State Street Global Advisors (SSGA) a annoncé un renforcement de son offre dédiée à la nouvelle économie avec le lancement de trois nouveaux ETF : SPDR Kensho New Economies Composite ETF (KOMP), SPDR Kensho Clean Power ETF (XKCP) et SPDR Kensho Final Frontiers ETF (XKFF). Ces nouveaux véhicules, qui répliquent les méthodologies indicielles propriétaires développées par la société spécialisée dans l’intelligence artificielle Kensho Technologies, offrent aux investisseurs un accès privilégié au potentiel de croissance des sociétés innovantes de la quatrième révolution industrielle, souligne un communiqué.La gamme d’ETF sectoriels et industriels de SSGA comprend désormais 40 fonds représentant un encours de plus de 175 milliards de dollars.
Le régime de retraite des universités britanniques, Universities Superannuation Scheme (USS), a recruté Alex Crawley en qualité de gérant adjoint sur l’immobilier, au sein du groupe marchés privés du fonds de pension, rapporte le site spécialisé IPE. Alex Crawley, qui rejoint USS en provenance de Savills, devrait notamment travailler sur les actifs immobiliers alternatifs.
La firme de capital-investissement HarbourVest a annoncé, mercredi 24 octobre, son intention d’ouvrir un bureau à Dublin afin de réduire pour ses clients et ses fonds l’impact d’une sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne l’année prochaine, rapporte Reuters. Pour autant, la société, qui gère 50 milliards de dollars d’actifs, n’envisage pas de réduire la taille de son bureau de Londres. « Nous aurons des gérants de fonds à Dublin », a cependant déclaré John Toomey, son « managing director ». HarbourVest ouvrira son bureau à Dublin une fois qu’elle aura obtenu la licence irlandaise AFIM, a précisé la société.
BlackRock a annoncé à ses équipes britanniques qu’il conservera son siège européen à Londres, mettant fin aux spéculations selon lesquelles le géant de la gestion pourrait relocaliser des pans importants de son activité en Europe continentale en raison du Brexit, rapporte Financial News. Selon une note envoyée aux salariés de BlackRock, et lue par le journal britannique, le groupe écrit que le Royaume-Uni « reste notre siège pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique et continuera à être une forte priorité dans la région ». BlackRock emploie environ 3.000 personnes en Grande-Bretagne. Budapest deviendra le plus gros bureau de l’Union européenne après le Brexit, avec quelque 450 personnes employées, selon une source proche du dossier. Le pôle des Pays-Bas sera la principale entité légale. Quant au bureau de Paris compte une quarantaine d’employés, mais il est prévu de doubler les effectifs. Il a en outre obtenu un agrément pour créer une société de gestion en septembre dernier.
Union Investment a annoncé ce 24 octobre l’acquisition auprès de MAS Real Estate d’un hôtel Premier Inn dans le centre historique d’Edimbourg. L’acquisition a été réalisée pour le compte du fonds immobilier ouvert Unilmmo: Global. Il s’agit pour Union Investment de la première transaction dans l’hôtellerie réalisée en Ecosse. Le montant de la transaction s'élève à environ 43,4 millions d’euros, précise un communiqué.
La filiale quantitative d’H2O Asset Management, Arctic BlueCapital, a lancé H2O Atlanterra, une stratégie systématique sur les marchés actions qui vise à capter tant la volatilité que les changements de direction sur ce segment. La stratégie, lancée le 6 août dernier au sein de l’Icav H2O Global Strategies et sous format Ucits IV, existe depuis 2008, date à laquelle elle a été développée par Arctic Blue Capital au sein d’un fonds de pension souverain nord-américain. Jean-Jacques Duhot, gérant d’H2O Atlanterra, explique qu’en plus de s’appuyer sur des stratégies systématiques dites « trend-following », le fonds repose aussi sur des modèles contrariants pouvant bénéficier d’une surpondération sélective. « Les modèles n’ont aucun biais directionnel et peuvent se positionner aussi bien à l’achat qu’à la vente. Le portefeuille fait preuve d’une grande flexibilité dans les phases haussières et baissières des indices boursiers », souligne Jean-Jacques Duhot, par ailleurs responsable des investissements et directeur général d’Arctic Blue Capital Quant à l’allocation du risque entre les différents modèles implémentés au sein de la stratégie, elle s’effectue sur la base d’une suite d’algorithmes qui veille au respect des contraintes de volatilité, de concentration et de corrélation au sein du portefeuille.Arctic Blue Capital a été fondée en 2014 et gérait 275 millions de dollars en date du 28 septembre 2018.
La société de gestion britannique Quilter Investors a enregistré au troisième trimestre une collecte nette de 500 millions de livres contre 900 millions de livres un an plus tôt, selon un communiqué publié ce 24 octobre. Au niveau du groupe, la collecte ressort également à 500 millions de livres contre 1,3 milliard de livres un an plus tôt. Les actifs gérés et administrés ont progressé à 118,1 milliards de livres contre 109,6 milliards de livres au troisième trimestre 2017. Sur neuf mois, la collecte nette ressort à 2,3 milliards livres pour Quilter Investors et 2,7 milliards de livres au niveau du groupe.
Le gestionnaire d’actifs britannique Schroders vient de renforcer son équipe nouvellement rebaptisée Schroders Systematic Investments (SSI) avec la nomination de Philipp Kauer en tant que gérant de portefeuille quantitatif, rapporte le site InvestmentEurope. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il sera rattaché à Ashley Lester, responsable du pôle Multi-Asset Research and Systematic Investments. Schroders Systematic Investments était anciennement connu sous la dénomination Schroders Advanced Beta, logé au sein de la division des investissements multi classes d’actifs. Philipp Kauer, qui compte plus de 23 ans d’expérience dans la gestion quantitative, arrive en provenance de Man AHL où il officiait depuis 2013 en qualité de gérant de portefeuille et de spécialiste de la recherche quantitative. Au cours de sa carrière, il a également évolué chez Salomon Brothers, Credit Suisse et Brevan Howard.
Le groupe de services financiers américain Ameriprise Financial, qui comprend notamment la société de gestion Columbia Threadneedle, a réalisé un excellent troisième trimestre dans ses activités de gestion de fortune, logées dans la division Advice & Wealth Management. Le résultat d’exploitation avant impôts a ainsi enregistré une progression de 19% à 355 millions de dollars tandis que les revenus se sont accrus de 11% à 1,6 milliard de dollars et représentent ainsi 46% des revenus du groupe (3,3 milliards de dollars au troisième trimestre). Les actifs de la clientèle retail ont augmenté de 9% d’une année sur l’autre pour s'établir à 588 milliards de dollars, grâce notamment aux produits conseillés standardisés qui ont attiré 5,7 milliards de dollars et qui représentent un encours de 272 milliards de dollars (+16%).Dans la division gestion d’actifs, les résultats sont plus mitigés. Les encours ont légèrement augmenté à 485 milliards de dollars malgré des sorties nettes de 7,3 milliards de dollars, notamment de la part de clients institutionnels. La région Europe, Moyen-Orient Asie (EMEA) a néanmoins collecté 300 millions de dollars auprès de la clientèle retail de la région. Le résultat d’exploitation avant impôts a reculé de 3% à 197 millions de dollars, les revenus diminuant de 2% à 772 millions de dollars.Le bénéfice net du groupe ressort à 503 millions de dollars, ou 3,43 dollars par action, en recul de 1% par rapport au résultat du troisième trimestre 2017.
AllianceBernstein a enregistré au troisième trimestre une collecte nette de 1,3 milliard de dollars après avoir subi des sorties nettes de 7,7 milliards de dollars le trimestre précédent, a annoncé la société ce 24 octobre. La collecte institutionnelle s’est rapprochée du point d'équilibre avec des flux nets négatifs de seulement 0,2 milliard de dollars après 8 milliards de dollars au deuxième trimestre (dont il est vrai 7 milliards de dollars liés à un rachat sur des stratégies de retraite (CRS) à bas coûts). AllianceBernstein relève que le «pipeline» de mandats institutionnels attribués mais encore non financés s’est accru à 7,9 milliards de dollars au 30 septembre contre 7,1 milliards de dollars précédemment. La collecte retail s’est élevée à 1,2 milliard de dollars après des sorties nettes de 0,6 milliard au deuxième trimestre. La gestion de fortune a bouclé le trimestre sur une collecte nette de 0,3 milliard de dollars après 0,9 milliard au deuxième trimestre.Les actifs sous gestion s’inscrivaient fin septembre à 550,6 milliards de dollars, en hausse de 2% ou 10,6 milliards de dollars par rapport au deuxième trimestre et de 2,9% ou 15,5 milliards de dollars par rapport à fin septembre 2017.Les revenus ont atteint 850 millions de dollars, en hausse de 1% sur le trimestre précédent et de 5% par rapport au troisième trimestre 2017. Parallèlement, les dépenses ont diminué si bien que le résultat d’exploitation s’inscrit à 216 millions de dollars, en hausse de 10% par rapport au trimestre précédent et de 31% par rapport au troisième trimestre 2017.
Kelly Coffey, jusque-là directrice générale de JPMorgan Private Bank aux Etats-Unis, quitte la banque américaine pour prendre un nouveau poste dans une nouvelle structure, selon un document interne consulté par Reuters. « Kelly Coffey nous a informé de sa décision de poursuivre une nouvelle opportunité en dehors de la société, indiquent dans ce document Barry Sommers, directeur général pour le groupe de la division Wealth Management, et Brian Carlin, directeur général de la division Wealth Management Solutions. Kelly Coffey a travaillé pendant plus de 25 ans au sein de J.P. Morgan, aux Etats-Unis et en Amérique Latine. Elle occupait le poste de directrice générale de la banque privée aux Etats-Unis depuis 5 ans.
A l’issue de son deuxième trimestre fiscal clos au 30 septembre 2018, les actifs sous gestion de Legg Mason se sont inscrits à 755,4 milliards de dollars, en hausse de 1,5% d’un trimestre sur l’autre mais en repli de 0,1% par rapport à fin septembre 2017, a annoncé la société de gestion américaine à l’occasion de la publication de ses résultats. La progression des encours d’un trimestre sur l’autre résulte principalement d’un effet de marché positif de 11 milliards de dollars, qui a compensé un effet de change négatif de 2 milliards de dollars.Dans le même temps, Legg Mason a pu compter sur une collecte nette de 2 milliards de dollars, après 3,8 milliards de dollars de sorties nettes au trimestre précédent. Dans le détail, au cours du trimestre écoulé, la société de gestion a enregistré 3 milliards de dollars de flux nets entrants sur les produits de liquidité. A l’inverse, les produits de long terme ont subi 1 milliard de dollars de rachats nets.Au cours de ce deuxième trimestre, Legg Mason a dégagé un bénéfice net de 72,8 millions de dollars, contre 66,1 millions au trimestre précédent et contre 75,7 millions de dollars un an plus tôt. Ses revenus opérationnels s’élèvent à 758,4 millions de dollars à fin septembre 2018 contre 747,9 millions à fin juin 2018 et 768,3 millions de dollars à fin septembre 2017.
Coup de théâtre chez Deutsche Bank. La banque allemande a annoncé jeudi midi le départ de Nicolas Moreau, membre du directoire en charge des activités de gestion d’actifs et directeur général de DWS, la filiale d’asset management du groupe. Le dirigeant français sera remplacé par Asoka Wöhrmann, qui dirigeait jusqu'à présent les activités de banque privée du groupe en Allemagne, et qui est censé apporter sa connaissance de DWS et de la clientèle privée. Le départ de Nicolas Moreau sera effectif en fin d’année, a précisé la banque allemande dans un communiqué, mais il passe le témoin dès maintenant chez DWS.
La parole à… Alastair Sewell, directeur senior, responsable de la notation en gestion d’actifs pour les zones EMEA et Asie-Pacifique chez Fitch Ratings
… milliard d’euros, c’est le seuil d’encours franchi par le fonds Allianz Global Artificial Intelligence. Qui entend tirer parti du potentiel disruptif de l’intelligence artificielle avec des sociétés capables de le promouvoir et/ou d’en bénéficier. Concrètement, à fin septembre, les valeurs américaines accaparent 88,1 % du portefeuille (puces graphiques de Nvidia et voitures de Tesla en tête), ne laissant que les miettes à la Chine (4,1 %)… et à la France (3,8 %), qui tout de même se hisse sur le podium.
Sanctions visant les exportations iraniennes début novembre et doutes sur les capacités excédentaires de l’Arabie saoudite marqueront le marché dans les prochains mois.
Les statistiques font peur et seraient, paraît‑il, désincarnées. Y avoir recours serait ennuyeux. Pourtant : 33 millions d’extractions de données et de téléchargements, 5 millions de consultations des publications et des infographies, 23 millions de vues des articles, 150.000 abonnés sur les médias sociaux, 400.000 mentions sur le web, qui est-ce ?... C’est Eurostat, l’institut de statistiques européen. Qui a dit que les statistiques et les chiffres n’intéressaient pas le vulgum pecus ?
Les non-résidents, ou dit autrement les étrangers, représentent 11,5 % de la valeur des transactions immobilières au Portugal. Les retraités français sont le principal groupe d’acheteurs. La raison est bien connue : ils bénéficient d’exemptions fiscales sur les pensions versées de France. Un étranger sur cinq est donc français, 16,5 % sont anglais, puis suivent les Chinois, les Brésiliens et les Suisses. Question : quelle traduction politique les électeurs portugais vont-ils donner à ce changement ?
Quarante ans jour pour jour après le lancement des réformes économiques en Chine par Deng Xiaoping, le président Xi Jinping a inauguré, le 23 octobre, le pont reliant Hong Kong et Macao via Zhuhai, gigantesque ouvrage de 55 km (dont un tunnel de 6,7 km) qui aura coûté la bagatelle de 12 milliards d’euros. La construction du pont a duré dix ans et a nécessité 400.000 tonnes d’acier, soit l’équivalent de 55 tours Eiffel. Ses détracteurs dénoncent un « éléphant blanc », un projet mégalomaniaque et dispendieux. La région, composée des deux anciennes colonies reliées au mainland, comptera 67 millions d’habitants et éclipsera à elle seule le Japon comme quatrième exportateur mondial, à en croire HSBC.
Rendez-vous compte ! Vingt-sept ans, c’est très âgé pour un cycle économique. Cet âge canonique, c’est celui de l’actuel cycle australien, rappelle Joachim Fels, économiste chez Pimco. Il y a bien eu sur le parcours quelques accrocs, comme la croissance du PIB passant sous le potentiel ou une hausse du taux de chômage. De petits ennuis largement compensés par la boulimie de consommation de matières premières de la Chine, d’abord, par le marché immobilier, tiré par l’immigration, ensuite. Tout ça n’a pas empêché deux gros chocs boursiers : - 20 % au début des années 2000 et - 50 % en 2008.
Le ministère de l’Economie et des Finances a annoncé ce jour le lancement de Tech.gouv, destiné à «accélérer la transformation numérique de la France», précise-t-il par communiqué. Pour ce faire, sont nommés un directeur du numérique de l’Etat, Nadi Bou Hanna, et de un ambassadeur pour le numérique, Henri Verdier. Ce dernier était jusqu'à présent numéro un de la Direction interministérielle au numérique et Administrateur général des données. Leurs nominations ont été officialisées ce matin en Conseil des ministres.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }TheParef Gestion company has announced the acquisition of an officeproperty entitled “Le Vermeer,” in Villeneuved’Ascq, onbehalf of its SCPI Interpierre France. The sale price is EUR9m, fora building with a total area of 4,088 m².Paref Gestion was advised by Arthur Lloyd on the operation.The“Le Vermeer” complex, designed in 2001 by the architectPaindavoine, is a divisible complex with 104 parking spaces, which isfully leased by EDF.“Viathis acquisition, the SCPI Interpierre France continues itsdevelopment, and strengthens its strategy to construct real estateassets composed of high quality tertiary properties (office,industrial, etc.),” the asset management firm says in a statement.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Thefintech Setl, a specialist in the financial blockchain, on Tuesdayannounced the arrival of Philippe Morel as CEO and a member of theboard of directors. Peter Randall, co-founder and former CEO of Setl,becomes chairman, and remains alongside Morel for internationalactivities, investor relationships and marketing.Morel,55, a graduate of HEC and Harvard university, has spent most of hiscareer (28 years) at the Boston Consulting Group as managingdirector. He is based in London, and has advised sell-side andbuy-side asset management firms on their development strategy. In2010, he founded BCG Capital Markets Practice, which has since becomea global leader in its field. He has also been chairman of Expand, acomparative analysis and research affiliate of BCG with offices inNew York, London and Singapore. He has also sat as chairman of theauditing and risk committee at BCG for six years.Setl operates market infrastructure such as Iznes, the largestpan-European platform for the purchase and sale of blockchain funds,which currently includes 25 asset management firms.
Le secret était déjà largement éventé. Ce mardi 23 octobre, le gestionnaire d’actifs britannique Schroders et Lloyds Banking Group ont officiellement annoncé la conclusion d’un partenariat stratégique en vue de créer une coentreprise « de premier plan dans la gestion de fortune ». Le nouvel ensemble associera l’expertise de Schroders en matière d’investissement et de gestion de fortune et ses compétences technologiques à l’importante base de clients de Lloyds, sa distribution multicanal et ses compétences numériques, selon un communiqué.Dans le cadre de l’accord conclu, Lloyds détiendra 50,1% du capital de la coentreprise, le solde de 49,9% restant dans les mains de Schroders. En outre, Lloyds va transférer dans cette structure environ 13 milliards de livres d’actifs ainsi que des conseillers associés provenant de ses activités existantes de gestion de patrimoine. « Un accord de parrainage sera également mis en place pour permettre aux clients de Lloyds de bénéficier de l’offre de cette nouvelle entité », précisent les deux partenaires. Lloyds recevra également un investissement financier pouvant aller jusqu’à 19,9% dans la « holding » chapeautant l’activité de gestion de fortune britannique de Schroders. « Cela permettra aux clients très forutnés de Lloyds d’avoir accès aux principales solutions de gestion de patrimoine de Cazenove Capital », filiale de Schroders, selon un communiqué. De fait, « ce partenariat permettra à Lloyds d’offrir les services spécialisés de gestion des investissements de Cazenove Capital aux organisations caritatives et aux family offices », ajoutent les deux partenaires. Enfin, Lloyds apportera environ 400 millions de livres d’actifs sous gestion provenant de ses clients privés existants à l’activité de gestion de fortune de Schroders au Royaume-Uni.En parallèle, Schroders sera chargé de gérer activement environ 80 milliards de dollars d’actifs liés à Scottish Widows aux activité d’assurances et de gestion de fortune de Lloyds. Ce montant inclut les 13 millions de livres qui seront transférés à la coentreprise ainsi que les 400 millions de livres qui seront apportés à l’activité de gestion de fortune britannique de Schroders, soulignent les deux sociétés. Ce mandat est attribué pour une période d’au moins cinq ans. « La gestion des 67 milliards de livres d’actifs liés aux activités d’assurance de Scottish Widows commencera à la conclusion du processus d’arbitrage en cours avec Standard Life Aberdeen ou, au plus tard, à l’expiration du contrat prévu en mars 2022 », précisent Schroders et Lloyds.Les deux partenaires se sont également mis d’accord pour travailler ensemble et « développer éventuellement d’autres opportunités stratégiques, dont des services d’investissement et de conseil à destination des clients particuliers de Lloyds, pour lesquels Schroders pourrait fournir des services de gestion active », annoncent les deux partenaires. La nouvelle coentreprise devrait démarrer ses activités d’ici à la fin du premier semestre 2019, sous réserve de l’obtention des autorisations nécessaires. Elle sera dirigée par une équipe constituée de membres des deux sociétés. Antonio Lorenzo, directeur général de Scottish Widows et directeur de l’assurance et de la gestion de fortune de Lloyds, occupera le fauteuil de président de la structure. James Rainbow, co-responsable des intermédiaires britanniques chez Schroders, officiera en tant que directeur général.
London boutique Fulcrum Asset Management has appointed Akio Ohtsuka assenior adviser. Ohtsuka, currently executive adviser of Sumitomo Mitsui Trust Bank, will provide the company with strategic insight into the Japanese asset management landscape. Ohtsuka has been with Sumitomo Mitsui Trust Bank since April 1976. From 2012 to 2015, he was executive deputy president and CEO of the fiduciary business division of the bank and, between 2015 and 2017 he served as executive director and chairman of Sumitomo Mitsui Trust Asset Management. Fulcrum’s chief executive Andrew Stevens said Ohtsuka’s experience and understanding of the AM business in Japan will be invaluable as the company seeks to serve clients in the country. Fulcrum has £5.1bn in assets under management.
DWS, the asset management arm of Deutsche Bank, and the Italian insurer Generali have signed an agreement which will strengthen their cooperation in the area of unit-linked accounts. The two firms will develop their partnership in several key European markets, making DWS one of the asset management firms which will be eligible for selection by affiliates of Generali for the major European markets. The agreement follows a selection process implemented by Generali via its asset, wealth and investment management division. By the terms of the agreement, DWS and Generali will provide unit-linked solutions in the French, Swiss, Italian and German markets, as well as other potential markets.
LaBanque Postale Asset Management hasdecided to alter the management objective for the BPAMActions Euro Large Cap fund,which from 25 October will remain within a 4% tracking error of itsbenchmark, the MSCI EMU Net Return ENR, on an annual basis.Quantitative strategies will be implemented, and decisions will betaken by the manager on the basis of the results of this quantitativemodel.@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Thesestrategies represent drivers of performance for LBPAM, which groupsthem into three categories: allocation of stocks with amulti-criteria approach, which tends to favour stocks with solidfinancial and fundamental characteristics; a level of exposure toeuro zone equities via a systematic adjustment based on atrend-monitoring model and the level of exposure of the fund toEuropean equities. ESG criteria will also be removed from theinvestment strategy.