A l’occasion d’une conférence de presse faisant le point sur les contrats d’assurance vie de Suravenir, Bernard Le Bras, président du directoire de la compagnie d’assurance, a déclaré que de nombreux assureurs avaient «réouvert depuis fin 2018 la souscription des contrats d’assurance vie à 100% en fonds euro». Cette pratique avait quasiment disparu l’an dernier, les assureurs vie orientant leurs clients vers les unités de compte, plus rémunératrices et qui ont l’avantage de moins peser sur leurs engagements. «Les clients voient en temps réel la performance des fonds, comme par exemple celle de Carmignac Patrimoine (- 11,29 % en 2018, ndlr) et ils se réfugient dans les fonds euros», a-t-il expliqué. Il a précisé que le «100% fonds euro» était plus facile surtout pour les gros patrimoines, au-delà de 500.000 euros, les assureurs gardant pour politique générale de proposer de plus en plus d’UC. «Mais finalement, aller à 100% dans le fonds euro est devenu depuis 4 semaines à contre courant puisque les marchés remontent. (...) Mais les particuliers sont toujours en décalage par rapport aux marchés. S’ils veulent du 100% fonds euros c’est parce qu’ils manquent de visibilité et c’est ça que les assureurs acceptent», a-t-il conclu.
La banque privée allemande Hauck & Aufhäuser Privatbankiers a annoncé ce 31 janvier la nomination de Holger Sepp en tant que membre du directoire. Holger Sepp, qui travaillait précédemment chez Caceis Bank, va ainsi compléter le directoire de la banque privée, dont un siège était vacant depuis le départ, fin 2017, de Stephan Rupprecht qui avait, de sapropre initiative, quitté ses fonctions. Holger Sepp, 53 ans, travaillait depuis 2010 chez Caceis Bank, une entité du groupe Crédit Agricole,où il était notamment responsable des activités d’Asset Servicing en Allemagne. Il était également responsable de tous les clients allemands et autrichiens pour l’ensemble du groupe au niveau mondial. Avant de rejoindre Caceis Bank, il avait occupé différentes fonctions chez Sal. Oppenheim entre 2006 et 2010.
Jorge Rossell vient d'être nommé responsable de la banque privée internationale de Santander et directeur général de Banco Santander International, rapporte Funds Society. Il succède à Alvaro Morales et prendra ses fonctions au 1er février. Jorge Rossell sera rattaché à Victor Matarranz, responsable de Santander Wealth Management, et à Scott Powell, directeur général de Santander aux Etats-Unis. Il a passé 11 années au sein de TotalBank à Miami, société au sein de laquelle il a occupé les fonctions de président et directeur général. Jorge Rossell a également été directeur adjoint de Banco Popular et responsable de l’entité dans les Amériques.
La Banque cantonale bernoise (BCBE) a enregistré l’an dernier des entrées nettesde 1,2 milliard de francs, totalement effacées toutefois par la mauvaise tenue des marchés financiers. Les actifssous gestion se sont contractésde plus de 5% à 17,5 milliards de francs. La BCBE a dégagé un résultat opérationnel en recul de 5,7% à 137,5 millions de francs. Le bénéfice net a néanmoins progresséde 2,4% à 140,8 millions de francs. La différence entre ces deux chiffres s’explique notamment par une hausse des recettes extraordinaires ainsi qu’une réduction de la charge d’impôts et des réserves pour risques bancaires généraux. «La nouvelle augmentation des bénéfices est un signal clair pour moi que notre modèle d’affaires a fait ses preuves, car il est axé sur la sécurité et la longévité», a déclaré Hanspeter Rüfenacht, directeur général démissionnaire.
CPR AM s’est associée au CDP pour le lancement de son nouveau fonds thématique actions internationales, Climate Action, annonce la société de gestion d’actifs dans un communiqué. Ce fonds sera un compartiment de la Sicav luxembourgeoise CPR Invest, dédié à la lutte contre le réchauffement climatique. Il est géré par Alexandre Blein et Arnaud du Plessis. En intégrant les données environnementales du CDP, CPR AM pourra évaluer la capacité d’une entreprise à générer de la valeur économique compatible avec les objectifs de l’accord de Paris. L’univers de départ est constitué par l’indice MSCI World All Countries, environ 2.800 valeurs.
Les assureurs suisses envient le mouvement français de standardisation des pratiques en matière d’investissement durable. C’est en tout cas ce qu’a laissé transparaître Patrick Raaflaub, membre du comité directeur de l’Association suisse d’assurances (ASA), lors de la conférence de presse annuelle de l’assurance où il a exprimé que «des normes, des définitions et des directives communes seraient fort utiles», rapporte le quotidien suisse Le Temps. Le responsable regrette en effet la grande diversité des définitions et critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. Jusqu’ici les organismes et associations s’appuient sur leurs propres modèles. «L’application de telles stratégies s’en trouve compliquée et mobilise plus de ressources», dénonce Patrick Raaflaub. Ce dernier estime que «les dispositions réglementaires créeront une certaine dynamique», et prend pour exemple les pouvoirs publics, en France notamment, la Commission européenne, ou le Luxembourg qui élaborent «des définitions, des méthodes et des normes sur des thèmes comme le changement climatique et les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG)». Concrètement, l’ASA - comme le département fédéral des finances d’ailleurs - apprécierait la mise en place d’une convention privée, plutôt qu’une loi. «Nous avons besoin d’un cadre de référence qui simplifie l’intégration des démarches d’investissement durable», a ainsi fait valoir Patrick Raaflaub. Des considérations qui visent en fait une «optimisation du rendement ajusté du risque. Notre engagement ne doit pas se cantonner aux placements, il peut aussi être étendu aux affaires de souscription», avance-t-il. D’après le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), il faudrait des investissements annuels dans l’énergie de 2400 milliards de dollars entre aujourd’hui et 2035 pour limiter le réchauffement à 1,5 degré Celsius. Cela correspondrait à 3% des actifs des investisseurs. Actuellement, 23 000 milliards de dollars sont administrés dans le monde selon des critères durables, dont 12 000 milliards en Europe, expose Le Temps.
L’association CCFD-Terre Solidaire fait un pas de plus dans la finance solidaire avec le lancement du fonds commun de placement CCFD-Terre Solidaire Faim & Climat. Disponible dans toutes les banques et pour toutes les personnes physiques et morales, le produit permet aussi de reverser 50 % des revenus annuels du placement sous forme de don pour soutenir les missions du CCFD-Terre Solidaire. Les investissements du FCP regroupent des activités considérées comme «écoresponsables» : énergies renouvelables, transport et agriculture propres… D’autres secteurs sont exclus, à savoir l’extraction et l’exploitation des combustibles fossiles, la filière nucléaire, et l’incinération des déchets. Selon Patrick Saurat, trésorier du CCFD-Terre Solidaire, «ce nouveau fonds de partage permettra à des investisseurs avisés et responsables de donner un sens très concret à leurs placements en favorisant les entreprises impliquées dans la transition écologique, explique Patrick Saurat, trésorier du CCFD Terre-Solidaire. Il permettra aussi d’aider nos organisations partenaires du Sud, déjà largement affectés par les effets négatifs du réchauffement climatique, dans leur effort d’adaptation.» Le fonds est actuellement en cours de labellisation par Finansol et par le label Transition Energétique et Ecologique pour le Climat (TEEC). Le label Finansol - créé par l’association éponyme qu’a d’ailleurs cofondé CCFD Terre Solidaire - garantit aux épargnants qu’ils contribuent au financement d’activités d’utilité sociale. Le label TEEC confirme l’orientation des investissements vers le financement de la transition écologique et énergétique. L’association est déjà très impliquée dans la finance solidaire. Elle est notamment bénéficiaire du Livret Jeune Agir, produit du Crédit Coopératif, et a mis en place le fonds SG Solidarité CCFD Terre Solidaire en partenariat avec la Société Générale, ainsi que l’assurance-vie Ethic Vie, qui sert à financer des entreprises solidaires (entre 5% et 10% de son actif) et reverse 20% des commissions de gestion sous forme de don. AB.
Fredéric Janbon, directeur général et responsable des gestions de BNP Paribas Asset Management, était invité du Paris Fintech Forum le 30 janvier. Lors d’une conférence portant sur les évolutions digitales dans la gestion d’actifs, il a fait remarquer que dans ce métier, les coûts constituaient une vrai pression dans la distribution et que la personnalisation des réponses apportées aux demandes d’investissement des particuliers était un élément d’avenir. «L’un des bénéfices principaux des nouvelles technologies réside dans la capacité d’analyse, de compréhension et d’anticipation des besoins et du comportement des clients», a-t-il expliqué, précisant que chaque client étant unique, il fallait une solution unique. " La contrainte va donc être de trouver quelque chose qui convient bien au client et ensuite à notre business model. Dans la distribution de fonds, la technologie est une grande opportunité. Nous étions très standardisés jusqu'à présent, mais la technologie nous aide dans la personnalisation». La société de gestion a pris l’an dernier une part majoritaire dans le robo-advisor Gambit. Frédéric Janbon a jugé que l’intégration de Gambit avait été un succès. Il a conclu en indiquant que BNP Paribas Asset Management " avait plein de choses à l’esprit en termes de partenariats avec des fintechs. (...) On doit rendre l’espace de la gestion plus attractif et excitant pour les gens».
Près de 300 investisseurs étaient présents pour la conférence annuelle de J.P.Morgan Asset Management (JPMAM ) qui s’est déroulée jeudi 31 janvier au Théâtre Marigny. L’intégration croissante des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance au sein des gestions de la firme américainea été le fil conducteur de l'événement. Tous segments confondus, l’ESG concernait667 milliards de dollars d’encours répartis sur 276 stratégies chez JPMAM à fin novembre 2018. Dans le détail, 369 milliards de dollars d’encours sur le segment obligataire (soit 100% des encours obligataires) intégraient les critères ESG ainsi que 207 milliards de dollars d’encours sur la partie actions (60% des encours) et 91 milliards de dollars d’encours sur les stratégies alternatives (78% des encours). Le gestionnaire d’actifs américain fait de l’ESG une de ses priorités de développement, ainsi que le soulignait Pietro Grassano, directeur général de JPMAM France dans son introduction. JPMAM a mis sur pied une équipe dédiée à l’investissement durable, SILT, depuis 2016, unité qui comprend une quarantaine de membres planchant sur les bonnes pratiques en la matière. Parmi les intervenants, Pierre-Yves Bareau, directeur de la gestion dette émergente,a notamment défendu l’importance de l’ESG lors d’investissements dans les pays émergents, citant l’exemple du Mexique et du Venezuela, deux obligations gouvernementales notées double B à la fin des années 90par les agences de notation. «Les deux pays ont connu une trajectoire totalement opposée. Après la crise Tequila de 1994-95, le Mexique a su se relever à travers notammentune politique d’ouverture vers les Etats-Uniset des réformes. Il est noté triple B aujourd’hui. Le Venezuela, lui, est en défaut», a-t-il relevé, ajoutant qu’un biais ESG pouvait permettre de limiter la casse durant les phases baissières du marché obligataire émergent et aussi d'être moins concentré sur les plus gros émetteurs émergents comme la Chine, l’Inde ou le Brésil. Néanmoins, Pierre-Yves Bareau a observé que si la couverture en matière de données ESG s’améliorait chez les marchés émergents, la qualité et la cohérence des données manquaient toujours au rendez-vous, notamment sur la dette quasi-souveraine et la dette d’entreprise. Ainsi selon JPMAM, seulement 53% des émetteurs dedette quasi-souveraine émergenteet 78% des émetteurs de dette d’entreprise disposaient d’une notation MSCI ESG en janvier 2019 tandis que la dette souveraine était notéeà 93%. 600 sociétés et 50 émetteurs souverains émergents sont rencontrés chaque année en moyenne par les équipes de gestion marchés émergents de JPMAM. L’approche ESG de la firme ne se limite pas seulement à l’intégration. Pour ses ETF, elle se base sur l’exclusion tandis que le best-in-class est implémenté pour ses produits durables actions européennes et internationales (JPM Euro Sustainable Equity Fund, JPM Global Sustainable Equity Fund).
La société a étoffé sa présence en Afrique de l’Est avec l’arrivée dans ses équipes de Ceasar Nyagah, en tant que directeur d’investissement basé à Nairobi au Kenya.
Le groupe La Française a nommé ce jeudi Eric Bouvier en tant que chef de projet organisation en charge du pôle immobilier. L’intéressé aura notamment pour mission d’accélérer les différents projets visant à la transformation digitale du groupe. « L’arrivée d’Eric Bouvier au sein du service organisation montre l’importance que nous donnons au secteur immobilier de notre activité.Son expérience va nous permettre de faire évoluer nos outils et processus dans un secteur en profonde évolution »,se réjouit Christelle Fabreguettes, responsable organisation du groupe La Française. Diplômé d’une maitrise d’informatique, Eric Bouvier débute sa carrière au sein du principal éditeur de logiciels immobiliers Français durant 10 années pour évoluer jusqu’au rôle de responsable produit. Puis, il devient directeur des systèmes d’information au sein du groupe Atis Real Auguste Thouard (groupe Vendôme Rome). En 2004, il crée sa première société Immodecision qui conseillera les principaux property managers français et les équipera pour la plupart de la solution de reporting SAFIR. Après avoir participé à l’intégration de cette structure au sein du groupe Herdia, il crée et développe la société Decimmo. Eric Bouvier a par ailleurs pris depuis 2006 la fonction de secrétaire général de l’association professionnelle FIDJI qui œuvre pour la standardisation des échanges entre les acteurs professionnels du secteur l’immobilier.
Azimut Capital Management SGR, société du groupe Azimut qui regroupe le réseau des conseillers financiers, s’est renforcée en 2018 avec 60 recrutements au sein de la région comprenant la Toscane et les régions du centre-Sud de l’Italie. Ainsi, Luca Ferrario et Marco Censi, du Credito Valtellinese, Gianpaolo Passoni, de Sanpaolo Invest, ont rejoint l’équipe de Monza dirigée par Fabio Arioldi. A Rome, Massimo Trotta, de BIF Ldt Londra, et Roberto Pittelli, de Deutsche Bank, renforcent l’équipe de Luca Puggioni. En outre, Simona Palazzoli d’Unicredit et Rosanna Sassoli de Credem intègrent le pôle d’Arezzo dirigé par Fabrizio Corti. Enfin, Ugo Boffelli, d’Intesa San Paolo, a rejoint l’équipe de Bergame où opère le manager Gianfranco Gaudino.
Après le départ de trois professionnels d’iShares Italy (BlackRock), la société tente de se réorganiser, rapporte le site italien Bluerating. Ainsi, Andrea Favero va remplacer Marco Tabanella, qui était responsable des clients wealth et retail d’iShares Italy. Désormais, Andrea Favero est responsable iShares Italy Wealth. Il manque toutefois l’aspect «retail», qui n’est pas recouvert par le poste, note Bluerating. Le poste occupé par Emanuele Bellingeri, responsable iShares en Italie, reste vacant. Le dirigeant a rejoint Credit Suisse AM à Milan, où il est responsable de l’activité gestion d’actifs en Italie. Selon certaines rumeurs, iShares pourrait ne pas le remplacer. Le nom d’Enrico Camerini, actuellement responsable des clients institutionnels d’iShares en Italie, comme éventuel successeur, a circulé. Mais rien n’a été décidé pour le moment.
State Street Global Advisors vient de lancer à la Bourse de Milan cinq ETF actions SPDR, rapporte Funds People Italia. Il s’agit d’un ETF sur les actions monde et de quatre ETF sectoriels offrant une exposition à l’énergie, aux financières, aux valeurs technologiques et à la santé à l’échelle internationale. «2019 a été une année record pour la collecte des ETF SPDR, en particulier sur le marché italien. La cotation de ces produits confirme notre intention de renforcer une présence déjà importante à l’échelle locale (…)», a affirmé Francesco Lomartire, responsable de SPDR pour l’Italie. Les cinq ETF cotés sur Borsa Italiana sont les suivants: - SPDR MSCI ACWI UCITS ETF - SPDR MSCI World Energy UCITS ETF - SPDR MSCI World Financials UCITS ETF - SPDR MSCI World Health Care UCITS ETF - SPDR MSCI World Technology UCITS ETF
State Street Global Advisors has listed five SPDR equity ETFs on the Milan stock exchange, Funds People Italia reports. They include one ETF of global equities, and four sectoral ETFs offering exposure to energy, financials, tech stocks and health care worldwide. “2019 was a record year for inflows to EPDR ETFs, particularly on the Italian market. The listing of these products confirms our intention to add to our already large local presence,” says Francesco Lomartire, head of SPDR for Italy. The five ETFs listed on Borsa Italiana are the following: - SPDR MSCI ACWI UCITS ETF - SPDR MSCI World Energy UCITS ETF - SPDR MSCI World Financials UCITS ETF - SPDR MSCI World Health Care UCITS ETF - SPDR MSCI World Technology UCITS ETF
Zencap Asset Management a obtenu le label «Transition énergétiqueet écologique pour le Climat» (TEEC) pour le fonds Zencap Energy Transition Debt III.Ce label a été obtenu à l’issue d’un audit mené par Novethic et s’inscrit dans la démarchede financements de projets européens d’infrastructure lancée en 2014 par ZencapAM. Créé dans la dynamique de la COP21 en décembre 2015, le label Transition énergétiqueet écologique vise à accroître les investissements au bénéfice de la croissance verte, enmettant en lumière les fonds d’investissement «verts». Zencap Energy Transition Debt III a réalisé son premier closing en décembre 2018. La levéede fonds se poursuit en 2019, auprès d’investisseurs institutionnels.
The Carlyle group, an alternative asset management firm, on Thursday31 January announced the first and final closing of its Carlyle Europe Technology Partners IV fund, with EUR1.35bn. The fund will invest in small and mid-sized tech companies in Europe and the United States. Fundraising began in October 2018, and has attracted sustained interest from subscribers, allowing the Carlyle group to virtually double its size compared with the previous edition in the fund series, and to reach its hard cap quickly. Investors worldwide have participated, including sovereign funds, public and private pension funds, insurance companies, funds of funds, foundations, family offices, and high net worth individuals. The transatlantic team at the fund, including 19 people, will pursue a strategy of investment in BtoB SMEs in Europe and the United States in the technology, media and telecommunications (TMT) sector. Since its creation, Carlyle has invested USD16.2bn through 193 investments in the sector by its venture capital activity, which represents a total of USD82bn in assets under management, with 294 professionals.
Bellevue Group annonce que ses encours sous gestion sont descendus juste en dessous de la barre des 11 milliards de francs suisses, compte tenu des conditions de marché. A la fin du premier semestre, ils avaient atteint un niveau record de 12,7 milliards de francs. Son bénéfice net devrait s’élever à près de 20 millions de francs suisses pour l’année 2018, selon des résultats provisoires. Des conditions de marché difficiles au second semestre 2018 ont diminué la performance opérationnelle du groupe, se traduisant par un bénéfice d’exploitation annuel estimé à environ 24,6 millions de francs suisses. Il était de 13,5 millions au 30 juin. Les résultats définitifs seront publiés le 26 février. Bellevue annonce par ailleurs que Veit de Maddalena, actuel administrateur, sera proposé en tant que nouveau président du conseil d’administration lors de l’assemblée générale de mars 2019. Il est le successeur désigné de Thomas von Planta, qui a décidé de ne pas se représenter. Mirjam Staub-Bisang ne se représente pas également. Katrin Wehr-Seiter et Urs Schenker seront proposés comme nouveaux membres du conseil d’administration. Katrin Wehr-Seiter est associée et managing director de BIP Capital Partners et BIP Investment Partners, tandis que Urs Schenker est avocat auprès de Walder Wyss à Zurich.
La souscription, le rachat et la conversion des actions du compartiment «ABN AMRO Multi-Manager Funds AQS Europe Long Short» sont suspendus, a appris NewsManagers. Le conseil d’administration a estimé, compte tenu du faible niveau actuel des actifs sous gestion du compartiment, que ce dernier «ne peut plus être géré efficacement». La décision a eu effet immédiat à compter du 25 janvier 2019. Une telle décision devrait rester en vigueur jusqu’à la décision formelle de liquider le compartiment, sauf décision contraire du conseil d’administration dans l’intervalle.
Subscriptions, redemptions and conversions of shares in the sub-fund ABN AMRO Multi-Manager Funds AQS Europe Long Short have been suspended, NewsManagers has learnt. The board of directors was of the opinion that in light of the current low level of assets under management in the sub-fund, it “cannot be managed efficiently.” The decision takes effect immediately from 25 January 2019. This decision would remain in effect pending a formal decision to liquidate the sub-fund, in the absence of any contrary decision by the board of directors meanwhile.
Les investisseurs immobiliers IvanhoéCambridge, filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec et Oxford, le bras immobilier d’OMERS, ont annoncé ce 30 janvierqu’ils ont conclu un partenariat à parts égales pour investir dans la société de logistique américaine IDI Logistics et la totalité de ses actifs, qui ont été acquis précédemment d’un fonds immobilier commandité par Brookfield, pour un montant qui n’a pas été divulgué. L’acquisition initiale par IvanhoéCambridge auprès de Brookfielda été effectuée le 30novembre2018. «Cette transaction illustre parfaitement notre stratégie qui consiste à miser sur la croissance de la demande pour des installations logistiques dans le monde, notamment par une augmentation notable de nos investissements dans ce secteur sur quatre continents. En un peu plus de deux ans, nos investissements engagés dans le secteur industriel et logistique sont passés de plus de 2 milliards de dollars canadiensà plus de 9 milliards de dollars canadiens», a commenté Mario D. Morroni, vice-président exécutif, Industriel, Amérique du Nord d’Ivanhoé Cambridge. «Cette acquisition en logistiques, la première d’Oxford aux États-Unis, s’ajoute aux actifs industriels que nous possédons au Canada et est conforme à notre stratégie d’investissement qui consiste à créer et à développer un portefeuille composé de ce qu’il y a de mieux en fait d’actifs logistiques à l’échelle du globe, a commenté KevinEgan, chef des investissements à NewYork et aux États-Unis, groupe immobilier Oxford. Elle met également en évidence l’évolution et l’essor de notre division américaine, qui s’occupe activement de faire des investissements et de la gestion dans les secteurs des bureaux, du commerce de détail, des résidences multifamiliales, de la logistique et du crédit, et qui possède environ 15,1 milliards de dollars USd’actifs sous gestion.» IDILogistics, qui est basée à Atlanta, est un des plus importants développeurs et gestionnaires d’immobilier logistique aux États-Unis, et une plateforme logistique entièrement intégrée.En 30ans d’existence, IDILogistics a développé plus de 100parcs industrielset 750entrepôts. Goldman, Sachs & Co. LLC et Cushman & Wakefield ont agi respectivement en qualité de conseiller financier et conseiller immobilier d’IvanhoéCambridge. Oxford a été conseillé par Morgan Stanley pour ce qui est des aspects financiers et a bénéficié des services-conseils immobiliers de CBRE National Partners.
L’activité ETF de SSGA, SPDR, a recruté trois spécialistes du développement produits pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA), rapporte InvestmentEurope. Luca Zanoni et Antoine Boulet viennent d’Invesco ETF, tandis que Simon Hutcheson arrive en provenance de Citigroup. Luca Zanoni travaillait précédemment pour le pôle stratégie produits et ventes chez Invesco ETF, et s’occupait plus précisément des produits obligataires en Europe, Moyen-Orient et Afrique. Il était précédemment analyste produits chez Mediolanum International Funds en Irlande. Antoine Boulet travaillait aussi pour le pôle stratégie produits et ventes, en charge des ETP dans la zone EMEA. Avant cela, il travaillait pour Société Générale CIB et Lyxor ETF. Simon Hutcheson, de son côté, était «vice president, structurer, global markets» chez Citigroup.