Invesco Management SA, filiale luxembourgeoise du gestionnaire d’actifs américain Invesco, est en train de procéder à l’absorption d’Invesco Asset Management SA, succursale française de la société située rue de Londres, a appris NewsManagers. Ce projet commun de fusion transfrontalière qui datedu1er avril 2020 a été déposé auprès des registres du commerce et des sociétés des deux pays durant la première quinzaine d’avril. L’opération voit le transfert à Invesco Management SA de l’actif d’Invesco Asset Management évalué à environ 147,6millions d’euros et de son passif estimé àprès de 25 millions d’euros. Invesco a commencé la simplification de ses structures européennes depuis plusieurs mois. La succursale parisienne, régie par l’AMF, a pour particularité d’avoir comme filiale les structures de Milan, Madrid, Bruxelles, Amsterdam et Stockholm. Une fois l’opération terminée, ces six structures deviendront directement succursales du Luxembourg. Cette fusion devrait être effective à compter du 1er juillet 2020. A ce stade, la société de gestion basée à Francfort, qui compte la structure de Munich comme filiale, n’est pas concernée par le projet. Interrogé, Invesco précise «qu’aucun changement n’impactera les services fournis actuellement dans ces pays, et les interlocuteurs habituels restent à la disposition des clients».
L’exécutif français a donné vendredi rendez-vous fin mai aux acteurs du secteur des cafés, des bars et de la restauration pour une décision sur la réouverture de leurs établissements, fermés depuis le samedi 14 mars à minuit dans le cadre des mesures de lutte contre l'épidémie de coronavirus.
La Réserve fédérale (Fed) américaine a éliminé la règle limitant à six le nombre de retraits qu’il est possible d’effectuer chaque mois sur les comptes épargne (savings deposit) sans avoir à payer de frais. « Les événements financiers associés à la pandémie » ont rendu plus pressants les besoins d’accès aux liquidités, a expliqué la Fed dans un communiqué.
Groupama Asset Management lance le G Fund - Hybrid Corporate Bonds, un fonds investi en obligations hybrides d’entreprises privilégiant les pays de l’OCDE, et dont les émetteurs affichent une notation de créditInvestment-grade. L’objectif du fonds est de générer un rendement supérieur à celui de l’univers des obligations d’entreprises classiques, à travers une sélection rigoureuse de titres hybrides. Cette approche de bond-picking est fondée sur l’analyse fondamentale des sociétés, entre analyse stratégique (management, positionnement concurrentiel), diagnostic financier (structure bilancielle, croissance et rentabilité, cash-flows…), analyse prévisionnelle des résultats et analyse des clauses spécifiques aux dettes hybrides, explique la société de gestion. Parallèlement, l’équipe s’appuie sur une lecture top-down lui permettant de tenir compte également de l’environnement macroéconomique, géographique ou sectoriel pouvant impacter la sélection de titres. Les co-gérants du fonds, qui affiche un encours de plus de 40 millions d’euros, sont Maya El Khoury et Guillaume Lacroix.
Mercer Global Investments a enregistré sa gamme de fonds irlandais auprès de l’Autorité des marchés financiers qui lui a donné le feu vert le 14 avril dernier, a appris NewsManagers. La société, qui dépend du consultant international Mercer, propose huit fonds aux investisseurs français sur les classes d’actifs suivantes: performance absolue obligataire, dette à haut rendement, dette émergente, actions de petite capitalisation, actions à faible volatilité, actions internationales avec un filtre de durabilité, actions eurozone, fonds diversifié. Au 30 septembre 2019, Merceravait 304 milliards de dollars d’encours sous gestion délégués et conseillait 15.000 milliards de dollars d’actifs.
Franck Tuil, l’un des investisseurs activistes les plus redoutés d’Europe, a quitté Elliott Management après près de 20 ans au sein de la société à Londres, rapporte le Financial Times. Ce Français, qui a aidé la société à s’implanter en Europe, a dirigé les campagnes contre Bayer et Pernod Ricard. Il prévoit de faire autre chose après avoir quitté Elliott, selon plusieurs sources informées de son départ.
Le gestionnaire d’actifs américain Wellington Management a conclu un accord de distribution de fonds avec son homologue brésilien XP pour la commercialisation de ses produits sur le territoire brésilien. XP a indiqué dans un communiqué le lancement defonds domiciliés au Brésil Wellington Ventura AdvisoryFunds qui permettront aux investisseurs d’accéder à un fonds actions internationales de Wellington Management en devise locale et en dollars.
Flexstone Partners vient de recruter Kristof Van Overloop comme directeur au sein de son bureau parisien, a appris S&P Global Market Intelligence. Au sein de l’affiliée de Natixis Investment Managers, il sera chargé des investissements sur le marché secondaire des fonds de private equity, ce qui inclut le sourcing, les due diligences, l’exécution, et la gestion des relations avec les gérants (general partners) Kristof Van Overloop travaillait jusqu’ici sur le même segment chez Adams Street Partners (2012-2019), dont il était dernièrement principal. Il a débuté sa carrière dans la banque d’investissement de Morgan Stanley, dans le conseil en fusions-acquisitions sur la région du Benelux.
BNP Paribas Securities Services et BlackRock Solutions ont noué «une alliance stratégique» via Aladdin Provider pour fournir des capacités de gestion intégrées aux clients. Cette alliance permet de réunir les services de middle office, d’administration de fonds et de services de conservation et l’infrastructure de gestion des investissements d’Aladdin pour créer «une solution de gestion «end-to-end» entièrement intégrée», selon un communiqué. Dans le cadre de cette alliance, BNP Paribas Securities Services s’appuiera sur Aladdin pour fournir des services externalisés de middle office, en conservant le Investment Book of Record d’Aladdin comme source de données. Cette nouvelle collaboration approfondit les relations entre les deux entreprises. BNP Paribas Securities Services est en effet client depuis 2007 du français eFront, société acquise par BlackRock en 2019. La banque utilise eFront Invest pour fournir des solutions de gestion d’actifs aux principaux gestionnaires d’actifs alternatifs.
La société de gestion française Gaspal Gestion a annoncé ce 23 avril le lancement d’un nouveau fonds obligataire, le Gaspal Oblig 1-4, investi en obligations d’échéance court à moyen terme. Il s’agit du troisième fonds obligataire de la société, à coté de Gaspal Court Terme et Flexible Annuel. L’ensemble de la gamme est gérée par Marie-Laurence Biswang et Michaël Yatime. L’univers d’investissement couvre l’ensemble des produits de taux libellés en euros d’échéance court à moyen terme: emprunts d’Etat ou dettes privées. Dans la période de démarrage du fonds, le choix des titres portera principalement sur la catégorie Investment Grade. Les titres de catégorie Speculative Grade seront essentiellement de notations BB. De même, l'équipe étudiera des émissions du secteur financier subordonné, tout comme certains titres de qualité affichant une décote, tels que les titres non notés par les agences et les obligations convertibles à profil taux. L’objectif est de surperformer l’indice Euribor 12 mois, augmenté d’une marge de 1,1%.
La gamme d’ETF iShares accueille trois nouveaux fonds indiciels ESG. Chaque fonds est évalué par rapport aux indices MSCI Minimum Volatility ESG Reduced Carbon Target. Ils sont tous les trois exposés à des actions ayant des caractéristiques de volatilité plus faible que le marché, indique iShares. Le premier, le iShares EDGE MSCI World Minimum Volatility ESG UCITS ETF (MVEW), représente l’alternative ESG au fonds iShares EDGE MSCI World Minimum Volatility UCITS ETF (MVOL). Le deuxième, iShares EDGE MSCI Europe Minimum Volatility ESG UCITS ETF (MVEE), est une alternative ESG au fonds iShares EDGE MSCI Europe Minimum Volatility UCITS ETF (MVEU). Le troisième, l’iShares EDGE MSCI USA Minimum Volatility ESG UCITS ETF (MVEA), est l'équivalent ESG au fonds iShares Edge S&P 500 Minimum Volatility UCITS ETF (SPMV). La maison-mère BlackRock a par ailleurs indiqué s’attendre à attirer 1.200 milliards de dollars d’investissement en gestion indicielle durable au cours de la prochaine décennie.
Le courtier en ligne Altaprofits a retenu Pictet Asset Management comme gérant pour son offre de gestion pilotée, ont annoncé les deux sociétés ce 23 avril. Il s’agit d’une première pour le gérant suisse dans l’Hexagone. L’offre est ouverte aux détenteurs des contrats Altaprofits Vie et Altaprofits Capitalisation, assurés par Generali Vie. Elle est accessible à partir de 300 euros, sans modification des frais de gestion du contrat d’assurance, et avec des arbitrages gratuits. Pictet AM proposera deux profils : un dynamique, qui pourra aller de 0% à 100% d’actions, et un profil patrimonial, qui se limitera à un maximum de 60% d’actions.Cette gestion pilotée reposera sur une allocation d’actifs diversifiée dans un univers de fonds maison, notamment thématiques. La société de gestion comptabilise 186 milliards d’euros d’encours, dont 24 milliards en gestion diversifiée.
Les trois agences de supervision européennes pour les marchés (Esma), les banques (EBA) et les assureurs et fonds de pensions (Eiopa) ont lancé hier une consultation sur la transparence en matière d’ESG. Les superviseurs ont élaboré des standards de reporting, applicables aux acteurs de la finance, en matière de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. Les standards portent sur l’impact négatif des décisions d’investissement sur le climat, l’environnement, le respect des droits des travailleurs et la lutte anti-corruption et anti-blanchiment, ainsi que sur les caractéristiques «durables» des produits financiers. La consultation est ouverte jusqu’au 1er septembre.
L’Union Bancaire Privée (UBP) a annoncé ce 23 avril la nomination de Kier Boley au poste de co-directeur et directeur des investissements de l'équipe des solutions d’investissements alternatifs. Il dirigera, depuis Londres, une équipe de six personnes réparties entre la City et Genève. Kier Boley arrive de GAM, où il a travaillé pendant vingt ans. Il y fut notamment directeur des solutions d’investissements alternatifs, et était depuis 2018 responsable de la gestion de mandats discrétionnaires pour le compte d’institutions et de family offices UHNW.
Les trois agences de supervision européennes pour les marchés (Esma), les banques (EBA) et les assureurs et fonds de pensions (Eiopa) ont lancé jeudi une consultation sur la transparence en matière d’ESG. Les superviseurs ont élaboré des standards de reporting, applicables aux acteurs de la finance, en matière de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance.
Une saignée historique. Les fonds ouverts européens de long terme ont rendu 290 milliards d’euros à leurs porteurs de parts en mars, alors qu’ils subissaient de plein fouet la crise du Covid-19, selon des données Morningstar. Le niveau des encours aurait même baissé d’environ 1.000 milliards d’euros, si l’on prend en compte les baisses de valorisation des actifs. En matière de décollecte, les fonds obligataires sont les plus touchés, avec des retraits de près de 140 milliards d’euros, soit un peu plus de 40% de la collecte de 2019. Cette décollecte massive surpasse le précédent record mensuel d’octobre 2008, qui avait atteint -54 milliards d’euros. Les fonds actions ont également établi un nouveau record, avec une décollecte de 54 milliards d’euros, soit 8 de plus qu’en janvier 2008. Le géant Amundi est le plus affecté, avec 30 milliards d’euros de décollecte. Parmi les autres grands acteurs français, Natixis a rendu 16 milliards, et BNP Paribas AM 8 milliards. Sur la gestion active, toutes classes d’actifs confondues, UBS AM arrive à collecter 6 milliards d’euros, pendant que Pimco rend 23,7 milliards, principalement sur son fonds phare Pimco Income. Sur les fonds passifs, Vanguard tire son épingle du jeu avec 2,1 milliards d’euros de collecte, tandis qu’iShares a subi 7,1 milliards d’euros de décollecte.
La société de capital investissement Extendam spécialiste de l’hôtellerie d’affaires en Europe vient de recruter Cécile Leclerc et promouvoir Maxime Durand aux fonctions de responsables d’investissement. Jaafar Guessous a également été promu gérant au sein de l’équipe d’investissement et d’asset management hôtelier. Cécile Leclerc a débuté sa carrière en 2010 en tant qu’avocate au sein de l’équipe Corporate et M&A du cabinet CMS Francis Lefebvre. Elle a rejoint en 2015 la société JLL Hotels & Hospitality en qualité de consultant. Avant de rejoindre Extendam, elle occupait le poste de responsable du développement au sein de la société LVMH Hotel Management. De son côté, Maxime Durand était chargé d’affaires depuis 2017 chez Extendam. Enfin, Jaafar Guessous a débuté sa carrière en 2012 chez EY, au sein du département Transaction Advisory Services. Il a rejoint Extendam en 2015 en tant que responsable d’investissement. La société de gestion a indiqué avoir également recruté Mélanie Pauchard au poste de responsable communication et marketing. Elle travaillait depuis 2010 chez Mandarine Gestion en tant que chargée de marketing.
Holger Doebold a été promu directeur général de Deutsche Wealth Management SGIIC, la société de gestion de Deutsche Bank en Espagne. Il remplace Jorge Medina et occupait jusqu’alors responsable des opérations du segmentgestion de fortune.L’intéressé, qui évolue au sein du groupe Deutsche Bank depuis 1993, a pris ses fonctions le31 mars dernier. Deutsche Bank Wealth Management SGIIC gère un patrimoine d’environ 900 millions d’euros, dont 650 millions investis dans lesfonds espagnols et 235 millions dans des Sicav.
Les investisseurs espagnols se sont rués sur le fonds Invesco Physical Gold ETC sur le mois écoulé, relate l’agence de presse Europa Press. Celle-ci fait d’une collecte de plus de 100 millions d’euros pour le produit d’Invesco auprès des investisseurs espagnols en un mois. Elle s’appuie sur les chiffres fournis par le gestionnaire. Les encours du fonds s'élevaient à 10,7 milliards de dollars au 22 avril.
Le groupe financier Principal, dont dépend Principal Global Investors, a nommé Pedro Atria en qualité de responsable des opérations et de la gestion d’actifs institutionnelleen Amérique latine à compter du 1er mai. Pedro Atria était jusqu’alors responsable de Principal au Chili, poste auquel il sera remplacé par José Antonio Llaneza, actuellement responsable de Principal au Mexique.
Les fonds d’investissement espagnols ont fait face à des sorties nettes de 1,14 milliard d’euros sur les trois premières semaines d’avril, indique Funds People, qui se base sur les données préliminaires d’Inverco. Cela constitue une baisse de 80% de la décollecte comparé au mois de mars à la même période (5.13Md€). Les fonds actions internationales et les fonds monétaires sont les deux seules catégories de fonds à avoir collecté depuis début avril, à hauteur de 150 millions et 41 millions d’euros respectivement. Les fonds globaux ont subi des sorties nettes avoisinant 830 millions d’euros et tandis qu’une décollecte nette de 245 millions d’euros a été observée surles fonds obligataires.
La société de gestion américaine PineBridge Investments a conclu un accord de distribution avec le groupe chilien LarrainVial pour la vente de ses fonds en Amérique latine, rapporte Citywire Americas. Selon les termes de ce partenariat, LarrainVial va distribuer les fonds Ucits de PineBridge auprès dela clientèle de gestion de fortune du marché US offshore mais également aux investisseurs basés au Chili, au Pérou, en Colombie, en Argentine, en Uruguay et au Panama.
Barclays Bank a annoncé qu’elle remboursera intégralement ses ETN iPath série B S&P GSCI Crude Oil Total Return Index le 30 avril 2020. Les ETN se négocient à sur le marché NYSE Arca sous le symbole «OIL». Dans son communiqué, Barclays explique que la valeur de transaction des ETN peut être influencée, entre autres, par les niveaux de l’offre et de la demande pour les titres. Au 20 avril 2020, une prime est apparue dans le prix de négociation des ETN. Le cours de clôture des ETN le 20 avril 2020 était de 3,73 dollars, ce qui représente une prime d’environ 13,5 % par rapport à la valeur indicative de clôture des ETN à cette date. Il est possible que la suspension et le rachat prochain de l'émetteur, tel que décrit ci-dessus, puissent influencer la valeur de marché des ETN. Barclays estime que les limitations d'émission et de vente mises en œuvre peuvent entraîner un déséquilibre de l’offre et de la demande sur le marché secondaire des ETN, ce qui pourrait amener les ETN à continuer de se négocier avec une prime ou une décote par rapport à leur valeur indicative. Il est également possible que la prime actuelle diminue ou cesse d’exister en raison du rachat prochain de l'émetteur. Par conséquent, tout achat d’ETN sur le marché secondaire peut se faire à un prix d’achat sensiblement différent de leur valeur indicative ou de leur prix de négociation actuel.
Patrizia a annoncé la nomination de Thomas Wels au poste de codirecteur général (co-CEO). Il exerçait auparavant la fonction de vice-président et senior advisor d’UBS Asset Management. L’ancien responsable du portefeuille mondial d’actifs immobiliers d’UBS Asset Management sera responsable du développement du groupe allemand en investissement immobilier,et soutiendra l’expansion dans de nouveaux domaines d’activité et sur les marchés internationaux. Thomas Wels prendra ses fonctions de co-CEO à compter du 1er mai 2020. « Thomas développera des stratégies afin d’accompagner la consolidation du secteur, notamment sur notre transition vers de nouvelles classes d’actifs et de nouveaux domaines d’activité, et en renforçant encore notre démarche d’orientation client à l'échelle mondiale », a déclaré Wolfgang Egger, CEO de Patrizia. Pour ma part, cela me permettra d’approfondir le dialogue avec nos investisseurs sur des marchés clés en Europe, en Amérique et en Asie, et de me concentrer sur le développement de stratégies d’innovation et de technologies de pointe, avec un objectif clair : faire de Patrizia le leader de la transformation de notre industrie. »
A première vue, il s’agit d’une histoire de billet d’avion. En réalité, l’affaire pourrait s’avérer plus grave. Le plus gros fonds souverain au monde, le norvégien NBIM (environ 1.000 milliards d’actifs sous gestion), pourrait entacher sa réputation et son exemplarité en matière de finance durable. Le directeur général sortant du fonds norvégien, Yngve Slyngstad, qui doit quitter ses fonctions en septembre, après 12 années de bons et loyaux services, a récemment admis qu’il n’aurait pas dû accepter un charter pour rentrer d’un séminaire aux Etats-Unis organisé par Nicolai Tangen. Pas de considération de confort de compagnie aérienne : Yngve Slyngstad, qui n’a pas utilisé un vol payé par la Banque de Norvège, est en effet revenu à Oslo par un vol direct affrété par Nicolai Tangen... choisi pour lui succéder. Le scandale éclate dans les rangs de la Banque de Norvège qui a annoncé vérifier au plus vite si la nomination de Nicolai Tangen était bien le fruit d’un processus rigoureux et transparent. De son côté, le fonds souverain a précisé que Yngve Slyngstad n’avait pas été impliqué dans la sélection du nouveau dirigeant, dont la nomination pourrait être malgré tout remise en cause. Pas encore arrivé et déjà débarqué ?
... milliards de dollars (soit 920 milliards d’euros), c’est le montant d’encours perdus par BlackRock au cours du premier trimestre de cette année. Les actifs sous gestion du numéro un mondial de la gestion d’actifs atteignaient 6.470 milliards de dollars au 31 mars 2020, marquant un recul de 13 % sur trois mois, dans le sillage des retraits opérés par certains clients dans le contexte de crise liée au coronavirus.