p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Assets invested in active ETF/ETPs listed worldwie have reached a new total of USD32.9bn, according to statistics released by ETFGI. In the first few months of the year, net inflows to active ETF/ETPs totalled USD8.9bn, up 23% compared with the corresponding period of 2014. The United States are the largest market for active ETF/ETPs, with assets of EUR21.8bn, followed by Europe, with assets of USD6.3bn, and Canada (USD3.9bn). ETFGI reveals that exposures to equities and bonds are 18% and 73%, respectively, for active ETF/ETPs, while the proportions are reversed for index-based ETF/ETPs, at 77% and 16%, respectively.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } M&G Investments has signed a distribution agreement in Italy with the Fideuram-Intesa Sanpaolo Private Banking galaxy, by which funds will be sold to clients of over 5,000 financial advisers from Fideuram and Sanpaolo Invest, Bluerating reports. “For us, this is an extremenly important agreement since Fideuram is the largest Italian network,” explains Matteo Astolfi, head of M&G Investments for Italy, during a meeting with the press in Milan. Assets under management by M&G in Italy have grown in the past five years from EUR1.8bn as of December 2011 to EUR14bn as of September 2015. Italy is now the second-largest country, after the United Kingdom.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Edmond de Rothschild Asset Management has signed a distribution agreement with the independent private bank Südtirol Bank to sell funds from the Edmond de Rothschild Fund Sicav in Italy. The agreement comes as part of a strategy to extend distribution of Edmond de Rothschild Asset Management products in Italy.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Robeco in September launched a fund for gender equality, entitled RobecoSAM Gender Equality Impact Equities Strategy, it has been announced at the Novethic conference. The new product is invested in 40 to 60 businesses on the cutting edge of promoting diversity and gender equality. The strategy is based on data from the RobecoSAM Corporate Sustainability Assessment. Several criteria are studied, such as the process of appointing members of the board of directors, retention of female talent, pay equality and policies to promote life-work balance.
Banque J. Safra Sarasin has announced it has signed an agreement to acquire Bank Leumi Luxembourg’s private banking business. The agreement covers qualifying clients and their relationship management teams serving Ultra High Net Worth and High Net Worth clients.Banque J. Safra Sarasin (Luxembourg) S.A. has been present in the Luxembourg market since 1985. This acquisition is a natural extension of J. Safra Sarasin’s private banking business.Through this transaction, Bank Leumi Luxembourg’s clients and relationship managers will benefit from joining J. Safra Sarasin, with its long term commitment to servicing the wealth management needs of clients on a global basis.The acquisition is expected to be completed during the course of the first quarter of 2016, subject to regulatory clearance. Financial terms are not disclosed.
The global microfinance market is expected to grow by 10% to 15% in 2016, with large regional disparities. For the sixth consecutive year, the Microfinance Market Outlook 2016 study carried out by responsAbility provides an overview of the expected evolution of the microfinance sector.Markets in Asia-Pacific, driven by India and Cambodia, are expected to post growth of 30% However, markets in central Asia and the Caucaus will suffer due to their close ties with the stagnant Russian economy. For oil-exporting countries, falling oil prices will create additional economic difficulties, with the result that in this region, the growth of microfinance markets is expected to slow and stabilise between 0% and 10%. At 15% to 20%, growth in sub-Saharan Africa will continue to be greater than average, followed by the Middle East and North Africa (10-15%), Eastern Europe (10%) and Latin America (5-10%).According to the experts who carried out the study, the main trends on the microfinance market are technological progress, more solid regulation, particularly in microfinance markets which are still young, and greater diversification of financing for microfinance institutions.
JP Morgan Asset Management has appointed Paul Levene as a capital structure analyst on the convertible bonds and capital structure team at the global multi asset solutions group.Levene will be based in London, and will be responsible for analysis of the major international groups. He will aim to identify strong conviction ideas in all asset classes, including equities, debt and convertible bonds.Levene previously worked as a senior analyst at Ferox Capital LLP, a firm specialised in convertible bonds since 2008. He was more specifically in charge of identifying investment ideas for the EMEA region and Asia.
Quilvest Private Equity annonce la cession de sa participation majoritaire dans la chaîne de restaurants YO! Sushi à Mayfair Equity Partners pour un montant d’environ 82 millions de livres, selon un communiqué publié le 24 novembre. Quilvest avait pris le contrôle de la société en mars 2008.Quilvest Private Equity, qui regroupe les activités de capital investissement du groupe Quilvest, gère environ 5 milliards de dollars d’actifs.
JP Morgan Asset Management (JPMAM) vient de nommer Paul Levene en qualité d’analyste «Capital Structure» dans l'équipe «Convertible Bonds and Capital Structure au sein du group Global Multi Asset Solutions. Basé à Londres, Paul Levene sera responsable de l’analyse des grands groupes internationaux. Il aura pour mission d’identifier des idées à forte conviction dans toutes les classes d’actifs, y compris les actions, la dette et les obligations convertibles. Paul Levene travaillait précédemment en tant qu’analyste senior chez Ferox Capital LLP, une société spécialisée dans les obligations convertibles depuis 2008. Il était plus spécifiquement chargé d’identifier des idées d’investissement pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) et l’Asie.
Au cours du premier semestre, les revenus de la gestion d’actifs de Rothschild se sont établis à 255 millions d’euros contre 243 millions d’euros à la même période de l’exercice précédent. Cette évolution résulte de l’accroissement significatif des revenus de la banque privée et gestion d’actifs (+20%) qui a compensé la baisse des revenus du capital investissement et dette privée (-23%), conforme aux prévisions, indique la société.Au cours du premier semestre, le résultat d’exploitation de la gestion d’actifs s’est établi à 61 millions d’euros contre 82 millions d’euros à la même période de l’exercice précédent, en raison de moindre plus-values générées par l’activité de capital d’investissement et dette privée. Les revenus de la banque privée et de la gestion d’actifs au premier semestre 2015/2016 se sont élevés à 187 millions d’euros, en augmentation de 20% par rapport à la même période de l’exercice précédent (156 millions d’euros). Ceci est principalement dû à la hausse des actifs sous gestion à 48,3 milliards d’euros au 30 septembre 2015 contre 45,2 milliards d’euros au 30 septembre 2014, soit une hausse de 7%. Au cours du premier semestre 2015/2016, l’activité de banque privée et de gestion d’actifs a collecté 0,7 milliard d’euros. Cette collecte nette est le résultat d’une collecte positive au sein de la banque privée (+1,2 milliard d’euros) impactée par une décollecte au sein de la gestion d’actifs (0,5 milliard d’euros), notamment en Europe où il a été décidé d’abandonner un important mandat de gestion d’un client institutionnel pour des raisons commerciales. Par ailleurs, la baisse des marchés, les effets négatifs des variations de taux de change et les reclassements d’actifs (sous gestion vers sous conservation) ont eu un impact de 4,5 milliards d’euros.D’autre part, au cours du premier semestre 2015/2016, l’activité de capital investissement et dette privée a généré 68 millions d’euros de revenus contre 87 millions d’euros au cours de la même période de l’exercice précédent. Cette baisse est en grande partie due aux plus-values exceptionnellement élevées réalisées sur les investissements pour compte propre au cours de la période précédente. Toutefois, les revenus ont été supérieurs de 33% à la moyenne des revenus semestriels des trois dernières années. Ces revenus comprennent : 23 millions d’euros de commissions de gestion (16 millions d’euros au premier semestre 2014/2015), 42 millions d’euros de plus-values nettes (61 millions d’euros au premier semestre 2014/2015), 8 millions d’euros d’intérêts et dividendes (10 millions d’euros au premier semestre 2014/2015) ; desquels il convient de déduire 5 millions d’euros de provisions (0 million d’euros au premier semestre 2014/2015). Au cours du premier semestre, le Groupe a investi 57 millions d’euros, dont 44 millions d’euros par le biais de fonds gérés pour le compte de tiers et 13 millions d’euros pour compte propre, et a cédé des actifs pour 95 millions d’euros ayant généré 42 millions d’euros de plus-values nettes, notamment les cessions de deux investissements pour compte propre ; SIACI Saint Honoré et Perenco, pour un montant total de 59 millions d’euros et des plus-values de 27 millions d’euros. La levée du fonds Five Arrows Principal Investments II (« FAPI II »), fonds de capital investissement axé sur les moyennes capitalisations européennes, a été clôturée à 775 millions d’euros, au-dessus de son objectif de 700 millions d’euros grâce à une sursouscription. Le Groupe contribuera à hauteur de 130 millions d’euros. FAPI II a déjà réalisé son premier investissement en Scandinavie dans un grand fournisseur de données à destination des professionnels du droit et de la comptabilité. En septembre 2015, l’acquisition de West Gate, société de gestion de crédit basée à Los Angeles spécialisée dans les prêts à effet de levier, qui gère 1,5 milliard de dollars (1,35 milliard d’euros) d’actifs répartis sur cinq structures CLO (« Collateralised Loan Obligation ») a été réalisée. Grâce à ce rachat, le Groupe allie l’expertise de West Gate aux États-Unis aux compétences du Capital investissement et dette privée de Rothschild dans les prêts à effet de levier européens. L’ensemble gèrera 2,9 milliards d’euros de fonds européens, américains et internationaux avec un éventail de produits incluant des fonds de crédit sans effet de levier, des fonds de crédit multi-stratégies et des véhicules CLO.
Sous la houlette de son nouveau patron, Oliver Bäte, arrivé en mai dernier, le groupe allemand Allianz a dévoilé le 24 novembre une nouvelle stratégie pour l’horizon 2018, qui passe notamment par la réduction de sa présence dans certains secteurs comme le charbon. Allianz veut réduire ses investissements dans les activités liées au charbon, pour contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique et du fait du risque économique. En conséquence, le groupe n’investira plus dans des entreprises qui tirent plus de 30% de leur chiffre d’affaires de l’exploitation du charbon ou génèrent plus de 30% de leur énergie du charbon.Il vise par ailleurs des gains de productivité de l’ordre d’un milliard d’euros d’ici à 2018, via notamment la numérisation de ses opérations à l'échelle mondiale. Ces gains seront réinvestis dans les technologies, les ressources humaines et sa croissance. Dans le détail, Allianz entend muscler ces prochaines années ses campagnes de renouvellement des contrats d’assurance en se positionnant comme un champion du numérique ou en investissant dans des activités prometteuses. Les activités les moins profitables seront repositionnées ou leur taille réduite. D’ici 2018, et grâce à cette nouvelle stratégie, Allianz table sur une amélioration de son bénéfice par action de 5% par an ainsi que sur un taux de retour sur fonds propres de 13%, hors éléments exceptionnels, précise le groupe dans un communiqué financier. Le groupe espère aussi améliorer son image et gonfler sa clientèle. A la clé, Allianz voit un potentiel de 5 millions de clients supplémentaires et 6,5 milliards de primes annuelles en plus, a-t-il estimé.
Novaxia Asset Management a annoncé le lancement du FPCI Novaxia Elégance Hôtel, qui se veut une alternative aux placements traditionnels via des investissements dans des opérations de revalorisation ou de création de fonds de commerce hôtelier. Ainsi, le potentiel de création de valeur repose sur une double perspective de gains provenant à la fois de la perception des revenus d’exploitation et de la revente de l’hôtel à terme après travaux. La stratégie d’investissement du FPCI se concentre exclusivement sur le marché hôtelier et favorise des éléments tels que l’emplacement à Paris et dans des grandes métropoles européennes ainsi que le repositionnement des actifs - en modernisant notamment des hôtels existants ou en créant des fonds de commerces hôteliers par la transformation de bureaux en hôtels. Le potentiel de création de valeur repose sur une double perspective de gains, provenant à la fois de la perception des revenus d’exploitation (en fonction du taux d’occupation de l’hôtel) et de la revente de l’hôtel à terme après travaux.
Deutsche Asset & Wealth Management (Deutsche AWM) a lancé deux nouveaux fonds obligataires, le Deutsche Limited Maturity Quality Income Fund et le Deutsche Ultra-Short Investment Grade Fund. Chaque fonds vise à procurer aux investisseurs un revenu en cohérence avec la préservation du capital et la liquidité. Ces fonds, qui ne sont certes pas des fonds monétaires, s’adressent plus particulièrement aux clients entreprises et aux intermédiaires financiers et tiennent compte de la réforme des fonds monétaires qui doit prendre effet à compter du mois d’octobre 2016. Le Deutsche Limited Maturity Quality Income Fund investit principalement dans des instruments obligataires de court terme de grande qualité libellés en dollar tandis que le Deutsche Ultra-Short Investment Grade Fund donne la priorité aux instruments obligataires en catégorie d’investissement libellés en dollar.
Les actifs investis dans des ETF/ETP actifs cotés dans le monde ont atteint le niveau record de 32,9 milliards de dollars, selon des statistiques communiquées par ETFGI. Sur les dix premiers mois de l’année, les entrées nettes dans les ETF/ETP actifs ont totalisé 8,9 milliards de dollars, un montant en progression de 23% par rapport à la période correspondante de 2014. Les Etats-Unis sont le premier marché pour les ETF/ETP actifs, avec un encours de 21,8 milliards de dollars, devant l’Europe qui affiche un encours de 6,3 milliards de dollars et le Canada (3,9 milliards de dollars). ETFGI relève que les expositions aux actions et à l’obligataire sont de respectivement 18% et 73% dans les ETF/ETP actifs, alors que l’on observe des proportions inverses dans les ETF/ETP indiciels, de respectivement 77% et 16%.
NSW Electricity Networks (NSWEN), un consortium d’investisseurs incluant la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), a annoncé le 24 novembre l’acquisition du bail de 99 ans de TransGrid, propriétaire et opérateur du réseau de transmission électrique de l’État de la Nouvelle-Galles du Sud, en Australie. Le réseau de lignes à haute tension de TransGrid s’étend sur près de 13 000 km et dessert Sydney et Canberra, les capitales économique et politique du pays. NSWEN a été sélectionné pour acquérir le bail de 99 ans du réseau principal de TransGrid. La valeur totale de la transaction s’élève à environ 10,258 milliards de dollars australiens (9,90 milliards de dollars canadiens). La Caisse détiendra 24,99 % du capital, ce qui représente un investissement de 1,2 milliards de dollars australiens (1,15 milliard CAD). Outre la Caisse, NSWEN est formé de Spark Infrastructure et Hastings Funds Management, deux investisseurs australiens qui possèdent une expérience considérable en gestion de réseaux électriques en Australie, de même que les investisseurs Tawreed Investments Ltd. (filiale en propriété exclusive de l’Abu Dhabi Investment Authority) et Wren House Infrastructure Management, deux investisseurs internationaux qui affichent une longue expérience en investissements de long terme.
La confiance des ménages est restée stable en novembre en France même si leurs craintes sur le chômage s’inscrivent à leur plus bas niveau depuis juin 2011, selon les données publiées mercredi par l’Insee. L’indicateur qui synthétise cette confiance est ressorti inchangé à 96 points, alors que les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en repli d’un point à 95. L’institut précise toutefois que son enquête a été menée à plus de 90% avant les attentats du 13 novembre. Il faudra donc attendre l’édition de décembre pour en mesurer l’impact réel.
Allegra Finance annonce son entrée au capital de la société de gestion Karakoram à l’occasion d’une augmentation de capital réalisée le 10 novembre 2015. «Ce rapprochement a pour but d’accélérer le développement de Karakoram tant sur la gestion privée que sur la clientèle institutionnelle», explique la société de conseil en introductions en Bourse. Epaulée par Allegra Finance, la société de gestion n’exclut pas de réaliser des opérations de croissance externe ciblées.
Le salaire minimum au Japon augmentera de 3% par an à partir du prochain exercice budgétaire, qui débutera en avril, dans le cadre de la politique de soutien à la consommation et à la croissance, a fait savoir le gouvernement mardi. Cette politique devrait être appréciée par la Banque du Japon puisqu’elle pourrait faciliter la remontée des prix et la réalisation de l’objectif de 2% d’inflation. Le salaire minimum moyen au Japon était de 780 yens (5,98 euros) de l’heure sur le dernier exercice budgétaire.
Le chef de l’Etat portugais, Anibal Cavaco Silva, a officiellement nommé mardi Premier ministre Antonio Costa, mettant fin à des semaines d’impasse politique et ouvrant la voie au premier gouvernement socialiste soutenu au Parlement par les communistes du PCP et le parti anti-austérité Bloc de gauche. Le président a demandé au nouveau Premier ministre des garanties sur le fait que la coalition de gauche respecterait les engagements budgétaires pris par Lisbonne envers l’Union européenne. Il a demandé en outre que le PCP et le Bloc de gauche s’engagent à ne pas déposer de motion de censure pour tenter de faire tomber le gouvernement.
Les autorités chinoises ont levé mardi l’encadrement des transactions sur les marchés actions en vigueur depuis l’été, qui interdisait aux courtiers de vendre pour leur propre compte davantage de titres chaque jour qu’ils en achetaient. Cette mesure avait été prise en pleine tourmente sur les marchés financiers de Chine continentale, qui ont chuté de plus de 40% entre mi-juin et fin août, avant de reprendre 20% depuis.
Selon les chiffres détaillés du produit intérieur brut (PIB) publiés mardi par l’Office fédéral de la statistique, l’Allemagne a enregistré une croissance, corrigée des variations saisonnières, de 0,3% sur la période juillet-septembre par rapport au deuxième trimestre, comme annoncé en première estimation le mois dernier. La consommation des ménages a augmenté de 0,6% et les dépenses publiques ont bondi de 1,3%, du jamais vu depuis 2009. Dans son ensemble, la demande intérieure a contribué à hauteur de 0,7 point de pourcentage au PIB.
Le Mécanisme européen de stabilité (MES) a placé mardi 1 milliard d’euros d’obligations à 40 ans avec un coupon de 1,85%. La moitié de cette émission comble le besoin de financement de 500 millions d’euros qui restait pour cette année. Le solde sera utilisé pour le programme de financement de 2016. Le MES a révisé la semaine dernière ses principes d’emprunt afin de porter la maturité maximale à 45 ans.
Alors que les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une hausse, la confiance du consommateur américain s’est contre toute attente nettement dégradée en novembre, au point de toucher un plus bas depuis septembre 2014. L’indice de confiance du consommateur a reculé à 90,4 ce mois-ci, contre 99,1 (chiffre révisé en hausse) en octobre.
Selon le journal Le Monde daté de mercredi, le président de Paris Europlace a sollicité une audience à l’Elysée afin de présenter une «contre-proposition plus efficace» que la taxe sur les transactions financières (TTF) qui doit soutenir des projets liés au climat. Gérard Mestrallet propose de bâtir un «fonds d’investissement transition énergétique» alimenté par les contributions des banques, assureurs et gérants d’actifs français. 10 milliards d’euros seraient ainsi investis à horizon 2020 pour financer des projets d’adaptation, d’efficacité énergétique ou dans les énergies renouvelables, détaille le PDG d’Engie. En contrepartie, le prélèvement de la TTF serait limité aux actions, alors qu’il s’applique en l’état des discussions à tous les actifs (obligations, produits dérivés...).