La société d’investissement Idi vient de promouvoir Julien Bentz au poste de managing partner de l'équipe d’investissement. Collaborateur de la firme depuis 2005, il fut tout d’abord chargé d’affaires pour Idi Mezzanine, avant d’intégrer le comité exécutif en 2015.
Les associés gérants du Groupe Mirabaud ont décidé de nommer Andrew Lake en tant qu’associé commanditaire au 1er janvier 2021. Avocat de formation, basé à Londres, Andrew Lake a rejoint le groupe Mirabaud en 2013 après avoir travaillé auprès d’institutions financières telles que Merril Lynch, F&C et Aviva Investors. Andrew Lake dirige depuis 2014 l’intégralité des équipes obligataires de Mirabaud Asset Management et pilote la gestion d’un des véhicules phare du Groupe : Mirabaud Global Strategic Bond. Investisseurs dans l’entreprise, les associés commanditaires occupent des fonctions de direction et participent au développement du Groupe. Andrew Lake rejoindra dans ce cercle Etienne d’Arenberg, responsable Wealth Management UK, Thiago Frazao, responsable Wealth Management LATAM et Alain Baron, responsable Wealth Management MENA.
La différence de traitement fiscal appliquée par l’Allemagne entre les fonds immobiliers spécialisés domestiques et étrangers enfreint potentiellement la loi européenne.
La société de gestion britannique Polar Capital va acquérir sa concurrente Dalton Strategic Partnership, qui gère 1,24 milliard de livres, pour un montant de 15,6 millions de livres. L’acquisition s’inscrit dans le cadre de «la stratégie de croissance et de diversification» de Polar Capital. Elle lui permet de «s’adjoindre une équipe d’investissement européenne de premier plan complémentaire à son équipe European Income». Polar Capital rassemble 13 équipes d’investissements qui gèrent 16,4 milliards de livres au travers de 27 fonds (au 30 septembre 2020). L’équipe la plus importante est celle sur les technologies mondiales, qui gère 9,2 milliards de livres. Également basée à Londres, Dalton est spécialisée dans les actions européennes. Son fonds phare est le Melchior European Opportunities de 1,12 milliard de livres géré par David Robinson. Dalton propose aussi des fonds long/short sur les actions européennes représentant 120 millions de livres et gérés par Leonard Charlton, ainsi que trois petits fonds Monde et Asie pilotés par Nick Mottram. En revanche la transaction ne comprend pas le fonds Velox (qui n’est donc pas comptabilisé dans les encours). L’opération offre aussi à Polar Capital l’occasion d’élargir ses capacités de distribution auprès des clients wholesale et institutionnels en Europe, notamment en Allemagne. De plus, Polar Capital met la main sur la Sicav luxembourgeoise de Dalton, ce qui l’aidera à commercialiser sa propre gamme de fonds à l’international. «L’acquisition fournit à Polar Capital sa première Sicav luxembourgeoise», se félicite Gavin Rochussen, le CEO de Polar Capital. Polar Capital prendra 100 % du capital de Dalton Capital, maison mère de Dalton Strategic Partnership. Les coûts de la transaction sont estimés à 6,2 millions de livres et incluront 2,6 millions de frais de résiliation et 3,6 millions de livres de frais de réorganisation. C’est la deuxième acquisition de Polar Capital cette année. En février, le gestionnaire avait annoncé le rachat de l’équipe International Value et World Value de Pierre Py et Greg Herr à First Pacific Advisors, bouclé en octobre dernier.
Amundi a lancé le fonds de dette privée Initiative Impact 2020 dans le cadre de l’initiative de place Relance Durable France promue par la Fédération Française de l’Assurance (FFA) et en association avec la Caisse des Dépôts. Ce nouveau fonds est parrainé par Crédit Agricole Assurances, tandis que L’Auxiliaire, l’assureur du BTP, y participe. Il vise à accompagner des ETI et dans une moindre mesure des PME, principalement françaises, ayant démontré de la robustesse dans leurs performances pré-Covid-19, avec une réelle capacité de rebond. Destiné aux investisseurs institutionnels, le fonds Initiative Impact 2020 sera investi exclusivement en euro dans des dettes senior d’entreprises de tous les secteurs d’activité. Complémentaire à celle des banques, l’offre Initiative Impact 2020 propose des financements de long terme pour accompagner les entreprises dans la reprise d’activité et dans leurs projets de croissance et enjeux associés (relocalisation en France des activités stratégiques de production, accompagnement de la transition environnementale et adaptation aux nouveaux modes de consommation). Les ETI et les PME font l’objet d’un processus de sélection rigoureux tant sur les critères financiers qu’extra-financiers, en ligne avec la politique ESG d’Amundi et le cahier des charges défini par la FFA. Le fonds met aussi en place un mécanisme d’incitation pour l’atteinte des indicateurs définis lors de l’investissement.
Doit-on craindre un fort rebond de l’inflation et un durcissement de la politique monétaire ? Les relances monétaires et budgétaires massives ainsi que la constitution d’une importante épargne de précaution et forcée (faute de pouvoir consommer) ont entraîné une très forte croissance des agrégats monétaires. Concernant l’inflation à court terme, un rebond paraît très peu probable, mais, à l’horizon de quelques trimestres, de nombreuses incertitudes demeurent. Plusieurs effets temporaires (liquidités disponibles, offre de certains secteurs durablement affectée) et structurels (déflation technologique, déglobalisation) se croisent.
Au cours du mois de novembre 2020, la surprenante efficacité des vaccins contre le Covid-19 ainsi que l’issue des élections aux Etats-Unis ont déclenché une euphorie particulière sur les marchés actions, qui a pris la forme d’une rotation inédite, où les titres les plus décotés se sont fortement appréciés et, à l’inverse, les titres ayant le plus progressé sur l’année ont été fortement vendus.
Le ministre britannique des Finances, Rishi Sunak, a annoncé, jeudi, prolonger le dispositif de chômage partiel d’un mois, jusqu’à fin avril. Le gouvernement avait, début novembre, déjà prolongé ce mécanisme de cinq mois, jusqu’en mars, sous la pression du patronat et des syndicats. Les pouvoirs publics vont donc continuer jusqu’à fin avril à prendre en charge à hauteur de 80% et jusqu’à 2.500 livres sterling mensuelles les salaires des employés d’entreprises privées d’activité. Rishi Sunak a en outre annoncé, jeudi, que les mécanismes de prêts garantis étaient, eux, prolongés jusqu’à fin mars au lieu de fin janvier initialement. Le chômage partiel a déjà bénéficié à 9,9 millions de salariés, pour un coût de 46,4 milliards de livres, selon des données officielles arrêtées au 13 décembre.
370.000 entreprises, sans compter les indépendants, ont bénéficié d’exonérations de charges lors du premier confinement au printemps, pour un montant total de 2,85 milliards d’euros, a indiqué, ce jeudi, le ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt, sur BFM Business. «On estime qu’en 2020, 7 milliards d’euros seront consommés» au titre de ces exonérations, les entreprises ayant jusqu’à la fin de l’année pour en présenter la demande, a indiqué Olivier Dussopt. Les entreprises en difficulté peuvent demander à l’administration des reports de paiement de leurs cotisations sociales et de certaines échéances fiscales. Des exonérations ont été accordées dans certains secteurs (hôtellerie, restauration, tourisme, etc.).
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a fait état jeudi «d’importants progrès» sur la voie d’un accord commercial post-Brexit entre Londres et Bruxelles, mais a ajouté que la pêche demeurait un gros obstacle à sa conclusion, qu’il «sera très difficile de surmonter», a-t-elle indiqué sur Twitter. La cheffe de l’exécutif européen s’exprimait après un entretien téléphonique avec le Premier ministre britannique, Boris Johnson. Elle a précisé que les discussions se poursuivraient vendredi.
IM Global Partners, le réseau de gestion d’actifs, doit annoncer ce 17 décembre le lancement d’un fonds absolute return développé par Dynamic Beta Investments (DBi). Baptisé Oyster Stable Return, la Sicav réplique la performance de portefeuilles de hedge funds Long/Short et Managed Futures. Domicilié au Luxembourg et conforme à la directive Ucits, elle dispose aujourd’hui de 32 millions de dollars d’actifs sous gestion. DBi est spécialiste de ce genre de produits qui se proposent de générer un alpha comparable aux stratégies alternatives, mais à des tarifs plus bas et avec une liquidité quotidienne. Pour construire le fonds, DBi évalue les positions principales de quelques dizaines de Hedge Fund « stars », et les transpose ensuite dans la Sicav à travers l’usage exclusif de contrats à terme liquides. Les dérivés OTC, les obligations ou les actifs jugés illiquides n’entrent donc pas dans sa construction. DBi, qui vise une volatilité moyenne de 5%, y superpose une couverture du risque. Le gérant new-yorkais avait déjà lancé fin 2019 deux ETF actifs répliquant la performance des stratégies Long/Short pour l’un, et celle des stratégies Managed Futures pour l’autre. Ces deux fonds totalisent aujourd’hui près de 400 millions de dollars d’encours.
JPMorgan Chase a perdu face à Morgan Stanley dans la bataille à 7 milliards de dollars pour racheter Eaton Vance, a appris le Financial Times. Cette révélation met en évidence la concurrence féroce qui existe entre les grandes maisons américaines pour renforcer leur gestion d’actifs. Le déroulement de l’opération Eaton Vance a été détaillé dans un document déposé auprès du régulateur par Morgan Stanley suite à l’accord pour acquérir la société de gestion de 500 milliards de dollars en octobre. Le document évoque une «partie A» non identifiée qui aurait lancée la bataille en avril avec une offre non sollicitée pour acquérir Eaton Vance. Ensuite, elle aurait formulé trois propositions d’achat. Des sources proches du dossier ont affirmé au FT que JPMorgan était cette «partie A». La banque n’a pas souhaité faire de commentaire. Après l’approche initiale de JPMorgan, Centerview Partners, le groupe de conseil financier d’Eaton Vance, a recherché d’autres candidats au rachat. Morgan Stanley a finalement remporté la mise le 30 août avec une offre en numéraire et en actions de 56,5 dollars pour chaque action Eaton Vance, ainsi qu’un dividende de 4,25 dollars. Après cela, JPMorgan a fait une autre offre de 62,06 dollars. Thomas Faust, le PDG d’Eaton Vance, a refusé de reprendre des négociations avec JPMorgan en raison d’un «accord oral» avec Morgan Stanley.
Cathay Capital vient d’attribuer le rôle de Chief Impact Officer à Matthieu van der Elst, un poste nouvellement créé. Il s’agit d’un projet intrapreneurial " visant à évaluer, mesurer, consolider et développer l’empreinte et la stratégie d’impact ESG de Cathay Capital, tant au niveau de la société de gestion qu’en lien avec les sociétés de son portefeuille, ses investisseurs et ses grandes entreprises partenaires», a précisé la plateforme d’investissement. Ce rôle global couvre l’ensemble des zones géographiques dans lesquelles le groupe Cathay Capital opère, à savoir l’Amérique du Nord, l’Asie, l’Europe et l’Afrique. Matthieu van der Elst était depuis 2015 directeur général de Michelin Ventures, société dont il a gravi les échelons depuis son entrée en 2008 comme responsable mondial de l’intelligence de marché.
Vontobel AM a annoncé ce 16 décembre l’ouverture d’une filiale au Japon, après dix ans de présence sur l’Archipel. Le bureau sera dirigé par Goji Yoshino, un ancien de BlueBay AM et Goldman Sachs. Le groupe zurichois se renforce ainsi un peu plus dans la région, après l’ouverture d’un bureau à Singapour en octobre, et le recrutement d’une directrice commerciale à Hong Kong il y a deux semaines.
Invesco vient de lancer une nouvelle stratégie actions s’appuyant sur une approche purement quantitative pour offrir aux investisseurs la possibilité «d’anticiper les grandes tendances de l’avenir», annonce un communiqué. Grâce à l’intelligence artificielle, la nouvelle stratégie, intégrée dans le fonds d’actions Invesco Global Thematic Innovation Equity Fund, analyse systématiquement de grandes quantités de données pour repérer très tôt les évolutions susceptibles de changer la donne, et investit dans les entreprises qui sont les facilitateurs, les moteurs ou les principaux bénéficiaires de ces innovations. En utilisant le Traitement Automatique du Langage Naturel (TALN) et des techniques d’exploration de texte, l'équipe Invesco Quantitative Stratégies recherche dans des millions d’articles et autres publications des mots-clés liés à l’innovation, qui sont ensuite regroupés dans des dictionnaires thématiques. De cette façon, l'équipe identifie différents thèmes d’investissement liés aux trois grandes tendances générales : « évolution de la technologie », « démographie et société » et « environnement et pénurie de ressources ». Les 17 thèmes d’investissement actuellement identifiés vont de l’intelligence artificielle et du cloud computing aux nouvelles énergies et à l’alimentation durable, en passant par le vieillissement des sociétés et les soins de santé personnalisés. Dans un deuxième temps, des algorithmes intelligents de TALN sont appliqués pour identifier les entreprises innovantes qui sont à la pointe de ces mégatendances. L’accent est mis sur les entreprises en phase de croissance. Les plus attrayantes de ces entreprises sont intégrées dans un portefeuille d’innovation diversifié à travers les différents thèmes d’investissement, l’analyse des titres comprenant également un filtre des facteurs et une évaluation ESG (Environnement, Social et Gouvernance) approfondie. Les actions individuelles sont pondérées en fonction de la pertinence de l’entreprise pour le thème d’investissement respectif. Les pondérations du portefeuille des thèmes sont ajustées pour refléter leur pertinence : les thèmes dont la pertinence augmente obtiendront des pondérations plus élevées au fil du temps dans le portefeuille, tandis que les pondérations des thèmes dont la pertinence diminue diminueront. Le portefeuille se compose de sociétés « pure player » qui sont fortement exposées à un seul thème (par exemple, les sociétés d'énergie éolienne) ainsi que de grandes sociétés qui sont très pertinentes pour plusieurs thèmes, mais dont l’exposition à chaque thème peut être comparativement faible (par exemple, les grandes sociétés technologiques). L'équipe IQS, qui compte plus de 60 personnes, gère plus de 25 milliards de dollars d’actifs et possède plus de 35 ans d’expérience dans l’analyse de données quantitatives et la traduction systématique de grands ensembles de données en portefeuilles d’investissement. Les projets de recherche actuels de l'équipe comprennent l’intelligence artificielle, l’ESG, le Machine Learning (l’apprentissage machine) et le traitement automatique du langage naturel.
Ter. L’Autorité des marchés financiers (AMF) vient de publier son dernier rapport sur les approches extra-financières. L’objectif est d’aider les sociétés de gestion à délivrer auprès de la clientèle privée une information claire et non trompeuse. Entre autres sujets, celui des informations relatives aux émissions de gaz à effet de serre. Beaucoup de gestionnaires calculent soit une empreinte carbone, soit une intensité carbone de leur fonds. Or, prévient l’AMF, il s’agit de deux mesures statiques qui ne préjugent « aucunement du positionnement du portefeuille par rapport à l’effort de transition vers une économie bas carbone (...) ». L’AMF précise ses attentes, comme la nécessité d’informer les investisseurs sur les limites méthodologiques liées à l’utilisation de ces données. Et recommande d’effectuer des contrôles ex post de la qualité de ces datas ou encore de renforcer la due diligence dans la sélection des fournisseurs de données.
Lancé il y a moins de deux mois, le 19 octobre 2020, le label « Relance » vient de franchir le seuil des 100 fonds labellisés. Créés pour aider à la reprise économique du pays, ces véhicules sont fortement investis dans des PME et ETI françaises, y compris s’agissant des fonds investis dans des valeurs cotées, dont l’actif comprend en moyenne plus de 40 % de titres émis par des PME et ETI françaises ou 65 % de titres émis par des entreprises françaises toutes capitalisations confondues. Ce dispositif veut assurer le bon déploiement de la relance sur l’ensemble du territoire et permettre aux épargnants de flécher leur épargne sur le financement des entreprises françaises les plus petites, donc les plus vulnérables à la crise.
Stratégie. Le gérant d’actifs a dévoilé la semaine dernière qu’il reprendrait un tiers du capital de Kartesia Management, spécialiste des fonds de dette privée, d’ici à la fin de l’année. Le partenariat est stratégique pour Candriam, présent avant tout sur des actifs liquides, et qui cherche depuis 2018 à se diversifier sur le non-coté : Kartesia affiche en effet plus de 2,5 milliards d’euros d’actifs sous gestion et a récemment été classé par Preqin premier gérant de dette privée axée sur l’Europe. La prise de participation de Candriam devrait permettre de finaliser la levée du 5e fonds de Kartesia, dont l’objectif serait fixé à 1,2 milliard d’euros, et de lancer de nouveaux produits. Candriam reste cependant ouvert à d’autres opportunités de diversification.
La Banque centrale européenne (BCE) se tient prête à amortir l’impact des taux de change sur l’inflation, a déclaré le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, selon les extraits d’une interview au magazine Alternatives économiques publiés mercredi. Les responsables de la BCE observent avec préoccupation l’évolution des taux de change, l’euro ayant atteint son plus haut niveau contre le dollar depuis avril 2018, ce qui entraîne une baisse des prix à l’importation et pèse sur une inflation déjà presque atone. «Il faut ici être clair : la BCE n’a pas d’objectif de taux de change, a déclaré François Villeroy de Galhau. Nous serons prêts à utiliser tous nos instruments, sans en exclure aucun, pour contrer des effets négatifs possibles.»
Un accord pourrait être conclu au Congrès américain sur un plan de relance de 900 milliards de dollars (738 milliards d’euros) pour faire face aux conséquences de la crise du coronavirus, selon Reuters et le site Politico. Le projet prévoit le versement d’une aide directe aux particuliers, mais pas aux Etats ni aux municipalités, et il n’est assorti d’aucune garantie concernant la responsabilité des entreprises. Selon John Thune, numéro deux républicain au Sénat, les aides directement versées aux particuliers pourraient avoisiner les 600 à 700 dollars par personne.
«Du vendredi 25 décembre au 3 janvier, le Danemark sera vraiment fermé», à l’exception des magasins d’alimentation et des pharmacies, a annoncé la Première ministre du pays, Mette Frederiksen. La fermeture des centres commerciaux surviendra dès jeudi, suivie par celle d’une première série d’activités à partir du 21 décembre, puis de tous les commerces non essentiels à partir du 25. Ces restrictions rejoignent la longue liste de mesures prises pour juguler la hausse croissante du nombre de nouveaux cas, après l’extension, mardi, des mesures de semi-confinement (fermeture des collèges, lycées, restaurants et lieux culturels) à l’ensemble du pays.
La valeur du bitcoin a franchi mercredi la barre des 20.000 dollars pour la première fois de son histoire. Le bitcoin a inscrit un record à 20.800 dollars, avant de revenir à 20.545,03 dollars à 14 h 30 GMT, soit une hausse de 5,71%. Depuis le début de l’année, il a bondi de plus de 170%, profitant de l’intérêt grandissant d’investisseurs importants, séduits par son potentiel de gains rapides, son statut de couverture face à l’inflation et la perspective qu’il devienne un moyen de paiement courant. La flambée du bitcoin, que certains investisseurs considèrent comme une valeur refuge potentielle, a coïncidé avec la chute de l’or au cours des derniers mois.
La société de gestion, créée par l’ancien gérant d’Oyster Eric Bendahan, a fait son marché parmi les gérants français en vue et continue de se développer.