la note souveraine nippone est une dette publique élevée et qui continue d’augmenter. Cette dette lourde et une croissance nominale faible exposent le pays à des chocs économiques et financiers, estime Fitch, qui projette un déficit budgétaire de 4,8% du PIB en 2016, après le sommet de 8,8% atteint en 2011.
Fitch confirme la note de crédit «A» du Japon, à laquelle est assignée une perspective stable, laquelle atteste, dit l’agence de notation, d’un équilibre général des risques baissiers et haussiers. Fitch observe que le principal élément qui freine une amélioration de la note est une dette publique élevée et qui continue d’augmenter. Cette dette lourde et une croissance nominale faible exposent le pays à des chocs économiques et financiers, dit encore Fitch, qui projette un déficit budgétaire de 4,8% du PIB en 2016, après le sommet de 8,8% de 2011.
Le parlement de l’île a voté hier en urgence une loi conférant au gouverneur l’autorité nécessaire pour imposer un moratoire sur la dette du territoire.
Avec un déficit à 5,2% du PIB en 2015, le pays en pleine impasse politique devrait faire un effort de 2,6 points de PIB cette année pour atteindre son objectif.
Malgré des conditions financières attractives, les collectivités locales ont coupé dans leurs investissements pour compenser la baisse des dotations de l’Etat.
Le déficit public de la France a baissé plus que prévu en 2015, grâce à une croissance économique plus soutenue, des taux faibles qui ont allégé la charge de la dette, mais aussi à la chute des dépenses d’investissement des collectivités locales (lire par ailleurs). Selon des chiffres publiées vendredi par l’Insee, le déficit s’est élevé à 77,4 milliards d’euros, soit 7,4 milliards de moins qu’en 2014 ; ce montant représente 3,5% du PIB, contre 4% un an plus tôt, alors qu’il avait été prévu à 3,8% à l’origine. Michel Sapin, le ministre des Finances, juge «parfaitement crédible» l’objectif d’un déficit ramené à 3,3% du PIB en 2016. La dette publique 2.096,9 milliards d’euros à fin décembre, soit 95,7% du PIB, contre 95,3% un an plus tôt.
Le déficit public de la France a baissé plus que prévu en 2015 grâce à une croissance économique plus soutenue, des taux bas qui ont allégé la charge de la dette mais aussi à la chute des dépenses d’investissement des collectivités locales. Selon des données publiées ce matin par l’Insee, le déficit s’est élevé à 77,4 milliards d’euros, soit 7,4 milliards de moins qu’en 2014 et l'équivalent 3,5% de la richesse nationale contre 4,0% un an plus tôt, alors qu’il avait été prévu à 3,8% à l’origine. Selon Michel Sapin, le ministre des Finances, il y a «maintenant tous les éléments qui rendent parfaitement crédible» l’objectif d’un déficit ramené à 3,3% du PIB en 2016. La dette publique 2.096,9 milliards d’euros à fin décembre, soit l'équivalent de 95,7% du PIB contre 95,3% un an plus tôt après avoir culminé à 97,8% à la fin du deuxième trimestre.