@page { margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115% }Jupiter Asset Management has announced the appointment of Leon Wei as a credit analyst on its bond team. Wei will join the firm on 3 April, bringing the total personnel on the credit research team at Jupiter to a total of seven people.Wei, who has over eight years of experience in research, will concentrate particularly on developed markets, across a variety of sectors, and contribute to fundamental orientation of the unconstrained bond strategy from Jupiter, working closely with the manager of the strategy, Ariel Bezalel.Wei has long experience in analysis of several sector, and joins Jupiter after working for the investment fund Temasek, based in Singapore, where he was a partner and director responsible for credit analysis for high yield bonds and leveraged loans. He began his career at JPMorgan Chase & Co as a credit risk analyst, and then became a partner responsible for debt restructuring activities.
@page { margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115% }Old Mutual Wealth Management has announced an official name change. As announced in mid-November 2017, the group is now known as Quilter plc. The name change reflects the specific identity of the company, independent from that of Old Mutual plc, ahead of its initial public offering.The various activities of the group will change names over the next two years. In the meanwhile, the current names will continue to be current (including Old Mutual International, Intrinsic, Old Mutual Wealth Multi-Asset, Old Mutual Wealth Private Client Advisers). The multi-asset activity will be among the first to adopt its new name as Quilter Investors.
La société de gestion néerlandaise a annoncé ce 28 mars la conclusion d’un accord de partenariat avec la fintech Util, basée à Londres et Oxford et spécialisée dans la fourniture de données pour les investisseurs responsables. Util développe actuellement une méthodologie d'évaluation de sociétés prenant en compte simultanément les données financières et extra financières et qui utilise les meilleures pratiques disponibles à l’instar des des Principes des Nations Unies pour l’investissement responsable (UN-PRI). Au cours des douze prochains mois, Actiam devrait évaluer la méthodologie d’Util tout en utilisant sa base de données et ses analyses.
Le spécialiste de l’investissement durable RobecoSAM a annoncé, ce 28 mars, avoir retenu par le gestionnaire d’actifs japonais Daiwa SB Investments (Daiwa SBI) en qualité de conseiller (« sub-advisor ») pour le fonds nouvellement lancé Daiwa SBI Global Electric Vehicle Revolution Strategy. Daiwa Securities interviendra, pour sa part, en tant que distributeur de la stratégie, actuellement disponible pour les seuls investisseurs domiciliés au Japon. Lancé le 24 janvier 2018, ce véhicule d’investissement a déjà engrangé près de 1,4 milliard de dollars d’actifs en date du 27 mars 2018.Cette stratégie investit, à l’échelle mondiale, dans des entreprises qui bénéficient de la révolution liée au développement des véhicules électriques. Elle se concentre plus précisément sur quatre principaux types d’acteurs : les fournisseurs de composants aux véhicules électriques, les constructeurs de véhicules électriques et fournisseurs de sous-systèmes, les fournisseurs d’infrastructure de recharge et de réseau électronique et, enfin, les sociétés spécialisées dans la connectivité et la conduite autonome.
Après avoir interrogé en octobre dernier 535 cadres dirigeants de PME britanniques, Barclays a dévoilé en mars 2018 une étude sur la prise en compte du développement durable par les PME.
Nicolas Moreau a le sourire. Le patron des activités de gestion d’actifs chez Deutsche Bank a réussi la mise en Bourse de DWS, avec un an d’avance sur la date limite que s’était fixée la banque allemande. Le Français a d’autant plus de raisons d’être satisfait que le processus n’a pas été une promenade de santé, dans un marché devenu plus volatil ces dernières semaines. Mais l’action DWS a fini sa première séance légèrement dans le vert le 23 mars, pile au milieu de la fourchette de prix visée initialement. Avec une capitalisation boursière de 6,5 milliards d’euros et sa propre marque, le gérant pourra désormais se mesurer plus librement à ses grands concurrents européens.
L’investissement responsable, quelle gageure ! En témoignent les dernières nouvelles en provenance du géant CalPers. Dans le cadre de sa politique d’engagement 2018, le fonds de pension de la fonction publique californienne se targue d’agir pour obtenir davantage de présence féminine au sein des conseils d’administration. Il met en outre l’accent sur son souhait de voir les entreprises mieux témoigner de leurs efforts relatifs à la lutte contre le changement climatique. Las, une décision du comité d’investissement de CalPers fait tache. Il vient de refuser d’engager le fonds dans le désinvestissement des grossistes et détaillants d’armes d’assaut, plaidant que cela n’aurait pas d’effet sur la violence ambiante. CalPers évite déjà depuis 2012 les fabricants d’armes, mais n’ira pas plus loin. Pour l’instant.
C’est le nombre d’affaires introduites l’an dernier auprès de la Cour de justice (739, nouveau record) et du Tribunal (917) de l’Union européenne. Quant au nombre d’affaires clôturées, il a atteint 1.594. Les affaires dites pendantes sont, elles, au nombre de 2.410. Quelques centaines de plus que les années précédentes. Ce qui n’empêche pas la durée des moyennes des procédures de se réduire sans cesse : 16,3 mois, une réduction de 40 % en cinq ans.
Section 301. Après les mesures tarifaires sur l’acier et l’aluminium annoncées le 8 du mois et pour lesquelles l’Union européenne sera temporairement exemptée, ce sont 60 milliards de dollars d’importations chinoises qui ont été visées le 22 mars par l’administration Trump en représailles d’accusations de violations de la propriété intellectuelle (des poursuites devant l’Organisation mondiale du Commerce sont prévues). Le tout en vertu de la section 301 de la loi sur le Commerce de 1974. La Maison-Blanche avait lancé il y a peu un banc d’essai en instaurant des taxes sur les importations de panneaux solaires et de machines à laver. Les statistiques chinoises montrent que les Etats-Unis sont le seul pays à avoir enregistré une hausse des importations chinoises en 2017. Un déficit commercial total de 810 milliards de dollars a été relevé l’an dernier aux Etats-Unis intégrant un déficit bilatéral de 375 milliards avec la Chine (505 milliards d’importations pour 130 milliards d’exportations, L’Agefi Hebdo du 15 février 2018). Des mesures de rétorsion de la part de la Chine porteront sur 128 produits américains qui subiront des droits de douane de 15 % ou 25 %. Les principaux postes d’exportation des entreprises américaines vers la Chine sont l’aéronautique civile, le soja et l’automobile. Pour les analystes d’UniCredit, les entreprises américaines seront pénalisées de trois façons : en tant qu’importateurs de biens intermédiaires et fournisseurs des entreprises chinoises, par une appréciation du dollar et par les mesures de rétorsion. Selon Oxford Economics, une taxe de 25 % sur 60 milliards d’importations chinoises amputerait de 0,1 point de pourcentage la croissance du PIB. Oxford Economics indique que 2,6 millions d’emplois dépendent directement des relations commerciales Etats-Unis-Chine. Pour rappel, la Chine détient 1.100 milliards de dollars de Treasuries, soit 8 % du stock de titres d’Etat américains.
Bizarrerie. Plus le Brexit devient réalité et plus le nombre d’investisseurs anticipant qu’il n’aura pas lieu augmente. Ils sont 15 %, sur les 974 professionnels sondés par le Chartered Financial Analyst Institute, à considérer qu’il n’aura pas lieu. Les incrédules ne représentaient que 5 % du panel en 2017. Bon, ils sont tout de même plus des deux tiers à prévoir un déménagement de tout ou partie de leurs activités. Mais quand même… Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
On connaissait les ronds-points multipliés à l’envi dans certaines communes car financés par la Commission européenne. Voici le « Wifi pour tous » et 120 millions d’euros de subventions européennes accordées à 8.000 communes et territoires où la connectivité est rare. Il s’agit de « corriger certaines fragilités de la ruralité », selon la commission des Affaires européennes du Sénat. Les jardins publics des villages concernés pourront disposer d’une connexion sans fil et gratuite financés jusqu’à 15.000 euros par l’Europe. Pas sûr que cela adoucisse les « c’est de la faute à l’Europe ».
UBS a entamé l’unification de ses structures de gestion de fortune en regroupant les équipes responsables des produits de banque privée. Le groupe financier suisse avait annoncé en janvier qu’il allait rapprocher ses activités destinées au marché américain et à sa clientèle internationale en une seule division mondiale. A l’heure actuelle, l’évolution concerne les équipes locales responsables pour la gestion des produits et services liés aux investissement alternatifs, aux mandats et aux partenariats, indique une note interne obtenue par Reuters et confirmée par UBS.
«Nous avons besoin d’expertises pointues que nous ne possédons pas toujours en interne pour développer [une] gestion thématique de long terme», a expliqué à Option Finance Olivier Héreil, directeur général adjoint de BNP Paribas Cardif. «Nous avons pas exemple récemment sélectionné un fonds de Mirova, dont le but consiste à ne pas dégrader les terres cultivées». D’autres institutionnels comme Fondaction, Fondation de France, et Garance se sont mobilisés à côté de l’assureur pour investir dans le fonds LDN (Land Degradation Neutrality) de Mirova. Les engagements totaux s’élèvent à plus de 100 millions de dollars sur un objectif 300 millions. Cet investissement répond pour BNP Paribas Cardif à un objectif plus large : «Nous considérons que nous avons vocation à avoir un impact positif sur la société en sélectionnant des titres ou des fonds qui ont un rôle social ou qui permettent de lutter contre le réchauffement climatique», a souligné Olivier Héreil. De fait, l’institution a annoncé en décembre dernier son souhait de doubler ses investissements verts à horizon 2020.
La société de conseil en investissement française Cedrus Partners va ouvrir un bureau à Madrid, en Espagne, dans le courant du mois de juillet, a indiqué à NewsManagers Christel Bapt, son président, confirmant ainsi une information du site InvestmentEurope. Cette nouvelle structure ciblera les family offices, les associations et les fondations espagnols.En parallèle, la société va également ouvrir un troisième bureau en France, à Lyon, en avril, complétant ainsi ses implantations à Paris et à Bordeaux. Le bureau de Lyon sera dirigé par Clément Joly, qui officiait jusque-là chez ABN Amro Bank à Hong Kong, a indiqué la société. Cedrus Partners revendique aujourd’hui plus de 17 milliards d’euros d’actifs sous conseil.
Le gestionnaire d’actifs Altis Invesment Management (Altis), filiale de NN Investment Partners (NN IP) vient de renforcer ses expertises de recherche dans le domaine des actifs alternatifs avec le recrutement de trois gérants de portefeuille, a annoncé NN IP ce 27 mars. Menno Meekel est ainsi nommé gérant de portefeuille senior en charge des obligations. Basé à La Haye, il prendra officiellement ses fonctions le 1er avril 2018. Précédemment, l’intéressé officiait chez Rabobank où il était responsable de la sélection des fonds communs de placement pour la banque privée de Rabobank aux Pays-Bas. Avant cela, il avait travaillé chez IRIS Research en tant qu’analyste en investissement.Par ailleurs, Arjan van der Loo est nommé gérant de portefeuille senior en charge des actifs alternatifs. Egalement basé à La Haye, il prendra ses fonction le 1er mai 2018. Avant de rejoindre Altis, il a officié chez MN, Morgan Stanley et KMPG, se concentrant plus particulièrement sur le capital-investissement et les infrastructures.Enfin, Robbert Staal a rejoint Altis à La Haye le 1er mars 2018 en tant que gérant de portefeuille senior en charge de l’immobilier. Auparavant, il est passé chez Blue Sky Group, CBRE et ING Real Estate, se spécialisant dans l’immobilier coté et non coté.
La société de gestion indépendante Capzanine, spécialisée dans l’investissement privé, a annoncé ce 27 mars la nomination de Clément Colin en tant que directeur de participations et d’Emmanuel Fournial en tant que chargé d’affaires. « L’entreprise compte désormais 34 collaborateurs répartis en France, en Allemagne, en Espagne et prochainement en Italie, indique Laurent Bénard, directeur général de la société, cité dans un communiqué. Capzanine a réalisé 12 recrutements en 2017 ».Clément Colin a débuté son parcours professionnel en 2013 en tant qu’analyste chez Duke Street. Il a ensuite rejoint Capzanine en tant que chargé d’affaires. Pour sa part, Emmanuel Fournial a débuté son parcours professionnel en 2015 en tant que chargé d’affaires chez Capzanine.
Hicham El Aissaoui, jusque-là gérant de portefeuille chez Athymis Gestion, a quitté la société de gestion présidée par Stéphane Toullieux, a appris InvestmentEurope. L’intéressé travaillait au sein de la société depuis février 2013. Il a notamment été le gérant principal du fonds Athymis Millenial, lancé en juin 2016, et il a co-géré les fonds Athymis Better Life, Athymis Patrimoine et Athymis Alternatifs.En parallèle, toujours selon InvestmentEurope, Claire Bruhin a rejoint Athymis Gestion en mars en tant que gérante de portefeuille. Elle travaillait précédemment en tant qu’analyste de fonds chez CNP Assurances.
Blackstone, via son entité Strategic Capital Holdings Funds, vient de faire l’acquisition d’une participation minoritaire au capital de PAG, une société de gestion alternative asiatique, a annoncé ce 26 mars le gestionnaire d’actifs alternatifs américain. Strategic Capital Holdings Fund fait partie de Blackstone Alternative Asset Management et est spécialisée dans la prise de participation minoritaire dans des gestionnaires d’actifs alternatifs. Basée à Hong Kong, PAG affiche plus de 20 milliards de dollars de capitaux sous gestion répartis dans des stratégies de capital-investissement, immobilière et d’absolute return. Les détails de l’opération n’ont pas été dévoilés.
La société d’investissement Ardian a dévoilé, hier, le recrutement de Mark Voccola au sein de son bureau de New York en qualité de « managing director » chez Ardian Infrastructure. L’intéressé a officiellement rejoint la société en août 2018, précise Ardian dans un communiqué. Dans le cadre de ses fonctions, il partagera la responsabilité des activités d’infrastructures US d’Ardian avec Stefano Mion, « managing director » et co-responsable d’Ardian Infrastructure US. Mark Voccola fera également partie de l’équipe global d’Ardian Infrastructure qui compte désormais 30 professionnels de l’investissement. « Mark Voccola jouera un rôle majeur dans l’élaboration de la vision et de la stratégie d’Ardian sur le continent américain », précise la société. Il sera notamment « chargé d’étudier les opportunités d’investissement et travaillera aux côtés des partenaires industriels de longue date d’Ardian afin d’identifier les meilleurs actifs d’infrastructures essentielles en Amérique », poursuit Ardian.Précédemment, Mark Voccola occupait le poste de « Partner » chez Ares EIF au sein d’Ares Private Equity Group, où il était chargé d’étudier les opportunités d’investissements et de surveiller l’évolution des sociétés en portefeuille. Avant de rejoindre Ares en 2015, il a été « Partner » chez Energy Investors Funds (EIF).
Jean-François Bay vient de quitter La Financière de l’Echiquier où il était directeur de la stratégie, du développement et de l’international depuis moins d’un an, a appris NewsManagers. L’information a été confirmée par une porte-parole de la société de gestion, qui précise qu’il s’agit d’un « choix personnel ». Christophe Mianné, le directeur général de La Financière de l’Echiquier et directeur général délégué du groupe Primonial en charge de l’asset management financier, va assurer l’intérim. Mais pour le moment, la recherche d’un successeur n’est pas à l’ordre du jour.Jean-François Bay avait rejoint La Financière de l’Echiquier en mai 2017, après avoir été directeur général de Morningstar France. Il avait pour mission de bâtir un plan stratégique visant à renforcer la présence de La Financière de l’Echiquier auprès de ses réseaux de clients, en France et à l’international, conseillers en gestion de patrimoine, investisseurs institutionnels, banques privées et family offices.Quelques mois plus tard, en novembre, La Financière de l’Echiquier annonçait un partenariat avec Primonial, qui a vu La Financière de l’Echiquier acquérir le 28 février 100 % des activités asset management financier de Primonial, tandis que ce dernier a pris une participation de 40 % du nouveau périmètre La Financière de l’Echiquier.
Deux sociétés de gestion françaises apparaissent dans le palmarès 2018 Great Place To Work. Il s’agit de La Financière de l’Echiquier et Sycomore arrivés respectivement 33ème et 43ème de la catégorie relative aux entreprises de 50 à 500 salariés.Le Palmarès Great Place To Work s’appuie sur une méthodologie précise basée sur deux enquêtes menées auprès de chaque entreprise candidate : le Trust Index , envoyé à l’ensemble des collaborateurs, et le Culture Audit visant à évaluer la qualité et la diversité des pratiques managériales mises en place par l’entrepriseCette année, le Palmarès Best Workplaces compte 244 entreprises qui ont souhaité participer pour 79 lauréats, soit 32%. La société d'étude indique que 85% des salariés des entreprises lauréates déclarent faire partie d’une entreprise où il fait bon travailler (contre 55% en moyenne pour les salariés français). 87% déclarent être fiers de travailler pour cette entreprise (contre 57% en moyenne pour les salariés français). 80% déclarent se rendre au travail avec plaisir (contre 49% en moyenne pour les salariés français)