En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
Revolut ou Adyen ne sont pas des spécialistes et, pourtant, ces nouveaux entrants ont réussi à atteindre le milliard de dollars de revenus bien plus vite que les acteurs établis.
Les fonds dérobés ont dépassé 1,5 milliard de dollars, selon le Crypto Crime Report 2024 de Chainalysis, mais les sommes captées via des attaques par ransomware ont peu augmenté.
Ensemble, les deux partenaires veulent offrir une intégration simple et un service de qualité aux fintechs et aux insurtechs, comme Qover, leur premier client commun.
C’est ce que prévoit Juniper Research qui estime que le marché des ventes à ligne mondial augmentera de 63% à plus de 11.000 milliards de dollars d’ici à 2029.
Les valorisations des plus grandes fintechs rentrent dans l’ordre grâce à leurs bons résultats. Après des oscillations d’ampleur, ce retour au calme conforte les scénarios de cotation.
Avec Shaka Biarritz et Surfin’Bitcoin, la capitale basque donne un coup de pouce à l’écosystème régional des start-up et se positionne comme une métropole de l’innovation.
Un an après son lancement, le service de paiements en temps réel de la Fed mise sur l’immobilier pour attirer davantage de participants et pousser l’innovation.
La nouvelle édition de «Pulse of Fintech» de KPMG montre une belle dynamique des technologies des paiements et de la réglementation, grâce à l’intelligence artificielle. Mais, globalement, la baisse des financements se poursuit.