Les banques italiennes BPER et Banca Popolare di Sondrio, actionnaires d’Arca à 57,06 % et 36,86 %, sont prêtes à nommer une société de conseil qui les aidera à évaluer les options de développement de la société de gestion, rapporte Il Sole – 24 Ore. Plusieurs pistes seront étudiées: croissance organique, introduction en Bourse, entrée au capital de nouveaux actionnaires ou fusion avec un partenaire industriel. Parmi les sociétés avec lesquelles Arca pourrait s’allier figure l’italienne Anima.
La banque privée suisse Landolt & Cie vient de recruterMourtaza Asad-Syed en qualité de responsable des investissements (CIO), rapporte le quotidien L’Agefi suisse. Fort d’une expérience professionnelle de 25 ans, l’intéressé a notamment travaillé sept ans dans la banque privée à Genève et quatre ans à Paris, où il a lancé avec deux associés lafintech Yomoni. Fondée à Lausanne en 1780, la banque privéeLandolt & Cie a aujourd’hui des actifssous gestion d’environ 3,8 milliards de francs suisses avec principalement une clientèle domiciliée en Suisse. Ses 80 collaborateurs sont répartis entre son siège lausannois et ses présences genevoise, valaisanne et zurichoise. En 2016, la famille Lombard avait rejoint l’établissement de gestion privée présidé par Pierre Landolt, l’arrière-petit-fils du fondateur du groupe pharmaceutique Sandoz, devenu Novartis. Les deux familles actionnaires en font une banque familiale 100% suisse. Le nouveau CIO de Landolt indique que la banque privée va enrichir son offre. «La banque souhaite élargir progressivement l’exposition des patrimoines aux actifs non cotés. Pourquoi ne pas s’inspirer de la méthode Swensen, qui a si bien réussi dans le temps pour l’université de Yale avec moins de 50% d’actifs liquides? C’est ce que font déjà les family office et les familles actionnaires, explique-t-il dans les colonnes du quotidien suisse. En pratique, nous visons à ouvrir des opportunités d’investissement exclusives à nos clients, petits ou grands. Par le biais de partenariats historiques, nous proposons des placements en private equity. Le supplément d’âme vient de la possibilité pour les clients de participer aussi en direct sur les placements privés en général fermés, les club deals issus de cet écosystème. Nos premiers investissements ont porté sur la medtech, avec une série de pré-IPO par exemple sur les sociétés suisses Symetis et Medartis.»
Spanish daily newspaperEl Confidencial has reportedBanco Sabadell should take a decision before June regarding the future of the group’s asset management branch, Sabadell Asset Management. Banco Sabadell works with JP Morgan to study a number of options, whether that is the opening of Sabadell AM’s capital to new players or partnerships. According to El Confidencial, in the event the option of a partial sale of Sabadell AM would be chosen, Banco Sabadell will not seek partners before summer in orderto give time to foreign asset managers with ambitions for development in Spain to consider the operation. Banco Sabadell seeks to makeSabadell AM global,simplify its offering and render more efficient the relationship between product making and distribution. Sabadell AM manages €16bn and Inverco estimates it has a 6% share in the Spanish fund market.
Le quotidien espagnol El Confidencial rapporte queBanco Sabadell devrait prendre une décision entre avril et maiquant à l’avenir de sa filiale de gestion d’actifs, Sabadell Asset Management. Banco Sabadell collabore avec JP Morgan pour étudierdifférentes pistes, qu’il s’agisse de l’ouverture du capital de Sabadell AMà de nouveaux acteurs ou de partenariats. D’après El Confidencial, dans le cas où la cession d’un partie du capital de Sabadell AM serait privilégiée, aucune recherche de partenaires ne sera lancée avant l'été afin de laisser le temps aux gestionnaires d’actifs étrangers souhaitant se développer en Espagne de s’intéresser au dossier. Banco Sabadellentend internationaliser Sabadell AM,simplifier son offre etrendre plus efficace la relation entre la conception des produits et la distribution. Sabadell AM gère 16 milliards d’euros et sa part de marché sur les fonds espagnols est estimée à 6% par Inverco.
Robert Zoellick a démissionné de son poste de président du conseil d’administration d’AllianceBernstein, moins de deux ans après avoir pris ses fonctions, conséquence de la vente par Axa de ses activités américaines, rapporte le Financial Times fund management. L’ancien président de la Banque Mondiale avait pris la tête de la société de gestion en 2017 après le départ de Peter Kraus. Ramon de Oliveira, un ancien dirigeant de JPMorgan Chase qui siégeait déjà au conseil d’administration d’AllianceBernstein, a été nommé président.
DE Shaw remonte les frais de son hedge fund phare de 14 milliards de dollars et va ainsi à l’encontre de la tendance du secteur, rapporte le Financial Times. La société fondée par le scientifique milliardaire David Shaw avait été contrainte de réduire les frais de son Composite Fund en 2011: les frais de gestion de 3 % et les commissions de performance de 30 % avaient alors été descendus à 2,5 % et 25 % respectivement. Le fonds a ensuite été fermé aux nouveaux investisseurs en 2013 et ses fortes performances (+11,2 % l’an dernier) ont conduit la société à rétablir le niveau de frais de 3-30, selon des sources proches du dossier. La décision prendra effet début 2020.
Le hedge fund américain DE Shaw, connu pour son approche quantitative, envisagerait de renouer avec une structure de frais dite «3-30», soit 3% de frais de gestion et 30% de commissions de surperformance. Le Financial Times, qui cite une source proche et a récemment rencontré plusieurs dirigeants de DE Shaw, rappelle que le fonds alternatif avait dû passer à une structure à 2,5% de frais et 25% de commissions de surperformance en 2011, alors que l’ensemble de l’industrie des hedge funds était sous pression pour baisser ses tarifs faute de performance. Le Composite Fund de DE Shaw, vaisseau amiral du groupe, est fermé aux nouveaux investisseurs depuis 2013 et a dégagé une performance de 11,2% en 2018, année où presque tous les actifs ont connu des performances négatives.
BNP Paribas Asset Management on 12 April signed the Operating Principles For Impact Management. The principles were developed by IFC, a member of the World Bank group, in collaboration with managers and assetowners, development banks,financial institutions. “These repreent a major step toward the creation of a coherent framework for impact investment, an approach in which invefstors seek to generate a positive impact for society in parallel with financial returns, in a disciplined and transparent way. They seek to bring more transparency, credibility and disciplint to the impact investment market,” the asset management firm says in a statement. By signing the princples, BNPP AM engages, for part of its assets, to: - Affirm its intention to integrate the Principles into its processes, for all of its impact investments. BNPP AM will seek to manage and/or select funds and investment vehicles which are managed in line with the Principles. - Publish every year, on its website or in its annual report, its engagement to the Principles and the way in which the impact management systems are in line with them, taking into account fiduciary and regulatory obligations. - Publish on an annual basis the total amount of assets which are managed in line with the Principles. “At BNP Paribas Asset Management, we have the potential to influence the world around us and to serve as a “future maker” through our engagement and our investments. By being among the first to adopt the Operating Principles for Impact Management, we confirm our engagement and our ambition to make a positive contribution to companies, markets and the economy in general,” says Jane Ambachtsheer, global head of sustainable development at BNPP AM.
BNP Paribas Asset Management a signé le 12 avril dernierles Operating Principles For Impact Management. Ces principes ont été développés par l’IFC, membre du groupe de la Banque mondiale, en collaboration avec des gestionnaires et détenteurs d’actifs, des banques de développement et des institutions financières. «Ils constituent une avancée importante vers la création d’un cadre cohérent pour l’investissement à impact, une approche dans laquelle les investisseurs cherchent à générer un impact positif pour la société parallèlement aux rendements financiers, de manière disciplinée et transparente. Ils cherchent à apporter plus de transparence, de crédibilité et de discipline au marché de l’investissement à impact», précise la société de gestion dans un communiqué. En signant ces principes BNPP AM s’engage,pour une partie de ses encours, à : - Affirmer son intention d’intégrer ces Principes dans ses processus, pour tous ses investissements à impact. BNPP AM cherchera notamment à gérer et/ou sélectionner les fonds et véhicules d’investissement gérés conformément à ces Principes. - Rendre compte publiquement, chaque année, sur son site Web ou dans son rapport annuel, de son engagement à l'égard des Principes et de la manière dont les systèmes de gestion de l’impact sont alignés sur ceux-ci, en tenant compte des obligations fiduciaires et réglementaires. - Rendre public, sur une base annuelle, le montant total des encours qui sont gérés conformément aux Principes. «Chez BNP Paribas Asset Management, nous avons le potentiel d’influencer le monde qui nous entoure et d’endosser le rôle d’ un « futur maker » tant au niveau de notre engagement que de nos investissements. En étant parmi les premiers à adopter les Operating Principles For Impact Management, nous confirmons notre engagement et notre ambition d’apporter une contribution positive aux entreprises, aux marchés et à l'économie en général», assure Jane Ambachtsheer responsable mondiale du développement durablechez BNPP AM.
The steering committee at Assogestioni has appointed its chairpersons for consulting committees at the Italian association of asset management professionals for the period from 2019-2022. Sergio Trezzi from Invesco Asset Management is appointed as chairman of the committee for communications. He replaces Lorenzo Alfieri of J.P. Morgan Asset Management. Lucio De Gasperis from Mediolanum Gestione Fondi Sgr becomes chairman of the corporate governance committee, replacing Andrea Ghidoni of Pramerica Sgr. Luca Tenani from Schroders Italia Sim will be chair of the foreign funds committee, while Matteo Astolfi from M&G International Investments will serve as vice-chairman. Giampiero Schiavo from Castello Sgr becomes chairman of the closed and real estate funds committee. The vice-chairman is Alessandro Marchesin of Sella Sgr. The retirement planning committee is chaired by Ugo Loser of Arca Fondi Sgr, who succeeds Mauro Castiglioni of DWS Investment. Cinzia Tagliabue of Amundi Sgr becomes chair of the regulation and fiscal issues committee, succeeding Marco Carredi of Anima Sgr. She will work with Andrea Aliberti of Azimut Capital Management Sgr as vice-chair. The consulting committees will aim to help the management board with its activities, each in its own area of expertise.
Le comité de direction d’Assogestioni a nommé les présidents des comités consultatifs de l’association italienne des professionnels de la gestion pour la période courant de 2019 et 2022. Sergio Trezzi, d’Invesco Asset Management, est nommé président du comité dédié à la communication. Il succède à Lorenzo Alfieri, de J.P. Morgan Asset Management. Lucio De Gasperis, de Mediolanum Gestione Fondi Sgr, devient président du comité de gouvernance d’entreprise, succédant à Andrea Ghidoni, de Pramerica Sgr. Luca Tenani, de Schroders Italia Sim, présidera le comité des fonds étrangers, tandis que Matteo Astolfi, de M&G International Investments, en sera le vice-président. Giampiero Schiavo, de Castello Sgr, est désigné président du comité fonds fermés et immobiliers. Le vice-président est Alessandro Marchesin, de Sella Sgr. Le comité de prévoyance est présidé par Ugo Loser, d’Arca Fondi Sgr, qui prend la suite de Mauro Castiglioni, de DWS Investment. Enfin, Cinzia Tagliabue, d’Amundi Sgr, prend la présidence du comité réglementation et fiscalité, succédant à Marco Carredi, d’Anima Sgr. Elle travaillera avec Andrea Aliberti, d’Azimut Capital Management Sgr comme vice-président. La nomination du coordinateur et des coordinateurs adjoints du comité des gérants a été reportée. Les travaux continueront à être dirigés par le coordinateur par intérim Andrea Ghidoni, de Pramerica Sgr, et par les deux vice-coordinateurs, Oriana Bastianelli, Kairos Partners Sgr et Luigi Dompè, d’Anima Sgr. Les comités consultatifs ont le devoir d’aider l’activité du conseil de direction, chacun dans son domaine de compétence.
Le réseau d’IWBank Private Investments a recruté Paolo Amato comme conseiller dans la région de Naples. L’intéressé provient de Banca Patrimoni Sella & C. Il sera rattaché à Carmine Fiordellisi et fera partie du pôle «centre-sud» d’IWBank Private Investments dirigé par Paolo Isidoro.
Le family office autrichien Kraus &Kraus Family Office GmbH est passé récemment dans le giron de la banque privée LGT Bank AG Österreich. Le changement d’actionnaire est effectif depuis début avril 2019, selon le site spécialisé e-fundresearch.
Innovative Portfolios a été choisi comme gestionnaire de deux fonds, Dividend Performers et Preferred-Plus. La première stratégie se compose d’actions de sociétés de grande capitalisation aux États-Unis qui versent des dividendes.La seconde est investie dans des actions américaines préférentielles avec l’objectif d’offrir un revenu du dividende.Les deux stratégies utilisent un overlay.
Union Investment a annoncé l’acquisition d’une salle de cinéma multiplex à Lodz en Pologne développant une surface d’environ 7.400 mètres carrés au sein du centre commercial Manufaktura. L’acquisition a été réalisée pour le compte du fonds immobilier ouvert Unilmmo: Deutschland. Le montant de l’opération s’est élevé à environ 21 millions d’euros, indique un communiqué. Avec cette acquisition, Union Unvestment porte le volume d’actifs détenus dans ce centre commercial à plus de 100.000 mètres carrés, valorisés à environ 470 millions d’euros.
Hedge funds in February returned to positive inflows, with a net total of $12.1bn, following net outflows of $24bn in January, according to statistics from BarclayHedge. The wave of inflows has been observed in most global regions. In the 12 months to the end of February, flows remain negative, with a cumulative outflow of $123.3bn. Assets under management totalled nearly $2.960trn as of the end of February. Macro funds had attracted $13.2bn over 12 months, while event-driven funds had nearly $5.6bn in inflows. However, funds dedicated to bonds saw redemptions totalling $28.8bn.
Les hedge funds ont renoué avec la collecte au mois de février, enregistrant des entrées nettes de 12,1 milliards de dollars après des sorties nettes de plus de 24 milliards de dollars en janvier, selon des statistiques communiquées par BarclayHedge. Ce mouvement de collecte a été observé dans la plupart des régions du monde. Sur les douze mois à fin février, les flux restent dans le rouge, avec de sorties nettes cumulées de 123,3 milliards de dollars. Les actifs sous gestion s’inscrivaient à près de 2.960 milliards de dollars à la fin de février. Les fonds macro ont attiré 13,2 milliards de dollars sur douze mois et les fonds event driven près de 5,6 milliards de dollars. En revanche, les fonds dédiés à l’obligataire ont subi des rachats à hauteur de 28,8 milliards de dollars.
Les actionnaires de Schroders sont appelés à bloquer la réélection de Michael Dobson en tant que président de la société de gestion et l’élection au conseil d’administration de Leonie Schroder, le dernier membre de la famille Schroder, rapporte le Financial Times. Glass Lewis a recommandé de voter contre les deux personnalités lors de l’assemblée générale du 2 mai. La société souligne l’inexpérience de Leonie Schroder, qui a succédé à son père Bruno en mars deux semaines après sa mort. Elle conseille aussi aux actionnaires de rejeter le bonus de 6,2 millions de livres de Peter Harrison, ce qui a aussi été critiqué par Institutional Shareholder Services.
Le hedge fund américain DE Shaw, connu pour son approche quantitative, envisagerait de renouer avec une structure de frais dite «3-30», soit 3% de frais de gestion et 30% de commissions de surperformance. Le Financial Times, qui cite un proche du dossier et a récemment rencontré plusieurs des discrets dirigeants de DE Shaw, rappelle que le fonds alternatif avait dû passer à une structure à 2,5% de frais et 25% de commissions de surperformance en 2011, alors que l’ensemble de l’industrie des hedge funds était sous pression pour baisser ses tarifs faute de performance.
The European Fund and Asset Management Association (Efama) has welcomed the vote by the European Parliament plenary on 16 April, formally adopting the trilogue agreement on the Commission’s initiative to remove cross-border barriers to the distribution of investment funds. «This marks a decisive recognition of the need to postpone the application of the PRIIPs disclosure regime for UCITS by two years, in light of the regime’s documented shortcomings. It also allows the European Commission more time to conduct a thorough review of the same within one year,» notes Efama. The European asset managementrepresentative bodyalso welcomesthe fact that existing AIFs may be «pre-marketed» into new EU host jurisdictions, alongside not-yet-established AIFs. Though, Efama still doubts fromthe rationale behind the requirement for an informal notification by the management company to the competent home authority announcing the start of the pre-marketing regime for AIFs. Another important result has been the removal of numerical thresholds, initially governing the de-notification of UCITS/AIFs from host member state jurisdictions under the Commission’s original proposal, Efama highlights. «Such thresholds would havede factointroduced an additional barrier to the cross-border distribution of funds. Yet, some doubts remain with respect to the co-Legislators’ rationale to continue requiring the formal notification requirements between home and host competent authorities, despite the end of the marketing regime,» says Efama in a statement. Another benefit of the agreement raised by the association remainsthe removal of the requirement for asset management companies to establish a mandatory physical presence in a host jurisdiction as a condition for marketing their funds therein. In order to easethe cross-border notification procedure to avail themselves of the EU fund distribution passport, management companies will benefit from a centralised and updated information database held by ESMA. Tanguy van de Werve, EFAMA director general, commented: “The increase in cross-border fund ownership in Europe over the past decade is a welcome development. We expect this trend to continue in the future, driven by technology-enabled access to a larger pool of foreign fund providers. The European Commission’s proposal on facilitating the cross-border distribution of funds will enable consumers to benefit from greater choice at a lower cost, thereby further unlocking the benefits of the CMU.”
Le décret d’application nécessaire pour donner naissance aux nouveaux plans d’épargne individuels italiens (PIR) est prêt au ministère du Développement économique, ont confirmé des sources à Il Sole – 24 Ore. En théorie, il devrait voir le jour avant le 30 avril, date butoir pour respecter la loi. Mais ce n’est pas sûr… Le décret d’application est indispensable pour donner un visage et des caractéristiques précises aux nouveaux PIR. La loi de finance, qui a remodelé ces instruments, a prévu quelques nouveautés importantes. Par exemple, les nouveaux PIR devront investir 3,5 % dans des fonds de capital-risqueet 3,5 % dans des sociétés cotées sur le MTF. Cette limite (surtout la première) a bloqué le marché en 2019. Le problème principal est justement la limite de 3,5 % à investir dans des fonds de capital-risque. Les PIR sont des fonds Ucits ouverts qui doivent publier quotidiennement leur valeur liquidative. En théorie, les fonds Ucits peuvent investir dans des instruments illiquides jusqu’à 10 %, mais personne ne le fait jamais, pour des questions de liquidité. Comment résoudre le problème?La solutiontrouvée semble être la suivante: pour satisfaire à l’obligation d’investir 3,5 % dans des fonds de capital-risque, les PIR pourront acquérir non seulement des fonds fermés, mais aussi des véhicules cotés sur le MFT. La définition de capital-risqueserait donc élargie.
Glen Finegan, head of emerging market equities at Janus Henderson Investors, has left on 18 April to follow new opportunities outside the firm, Investment Week has reported. Finegan has been given a six-month gardening leave period. In addition, four portfolio managers of the emerging market equity unit -Stephen Dean, Nicholas Cowley, Michael Cahoon andIan Taberrer - will also leaveJanus Henderson next 30 November. While awaiting the appointment of a new chief, the unit will report to Alex Crooke, co-head of equities. Janus Henderson, which faced Bill Gross’s departure in February, had posted outflows of $18.1bn in 2018.
Alexander Navab, un ancien dirigeant de KKR, lance une société de private equity qui se concentrera sur les transactions de taille moyenne et grande, rapporte le Wall Street Journal. L’intéressé a rassemblé un groupe d’anciens investisseurs de sociétés comme Baupost Group, Carlyle Group et Warburg Pincus. Navab Capital Partners pourrait commencer à lever son premier fonds avec un objectif de 3 milliards de dollars dans les mois qui viennent, selon des sources proches du dossier.
Glen Finegan, responsable de l'équipe des actions émergentes au sein de Janus Henderson Investors, a quitté la société de gestion jeudi 18 avril pour poursuivre d’autres opportunités, rapporte InvestmentWeek. Glen Finegan a été placé en congé prolongé (gardenleave) pour une période de six mois. Quatre autres membres de son unité -Stephen Dean, Nicholas Cowley, Michael Cahoon et Ian Taberrer - quitteront également Janus Henderson le 30 novembre prochain. Dans l’attente de la nomination d’un nouveau responsable, l'équipe actions émergentes sera rattachée à Alex Crooke, co-responsable des actions. Janus Henderson, qui a vu le départ de Bill Gross en février dernier, a décollecté à hauteur de 18,1 milliards de dollars en 2018.
Le gérant de hedge funds Pierre Andurand va lancer en juin un nouveau fonds, appelé Andurand Commodities Discretionary Fund, rapporte le Wall Street Journal. Ce nouveau produit pourra prendre des paris plus gros et plus risqués que le fonds actuel du gérant, selon des sources proches du dossier. Le fonds existant, Andurand Commodities Fund, qui continuera à être géré aux côtés du nouveau fonds, affichait un encours d’environ 1 milliard de dollars à la fin de l’année dernière. Pierre Andurand, qui est basé entre Malte et Londres, a prédit en juin dernier que les prix du pétrole étaient dans une phase de hausse de plusieurs années et pourraient atteindre 100 dollars en 2018. Or le cours du Brent a chuté à près de 50 dollars. Son fonds a accusé une perte de 20,9 % en octobre. Cette année, le fonds serait en hausse de 5,2 %.
Le robo-advisor espagnol Indexa Capital, qui conseille 178 millions d’euros en gestion de portefeuille discrétionnaire et pour des plans de pension, va devenir co-gérant d’un fonds d’investissement de Renta 4, rapporte le quotidien Cinco Días. Le fonds Indexa RV Mixta Internacional75 a été enregistré auprès du superviseur des marchés financiers espagnol CNMV. Dans les faits,le gestionnaire et dépositaire du fonds Renta 4 Gestora en déléguera la gestion à la sociétéIndexa Capital. Cinco Días explique que le fondsIndexa RV Mixta Internacional 75 investira 74,9% de ses actifs dans des ETFet les 25,1% restants dans des ETF d’obligations indexées. Le fond, dont les frais seront de 0,84%,sera disponible sur les principales plateformes de fonds en Espagne dontAllFunds Bank, Inversis, Tressis et Renta 4.
La filiale de gestion d’actifs de la Société Générale a annoncé jeudi le lancement du fonds Lyxor Dette Midcap 2. L’objectif de collecte est de 250 millions d’euros, et 150 millions d’euros ont déjà été réunis. Le fonds investit dans des créances senior destinées à financer des entreprises de taille intermédiaire, notamment dans le cadre de projets de croissance interne ou externe, d’opérations de capital-transmission ou de recomposition actionnariale. Le premier fonds a collecté «plus de 200 millions d’euros et réalisé près de 30 investissements depuis mai 2016», précise un communiqué de Lyxor.