Benjamin de Rothschild est décédé d’une crise cardiaque intervenue à son domicile de Pregny en Suisse, dans l’après-midi du vendredi 15 janvier 2021, a annoncé samedi le groupe Edmond de Rothschild dans un communiqué. « Les premières pensées des collaborateurs du groupe vont à son épouse Ariane de Rothschild et à ses enfants, ainsi qu’à l’ensemble de sa famille et de ses proches à qui ils adressent leurs condoléances les plus sincères », indique le groupe bancaire. Benjamin de Rothschild était âgé de 57 ans. Avec sa femme Ariane, il a eu 4 filles âgées de 18 à 24 ans. Né en 1963, Benjamin de Rothschild avait pris la direction de la Compagnie Financière Edmond de Rothschild après la mort de son père, Edmond de Rothschild en 1997, dont il était le fils unique (sa mère étant Nadine de Rothschild). Benjamin de Rothschild, avec sa famille, se plaçait au 22èrang des fortunes françaises en 2020 avec une fortune estimée à 4,3 milliards d’euros contre 5 milliards un an auparavant. Sa femme Ariane de Rothschild a rejoint la banque familiale en 2008, pour en prendre la direction opérationnelle en 2015. Elle devrait désormais prendre en plus la présidence de la société faîtière, Edmond de Rothschild Holding SA, à la place de son mari défunt. La direction générale du groupe Edmond de Rothschild est assurée par Vincent Taupin depuis Paris. Benjamin de Rothschild est le descendant de la branche dite de Paris de la famille Rothschild. Son cousin Alexandre de Rothschild, fils de David de Rothschild, dirige de son côté les activités de la branche familiale britannique, propriétaire de la banque Rothschild & Cie. Après plusieurs années de bagarre judiciaire sur l’emploi du nom Rothschild, les deux branches familiales se sont réconciliées en 2018. Créé en 1953, le groupe Edmond de Rothschild compte aujourd’hui 173 milliards de francs suisses d’actifs sous gestion (160 milliards d’euros), 2 600 collaborateurs et 32 implantations dans le monde. Il était sorti de la Bourse en 2019 sous l’impulsion d’Ariane de Rothschild.
William Blair Investment Management vient de nommer Lih-Ann Tan au poste de directrice de la distribution institutionnelle et wholesale pour l’Asie. Basée à Singapour, elle est rattachée à Tom Ross, le directeur de la distribution internationale. Lih-Ann Tan arrive de NN Investment Partners où elle était directrice du développement commercial institutionnel en Asie hors-Jpon. Elle a également travaillé chez Lion Global Investors Limited et DBS Asset Management (aujourd’hui Nikko Asset Management).
En mars dernier, Brummer & Partners liquidait le hedge fund Bodenholm, qui à son plus haut gérait 13 milliards de couronnes suédoises, soit plus d’un milliard d’euros. Le gérant de Bodenholm, Per Johansson, refait surface avec un nouveau fonds, selon Realtid, qui cite Dagens Industri et Bloomberg. Il s’est associé avec d’anciens collègues de Bodenholm comme Erik Orving (PDG de la société) et Oskar Andersson, l’ancien responsable de l’analyse. La nouvelle société devrait compter entre six et sept employés. Joakim Wargcou, qui a travaillé pour Robur et Bodenholm, devrait aussi faire partie de la nouvelle aventure. La liquidation de Bodenholm est intervenue après que Erik Orving et Per Johansson ont décidé de quitter l’entreprise. D’autres personnes clés avaient également décidé de partir.
La banque belge Nagelmackers va abandonner la bataille dans la banque retail et se recentrer sur la banque privée et la gestion de fortune, a déclaré son directeur du private banking Yves Van Laecke dans les colonnes de L’Echo. La société, détenue par l’Etat chinois via Anbang Belgium Holding, et qui va prochainement fêter ses 275 ans, veut notamment se développer sur la niche de la transmission, plutôt que de se battre sur les prix. Elle va ainsi par exemple mettre sur pied un programme intitulé NextGen, spécialement conçu pour les membres des générations X, Y et Z, qui vont prochainement être confrontées à des soucis de transmission de patrimoine.
La bonne dynamique de la collecte de ce début d’année s’est poursuivie sur l’ensemble des classes de fonds, à l’exception des fonds monétaires, selon les données du« Flow Show», le rapport sur les flux hebdomadaires de collecte de BofA Global Research. Sur la semaine du 7 au 13 janvier, les investisseurs se sont préparés à traverser une potentielle période d’inflation, en misant sur le secteur de l'énergie, le style de gestion actions value, ou encore dans les obligations indexées. Les fonds actions ont été les plus plébiscités, avec 26,8 milliards de dollars de collecte nette, répartie à 70% dans les fonds indiciels cotés («ETF», exchange-traded funds) et à 30% dans les fonds gérés activement. Les souscriptions ont été particulièrement vives sur les fonds actions émergentes qui, avec 7 milliards de dollars, ont connu une de leurs meilleures semaines. Les fonds actions Europe et Japon ont reçu des flux quasi similaire, de respectivement 2,2 et 2,0 milliards de dollars. A l’inverse, les fonds en actions américaines ont perdu 3,6 milliards de dollars d’argent frais. Cette décollecte a été largement alimentée par les fonds de grandes capitalisations (-8,6 milliards de dollars) et les fonds croissance (-4,9 milliards). Sur le principal marché mondial, les investisseurs se sont plutôt préparés à un épisode d’inflation, puisqu’ils ont favorisé les fonds orientés sur les titres de l'énergie (+3,6 milliards de dollars), des financières (+2,1 milliards) et le style value (+1,3 milliard). Les fonds obligataires ont reçu 13,7 milliards de dollars, venus majoritairement des obligations investment grade (+7 milliards). La collecte fut également très dynamique sur des segments étroits du marché du crédit, comme les obligations municipales américaines (+2,5 milliards), les mortgage-back securities, ou «MBS» (2 milliards), et la dette émergente (+2,3 milliards). Elle a été aussi forte sur les obligations du Trésor indexées à l’inflation, avec +1,8 milliard, le troisième plus important flux sur cette classe d’actifs. Les fonds monétaires ont, pour leur part, rendu 9,3 milliards de dollars, tandis que les fonds or ont collecté 0,4 milliard.
Le gérant immobilier suisse Property One Investors AG vient de lancer son premier fonds de dette immobilière privée, relaye Allnews. Le véhicule, dénommé ONE Real Estate Debt Fund, est accessible aux investisseurs qualifiés suisses. Il est classé «autres fonds de placements alternatifs» selon la LPCC (loi suisse sur les placements collectifs de capitaux). Il dispose d’un portefeuille initial de 80 millions de francs suisses de prêts courants diversifiés et de qualité élevée.
Capital Group vient de placer Tetsuya Koizumi à la présidence de sa filiale japonaise, la Capital International Kabushiki Kaisha (K.K.), et la direction clients du groupe dans l’archipel. Il est rattaché à Guy Henriques, directeur clients du groupe pour l’Europe et l’Asie. Tetsuya Koizumi arrive de Deutsche Asset Management (DWS), dont il présidait la branche japonaise. Auparavant, il fut notamment directeur de l’activité fonds de pension de Fidelity Investments pendant 14 ans.
Le gestionnaire d’actifs américain Capital Group a indiqué, mercredi, qu’il comptait proposer ses premiers ETF actions et obligataires gérés activement à compterde début 2022. Un mouvement qui s’explique par la popularité croissante des ETF auprès des intermédiaires financiers et clients finaux. Holly Framsted rejoindra ainsi Capital Group en mars en qualité de responsable des ETF. Elle sera en charge de superviser le développement et le lancement de la gamme d’ETF de la firme américaine. Holly Framsted travaillait précédemment chez BlackRock, où elle était dernièrement managing director et responsable du segmentETF pour les Etats-Unis.
La société de gestion zurichoise Fisch Asset Management a vu ses encours grimper de 10% sur l’exercice 2020, pour atteindre 11,8 milliards de francs suisses. Elle n’a toutefois pas indiqué le niveau de sa collecte. La firme a notamment profité du rendement de 13,3% de son fonds flagship de performance absolue multistratégies, qui représente désormais 1,8 milliard de CHF, et de +30% sur son fonds convertibles.
La banque genevoise Pictet a annoncé hier la vente en sale-and-leaseback de son siège au gérant immobilier allemand Deka Immobilien. Les détails financiers n’ont pas été divulgués. La firme, qui va rester dans ses locaux pour le moment, envisage de construire un nouveau siège pour 2025. D’ores et déjà nommé “Campus Pictet de Rochemont”, il s’agira d’un building de 54.000 m², d’une centaine de maisons d’une surface cumulée de 10.000 m², ainsi que d’un auditorium.
Le fondateur de Renaissance Technologies, Jim Simons, a nommé le directeur général Peter Brown seul président du conseil d’administration du hedge fund, rapporte le Financial Times. Beaucoup pensaient que ce poste irait à son fils Nathaniel Simons, nommé co-président aux côtés de son père l’année dernière. Père et fils vont quitter leurs postes de co-présidents, mais resteront au conseil d’administration en tant qu’administrateurs, selon des documents officiels déposés jeudi. Cette décision laisse penser que Jim Simons accélère les préparatifs pour confier la société qu’il a fondée il y a environ 40 ans à une nouvelle génération. Renaissance gère 60 milliards de dollars d’actifs. «Je crois qu’il est temps : cette transition a été préparée depuis de nombreuses années et Peter Brown, notre nouveau président, est plus que prêt à en assumer la responsabilité», a déclaré Jim Simons, âgé de 83 ans, dans une déclaration.
Le groupe financier américain Wells Fargo, qui cherche à vendre son activité de gestion d’actifs, est entré en discussions exclusives avec un consortium de private equity dirigé par GTCR LLC et Reverence Capital Partners LPpour la vente de Wells Fargo AM, avance l’agence de presse Reuters. Wells Fargo AM gère environ 600 milliards de dollars et la firme espère tirer 3 milliards de dollars de la revente de son activité, indique Reuters, qui précise que la transaction peut aussi se conclure sans accord. GTCT et Reverence dispose de parts dans le capital de plusieurs sociétés de gestion de fortune et d’actifs dont notamment Victory Capital et Russell Investments dans le cas de Reverence. Wells Fargo a aussi récemment dévoilé ses plans de cesser son activité de gestion de fortune internationale à partir du 19 janvier. Il doit publier ses résultats ce jour 15 janvier.
BNY Mellon Investment Management lance une gamme d’investissements thématiques appelée « Future », composée de trois stratégies : Future Earth, Future Food et Future Life. Ces stratégies gérées activement visent à générer des rendements en investissant sur des actions appelées à bénéficier de la dynamique associée au changement climatique, à la révolution de la production alimentaire et à la demande accrue liée au vieillissement de la population. Les stratégies sont gérées par Newton Investment Management, une société d’investissement de BNY Mellon Investment Management, qui adopte une approche d’investissement thématique depuis sa création en 1978. Plus précisément, la stratégie BNY Mellon Future Earth est investie dans des entreprises qui contribuent de manière proactive à une transition mondiale en faveur de la protection de l’environnement et des ressources naturelles de la Terre. La stratégie s’inspire du thème « Earth Matters » de Newton et prend en compte un large éventail de préoccupations environnementales, notamment l'épuisement des ressources naturelles et son impact sur la politique gouvernementale, les stratégies des entreprises et le comportement des consommateurs. Quatre sous-thèmes sont plus spécifiquement développés au sein de la stratégie : l’efficacité des infrastructures, la gestion des ressources et le recyclage, l'énergie propre et les véhicules électriques. La stratégie BNY Mellon Future Food cible des entreprises qui devraient bénéficier des multiples opportunités associées à la demande de nouveaux aliments et d’innovations technologiques dans l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement alimentaire mondiale. Les aspects à prendre en compte sont la croissance démographique, la réduction du rendement des cultures et la demande d’aliments plus sains. La stratégie s’intéresse à trois sous-thèmes : agriculture et production, transformation alimentaire et innovation et vente au détail et consommation. Enfin, la stratégie BNY Mellon Future Life s’intéresse aux entreprises du monde entier qui devraient profiter des opportunités liées au vieillissement de la population mondiale et aux changements que cela induit pour la demande de produits et de services. L'évolution de la dynamique démographique et la croissance des industries liées à la santé sont les principaux moteurs de cet univers d’investissement. La stratégie se concentre sur quatre sous-thèmes : les soins et l’assistance, la sécurité financière, l’innovation en matière de santé et le « mieux vivre ». Les opportunités explorées sont issues des domaines des soins de santé, des loisirs, des services financiers, du logement et des voyages. Les stratégies sont gérées par Charles French, responsable de la gestion « Equity Opportunities » chez Newton, et Yuko Takano, qui est également gérante principale de la stratégie « Sustainable Global Equity » de Newton et du « BNY Mellon Sustainable Global Equity Fund ». Ils sont épaulés par l'équipe de recherche mondiale de Newton, les groupes de recherche thématique et l'équipe de gestion du portefeuille « Equity Opportunities ». Ce lancement complète la gamme existante de fonds thématiques de BNY Mellon Investment Management, gérés par sa société d’investissement Mellon Investments Corporation, basée aux ÉtatsUnis.
Le fournisseur européen d’ETF obligataires Tabula Investment Management a annoncé ce 14 juillet le lancement du premier ETF obligataire aligné sur l’Accord de Paris sur le climat. Le véhicule, dénommé Tabula EUR IG Bond Paris-aligned Climate UCITS ETF, est exposé aux obligations Investment Grade en euros de sociétés dont les émissions de gaz à effet de serre sont inférieures de 50% de celles de ce marché et a pour objectif une décarbonisation annuelle d’au moins 7%. Il exclut notamment les obligations des entreprises qui violent les « normes sociales », celles sur les activités de vente d’armes controversées et de tabac, celles qui causent des dommages environnementaux importants ainsi que celles ayant des larges revenus issus d’énergies fossiles.
Portzamparc Gestion a annoncé cette semaine avoir obtenu le label ISR pour ses fonds Portzamparc PME et Portzamparc Entrepreneurs. Le premier, lancé en 1998, gère 68,4 millions d’euros d’encours (novembre 2020), tandis que le second, âgé de quatre ans, dispose de 30,5 millions d’euros d’encours.
L’administration Trump a décidé de ne prendre «aucune mesure spécifique» sur les marchandises venant d’Autriche, d’Espagne et du Royaume Uni. L’administration Trump avait annoncé jeudi dernier le report de l’application de droits de douane supplémentaires sur des produits français emblématiques comme le champagne, en représailles à la taxe française sur le numérique, qui devaient entrer en vigueur le 6 janvier 2021, le temps de trouver une solution négociée. La veille, elle avait rendu publiques ses conclusions relatives à l’enquête sur ce même différend concernant l’Inde, l’Italie et la Turquie.
Le couvre-feu dès 18h00 sera étendu à partir de samedi à toute la France et pour une durée d’au moins quinze jours, a annoncé jeudi Jean Castex, lors d’une conférence de presse dédiée aux mesures de lutte contre le coronavirus. Le couvre-feu à 18h00 n'était jusqu'à présent en place que dans 25 départements métropolitains, situés dans l’Est et le Sud-Est. En outre, il a annoncé un renforcement des contrôles aux frontières dès lundi: des tests PCR négatifs seront demandés à tous les passagers en provenance de pays extérieurs à l’Union européenne. Pour les voyageurs en provenance de l’UE, un cadre de coordination sera élaboré par les ministres en vue du Conseil européen du 21 janvier. Les écoles restent ouvertes avec un protocole sanitaire renforcé. La vaccination contre le Covid-19 sera ouverte lundi à toute personne à risque: quelque 800.000 personnes sont concernées.
Une étude du think-tank InfluenceMap suggère que les portefeuilles globaux des trente plus gros gestionnaires d’actifs ne sont toujours pas alignés sur les objectifs définis lors de la COP 21.
Le remboursement des prêts garantis par l’Etat (PGE) accordés en France pour soutenir les entreprises frappées par la crise sanitaire pourra être différé d’une année supplémentaire, a annoncé jeudi le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Ce report s’applique à toutes les entreprises françaises, «quels que soient leur secteur d’activité et leur taille», a-t-il précisé. Les banques sont «pleinement mobilisées», et «s’engagent aujourd’hui à accepter systématiquement toute demande de décalage d’un an supplémentaire de l’amortissement du capital du PGE, formulée par une entreprise ou un professionnel qui en ressent le besoin, quel que soit son secteur», a précisé la Fédération bancaire française (FBF) dans un communiqué, jeudi soir. «A l’issue de la première année les chefs d’entreprise auront le choix de rembourser le PGE ou de fixer avec leurs banquiers une durée d’amortissement», ajoute-t-elle.
L’aboutissement des négociations sur le Brexit, le plan de relance pour l'économie américaine ainsi que le lancement de la campagne de vaccination ont dopé l’optimisme et les marchés actions en décembre 2020. Les investisseurs ont préféré se concentrer sur les titres les plus sensibles aux hausses de la croissance des bénéfices anticipés, délaissant les secteurs les plus défensifs.
La graphique ci-contre montre l’évolution de la dette publique en zone euro en pourcentage du PIB en distinguant la part de cette dette détenue par la BCE. Le ratio de la dette publique rapporté au PIB a fortement augmenté dans la zone euro passant de 86,2% à 95,1% entre 2019 T2 et 2020 T2 (France à 114% et Allemagne à 77%) avec la forte hausse de la dette publique et la diminution (temporaire) du PIB.
Amiral Gestion a annoncé jeudi 14 janvier l'évolution de sa gouvernance avec le départ de François Badelon, jusqu’ici président de la société de gestion. Ce dernier conserve sa participation dans la société et sera remplacé par Julien Lepage qui conserve lui sa fonction de directeur des investissements et de gérant. Nicolas Komilikis continuera d’assurer la direction générale de la société avec l’ensemble des membres du comité de direction. «Amiral Gestion demeure indépendante et reste détenue par l’ensemble de ses associés historiques et de ses salariés», précise la société dans un communiqué. Renforcement des équipes Par ailleurs, Amiral Gestion a profité de l’occasion pour revenir sur le renforcement de ses équipes au cours de l’année 2020.L’équipe d’investissement a enregistrél’arrivée de Sébastien Ribeiro, gérant seniorqui a rejoint l’équipe de gestion small & mid cap françaises, et celle dequatreanalystes recrutés sur les actions européennes, les actions asiatiques et sur le crédit. L'équipe commerciale a également été étendue avec l’arrivée en début d’année d’Ugo Emrinian et Sandrine Melendez. Stéphane Lemuet, après avoir participé au développement de Banque Privée 1818 depuis 2011, a quant à lui rejoint la société de gestion pour renforcer l’équipe de gestion privée. Amiral Gestion a également intégré les deux co-fondatrices d’Efires, cabinet de conseil stratégique et d’accompagnement opérationnel spécialisé dans les domaines de l’Investissement Responsable (IR) et de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). «Cette accélération du développement en matière d’IR et de RSE s’inscrit dans la stratégie entamée par Amiral Gestion depuis 2015 avec la gestion de mandats ISR pour le compte de l’ERAFP et du FRR»,indique la société dans sa missive.
Eleva Capital vient de recruter Quentin Hoareau en tant que gérant petites et moyennes valeurs européennes. Il retrouvera Diane Bruno et Marie Guigou, deux anciennes gérantes de Mandarine Gestion qui avaient rejoint la société d’Eric Bendahan en 2018. Elles gèrent un fonds de petites et moyennes capitalisations d’environ 250 millions d’euros. Quentin Hoareau vient en effet lui aussi de Mandarine Gestion où il est devenu co-gérant en 2018 pour deux fonds de petites et moyennes valeurs (Europe et France). Il a également lancé et géré un fonds de petites valeurs européennes.
La Financière de l’Echiquier (LFDE) annonce l’obtention du label ISR d’Etat pour trois fonds supplémentaires, portant son offre labellisée ISR à neuf fonds, soit 44,4% des encours sous gestion. LFDE gère plus de 12 milliards d’euros à fin 2020. Les trois fonds concernés par la labellisation sont Echiquier ARTY SRI, fonds multi-actifs historique de LFDE, dont l’encours atteint 928 millions d’euros, Echiquier Convexité SRI Europe, investi en obligations d’entreprises de l’Union européenne, et le tout récent Echiquier Climate Impact Europe est destiné à contribuer à la transition climatique. Avec au total 6 milliards d’euros d’encours sous gestion, l’offre ISR et Impact de LFDE franchit quant à elle la barre des 50% des encours sous gestion.
Janus Henderson Investors a annoncé ce 14 janvier la nomination de Richard Graham au poste nouvellement créé de directeur mondial des relations avec les consultants en investissement. Il sera également directement responsable de l'équipe britannique. Il est rattaché à Nick Adams, directeur des institutionnels. Richard Graham arrive de Schroders, où il occupa des rôles équivalents pour les marchés nord-américains, puis des îles britanniques, et enfin au niveau mondial.
Lazard Frères Gestion a annoncé ce 14 janvier avoir reçu le label ISR pour six fonds, portant le total de véhicules disposant de ce titre à 10 au sein de sa gamme. Parmi les fonds labellisés se trouvent trois fonds obligataires (Lazard Credit Fi, Lazard Capital Fi et Lazard Euro Short Duration High Yield) ainsi que trois fonds actions (Lazard Small Caps Euro, Lazard Dividendes Min Var et Lazard Patrimoine Actions).