Le président exécutif de Raiffeisen Pierin Vincenz prend la présidence du conseil d’administration du groupe TCMG Asset Management fondé en 2009 par Beat Wittmann en tant que Dynapartners, succédant ainsi à Andreas J. Bär, rapporte finews. L’organe accueille encore deux autres personnalités de la gestion d’actifs: l’ancien président exécutif de LGT Asset Management Torsten de Santos (qui dirige aujourd’hui le family office Rianta Capital), ainsi que Aris Prepoudis, qui était arrivé en août 2013 chez Notenstein, avec une équipe d’une quarantaine de collaborateurs provenant de J. Safra Sarasin. Ce dernier représente ainsi Notenstein, qui reste actionnaire majoritaire de TCMG AM. Il pourrait aussi signaler qu’une collaboration plus étroite entre la gestion d’actifs au sein de Notenstein et TCMG AM n’est pas à exclure. Le patron de TCMG AM, Beat Wittmann, a par ailleurs indiqué à finews que le groupe, dont les actifs sous gestion s'élèvent actuellement à environ 14 milliards de francs suisses, envisage d’acquérir deux à trois autres gestionnaires d’actifs européens au cours des 16 à 24 prochains mois et d’afficher ainsi son identité multiboutique. Les classes d’actifs privilégiées sont les actions ou les obligations non traditionnelles (convertibles, haut rendement).
TCMG Asset Management, filiale de la banque privée Notenstein (groupe Raiffeisen), cherche à renforcer son modèle multi-gérants et multi-boutiques, selon Finews. Le site internet rapporte que la société de gestion suisse souhaite augmenter ses encours à 25 milliards de francs suisses, contre 14 milliards actuellement. La croissance des actifs devrait se faire grâce à la croissance externe. TCMG AM souhaite en effet faire l’acquisition de deux ou trois asset managers à moyen terme. La première transaction pourrait être officialisée dans les semaines à venir, selon le quotidien. Parallèlement, TCMG AM a nommé le CEO de Raiffeisen Pierin Vincenz au conseil d’administration, dont il prendra la présidence. L’organe accueille encore deux autres personnalités de la gestion d’actifs: l’ancien président exécutif de LGT Asset Management Torsten de Santos (qui dirige aujourd’hui le family office Rianta Capital), ainsi que Aris Prepoudis, qui était arrivé en août 2013 chez Notenstein, avec une équipe d’une quarantaine de collaborateurs provenant de J. Safra Sarasin. Ce dernier représente ainsi Notenstein, qui reste actionnaire majoritaire de TCMG AM. Il pourrait aussi signaler qu’une collaboration plus étroite entre la gestion d’actifs au sein de Notenstein et TCMG AM n’est pas à exclure.
Union Bancaire Privée (UBP) prévoit de lancer un fonds Ucits de l’un de ses hedge funds existants dans le cadre de sa stratégie de pénétration du marché retail au Royaume-Uni selon Fundweb.La banque suisse envisage de lancer d’autres nouveaux fonds Ucits après le lancement récent d’une stratégie European equity, déclare Jean-Luc Eyssautier directeur UK sales chez UBP. «Aujourd’hui, sur le marché retail le format Ucits est une nécessité. Nous avons un hedge fund nommé Discretionary Global Macro fund qui est en passe d’atteindre son plafond fixé à 1 milliard de livres, il visait jusqu’ici le marché institutionnel mais en juin nous lançons la version Ucits » déclare Jean-Luc Eyssautier.
BNP Paribas Securities Services accélère son développement tous azimuts. La filiale de services titres du groupe BNP Paribas, a ainsi annoncé, ce 14 mai, avoir remporté et mis en œuvre un mandat local de conservation et de règlement au Brésil auprès de la société de titres américaine Interactive Brokers Group (IBG). A l’issue d’un appel d’offres, le mandat a été attribué à BNP Paribas en janvier sur la base de « sa solide offre de support client et ses systèmes avancés de conservation et de reporting, qui apporteront toute l’efficacité opérationnelle à IBG sur le marché brésilien», selon un communiqué. Cette opération marque aussi un approfondissement de la relation qui lie IBG à la banque française, celle-ci offrant déjà à IBG depuis 2003 ses services post-trade sur les actions et les dérivés cotés sur le marché italien.En parallèle, BNP Paribas Securities Services a également dévoilé, le même jour, le lancement d’un nouveau service de banque dépositaire conforme à la directive AIFM à destination des gestionnaires d’actifs distribuant des fonds alternatifs non-européens en Europe. Dans le cadre de ce service dit «léger», BNP Paribas Securities Services offrira la conservation, la supervision et le contrôle de la liquidité des actifs à une base de clientèle incluant les gérants de hedge funds, de fonds de hedge funds, de private equity et de fonds immobilier, précise un communiqué.
L’enveloppe globale versée en bonus aux gérants de Wall Street pourrait croître de 10% alors que dans le même temps les traders fixed-income, dans leur ensemble, pourraient voir leurs bonus baisser de 15%, selon Bloomberg qui cite un rapport publié par le consultant new-yorkais Johnson Associates le 12 mai. Les plus fortes hausses de rémunérations variables vont probablement avoir lieu dans les services de conseil en banque d’investissement (investment-banking advisory services), dans le private-equity, le prime brokerages et la gestion d’actifs, précise Johnson Associates. « On le voyait venir et c’est maintenant une réalité, les plus gros bonus ne sont plus versés par les banques de Wall Street » déclare Alan Johnson qui dirige le cabinet de consulting du même nom.
Coup d’arrêt pour deux des plus grands gestionnaires d’actifs américains. Legg Mason a en effet fait état d’une baisse de 4,1% de ses actifs sous gestion en avril, s’établissant à 673,2 milliards de dollars contre 701,8 milliards de dollars au mois de mars. Cette diminution des encours est d’abord liée à un changement de périmètre. De fait, certains actifs de sa clientèle jusque-là comptabilisés comme des «actifs sous gestion» ont été reclassifiés en «actifs sous administration». «En conséquence de ce changement, 12,4 milliards de dollars d’actifs sous admnistration sont exclus» des actifs sous gestion publiés, a précisé Legg Mason dans un communiqué. Pour autant, la société de gestion a également subi un mouvement de décollecte lors du mois écoulé. De fait, «la collecte sur les produits de long terme a été portée par des flux sur les obligations, partiellement compensée par une décollecte modeste sur les actions, incluant environ 1 milliard de dollars de rachats précédemment annoncés», évoque Legg Mason.La tendance est identique pour Invesco. Le gestionnaire d’actifs a ainsi enregistré une baisse de 1% de ses actifs sous gestion en avril, ressortant à 779,4 milliards de dollars contre 787,3 milliards de dollars en mars. Dans un communiqué, Invesco reconnaît que cette situation est liée «à une collecte nette négative sur les produits long terme et une décollecte dans la gamme PowerShares QQQ’s». En outre, «comme annoncé précédemment, la société a connu une décollecte de 13 milliards de dollars au Royaume-Uni», a ajouté Invesco.
La banque franco-belge Dexia, qui a enregistré au premier trimestre une perte nette de 184 millions d’euros, a atteint le périmètre-cible prévu par son plan de sauvetage, ce qui lui permet de lancer un nouveau projet d’entreprise, selon un communiqué publié le 14 mai. «Dexia a désormais atteint ce trimestre le périmètre-cible prévu dans son plan de résolution ordonnée», a indiqué l’administrateur délégué Karel De Boeck, cité dans un communiqué à l’occasion de la publication intermédiaire des performances trimestrielles."Cette étape importante a constitué l’occasion de préciser le mandat du groupe ainsi que ses objectifs stratégiques et de lancer une réflexion sur l’optimisation de son modèle opérationnel dans le cadre d’un projet d’entreprise», a-t-il poursuivi.L’ensemble des cessions prévues dans le plan de sauvegarde validé par la Commission européenne ont été finalisées au cours du premier trimestre. Les deux dernières ont été la vente de Dexia Asset Management (DAM), qui a généré une plus-value de 69 millions d’euros, et celle de la participation de 40% dans Popular Banca Privada avec une plus-value de 21 millions à la clef.Le projet d’entreprise mis en place par l'établissement vise à assurer sa capacité de financement sur la durée de son plan de sauvegarde, à éviter toute rupture opérationnelle tout en réalisant des gains d’efficacité et à préserver sa base de capital afin de respecter les minima réglementaires et légaux, selon le communiqué. A cette fin, la gouvernance et la structure opérationnelle ont été modifiées avec la création d’une nouvelle ligne de métier «Assets» en charge de la gestion des portefeuilles du groupe.
Selon les informations de Das investment, Maximilian Seim a quitté Goldman Sachs Asset Management Allemagne, où il occupait la fonction d’executive director en charge de la clientèle des conseillers financiers et des gestionnaires de fortune. On ne sait pas encore si l’intéressé a rejoint une autre société.
Natixis et Moelis Asset Management ont annoncé la création de Chamonix Partners Capital Management LLC, une joint venture dédiée à lagestion de portefeuilles.Chamonix gérera dans un premier temps Vallee Blanche Fund Alpha, LP, un fonds de 1,3 milliard de dollars qui fera l’acquisition du portefeuille de produits structurés en euros et en dollars de la GAPC (Gestion Active des Portefeuilles Cantonnés) de Natixis. Les investisseurs seront tous externes à Moelis et à Natixis. «Cette cession qui porte sur l’intégralité du portefeuille et des risques pondérés associés constitue pour Natixis une étape significative en vue de la fermeture de la GAPC», indique un communiqué.Par ailleurs, au-delà de ce premier fonds, Chamonix a pour vocation à lever et gérer d’autres fonds de même type et qui procèderont à des acquisitions.Le conseil d’administration de Chamonix sera composé de trois représentants nommés par Natixis et de trois représentants nommés par Moelis. Chamonix gérera Vallee Blanche Fund Alpha, LP au travers un comité d’investissement. Ses membres ont une expérience approfondie et complémentaire de cette classe d’actifs. Martin St. Pierre, président du comité d’investissement, était jusqu’à présent Global CEO de la GAPC après avoir été Global Head of Credit Trading chez Natixis.
Northern Trust a annoncé le 12 mai la nomination de William Mak au poste de responsable de la région Asie-Pacifique. William Mak prend la succession de Teresa A. Parker, qui va assumer un «rôle stratégique clé» au siège de la société à Chicago.William Mak a rejoint Northern Trust en juillet 2010 et il a notamment été reponsable pays à Singapour et responsable de la région Asie du Sud-Est.Northern Trust souligne dans un communiqué que l’activité dans la région Asie-Pacifique a très fortement augmenté au cours des cinq dernières années, avec des actifs sous conservation en progression de 14% sur une base annualisée pendant cette période et des actifs sous gestion affichant une hausse de 11%.
Les structures DIC Holding et Qatar Holding ont encore augmenté leur participation dans Société Foncière Lyonnaise via l’acquisition d’actions hors marché. Elles détiennent, à présent, ensemble 22,19% du capital et des droits de vote, selon L’Agefi.
A la suite de l’annonce faite le 13 février dernier et de l’autorisation donnée par la Commission Européenne le 6 mai 2014, Unibail-Rodamco a annoncé le 14 mai avoir finalisé l’acquisition de sa participation dans CentrO, Oberhausen. Cette participation a été acquise auprès de Stadium Group, le développeur du centre commercial, Unibail-Rodamco s’associant ainsi au fonds de pension canadien CPPIB, qui détient également une participation dans CentrO.CentrO est l’un des plus grands et des plus performants centres commerciaux allemands. La plateforme du Groupe compte désormais 1,5 million de m² et 27 centres commerciaux en Allemagne, dont 20 gérés pour compte de tiers par mfi. Sont prévues en outre les livraisons des projets de Recklinghausen, Mönchengladbach et Osnabrück entre le 2ème semestre 2014 et la fin 2016, qui renforceront le portefeuille de mfi de 110.000 m² de surfaces supplémentaires. Cet investissement dans CentrO sera consolidé par mise en équivalence. Il est financé par des lignes de crédit existantes.
Altamir a annoncé hier dans un communiqué que son ANR par action avant dividende s'élevait à 15,55 euros, soit une progression de 4,6% par rapport au 31 décembre 2013 (14,87 euros). La progression de l’ANR provient de la croissance des cours de bourse des sociétés cotées du portefeuille au 31 mars 2014, notamment Altran (+31%) et Albioma (+14%). Un communiqué précise qu’au 31 mars, seules les sociétés cotées sont réévaluées en fonction de leur cours de bourse, la réévaluation des sociétés non cotées intervenant, elle, deux fois par an, au 30 juin et au 31 décembre. Au total, l’Actif Net IFRS (capitaux propres) au 31 mars 2014 s'élève à 550,7 millions d’euros (par rapport à 542,8 millions d’euros au 31/12/2013).
L’assureur italien Generali a annoncé, ce 14 mai, être entré en négociations exclusives avec la banque d’investissement brésilienne BTG Pactual dans le cadre de la vente potentielle de 100 % du capital de la banque privée suisse BSI. Generali a précisé qu’il tiendra informé le marché de l’évolution des négociations en temps voulu.
According to information received by Newsmangers, the credit team at Robeco, co-led by Victor Verberk, is planning to add to its product range, with the launch of 3 new funds. On the one hand, these include two total return funds, one investing in global credit and the other in emerging credit; on the other, they include a quantitative fund dedicated to the high yield segment. This fund aims to invest in bonds without geographical limits, but preferring liquid instruments.
Robeco is opening to new horizons. The Netherlands-based asset management firm is planning to open its first office in the United Kingdom soon, FT Adviser reveals, citing Eliza de Waard, head of communication at Robeco. De Waard does not offer dates, but has reportedly suggested that the office would be located in London.
Aviva Investors on 14 May announced the appointment of Ian Pizer as senior portfolio manager in its multi-asset team. He will be based in London and will report to Peter Fitzgerald, head of the multi-aset team. Pizer previously worked at Standard Life Investments, where he was investment director, Multi-Asset Investing and Portfolio Manager for the absolute return strategy fund GARS and the Absolute Return Bond Strategy. He was also a member of the team responsible for portfolio construction and tactical allocation.
Natixis and Moelis Asset Management have announced the creation of Chamonix Partners Capital Management LLC, a joint venture dedicated to portfolio management. Chamonix will initially manage Valle Blanche Fund Alpha, LP, a fund with USD1.3bn in assets, which will acquire structured products for its portfolio in euros and US dollars from Natixis GAPC (Gestion Active des Portefeuilles Cantonnés). The invesors will be 100% external to Moelis and Natixis. “This sale, which includes the entirety of the portfolio and associated risks, represents a significant step for Natixis in the closure of GAPC,” a statement says. In addition to this first fund, Chamonix will also raise and manage other funds of the same type, which will then be put to acquisition. The board of directors at Chamonix will be composed of three representatives appointed by Natixis and three representatives appointed by Moelis. Chamonix will manage Vallee Blance Fund Alpha, LP via an investment board. Its members have profound and complementary experience in this asset class. Martin St. Pierre, chairman of the investment board, had previously been president and CEO, after serving as global head of credit trading at Natixis.
The US authorities on 13 May announced that they have received over 50,000 claims from parties claiming to be victims of the fraudster Bernard Madoff. These have come from over 100 countries. The Madoff Victim Fund (MVF) established by the Department of Justice to handle these claims had received 51,700 claims from 119 countries as of the deadline of 30 April, says Richard Breeden, its superviser, in a statement. This is three times higher than the number of claims received as part of the legal process. These presumed victims have sought a total of USD40bn in losses, according to the fund. About 58% of the claims come from the United States. Eight of the 10 countries with the most claims are in Europe: Germany, Italy and France make up the top three, followed by Switzerland, Austria and Spain. “The claims received reveal a vast and diverse group of victims,” says Breeden, who estimates that the flow of claims reveals that this pyramid scheme was global. The claims have not yet been examined, and the fund cannot yet say whether they are all valid or if some claims will be cut. The MVF does state that it has received claims from banks and other financial companies that do not meet the defined eligibility criteria. The MVF is responsible for repaying USD4bn recovered by the US Department of Justice for victims of the fraud.
The parallel banking system in China accounts for over EUR3.1trn, according to the newspaper Les Echos, citing a report by the Chinese academy of social sciences, released to the AFP on Friday. This figure is slightly below estimates carried out by Moody’s in 2012, which valued the Chinese parallel banking sector at EUR3.5rn, or more than half of Chinese GDP. However, the figure advanced by the Chinese academy of social sciences represents one fifth of the regulated banking system in China. If major risks appear in the Chinese parallel banking sector, these may spread rapidly to the traditional banking sector and the real economy, “via the money market and the credit market, making systemic financial risks spread,” according to the Chinese academy of social sciences.
The success of asset management is not letting up in Spain. In the month of April, Spanish investment funds posted net inflwos of nearly EUR3bn (EUR2.96bn more precisely), according to data releases on 14 May by VDOS Stochastics. This perfomance allows assets in the sector to rise 2.05% compared with the past month, to EUR174.47bn as of the end of April, compared with EUR170.96bn as of the end of March. The top inflows in April were to Santander, which attracted EUR872m. The banking group overtook BBVA (EUR351.6m in net inflows), Banco Sabadell (EUR296.4m), Kuxtabank (EUR212.8m), and CaixaBank (EUR201.7m). However, Deutsche Bank shows the heaviest outflows over the past month, with -EUR44.6m in outflows, followed by Barclays (-EUR35.6m), Catalunya Caixa (-EUR13.5m), Allianz (-EUR13.3m) and Epsilon (-EUR6.1m). In terms of assets under management, Santander takes the top place in the sector, with assets totalling EUR31.6bn as of the end of April, up 3.04% month on month, and market share of 18.12%. This puts the Spanish bank ahead of BBVA (EUR24.4bn in assets) and Caixabank (EUR23.5bn), As of the end of April, the top 10 in the sector is concentrated there, with EUR132.15bn in assets, or 75.74% of assets under management in the market.
The outflows have been stopped. In April, according to statistics from Europerformance-SIX Telekurs, French-registered OPCVM funds saw outflows limited to EUR672.84m, compared with EUR10.55bn in March. One again, most outflows were from treasury funds, which saw net redemptions of EUR1.9bn, compared with EUR9.83bn one month previously. These money market outflows nonetheless conceal a noticeably different reality: all major asset classes show net inflows, due to funds investing in the euro zone for bond funds, and Europe for equity funds. Due to a performance effect which also benefited the various categories overall, assets under management in French-registered funds rose 0.13%.
Long-term funds finished the month of March with net inflows of EUR47bn, meaning that they have been maintained at a high level, but down slightly compared with the previous month (EUR50bn), according to the most recent statistics released by the European fund and asset management association (EFAMA). In the month under review, bond funds attracted EUR25bn, compared with EUR24bn the previous month, while diversifeid funds attracted EUR16bn, compared with EUR12bn, and equity funds EUR6bn, comapred with EUR12bn in February. Co-ordinated funds overall, including money market funds, in March posted net inflows of EUR34bn, down by EUR14bn compared with the previous month. This evolution is largely due to outflows of EUR13bn in March, compared with only EUR2bn in February. Non-UCITS funds, for their part, attracted EUR18bn, compared with EUR13bn in February. Funds reserved for institutionals in particular posted inflows of EUR12bn, compared with EUR9bn in February. Total assets in UCITS funds were up 0.6%, to EUR7.18trn, while assets in non-UCITS funds totalled EUR2.908trn, up 0.7% month on month.
BNP Paribas Securities Services is accelerating its development in all directions. The securities services affiliate of the BNP Paribas group on 14 May announced that it has won and implemented a local custody and settlement mandate in Brazil from the US securities company Interactive Brokers Group (IBG). Following the request for proposals, the mandate was awarded by BNP Paribas in January on the basis of “its solid customer support range and its advanced custody and reporting systems, which provide all operational effectiveness to IBG on the Brazilian market,” according to a statement. This operation also marks a deepening of the relationship that binds IBG to the French bank, which since 2003 has already been offering IBG its post-trade services for equities and derivatives listed on the Italian market. Meanwhile, BNP Paribas Securities Services also on the same day announced the launch of a new depository banking service that complies with the AIFM directive, aimed at asset management firms that distribute non-European alternative funds in Europe. As part of these “lightweight” services, BNP Paribas Securities Services will offer custody, supervision and controlling of liquidity of assets for clients including hedge fund managers, funds of hedge funds, private equity and real estate funds, a statement says.
L’inflation dans la zone euro ne devrait pas dépasser 0,9% cette année, 1,3% l’an prochain et 1,5% en 2016, montre jeudi l’enquête trimestrielle de la Banque centrale européenne (BCE) réalisée auprès des prévisionnistes professionnels et regardée de près par les banquiers centraux. La précédente enquête, publiée en février, donnait des prévisions de 1,1% pour 2014, 1,4% pour 2015 et 1,7% pour 2016. La perspective d’un retour vers l’objectif de la BCE d’une inflation proche de 2% s'éloigne donc. En parallèle, Eurostat a confirmé jeudi la première estimation d’une croissance des prix de 0,7% sur un an en avril en zone euro.
La croissance de l'économie de la zone euro a été plus faible que prévu au premier trimestre 2014, avec une progression du produit intérieur brut (PIB) de 0,2% par rapport aux trois derniers mois de 2013. La première estimation fournie jeudi par Eurostat est inférieure aux prévisions des économistes interrogés par Reuters, qui attendaient en moyenne 0,4%. La France a une nouvelle fois déçu avec une croissance nulle, marquée par un recul de la demande intérieure et une contribution négative du commerce extérieur. Pire encore, l'économie néerlandaise s’est contractée de 1,4% d’un trimestre à l’autre, sous le coup notamment de la baisse de ses ventes de gaz en raison de l'éhiver clément. L’activité au Portugal retourne dans le rouge avec une contraction de 0,7%, de même qu’en Italie où le PIB a reculé de 0,1%. L’Espagne (+0,4%) et l’Allemagne (+0,8%) se distinguent.
L'abandon du fixing quotidien des prix à Londres à partir du 14 août force les intervenants à trouver un autre modèle pour établir les valeurs de référence