L’Union européenne a menacé mercredi d’interdire les exportations de vaccins contre le Covid-19 vers la Grande-Bretagne afin de préserver les rares doses destinées à ses propres citoyens, alors qu’une troisième vague menace de compromettre les plans de relance du secteur touristique.
M&G espère pouvoir annoncer la réouverture de son fonds M&G Proporty Portfolio avant la fin du deuxième trimestre de cette année. Le fonds est gelé depuis le 4 décembre 2019 à la suite d’une hausse des demandes de remboursement de la part des souscripteurs. Pour le moment, le fonds reste suspendu, a annoncé la société de gestion dans sa dernière mise à jour. Depuis la dernière communication en février, deux actifs ont été vendus pour un montant total de 97,7 millions de livres. Cela porte le niveau de liquidités du fonds à 25,3 % des 2 milliards de livres d’actifs sous gestion. Un total de 329 millions de livres d’actifs sont en cours de vente.
Après avoir quitté le marché hexagonalde la banque retail en 2017, Barclays va prochainement se réinstaller en France, mais dans la banque privée. Le Britannique est en train de boucler la constitution d’une équipe, et discute avec le régulateur français, a appris Les Echos. Un porte-parole de Barclays a confirmé au quotidien économique que la firme avait bien l’intention de s’attaquer au marché français dans les prochains mois. Elle suivrait à quelques mois près Goldman Sachs, qui a installé une banque privée à Paris pour attirer les fortunes de plus de 50 millions d’euros, avec un ticket d’entrée à 10 millions.
Les actifs investis dans les fonds et produits indiciels cotés (ETF et ETP) cotés au niveau mondial ont atteint un nouveau record d’encours de 8.300 milliards de dollars à la fin du mois de février, dont 8.055 milliards de dollars rien que pour les ETF, selon les derniers chiffres recensés par le cabinet de recherche ETFGI. La collecte nette s’est élevée à 139,46 milliards de dollars soit la collecte mensuelle la plus élevée jamais enregistrée, battant le précédent record de 131,99 milliards de dollars établi en novembre 2020. La collecte nette depuis le début de l’année atteint un record de 222,54 milliards de dollars, dépassant les 98,31 milliards de dollars de 2020 et battant le record précédent de 130,95 dollars établi en février 2017. ETFGI précise que 110,80 milliards de dollars d’entrées nettes sont allés aux produits d’actions en février. Le Top 10 de la collecte d’ETF en février 2021
L'éditeur de solutions pour gestionnaires d’actifs, Linedata, s’est associé au fournisseur indépendant de données environnementales, sociales et de gouvernanceArabesque S-Ray pour intégrer les données ESG de ce dernier dans le quotidien des gestionnaires d’actifs. Concrètement,Arabesque S-Ray alimente la plateforme logicielle de Linedata avec ses données ESG. Le fournisseur de données utilise le machine learning pour évaluer les performances en matière de développement durable de plus de 8.000 des plus grandes entreprises au monde. L’outil sera commercialisé auprès des clients de Linedata en Europe, en Asie et aux Etats-Unis. Cette évolution doit permettre aux gestionnaires d’actifs clients de Linedata de répondre aux exigences du nouveau règlement européen de divulgation d’informations en matière de durabilité SFDR,et du nouvel agenda ESG des Etats-Unis.
Le gérant de private equity américain Carlyle a retenu Nexity Property Management pour opérer la gestion locative, technique et réglementaire, de 21 plateformes logistiques en France, a annoncé la firme française. Cela correspond à un peu plus de 92.000 m², soit la majorité des 158.000 m² du portefeuille logistique de Carlyle. Les 66.000 m² restant se situent en Allemagne, répartis sur six sites. Ce portefeuille fait partie intégrante d’une opération de «sale and lease back» réalisée par Carlyle Europe Realty (CER) sur un patrimoine de 27 plateformes spécialisées dans la livraison de colis en France et en Allemagne, bénéficiant d’emplacements stratégiques à proximité de grandes zones urbaines et commerciales.
La banque britannique HSBC a finalement décidé de ne pas céder ses activités de banque de détail en France à Milleis, et indirectement au fonds Anacap, son propriétaire, a appris Les Echos. Le quotidien économique cite pour cela un proche du dossier : « leur projet ne correspond pas à la philosophie qui prévaut pour HSBC France .» Le fonds américain Cerberus serait donc le dernier candidat en lice, selon Les Echos. Les organisations syndicales ont été convoquées ce matin pour discuter de la revue stratégique. HSBC pourrait toutefois encore décider de poursuivre seule sa restructuration.
Les ETF qui se concentrent explicitement sur les investissements socialement responsables ont des frais supérieurs de 43 % à ceux des ETF traditionnels, rapporte le Wall Street Journal. Les frais moyens des fonds ESG étaient de 0,2 % à la fin de l’année dernière, tandis que les ETF standard investis dans les grandes capitalisations américaines affichaient des frais de 0,14 % en moyenne, selon FactSet. «L’ESG crée une possibilité fantastique de revenus pour les grandes entreprises», estime Dr. Wayne Winegarden, du Pacific Research Institute.
La société de gestion française OFI Asset Management a rejoint le réseau de Spainsif, le forum pour l’investissement responsable espagnol, rapporte l’agence EuropaPress. OFI AM a lancé un nouveau plan stratégique à horizon 2023 qui devrait appuyerla croissance de ses encours à l’international, tant dans les services de courtage que dans le private equity, mais la consolidation de sa base de clients institutionnels étrangers. Le gestionnaire françaisa récemment dévoilé son objectif de désinvestissement total du pétrole d’ici à 2050.
Greensill Capital a fourni des financements à l’empire commercial de Sanjeev Gupta en se basant sur des factures d’entreprises ostensiblement indépendantes qui étaient liées au magnat de l’acier, soulevant des questions sur la qualité des garanties qui sous-tendent des milliards de dollars de prêts, écrit le Financial Times. Le conglomérat de Gupta, GFG alliance, a été touché par la faillite de Greensill, qui avait une exposition de 5 milliards de dollars aux entreprises de l’homme d’affaires. Des documents consultés par le FT montrent que Greensill a financé plusieurs transactions entre les entreprises de Gupta et une série de sociétés qui lui étaient liées. La plupart des grandes institutions financières ont des politiques qui les empêchent de financer des factures entre des «parties liées», car elles sont plus sujettes à la fraude que les transactions entre sociétés indépendantes. Rien ne prouve cependant que les transactions en question étaient illégitimes.
Les sociétés de gestion européennes ont renforcé leurs ressources en matière d’ESG (environnement, social, gouvernance) à la vitesse de l’éclair. Financial News s’interroge sur leur capacité à absorber les investissements importants nécessaires pour soutenir ces efforts. «Il existe d’énormes risques d’exécution, dont la plupart des professionnels de l’ESG dans les sociétés de gestion ne sont pas conscients», estime Neil Scarth, un dirigeant de Frost Consulting, qui a analysé les modèles de financement de la recherche des sociétés de gestion. Selon lui, le plus gros point d’inquiétude est la manière dont les sociétés de gestion prévoient de financer leurs activités ESG. Le seul coût pour sourcer les données additionnelles devrait être énorme. Une étude d’UBS l’an dernier montrait que le montant total dépensé dans le monde sur les données ESG pourrait atteindre 5.100 milliards de dollars d’ici à 2025, contre 2.200 milliards de dollars actuellement.
Lors de l’Assemblée générale annuelle de Swedbank Robur Fonder, la société de gestion de la banque suédoise Swedbank, deux nouveaux membres du conseil d’administration ont été élus. Il s’agit de Lars Afrell, ancien directeur juridique de l’association suédoise des négociants en valeurs mobilières, et Gunilla Nyström, ancienne directrice générale d’AMF Fonder. Le président du conseil d’administration de Swedbank Robur est Joachim Spetz. Monica Åsmyr et Lennart Jacobsen restent membres du conseil d’administration. En revanche, Evert Carlsson et Marianne Flink quittent l’instance.
St James’s Place a choisi Comgest pour gérer son fonds actions japonaises Japan Fund aux côtés de Nippon Value Investors, qui était jusqu’à présent seul gestionnaire du produit. Chaque société de gestion sera responsable de 50 % du fonds. Les gérants du fonds chez Comgest seront Richard Kaye et Chantana Ward, qui travaillent ensemble depuis 10 ans sur la stratégie actions japonaises de la société française. «Le gestionnaire actuel de notre fonds Japan a une approche de la gestion axée sur la value. L’arrivée de Comgest permettra à la sélection de titres de jouer un rôle plus important dans la recherche de performance, en apportant un style croissance de qualité au fonds et donc des opportunités de diversification plus grandes», commente Tom Beal, le directeur des investissements de St James’s Place.
La banque britannique HSBC a annoncé avoir lancé son service d’administration de fonds en Thaïlande. Les gérants locaux auront accès à la plateforme Multifonds, proposée par HSBC en Asie, qui permet d’avoir une vision consolidée et des solutions standardisées. Cela s’ajoute à l’offre déjà présente de conservation et de supervision de fonds, proposée par HSBC Securities Services dans le royaume.
Vanguard a suspendu son projet de lancer une activité de gestion de fonds en Chine, rapporte le Wall Street Journal. La société de gestion américaine a annoncé à ses employés ces derniers jours qu’elle mettait sur pause des mois de préparatifs pour vendre ses fonds aux consommateurs chinois. Vanguard, qui gère 7.200 milliards de dollars, a pendant des années eu comme objectif d’introduire ses fonds indiciels à bas coûts en Chine, une idée radicale dans un pays où les investisseurs apprécient les fonds gérés activement. Vanguard recentre sa stratégie chinoise autour d’une entreprise avec la société de technologie financière Ant Group qui bâtit des portefeuilles d’investissements pour les consommateurs.
La République en marche (LREM), le parti présidentiel majoritaire à l’Assemblée national, a exprimé mardi son opposition à la proposition de Bruno Le Maire de dissocier la dette liée aux dépenses impliquées par la crise sanitaire. Alors que le Parlement a approuvé la prolongation d’une taxe arrivant à échéance pour financer la partie de la dette supportée par le système de sécurité sociale, le ministre des finances Bruno Le Maire a déclaré vouloir consacrer spécifiquement une taxe au financement des 140 milliards d’euros supportés par l'État. Pour les parlementaires du groupe LREM, une telle initiative ne se justifie pas nécessairement dans la mesure où une partie non-négligeable de la dette a été reprise par la Banque centrale européenne dans le cadre de sa politique monétaire. Cette prise de position coïncide avec la publication jeudi d’un rapport de Jean Arthuis qui devra donner des pistes pour réduire les niveaux d’endettement.
«Le moment est venu pour envisager des dispositions» pour enrayer la progression de la pandémie en Ile-de-France, a expliqué le Premier ministre mardi soir lors d’une allocution télévisée sur BFMTV. Un conseil de défense doit se tenir mercredi matin. La région est confrontée à une forte progression des cas de coronavirus. Les tensions hospitalières conjuguées au niveau élevé de l’incidence dans un certain nombre de régions et départements français confrontent le gouvernement à la question d’un éventuel reconfinement coûteux tant économiquement que socialement. La France a recensé 29.975 nouvelles contaminations au coronavirus en 24 heures tandis que 320 décès ont été enregistrés en milieu hospitalier mardi.
La directrice financière de l’Agirc-Arrco présente les résultats provisoires du régime de retraite complémentaire, qui a dû faire face à un déficit de trésorerie de près de 5 milliards d'euros en 2020.
Vanguard a suspendu son projet de lancer une activité de gestion de fonds en Chine, rapporte le Wall Street Journal. La société de gestion américaine a annoncé à ses employés ces derniers jours qu’elle mettait sur pause des mois de préparatifs pour vendre ses fonds aux consommateurs chinois.
La banque Credit Suisse a annoncé mardi qu’elle pourrait comptabiliser une charge liée à la faillite de la société financière Greensill Capital et à la liquidation de ses fonds de financement des chaînes d’approvisionnement, gérés par la division de gestion d’actifs de Credit Suisse, CSAM. Credit Suisse a indiqué avoir récemment reçu un remboursement de 50 millions de dollars sur un crédit relais de 140 millions de dollars accordé à Greensill Capital l’année dernière, réduisant ainsi le prêt garanti en cours à 90 millions de dollars. «Bien que cette affaire n’en soit encore qu'à ses débuts, nous tenons à souligner qu’il est possible que le Credit Suisse doive supporter une charge à ce titre», a indiqué Credit Suisse dans un communiqué. Le groupe a ajouté que la priorité de Credit Suisse restait «de récupérer les fonds pour les investisseurs de CSAM» et que, depuis le 8 mars, de premiers remboursements d’un montant de 3,1 milliards de dollars avaient été effectués. Credit Suisse a précisé que les sociétés de gestion des fonds procéderaient à de nouvelles distributions en numéraires au cours des prochains mois. La semaine dernière, Greensill Capital s’est placée sous le régime des faillites au Royaume-Uni après la mise sous tutelle de sa division bancaire par les autorités de régulation. Credit Suisse a par ailleurs gelé des fonds essentiels à la poursuite de l’activité de la société. Greensill est spécialisée dans le financement des chaînes d’approvisionnement, une forme d’avance de fonds à court terme qui permet aux entreprises d’allonger les délais dont elles disposent pour payer leurs factures.
Malgré le Brexit, Schroders tient bon. Grâce à une progression de 15% de ses encours, désormais à 574,4 milliards de livres (667,5 milliards d’euros), il se place en tête des gérants indépendants du Royaume-Uni, observe un article des Echos. Seules deux captives, Legal & General IM et Insight Investment (filiale de BNY Mellon) font mieux. Schroders a notamment profité de l’obtention d’un mandat portant sur 30 milliards de livres d’encours chez l’assureur Scottish Widows, filiale de lloyds Banking, au dépend de Standard Life Aberdeen. Ce dernier à lui vu ses encours baisser de 660 millions de livres, se situant désormais à 535 milliards. Son directeur général Stephan Bird a indiqué, la semaine dernière, viser un coefficient d’exploitation de 70% d’ici fin 2023, contre 85% aujourd’hui, afin de renouer avec la croissance, dont l’objectif annuel est porté à 10%. La société va également se doter d’une nouvelle identité, la marque Standard Life ayant été vendue à Phoenix, le propriétaire de ses activités d’assurance, le mois dernier. Phoenix va par ailleurs transférer quelques portefeuilles vers Standard Life Aberdeen. Parmi les autres acteurs, Janus Henderson est en difficulté, puisque son principal actionnaire Dai-Ichi Life Holdings va revendre sa participation de 17%. Mais, malgré une décollecte de 24 milliards de livres sur l’année, les encours de la société cotée ont progressé de 7% à 402 milliards. M&G a lui vu ses encours grimper de 1,5% à 367 milliards de livres, malgré une décollecte de 6,6 milliards. Ce progrès est notamment dû à l’arrivée de 16 milliards de livres du gérant Ascentric, acquis au cours de 2020.
Dans un billetpublié, lundi 15 mars, sur son compte LinkedIn, Ray Dalio, le co-président et co-directeur des investissementsdu hedge fund Bridgewater, estime que la logique d’investir dans les obligations et la plupart des actifs financiers est « devenue stupide ». Ray Dalio pose ainsi la question : « Plutôt que d'être payé moins que l’inflation, pourquoi ne pas acheter quelque chose qui serait égal ou rapporterait davantage que l’inflation? » Le fondateur de Bridgewaterencourage à emprunter du cash plutôt que de le détenir etrecommande d’acheter avec, des actifs qui ne soient pas des obligations ou des actifs en dollars. Pour Ray Dalio, «il y a actuellement tellement d’argent injecté dans les marchés et l'économie que les marchés s’apparentent à un casino avec des gens misant de l’argent pour le plaisir». Il voit aussi poindreun nouveau paradigme qui va se matérialiser par des augmentations de taxes « choquantes ». Les décideurs politiques, qui sont à court d’argent, vont augmenter les taxes et ne vont pas apprécier ces mouvements de capitaux hors des actifs obligataires, dit-il. Ray Dalio ajoute que certaines classes d’actifs, désormais prisées des investisseurs comme l’or et le bitcoin,pourraientfaire l’objet de taxationsvoire d’interdictions. « Ces changements en matière detaxes pourraient être plus choquants qu’attendu», prévient-il. Ray Dalio soutient par ailleurs que les actifsdes marchés émergents en Asie, dont les actifs chinois, auront de meilleures performances que ceux des pays développés dont la devise est une monnaie de réserve.
Blackstone a recruté Scott Bommer, un ancien gérant de hedge funds, en tant que directeur des investissements de sa nouvelle stratégie Blackstone Horizon, lancée par Blackstone Alternative Asset Management (BAAM). Blackstone Horizon cible des rendements absolus en investissant et en nouant des partenariats stratégiques avec des gérants. La plate-forme adoptera une approche thématique. Scott Bommer était le fondateur de SAB Capital Management et son directeur général.
Vanguard a suspendu son projet de lancer une activité de gestion de fonds en Chine, rapporte le Wall Street Journal. La société de gestion américaine a annoncé à ses employés ces derniers jours qu’elle mettait sur pause des mois de préparatifs pour vendre ses fonds aux consommateurs chinois. Vanguard, qui gère 7.200 milliards de dollars, a pendant des années eu comme objectif d’introduire ses fonds indiciels à bas coûts en Chine, une idée radicale dans un pays où les investisseurs apprécient les fonds gérés activement. Mais les dirigeants du gestionnaire ont estimé que l'établissement d’une présence significative dans le secteur des fonds en Chine prendrait plus de temps qu’ils ne le pensaient, selon des sources proches du dossier. Cela va se traduire par la suppression de quelques emplois. Vanguard recentre sa stratégie chinoise autour d’une entreprise avec la société de technologie financière Ant Group qui bâtit des portefeuilles d’investissements pour les consommateurs.
M&G Real Estate (M&G) a nommé Antonin Prade directeur des investissements pour la France, la Belgique et le Luxembourg. Il sera chargé de piloter les acquisitions pour l’ensemble des véhicules d’investissement européens de la société. Antonin Prade a rejoint le bureau parisien de M&G Real Estate en 2017 en tant que directeur des investissements Europe pour le compte du fonds M&G European Secured Property Income Fund lancé en 2015, au sein de l’équipe « long income » de M&G, dont l’encours s’élève à 7,2 milliards de livres sterling. Il continuera d’assurer ce rôle en plus de ses nouvelles fonctions et sera rattaché à Marc Reijnen, responsable de l’investissement immobilier et la gestion d’actifs pour l’Europe continentale, Antonin interviendra en particulier sur le marché français qui demeure un marché stratégique pour M&G Real Estate, selon un communiqué. Il aura notamment pour mission d’identifier des investissements potentiels pour le fonds M&G European Property Fund (encours de 4,1 milliards d’euros). Le portefeuille de M&G Real Estate géré par le bureau français présente un encours de 1 milliard d’euros, réparti dans les secteurs des bureaux, de la logistique, des commerces de détail et de l’immobilier résidentiel.
La société de gestion immobilière Atream a annoncé ce 15 mars l’arrivée d’Annabelle Beugin-Soulon en tant que directrice communication et marketing. Elle est rattachée à Pauline Cornu-Thenard, la directrice générale adjointe. Annabelle Beugin-Soulon était dernièrement la directrice communication institutionnelle et financière de La Banque Postale. Travaillant depuis 2009 au sein du groupe Caisse des Dépôts, elle fut responsable des éditions institutionnelles et financières puis responsable des relations avec les investisseurs, analystes et agences de notation chez CNP Assurances, puis a intégré en 2017 le pôle institutions financières de la direction du pilotage des participations stratégiques de la Caisse des Dépôts, avant de prendre la responsabilité du département des investissements au sein de la direction des risques du groupe. Sa carrière a commencé chez BNP Paribas comme analyste-crédit, puis chez Scor, où elle a occupé plusieurs fonctions, dont celle de responsable de la communication institutionnelle et financière.
Le courtier anglo-américainWillis Towers Watson, dont la fusion avec le courtier américain Aon est attendue,a promu David Cienfuegos au poste de directeur des investissements pour l’Europe continentale. Succédant à Nigel Cresswell, David Cienfuegos siégera également au comité exécutif de l’activité d’investissement de Willis Towers Watson pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique.Il continuera en parallèle d’occuper les fonctions de directeur des investissements pour la péninsule ibérique et de membre du comité directeur de la firme en Espagne. Avant de rejoindre Willis Towers Watson en 2011, l’intéressé a travaillé en tant queresponsable des investissements de Frontier IM. Willis Towers Watson compte plus de 100 milliards de dollars d’encours sousgestion déléguée.
Le gestionnaire d’actifs néerlandais Robeco a enregistré le départ de Jimmy Ly, son désormais ex-responsable des ventes pour les marchés d’Amérique latine et US offshore, rapporte Citywire Americas. Avant d’occuper ce poste pendant quatre ans, il avaitévolué chez Pioneer Investments durant une quinzaine d’années. La firme n’a pas encore officiellement dévoilé le nom de son successeur mais selon le média Funds Society, il s’agirait d’Ana Claver, responsable de Robeco pour la péninsule ibérique, l’Amérique latine et le marché américain offshore.