Le groupe financier brésilienBTG Pactual va distribuer la gamme de fonds Ucits de T. Rowe Price sur l’ensemble de l’Amérique latine, indique un communiqué. Un accord de distribution a été trouvé entre les deux compagnies. BTG Pactual vise notamment les investisseurs professionnels et institutionnels basés au Chili, en Colombie, au Pérou, au Brésil, au Mexique ainsi qu’en Uruguay.
HSBC Holdings Plc devrait lancer prochainement une société de gestion en Malaisie, a appris le média local de langue anglaise The Edge, repris par Asia Asset Management. La compagnie est actuellement dans l’attente de la délivrance d’une licence de la part du régulateur boursier local. Selon une source citée par le quotidien local, HSBC est en train de mettre en place son équipe de gestion en Malaisie, une obligation de la Securities Commission Malaysia. La société chercherait notamment son directeur général et son directeur des investissements, a précisé la source.
Seulement 17 % des sociétés de gestion présentes en Europe s’engagent en matière d’investissement responsable et projettent leurs efforts dans leur marque, selon la deuxième édition du H&K Responsible Brand Index, qui a analysé 220 gestionnaires d’actifs. Cette proportion d’«avant-gardistes IR» est stable par rapport à l’année dernière (16 %). Le classement est dominé par Axa Investment Management, Hermes Investment et Candriam, qui figuraient déjà dans le top 10 l’an passé. Arrivent ensuite Swedbank, Ostrum Asset Management, Mirova, Nordea Investment Management, Degroof Petercam Asset Management, Robeco et Bank J. Safra Sarasin. Par rapport à l’an dernier, on note l’entrée dans le top 10 d’Ostrum, Nordea IM et Robeco, tandis que Sycomore, Pictet AM et Groupama AM sont sortis. L’indice évalue l’engagement des sociétés de gestion, au travers de 10 critères tels que la signature des PRI, l’existence d’une politique de vote ou l’engagement actionnarial. La marque est aussi étudiée en 7 étapes. Le système de valeurs de l’entreprise et sa connexion avec les ambitions sociétales sont passés au crible. Un tiers sont des retardataires La moitié des gérants d’actifs évalués, soit 109, appartiennent à la catégorie des «traditionalistes», qui s’engagent dans l’investissement responsable mais ne traduisent pas cet engagement dans leur marque. Un tiers ne s’engage pas en faveur de l’investissement responsable et ne démontre pas non plus d’intention dans ce domaine à travers leur marque (les «retardataires»). « Face à la hausse des actifs ESG, à l’augmentation de la sensibilisation du public et à l’essor de la couverture médiatique, je me serais attendu à une plus grande évolution par rapport à l’an dernier», regrette Jean-François Hirschel, le CEO de H-Ideas, co-créateur de l’indice avec Markus Kramer. «L’industrie a peu progressé dans l’expression de sa bonne intention à travers sa marque». Il reconnaît toutefois que «travailler sur la marque prend du temps» et que les sociétés de gestion préfèrent d’abord plancher sur les processus d’investissement. La raison d’être sociétale reste rare Par ailleurs, l’indice montre que 41 % des gestionnaires d’actifs expriment une raison d’être. Mais seulement 14 % ont une raison d’être liés aux ambitions sociétales. Parmi eux, seuls cinq le font «à travers une raison d’être exprimée de façon percutante», selon l’étude. Ces cinq sociétés sont Hermes IM, Axa IM, Swedbank, Nordea et State Street Global Advisors. Par exemple, Axa IM se présente comme «un gestionnaire d’actifs global avec une approche active, de long terme et responsable de l’investissement» et indique vouloir «agir aujourd’hui pour un avenir meilleur». «Ces sociétés se distinguent avec un message qui va au-delà de dégager de bonnes performances», explique Jean-François Hirschel. Il ajoute que «cela doit être un projet d’entreprise pour l’ensemble des collaborateurs et pas seulement pour le département communication».
Le groupe financierSantander a lancé une offre de gestion discrétionnaire de portefeuilles, Mi Cartera Santander, comportant cinq profils de risques et dont l’investissement minimum est de 10.000 euros. Les cinq profils de risques sont conservateur (investi à 20% en actions, le reste en dette), modéré (10 à 40% en actions), équilibré (20 à 60% en actions), dynamique (30 à 80% en actions) et agressif (40 à 100% en actions). Cette offre ne s’adresse qu’aux résidents fiscaux en Espagne et les portefeuilles seront gérés par l'équipe Global Multi Asset Solutions de Santander Asset Management.
Selon les données d’Inverco, l’association des professionnels de la gestion d’actifs en Espagne, les encours degestion discrétionnaire locale s'élevaient à 75 milliards d’euros à la fin du premier semestre 2019. La gestion discrétionnaire représentait alors 21% du marché de la gestion de fonds hispaniquetandis que les 79% restants se partagent entre le conseil et la distribution de fonds. Aussi les investisseurs espagnols utilisant la gestion discrétionnaire de portefeuilles ont-ils tendance à préférer les fonds espagnols à plus de 70%, l’utilisation des fonds étrangers atteint moins de 30%. Ce même ratio pour le conseil et la distribution de fonds et de 80%-20%.
La filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank a annoncé lundi un premier closing de 350 millions d’euros pour son premier fonds de prêts, DWS European Lending. Les souscripteurs, européens et asiatiques, sont des family offices, des assureurs et des gestionnaires de retraite. Le fonds cible une taille de 500 à 700 millions d’euros d’ici à la fin de l’année. Il investira aux côtés de l’activité European direct lending de Deutsche Bank dans des loans.
L’Autorité des Marchés Financiers (AMF) vient de nommer Didier Deleage au poste de directeur adjoint de la Direction de la gestion d’actifs, aux côtés de Philippe Sourlas, secrétaire général adjoint. Il était jusqu'à présent président du directoire d’Edmond de Rothschild Asset Management. Diplômé de l’ESSEC, Didier Deleage débuta sa carrière chez Coopers & Lybrand Audit, avant de rejoindre en 1997 Sinopia Asset Management en tant que responsable du contrôle interne puis secrétaire général. En 2006, il intégra HSBC GAM (France), en tant que directeur des opérations, puis directeur général délégué. Il y occupa également le poste de président du conseil d’administration d’HSBC Epargne Entreprise. Chez Edmond de Rothschild AM depuis 2014, il y fut successivement directeur global des opérations du métier Asset Management, puis de président du directoire début 2017. Il fut également membre du Conseil d’administration de l’AFG de 2006 à 2014, membre de la Commission « infrastructures et prestataires » et vice-président de la commission « comptabilité et reporting ».
M&G Investments va se séparer de Prudential la semaine prochaine. Avec 341 milliards de livres d’actifs, la société sera la troisième plus grosse société de gestion cotée au Royaume-Uni derrière Standard Life Aberdeen et Schroders. La scission marque un tournant qui donnera à M&G une marge de manœuvre pour résoudre ses problèmes passés, écrit le Financial Times fund management. Selon un consultant, «M&G concourrait dans la catégorie inférieure à celle de son poids dans l’ancienne configuration. En tant que société autonome, elle sera moins entravée par la bureaucratie de sa maison mère». Des sources internes indiquent que les divisions de longue date dans la société de gestion ont limité le potentiel de croissance de M&G, de même que les réorganisations successives initiées par Prudential. Sur les cinq dernières années, M&G a été dirigé par trois directeurs généraux. Les analystes remarquent aussi que la séparation permettra à M&G de cibler des marchés comme les Etats-Unis et l’Asie.
Le fonds GARS de Standard Life Aberdeen est sorti de la liste des 10 plus gros fonds au Royaume-Uni établie par Morningstar, ce qui constitue un énorme revers de fortune, rapporte le Financial Times fund management. En 2017, la stratégie GARS était le plus gros fonds britannique avec 21,6 milliards de livres d’actifs. Mais en août, les actifs ne représentaient plus que 6,9 milliards de livres. Le fonds continue à accuser des rachats malgré l’arrivée d’un nouveau gérant, Aymeric Forest, de Schroders.
Andrew Formica, l’ancien co-directeur général de Janus Henderson, a pris la tête de Jupiter Asset Management il y a six mois. Dans un entretien au Financial Times fund management, il explique que les Etats-Unis sont sur son radar. Jupiter devrait recruter des spécialistes de la distribution aux Etats-Unis dans les prochaines années pour pénétrer le marché institutionnel. Phil Wagstaff, un ancien de la garde rapprochée d’Andrew Formica chez Janus Henderson, supervise les ventes. Les clients institutionnels représentent 10 % des encours de Jupiter (45 milliards de livres). Une part qu’Andrew Formica veut porter à 25 %. Andrew Formica n’exclut pas de petites acquisitions. Mais il estime que la croissance viendra plutôt du recrutement de gérants auprès de concurrents. En attendant, il doit affronter le départ de l’un des gérants stars de Jupiter, Alexander Darwall. Des analystes estiment que son départ pourrait se traduire par la perte de 3 milliards de livres d’encours.
Edmond de Rothschild a annoncé ce 14 octobrel’arrivée de François Grandvoinnetpour diriger les activités de Cleaveland, l’entité française de sa plateforme de gestion d’investissements immobiliers. Sous réserve de l’accord de l’AMF, ilprendra ainsi la succession de Laurent Fermault et Dominique Bonin, fondateurs de Cleaveland, qui quitteront la société fin 2019 après une période de transition. Pour mémoire, la cession de 100% des actions de Cleaveland à Edmond de Rothschild était intervenue en juin 2016. La société créée en 2005 gère aujourd’hui 6,2 milliards d’euros d’actifs pour compte de tiers. Par ailleurs, Lyes Badji, directeur financier depuis 2012, sera nommé au poste de directeur général, et Clément Brazy, actuellement gérant de portefeuille senior, prendra la direction financière de Cleaveland. François Grandvoinnet dispose d’une expérience de près de 30 ans dans le secteur de l’immobilier. Avant de rejoindre Edmond de Rothschild, il occupait la fonction de présidentr d’Aviva Investors Real Estate France. Il avait occupé auparavant différentes fonctions au sein de plusieurs entreprises en France et à l'étranger, comme AXA REIM, CBRE Global Investors ou encore AEW.
Sycomore AM a annoncé ce 14 octobre le lancement d’un fonds ISR patrimonial, dénommé Sycomore Next Generation. Le fonds, diversifié, sera investi dans les entreprises dont les modèles sont compatibles avec l’objectif d’une croissance durable. Les gérants du fonds privilégieront ainsi les entreprises en position d’influer positivement sur les générations futures, à savoir celles qui améliorent le niveau de vie, les acteurs vertueux en matière d’énergie verte, de climat, de biodiversité, ou encore les sociétés qui accordent une attention particulière au bien-être de leurs collaborateurs. La gestion sera opportuniste, avec une poche actions pouvant aller de 0% à 50%, et une poche obligataire allant de 0 à 100%. Cette dernière sera équilibrée entre dette corporate et publique, mais évolutive en fonction des tendances de marché. Que ce soit sur la poche actions ou dettes d’entreprises, le fonds s’attache à sélectionner en priorité les sociétés qui, à travers leurs produits et services et/ou leurs opérations, s’alignent aux Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies et aux indicateurs ESG long terme. Sycomore a par ailleurs développé en interne un système de notation des Etats émetteurs d’obligations, combinant à la fois des critères quantitatifs et qualitatifs, avec une dimension ESG prépondérante. « Nous nous engageons, au travers de notre code de transparence, à exclure les 32 pays non membres du pacte mondial des Nations Unies. Le fonds s’interdit par ailleurs d’investir dans les Etats qui n’obtiennent pas une note globale supérieure à 2/5 selon 5 piliers clés : 1/développement durable, 2/governance/système politique, 3/santé économique, 4/corruption & droits humains, 5/inclusion sociale/égalité* », a précisé dans un communiqué Emmanuel de Sinety, co-gérant du fonds Sycomore Next Generation.*Contraintes non prévues au prospectus et sujettes à évolution selon les besoins du modèle de sélection / exclusion.
Groupama Asset Management a annoncé ce 14 octobre la création de Groupama Fund Generations, une sicav de droit français 100% ESG qui proposera une large palette de stratégies d’investissement responsable, réparties entre compartiments ISR, impact investing ou thématiques avec l’objectif «d’investir pour l’avenir». Chaque compartiment sera géré selon une approche de conviction, fondée sur leprocess de sélectivité des titres mis en place par Groupama AM et sur la combinaison intégrale de l’analyse financière et extra-financière des sociétés éligibles à l’investissement. Dès son lancement, Groupama Fund Generationsproposera les fonds G Fund Future for Generations (fonds diversifié thématique), G Fund Global Green Bonds (fonds d’impact investi en obligations vertes) lancés récemment, ainsi que G Fund Credit Euro ISR (fonds ISR«Best in class»), créé en 2008. La sicavaffichera plus de 300 millions d’euros d’encours sous gestion à son lancement le 21 octobre 2019 et vise 1 milliard d’encours d’euros d’ici fin 2020. D’autres compartiments seront progressivement intégrés à Groupama Fund Generations, qu’il s’agisse de fonds existants ou de nouvelles solutions d’investissement. Tous ont vocation à avoir un label d’Etat (GreenFin ou Label ISR). «Groupama Fund Generationsest la figure de proue de nos expertises ESG. Elle devrait assez rapidement compter une dizaine de compartiments labélisés.Pour autant la prise en compte de critères ESG de notre gestion va bien au-delà de la SICAV. D’une part, nous avons d’autres fonds labélisés qui ont vocation à constituer des prochains compartiments de cette SICAV et d’autre part, l’intégration ESG concerne dès aujourd’hui près de 30 milliards d’euros de nos encours (au 30/09/2019). L’intégration des critères ESG a vocation à se généraliser à l’ensemble de nos processus d’investissement », a commentéGuillaume Berthier, directeur marketing.
DWS, la filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank, a annoncé ce 14 octobre le premier closing de son fonds European Direct Lending avec des engagements de plus de 350 millions d’euros de la part d’investisseurs basés en Europe et en Asie, dont des family offices des compagnies d’assurances et des fonds de pension. Le fonds a un objectif de taille compris entre 500 et 700 millions d’euros d’ici à la fin de l’année. DWS gère actuellement plus de 130 milliards d’euros dans des stratégies de prêts investment grade, hybrides et high yield. Le fonds coinvestira avec l’activité de prêts de Deutsche Bank sur le marché de la dette privée senior dans le segmenteuropéen mid-market.
Le robot-conseiller allemand Quirion, filiale à 100% de Quirin Privatbank, a annoncé la nomination de Martin Daut au poste nouvellement créé de directeur général. En poste depuis le 1er juillet, Martin Daut reprend ainsi des fonctions jusqu’alors assumées par Karl Matthäus Schmidt, président du directoire de Quirin Privatbank, qui prend la présidence du conseil de surveillance de Quirion. Selon le communiqué, cette création de poste est due à la très forte croissance de Quirion qui imposait que la société basée à Berlin ait son propre directeur général pour poursuivre son développement. Les actifs sous gestion du robo adviser s’élèvent à 300 millions d’euros émanant de plus de 11.000 clients. Karl Matthäus Schmidt connaît bien Martin Daut pour l’avoir nommé directeur général du broker en ligne Consors (devenu aujourd’hui Consorsbank), une société créée de sa propre initiative en 1994.
Dans ses nouvelles fonctions au sein de Mediolanum Irish Operations (MIO), il supervisera les relations avec les distributeurs et d'autres clients institutionnels de Mediolanum.
Plus d’un tiers des employés du secteur de la gestion d’actifs travaillant au Royaume-Uni ont l’intention de quitter le pays après le Brexit. Selon un sondage du CFA UK, seulement 65 % des professionnels de l’investissement indiquent qu’ils continueront à travailler au Royaume-Uni après le départ de l’Union européenne. Avant le référendum, ils étaient 86 % à penser rester. Le nombre des indécis a aussi augmenté. Plus d’un quart des personnes sondées cette année (26 %) se disent incertaines, contre 20 % en 2019. Dix-sept pour cent de tous les professionnels de l’investissement et 23 % des répondants européens recherchent désormais activement un poste en dehors du Royaume-Uni. Cela s’accompagne d’une évolution dans la manière dont les sondés envisagent le Brexit. Le nombre de professionnels anticipant un Brexit en douceur avec une période de transition a chuté de 53 % l’an dernier à seulement 40 %. Inversement, la part des sondés qui s’attendent à un Brexit dur sans transition était seulement de 20 % l’an dernier. Elle est désormais de 31 %. Les sondés de l’Union européenne sont les plus pessimistes au sujet de la solidité du Royaume-Uni en tant que centre financier. Près de neuf sur dix d’entre eux (soit 88 %) pensent que le Brexit a détérioré la compétitivité du Royaume-Uni. Au total, 76 % des professionnels de l’investissement s’accordent sur le sujet. Toutefois, la perception sur la sécurité de l’emploi s’est améliorée ces 12 derniers mois. 21 % des professionnels de l’investissement ne pensent pas que leurs emplois sont sûrs avec le Brexit, contre 24 % l’an dernier. Les Européens se sentent plus en confiance: 47 % indiquent penser que leurs emplois sont sûrs, contre 49 % l’an passé.
Nuveen a ouvert une succursale à Copenhague au Danemark après trois ans de forte croissance dans la région, rapporte le site danois AMWatch. Per Frederiksen dirigera le nouveau bureau en tant que responsable des services de conseil en Europe continentale.
L’association européenne d’investisseurs en capital Invest Europe a annoncé ce 14 octobre la nomination d’Eric de Montgolfier à sa direction générale. l’ex-directeur de Gimv France remplace Michael Collins, qui a quitté l’association en août. Ce diplômé de l’ESCP Europe avait rejoint la société d’investissement Gimv en 2015. Il passa auparavant environ 11 ans chez Edmond de Rothschild Capital Partners comme cofondateur, managing partner et directeur des opérations. Il fut également un membre du Mid-Market Platform Council member d’Invest Europe.
Changement de têtes chez Axa Investment Managers. Andrea Rossi, directeur général du gestionnaire d’actifs, va quitter ses fonctions, alors que certaines rumeurs le donnaient partant depuis plusieurs semaines. Axa a aussi confirmé le départ immédiat du chairman d’Axa IM, Christof Kutscher.
La filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank a annoncé lundi un premier closing de 350 millions d’euros pour son premier fonds de prêts, DWS European Lending. Les souscripteurs, européens et asiatiques, sont des family offices, des assureurs et des gestionnaires de retraite. Le fonds cible une taille de 500 à 700 millions d’euros d’ici à la fin de l’année. Il investira aux côtés de l’activité European direct lending de Deutsche Bank dans des loans.