AEW has announcedthe appointment of Bianca Kraus as a director of investor relations with responsibility for German-speaking clients. She will be based in Munich and will sit within the international investor relations team, with responsibility for building and managing relationships with institutional investors in Germany, Austria and Switzerland. Bianca Kraus will also support capital raising activities across Europe, promoting AEW’s global suite of products, and will have direct involvement in new product development programmes. AEW has experienced strong growth in its German platform in recent years, with €3.2bn of assets under management and 44 institutional clients as at 31 December 2018. In November 2018, AEW expanded its German investment management business with the acquisition of Hypoport Invest GmbH. Bianca Kraus has worked in the real estate industry for over 20 years, focused on institutional funds. Prior to joining AEW, she was head of customer and fund relations at BNP Paribas REIM. «Germany is a key market for us, being both a major source of capital and an important location for our investment and asset management activity. We have invested significantly into our German operations and this is another step in that strategy», said Rob Wilkinson, AEW’s European CEO in a press release.
Frankfurt-based Falcon Vermögensverwaltung AG, which specialise in the development of alternative investment products, and Universal-Investment have launched a mixed fund, Falcon Stabilität. The fund, which is authorised for distribution in Germany and Switzerland, relies on a derivative arbitrage strategy. The objective is to generate arbitrage profits in all market phases by exploiting price differences between various financial derivatives. «The investment strategy is completely uncorrelated to other asset classes», explains Universal-Investment ina press release.Falcon Stability seeks to achieve an annual target return of at least 4% after costs, with target volatility at a maximum of 5%. The strategy is supported by an algorithm continuously scanningthe price movements of more than 1.4 million derivative financial products in Germany alone. It identifies products whose characteristics such as underlying, subscription ratio and maturity are identical, but whose prices differ due to mispricing or market inefficiencies. This price difference can be collected by simultaneous buying and selling (long-/short position).
Alors qu’il était candidat à la présidence du parti conservateur CDU en novembre 2018, Friedrich Merz se montrait hésitant lorsqu’on lui demandait s’il était millionnaire. Depuis cette date, il est devenu clair que le patron du conseil de surveillance de BlackRock est bien millionnaire, notamment depuis la récente entrée en Bourse du groupe Stadler Rail qui valorise la société suisse à quelque 4,3 milliards de francs, constate le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). Friedrich détient en effet 150.000 actions Stadler, qui représentent près de 6 millions d’euros à son cours de vendredi soir (43,1 francs). Friedrich Merz, qui avait l’an dernier reconnu du bout des lèvres que ses rémunérations brutes devaient tourner autour du million d’euros en comptant ses différents mandats (conseils de surveillance, conseiller), aurait toutefois démissionné de son poste de membre du conseil de surveillance de HSBC, rapporte le quotidien financier Handelsblatt.
La boutique de gestion péruvienne El Dorado Asset Management s’est associé à BlackRock pour lancer ses trois premiers fonds. Ce partenariat fait de BlackRock le sub-advisor (conseiller) des fonds concernés qui sont domiciliés au Pérou selon un communiqué conjoint des deux sociétés. El Dorado réalisera les transactions en se basant sur un modèle d’allocation d’actifs fourni par l'équipe de solutions de portefeuilles modèles de la firme américaine. La gamme de fonds inclut un fonds investi en actions internationales, un fonds obligataire ainsi qu’un fonds diversifié allouant 60% aux marchés actions et 40% aux marchés obligataires. Une raison pour laquelle les fonds sont domiciliés au Pérou est qu’une taxe de 5% est appliquée aux investissements dans des fonds péruviens tandis que les fonds domiciliés à l'étranger peuvent être taxés jusqu'à 30%. Avec cette première gamme de fonds, El Dorado, qui a obtenu son agrément en tant que société de gestion au Pérou l’an dernier, s’adresse aux family offices ainsi qu’aux clients fortunés.
Julius Baer veut accélérer la vente de la société de gestion italienne Kairos qu’il détient à 100 % après le départ du fondateur de cette dernière, Paolo Basilico, rapporte Plus, le supplément hebdomadaire d’Il Sole – 24 Ore. L’hypothèse que la société finisse aux mains d’un groupe de private equity semble s’éloigner. Un mariage avec un actionnaire industriel en quête de fusion pour croître semble plus probable. L’hebdomadaire cite les noms de Banca Generali, de Lombard Odier et surtout de Mediobanca. Le prix de l’opération tournerait autour de 400 millions d’euros.
Larry Fink, le directeur général de BlackRock, a gagné 24 millions de dollars en 2018, soit une baisse de 14 % par rapport à l’année précédente, montre le rapport publié vendredi en vue de l’assemblée générale. Cette baisse a reflété le recul du cours du titre de 24 % l’an dernier. «Le conseil d’administration de BlackRock et moi-même pensons que la performance du cours de notre action devrait être un critère dans la détermination de la rémunération de nos dirigeants», écrit le patron dans ce document. Les autres dirigeants ont aussi vu leur rémunération baisser.
Valérie Meurice a pris le poste de «business development manager» de Lord, Abbett & Co. à Paris, selon son profil LinkedIn. Cette ancienne de FundQuest, qui avait créé son cabinet de conseil Préférence Conseil, va s’occuper du bureau parisien de la société de gestion du New Jersey, dont NewsManagers avait annoncé la création en décembre dernier. Société de gestion fondée en 1929, Lord Abbett gérait 169,3 milliards de dollars fin septembre 2018. En Europe, la société commercialise une gamme de fonds domiciliés en Irlande, Lord Abbett Passport Portfolios, qui comprend 10 fonds Ucits. Ces produits sont enregistrés à la commercialisation en France depuis novembre 2015.
AEW a annoncé ce 12 avril la nomination de Bianca Kraus en qualité dedirectrice des relations investisseurs en Allemagne. Elle sera basée à Munich et rejoindra l'équipe internationale des relations investisseurs. Elle aura la responsabilité de construire et diriger les relations avec les investisseurs institutionnels en Allemagne, en Autriche et en Suisse. Bianca Kraus aideraégalement les levées de fonds dans toute l’Europe etfera la promotion de toute la gamme de produits d’AEW. Elle sera aussi mise à contribution sur le développement de nouveaux produits. L’intéressée a travaillé pendant près de 20 ans dans l’industrie immobilière, spécialisée dans les fonds institutionnels. Avant de rejoindre AEW, elle était directrice des relations clients chez BNP Paribas REIM. Au cours des dernières années, AEW a connu une forte expansion de sa plateforme allemande avec 3,2 milliards d’euros d’encours et 44 clients institutionnels au 31 décembre 2018. Ennovembre dernier, la société a renforcé son équipe d’investissement en Allemagne avec l’acquisition d’Hypoport Invest GmbH.. «L’Allemagne est un marché clef pour nous. C’est à la fois une source majeure de capital mais également une zone importante pour nos activités d’investissement et de gestion d’actifs. Nous avons investi significativement dans nos opérations en Allemagne et cette nomination est un nouvelle étape dans cette stratégie», a indiqué dans un communiqué Rob Wikinson, CEO Europe d’AEW.
La division Asset & Wealth Management de JPMorgan Chase & Co. a enregistré des souscriptions nettes de 5 milliards de dollars au premier trimestre 2019. Les fonds obligataires ont été les seuls moteurs de la collecte, avec 19 milliards de dollars d’entrées nettes. En revanche, les fonds actions ont vu sortir 6 milliards de dollars nets, les fonds multi-asset et alternatifs, 3 milliards, et les fonds monétaires, 5 milliards. Les encours sont ressortis à 2.100 milliards de dollars, en hausse de 4 %. En intégrant la conservation, le courtage, l’administration et les dépôts, les actifs ressortent à 2.897 milliards de dollars. Les revenus sont restés stables à 3,5 milliards de dollars. Et le bénéfice net a reculé de 14 % à 661 millions de dollars.
The Asset & Wealth management division of JPMorgan Chase & Co. has posted net subscriptions of $5bn in the first quarter of 2019. Bond funds were the sole drivers of inflows, with $19bn in inflows, However, equity funds saw net outflows of $6bn, while multi-asset and alternative funds saw $3bn, and monetary market funds $5bn. Assets totalled $2.1trn, up by 4%. Taking custody, brokerage, administration and deposits into account, assets totalled $2.897trn. Earnings remained stable at $3.5bn, while net profits dipped by 14% to $661m.
Le marché des ETF est-il à un tournant de son histoire ? Après le feu vert donné il y a quelques jours par la Securities & Exchange Commission (SEC) à des ETF non transparents, une start-up suisse travaille à l'élaboration d’une solution alternative aux fonds indiciels, basée sur une approche quantitative, rapporte le site spécialisé finews. Un anti-ETF en quelque sorte! La start-up, Systematic Investment Management ou Simag, un rejetonde l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETH), est dirigée depuis novembre 2018par Christian Gast, «Monsieur ETF» sur le marché suisse qui a pendant dix-huit ans distribué des ETF, d’abord chez UBS, ensuite chez Blackrock. La start-up a le soutien de Credit Suisse et de l’université, notamment en la personne de Didier Sornette, un professeur de physique qui fait des recherches sur les marchés financiers depuis des décennies. Simag a également accès au super calculateur d’ETH, qui a fourni les bases pour l'élaboration du produit. La stratégie quantitative repose sur des enseignements tirés de la physique, des systèmes autonomes, du deep learning et de la finance comportementale. Les fondateurs de Simag ont passé trois ans à développer leur approche et la start-up va désormais passer aux travaux pratiques en essayant de convaincre les investisseurs du bien-fondé de cette approche. En quelques mots, il s’agit de surperformer le marché de 2% hors coûts. La commission est de 0,25%, très modérée et en ligne avec la tarification des ETF. Si l’en en croit la jeune société, Simag offre un produit qui ne coûte pas plus cher qu’un ETF mais qui dégage une performance légèrement supérieure. «Nous espérons voir des clients institutionnels échanger une partie de leurs fonds indiciels», déclare Christian Gast qui est à lamanoeuvre auprès des clients. De son point de vue, le marché des ETF arrive à saturation après avoir dégagé une croissance annuelle d’environ 19% entre 2008 et 2018. Selon Christian Gast, ce taux de croissance devrait être divisé par deux. La start-up étudie à l’aide d’un ordinateur la performance de 7.500 titres dans le monde, analyse les tendancesà l’oeuvre et constitue des portefeuilles de 150 valeurs sur la base d’un système à points. A partir de là, le système sélectionne les 10% de valeurs les plus prometteuses, les 10% avec le plus fort potentiel de baisse étant affectées d’une pondération négative. La procédure est mise en oeuvre sur une base quotidienne et doit permettre d'éviter les pièges du marché. Simag a déjà attiré 100 millions de francs dans deux fonds et la collecte devrait poursuivre son ascension, selon Christian Gast, compte tenu des bons résultats enregistrés.
Is the ETF market at a turning point in its history? After approval was granted by the Securities & Exchange Commission (SEC) for non-transparent ETFs a few days ago, a Swiss startup is working to develop an alternative to tracker funds based on a quantitative approach, the Swiss website finews reports. Systematic Investment Management, or Simag, a spinoff from the Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETH), led since November 2018 by Christian Gast, known as “Mr. ETF,” who has been distributing ETFs on the Swiss market for 18 years, first at UBS and then at BlackRock, is developing a kind of anti-ETF on the Swiss market. The startup is supported by Credit Suisse and the University, with the personal support of Didier Sornette, a physics professor who has been doing research into financial markets for several decades. Simag also has access to ETH supercomuting resources, which have provided the basis for the development of the product. The quantitative strategy is based on lessons from physics, autonomous systems, deep learning, and behavioural finance. The founders of Simag have spent three years developing their approach, and the startup will now move into the practical stage, in an effort to win over investors that the approach has solid foundations. In a few words, the approach aims to outperform the market by 2%, not including costs. The commission is 0.25%, which is very low by comparison with ETFs. Although the firm is still very young, Simag is offering a product which does not cost more than an ETF, but which returns slightly higher performance. “We hope to see institutional clients trading in a part of their tracker funds,” says Gast, on the hunt for clients. From his perspective, the ETF market is becoming saturated, after annual growth of about 19% between 2008 and 2018. According to Gast, this growth rate can be expected to be halved in the future. The startup uses computers to study the performance of 7,500 stocks worldwide, to analyse trends and build portfolios of 150 stocks on the basis of a point system. From there, the system selects 10% of the most promising stocks, the 10% with the strongest potential to fall, and assigns these a negative weighting. The procedure is conducted daily, and can help to avoid market pitfalls. Simag has already attracted CHF100m for its two funds, and inflows are expected to continue to rise, according to Gast, given the good results thus far.
La société allemande FalconVermögensverwaltung AG, spécialisée dans le développement de produits d’investissements alternatifs, et Universal-Investment ont lancé le 10avril dernier un fonds mixed baptiséFalcon Stabilität (ISIN DE000A2JQKW4 / DE000A2JQKV6) ou Falcon Stability. Le fonds, qui est autorisé à la vente en Allemagne et en Suisse, suit une stratégie d’arbitrage de dérivés. Son objectif est de générerdes profits sur l’ensemble des phases de marché en exploitant les différences de prix entre des dérivés financières variées. «La stratégie d’investissement est complètement décorrélée des autres classes d’actifs», assure Universal-Investment dans un communiqué. Le fonds vise une performance annuelle nette de frais d’au moins 4 % avec une volatilité cible de 5 % maximum. La stratégie repose sur un algorithme spécialement conçu pour scanner continuellement les mouvement des prix des dérivés, dont plus de 1,4 million de produits dérivés sur le seul marché allemand. L’algorithme identifie les produits dont les caractéristiques comme la maturité, le ratio de souscription ou les sous-jacents sont identiques, mais dont les prix diffèrent en raison d’inefficience de marché ou d’un mauvais pricing. Le fonds capitalise sur ces écarts en prenant simultanément des positions à l’achat et à la vente sur ces produits.
La dette du Venezuela pourrait bien sortir de nombreux indices obligataires sur les marchés émergents. Dans une note adresséeaux clients des indices de JPMorgan que l’agenceReuters a pu consulter, la banque indique avoir mis sous surveillance(«index watch») les emprunts souverains du Venezuela ainsi que la dette émisepar la compagnie pétrolière publique PDVSA dans ses indicesEMBIG Diversified, EMBIG et EMBI+. JPMorgan Chase explique cette mise sous surveillance en raison «des perturbations de cotation provoquées par les sanctions américaines à l’encontre du gouvernement du président Nicolas Maduro». Concrètement, jusqu’au 28 juin (la fin de la période de revue),la banque va évaluer la liquidité et la viabilité des transactions et regardera de prèsla communication officielle sur le marché secondaire de la dette vénézuélienne. Une fois la période terminée, «une action plus définitive pour le Venezuela dans l’indice sera établie», a annoncé la banque. À l’heure actuelle,20 obligations émises par le Venezuela, dont12 étant de la dette souveraine et huit des emprunts émis par PDVSA,figurent dans l’indice de référence EMBIG Diversified et pèsent 0,97 % du «poids» total de l’indice.
Merope Asset Management, société d’investissement et de développement immobilier fondée et dirigée par Pietro Croce, vient d’accueillir Lorenzo Niccolini en tant que responsable de l’équipe d’investissement. Il est nommé principal – investment & asset management. Entre avril 2016 et mars 2019, Lorenzo Niccolini était senior consultant dans l’équipe Capital Markets de Jones Lang LaSalle. Merope a été créée en 2015.
Bankia AM has appointed Miguel Antonio Benitez Mata as fund selector on its fund of fund management team, Citywire Selector reports. The appointment follows that of Eva Martin as part of the same team last week, the British media is reporting. The two recruits will report to César Gil, director of funds of funds. Mata had worked at Bankia Funds for nine years as a fund analyst and risk controller. Martin, for her part, has spent the past three years at Crèdit Andorrà Asset Management as a senior fund manager. She previously spent eight years at Unigest. The fund of funds team at Bankia AM has €10.5bn in assets under management, nearly 60% of total assets at the firm.
MFS Investment Management announced yesterday the launch of MFS MeridianFunds – Global Intrinsic Value Fund. The fund is co-managed by portfolio managers Benjamin Stone and Pablo de la Mata. The duo has a long track record of managing global and European equity portfolios, including MFS MeridianFunds – European Value Fund. This new fund seeks out companies believed to be undervalued relative to their intrinsic value. It invests in equity securities of companies of any size domiciled in developed markets, with the option of also investing in emerging market companies. The fund aims to add value through a bottom-up stock selection process. The goal is to generate attractive risk-adjusted returns over a full market cycle, with a focus on potential downside risk. The fund is domiciled and regulated in Luxembourg and structured as a Sicav. It is registered in 17 countries across Europe, including France, Germany,Italy and the United Kingdom.
AQR Capital Management announced the establishment of an office in Frankfurt, Germany. The new office reflects AQR’s commitment to enhance its ability to serve German clients and expand its European presence. AQR’s expansion into Germany is supported by a dedicated local team led by Axel Weiss,managing director and head of Germany and Austria business development. AQR’s German team will collaborate closely with its London office to augment AQR’s European presence. AQR is headquartered in Greenwich, Connecticut, with offices in Bangalore, Boston, Chicago, Frankfurt, Hong Kong, London, Los Angeles, Sydney and Tokyo. As of March 31, 2019, AQR and its affiliates had approximately $203bnin assets under management.
La société d’investissement digitale Betterment va proposer au troisième trimestre une nouvelle gamme de fonds aux conseillers indépendants qui pourront les acheter et les vendre sans frais sur la plate-forme de la société, rapporte le Wall Street Journal. Cette offre est celle de Dimensional Fund Advisors, qui gère 576 milliards de dollars.
Thomas Page-Lécuyer, qui a occupé les fonctions de spécialiste d’investissement senior sur les solutions multi-actifs et de stratégiste économique cross asset chez CPR Asset Managment, a quitté la firme, a appris NewsManagers. L’intéressé, qui évoluait depuis plus de 4 ans chez CPR AM, a rejoint Aviva Investors France en avril au poste de spécialiste d’investissement senior. Avant CPR AM, Thomas Page-Lécuyer était gérant de portefeuilles privés et de fonds diversifiés au sein d’Amundi. Il a débuté sa carrière en 2006 au poste de spécialiste produits sur les fonds structurés et les ETF chez Société Générale AM avant que celle-ci ne soit fusionnée avec Crédit Agricole AM pour devenir Amundi.
Thomas Page-Lécuyer, who held roles ofsenior investment specialist on multi-assetsolutions and strategist cross asset at CPR Asset Management, has left the firm, NewsManagers can reveal. Page-Lécuyer, who had more than a four-year tenure with CPR AM, has joined Aviva Investors France in April as senior investment specialist. Prior to working at CPR AM, he was a private portfolio and balanced fund manager at Amundi. He started his career in 2006 as product specialist on ETFs and structured products at SGAM before it was merged with CAAM to become Amundi.
Les ambitions d’Apicap se précisent. La société de private equity, qui s’est récemment lancée dans l’immobilier, a annoncé jeudi vouloir atteindre un milliard d’euros d’actifs investis dans ce segment d’ici cinq ans. «Notre objectif est que l’immobilier représente 60% de nos actifs sous gestion d’ici 2024», a précisé Alain Esnault, président d’Apicap, lors d’une conférence de presse à laquelle L’Agefi Quotidien a assisté. Pour ce faire, Apicap a créé deux véhicules d’investissement destinés à des clients privés fortunés et à des institutionnels pour financer des opérations de marchands de biens ou de promotion immobilière en Ile-de-France, grandes métropoles françaises et en zone euro. Le premier est un FPCI (fonds professionnel de capital investissement en immobilier) avec une durée d’investissement de 6 ans minimum et un ticket moyen entre 150.000 et 200.000 euros. Le deuxième revêt la forme d’un «club deal» (un club d’investisseurs restreints constitué autour d’un portefeuille d’actifs, ndlr) pour des investissements d’une durée de trois à quatre ans et des tickets moyens de près de 350.000 euros. «Nous avons levé 20 millions d’euros depuis deux ans et nous lèverons le même montant bientôt car des véhicules dédiés sont en train de se créer», explique Charles-Edouard Berouti, directeur du développement d’Apicap. Les objectifs de rendement oscillent entre 9 et 12%, soit un multiple sur fonds propres d’environ 1,5 à 2. Les risques, notamment de perte en capital, sont toutefois plus élevés que ceux d’une activité patrimoniale, rappelle l’entreprise. Pour l’instant, Apicap a déjà 70 millions d’euros d’opérations immobilières en cours de signature. Dans le détail, plus de 25 millions d’euros de biens immobiliers ont été acquis ou sont sous promesse d’achat, et près de 45 millions d’euros sont en cours d’étude. La société a ainsi acheté un immeuble en bloc dans le 11e arrondissement de Paris pour 2,7 millions d’euros, qu’elle compte revendre à la découpe pour un multiple sur fonds propres de près d’1,7. Début mai, elle doit, par ailleurs, annoncer une opération de plus de 10 millions d’euros en région parisienne. «Nous allons augmenter progressivement la taille des opérations pour répondre à la forte demande sur ce type de véhicules», indique Patrick Lenoël, co-directeur du pôle immobilier du groupe. Avec cette stratégie, Apicap, qui gère à l’heure actuelle plus de 600 millions d’euros d’actifs au total, ambitionne de passer à 2 milliards d’ici à 2024.
La fondation Rockefeller, qui représente 4,7 milliards de dollars, va proposer ses services de gestion d’actifs aux clients externes, rapporte le Wall Street Journal. Elle a créé une filiale, Rockefeller Foundation Impact Investment Management, qui lèvera des capitaux auprès d’investisseurs et les placera dans des entreprises ou produits censés bénéficier à la société dans son ensemble. Cette nouvelle entité débutera avec 30 millions de dollars de la fondation et 30 millions de la fondation John D. and Catherine T. MacArthur. La filiale n’a pas encore approché les investisseurs. La fondation a d’abord besoin de procéder à quelques démarches administratives et d’obtenir le feu vert de la Securities and Exchange Commission. L’objectif de Rockefeller est d’offrir de nombreux produits centrés sur l’investissement responsable à travers plusieurs classes d’actifs et zones géographiques, des ETF et produits d’assurances aux fonds obligataires et participations dans des start-up.
Primonial REIM asigné ce 11 avrilune promesse de vente en vue de l’acquisition de deux Ehpad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) pour une valeur d’environ 72 millions d’euros, pour le compte de sa SCPI Primovie. Ces deux actifs de dernière génération font partie d’un portefeuille de 14 Ehpad cédés par Swiss Life Asset Managers France et sont localisés à Paris et à Aubervilliers dans un tissu urbain dense. Construit en 2014, le premier, composé de 100 lits et d’une superficie de 4600 m², se situe à Aubervilliers à proximité immédiate de l’autoroute A86 et du réseau des transports en communs via des gares du RER B accessibles en moins de 10 min à pied. Construit en 2016, le second, qui comprend 130 lits sur une surface totale de 5300 m², se situe à proximité immédiate de la mairie du 18ème arrondissement de Paris, de logements résidentiels et de commerces de proximité. Ces deux actifs sont intégralement loués par un spécialiste de l’accueil et des soins pour seniors en France et à l’international dans le cadre de baux commerciaux d’une durée moyenne des baux de près de 8 années. La signature définitive de la transaction devrait intervenir au cours de l’été 2019 après la levée des conditions suspensives. Dans cette transaction, Primonial REIM a été conseillé par CAREIT, Adama, l’Etude Thibierge et le Cabinet Archers.
Vanguard Group va sévir contre les entreprises dont les membres du conseil d’administration cumulent les mandats, rapporte le Wall Street Journal. La société de gestion prévoit de voter, dans la plupart des cas, contre les dirigeants d’entreprises qui sont candidats pour deux ou davantage de sièges dans des sociétés cotées en plus de leur emploi, précise une porte-parole de Vanguard. Concernant les autres candidats, elle votera contre ceux qui veulent être élus à plus de quatre sièges d’administrateurs en même temps. Vanguard, qui gère 5.300 milliards de dollars sous gestion, est un gros actionnaire dans plusieurs sociétés cotées. La société va publier cette semaine une mise à jour de sa politique de gouvernance. Dans ce cadre, Vanguard va aussi encourager davantage de transparence sur la diversité des conseils d’administration. Le groupe devrait soutenir les propositions de séparer les postes de président et CEO.
La société de gestion espagnole Mutuactivos a renforcé son équipe de gestion actions avec l’arrivée deCarlos García González, rattaché à Ángel Fresnillo, directeur de la gestion actions. Carlos García González a été recruté en qualité d’analyste sur le secteur financier, poste qu’il a occupé auparavant chez Kepler Chevreux. Il est également passé parSociété Générale, Banco Santander, ING Financial Markets et BCH Bolsa. Mutuactivos gère plus de 6,7 milliards d’euros.