En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
Cette fintech utilise les possibilités offertes par l’open finance pour certifier les revenus des professionnels et aider les banques à faire évoluer leurs modèles de risque.
Deux ans après son lancement au Royaume-Uni, le courtier digital adapte sa stratégie au marché français, ciblant à la fois le grand public et l’épargne entreprise en forte croissance.
L’offre de gestion administrative, comptable et fiscale devrait s’étoffer et l’effectif doubler l’année prochaine. En cinq ans seulement, l’équipe aura levé 86 millions d’euros au total.
Durant six semaines, le géant du cloud, filiale d'Amazon, a mis à la disposition de 150 fintechs sélectionnées des ressources pointues en intelligence artificielle pour les aider à finaliser leur offre.
Ce think tank synthétise les objectifs et attentes de la filière française des paiements qui cherche à rebâtir une indépendance stratégique européenne.
En matière de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme (LCB-FT), les banques attendent beaucoup des innovations issues de l’intelligence artificielle pour détecter et investiguer les transactions suspectes.
D’autres acteurs des paiements, comme Worldline, Adyen ou Revolut, proposent également l’offre dès maintenant aux marchands pour faciliter l’acceptation des paiements par carte.
Attendus nombreux pour les Jeux olympiques, les clients asiatiques pourront ainsi régler leurs courses dans les magasins de l’enseigne par QR code avec leurs portefeuilles électroniques habituels.
Même s’ils restent à parfaire, les textes présentés par la Commission européenne en juin dernier apportent de bons compléments au cadre actuel, ce qui devrait faciliter l’essor des nouveaux modèles d'affaires.
L’établissement de paiement considère que son offre s’est nettement étoffée depuis l’origine et que les frais moyens payés par ses clients restent trois fois inférieurs à ceux des autres banques.