BlackRock a annoncé ce 16 janvier une collecte nette de 49,77 milliards de dollars au quatrième trimestre, dont 43,59 milliards de dollars dans des produits de long terme. iShares, sa marque sur les produits ETF, a attiré un montant record de 81,4 milliards de dollars durant le trimestre sous revue, si bien que, sur l’ensemble de l’année, la collecte nette du groupe atteint 124 milliards de dollars. Les actifs sous gestion ressortent à 5.975,8 milliards de dollars à fin décembre 2018 contre 6.288,19 milliards de dollars à fin décembre 2017. Dans le détail, la collecte de la région Amériques atteint un peu plus de 60 milliards de dollars au quatrième trimestre. En revanche, BlackRock boucle le trimestre sur des rachats nets de 0,4 milliard de dollars dans la régionEMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) et de 16,5 milliards de dollars pour la région APAC. Par type de clients, à côté de la très forte collecte d’iShares, on observe des sorties nettes de 34,6 milliards de dollars du côté de la clientèle institutionnelle -+65 milliards sur l’année) et de 3 milliards de dollars sur la clientèle retail. En termes de résultats financiers, les revenus du trimestre en normes GAAPont reculé de 9% sur un an à 3,43 milliards de dollars et le résultat net a baissé de 60% à 927 millions de dollars. En données ajustées, le résultat net du quatrième trimestreaffiche un repli de 4% sur l’année à 975 millions de dollars. De quoi expliquer l’annonce le 10 janvier dernier d’un plan de suppression d’environ 500 postes dans le monde.

BlackRock on 16 January announced net inflows of USD49.77bn in fourth quarter, with USD43.59bn for long-term products. iShares attracted a record USD81.4bn in the quarter under review, bringing net inflows for the group for the year overall to USD124bn. Assets under management come to USD5.9758trn as of the end of December 2018, compared with USD6.28819trn as of the end of December 2017. Inflows in the Americas totalled slightly over USD60bn in Q4 éà18.However, BlackRock finished the quarter with net redemptions of USD0.4bn in the Europe, Middle East and Africa (EMEA) region, and USD16.5bn in the APAC region. By client category, alongside very strong inflows at iShares, net outflows of USD34.6bn have been observed from institutional clients, and USD3bn from retail clients. In terms of financial results, earnings for the quarter by GAAP accounting standards are down 9% year over year to USD3.43bn, and net earnings are down 60% to USD927m. In adjusted data, net profits for fourth quarter are down 4% for the year to USD975m.

Le gestionnaire d’actifs suisse Partners Group, spécialisée dans lecapital-investissement, a terminé l’année 2018 sur les chapeaux de roues.A fin décembre, les actifs sous gestion s'élevaient à 72,8 milliards d’euros, en progression de 18% sur un an, selon les chiffres communiqués parPartners Group. La moitié de cet argent était investie dans des actions d’entreprises non cotées (49%), soit 36 milliards, devantla dette privée (21%), l’immobilier (17%) et les infrastructures(13%). Les effets liés aux programmes arrivés à maturité («tail down») et les reflux de capitaux ont causé une contraction de 4,8 milliards des actifs administrés, un montant légèrement supérieur à la cible de 4,5 milliards.Les effetsde change ont contribué positivement à la croissance des encoursà hauteur de 1,1 milliard d’euros, ce à quoi il faut ajouter un apport de 1,3 milliard généré par la performance. En prenant tout cela en considération, les actifs sous gestion ont crû de 10,9 milliards sur un an, détaille le communiqué. La demande clientèle brute s’est élevéeen 2018 à 13,3 milliards d’euros, dans le haut de la fourchette des objectifs de la direction (11-14 milliards). Dans son communiqué, Partners Group parle d’unedemande équilibrée, entre programme d’investissements et mandats, répartie sur un large éventail d’offres et couvrant l’ensemble des classes d’actifs. Les investissements ont totalisé 19,3 milliards de dollars pour le compte de ses clients.

La filiale luxembourgeoise du gestionnaire d’actifs suisse Syz Asset Management, Syz Asset Management (Luxembourg), a été radiée de la liste des sociétés de gestion d’organismes de placement collectif disposant d’une succursale enregistrée en Belgique, révèleNewsManagers. L’information a été confirmée par une porte-parole de la société. La radiation de la liste de la FSMA, le régulateur des marchés financiers belges, est intervenue le 11 décembre 2018. La succursale belge a étéclôturée de manière effective le 28 décembre 2018. Les bureaux belges de Syz Asset Management (Luxembourg) étaient situés à Bruxelles depuis 2010. La société demeure toutefois dans la liste des gestionnaires relevant du droit d’un autre état de l’espace économique européen ayant notifié leur intention de fournir des fonctions de gestion d’OPC de de services d’investissement sous la libre prestation de services en Belgique.

The Luxembourg affiliate of the Swiss asset management firm Syz Asset Management, Syz Asset Management (Luxembourg), has been removed from the list of collective investment fundmanagement companies with a branch office registered in Belgium, NewsManagers can reveal. The reports have been confirmed by a spokesperson for the company. The listing was removed from Belgian regulator FSMA’s registrieson 11 December 2018. The closure of the Belgian offices of Syz Asset Management (Luxembourg), whichhad been located in Brussels since 2010, took effect on 28 December 2018. The company remains on the list of asset management firms with registrations in another country of the European economic area, who have submitted notice of intention to render OPC management investment services as part of free provision of services in Belgium.

Ardian est entré en négociations exclusivespour acquérir une participation majoritaire dans Revima, spécialiste de la révision et de l’entretien de matériels aéronautiques, auprès d’Argos Wityu. A l’occasion de cette opération, Olivier Legrand, président du groupe, réinvestira aux côtés d’Ardian tout comme Argos Wityu. Cette transaction reste soumise à l’approbation de l’autorité de la concurrence et à l’avis du comité social et économique (CSE). Créée en 1952, Revima est une société indépendante qui s’est développée pour devenir un des leaders de la maintenance, de la réparation et de la révision d’équipements d’avions de transport commercial. Le groupe est en particulier reconnu pour son expertise dans l’entretien des groupes auxiliaires de puissance (APU) et des trains d’atterrissage des avions de transport régional, moyen et long-courrier. La société, qui compte environ 750 employés, a réalisé plus de 280 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018, soit une croissance à deux chiffres depuis plusieurs années. «Revima est positionnée sur un marché en forte croissance en raison de l’augmentation constante de la flotte d’avions en service partout dans le monde. Le groupe est idéalement positionné pour poursuivre ce développement grâce aux investissements réalisés sur son site français, la construction d’un nouveau site en Thaïlande qui sera opérationnel en 2020, et à la poursuite d’une stratégie d’acquisition ciblée. Revima est à ce titre en négociation exclusive sur deux acquisitions visant à renforcer ses compétences en réparation de pièces moteurs et de maintenance prédictive», explique un communiqué.

Siparex Investimenti 2, dédié aux PME et ETI italiennes, a annoncé ce 16 janvier avoirréalisédeux nouvelles opérations en investissant au capital des entreprises SAIP et Plurima.Ces deuxsociétés familiales italiennesouvrent leur capital au fonds Siparex Investimenti 2, accompagné du fonds Siparex Midcap 3, pour les accompagner dans leur croissance. Ces deux opérations représentent pour Siparex un engagement de 15 millions d’euros. Plurima est une société de services spécialisée dans l’archivage et la gestion documentaire, en particulier pour le secteur médical et l’administration publique italienne, ainsi que pour des clients privés. Implantée dans la région de Perugia (Ombrie), l’entreprise créée en 1995 a enregistré unchiffre d’affaires de 30 millions d’eurosen 2018, affichant une croissance régulière à deux chiffres. Le capital de l’entreprise était détenu jusqu’alors intégralement par la famille de Luca Marconi, qui a fait appel à Siparex pour accélérer le développement de l’entreprise, explique un communiqué. L’entrée d’un investisseur lui donnera les moyens de renforcer sa croissance organique et de financer la réalisation de nouvelles opérations de croissances externes. Entreprise familiale fondée il y a 30 ans et dirigée par Giovanni Zanardi dans la région de Milan, SAIP produit des accumulateurs hydropneumatiques et des amortisseurs de pulsations destinés à des secteurs divers tels que l’industrie pétrochimique, l’automobile, les machines industrielles ou l’agriculture. SAIP réalise un chiffre d’affaires d’une dizaine de millions d’euros avec un effectif de 39 employés.Siparex détiendra 75% du capital. La société restera dirigée par Giovanni Zanardi avec pour objectif d’accélérer le développement commercial en Italie et à l’export, dans cette expertise de niche.

La société de gestion Finaltis a lancé un fonds sur les primes de risques de rendements absolus le 28 décembre 2018.Le FCP Finaltis Premia, qui intègre les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance, vise à surperformer son benchmark - Eonia +0,75%- de3% avec une volatilité de 3 à 4%. Pour se faire, il dispose dedeux moteurs de performance :les primes de stratégies «marché neutre» sur actions européennes (taille, value, momentum, qualité, low volatility et recovery), qui étendent les modèles académiques classiques ;les primes de stratégies de «suivi de tendances» originales de Finaltis (avec par exemple un indicateur de bulle financière qui coupe les tendances très fortes) sur contrats à terme sur indices actions, taux et devises.Par ailleurs, la société de gestion a annoncé courant décembre qu’elle proposait désormaisà sa clientèleen gestion sous mandat son expertise d’intégration de produits structurés.L’AMF a ainsi approuvé le 27 novembre l’extension de l’agrément de gestion de Finaltis aux contrats et instruments financiers à terme complexes (IFTC), peut-on lire sur le site de la société."L’offre de gestion sous mandat de Finaltis est ainsi enrichie, comportant à présent deux propositions à forte valeur ajoutée, entièrement adaptables aux besoins de chaque investisseur : l’allocation multi-actifs s’appuyant sur un cœur d’actions internationales investment grade et la gestion structurée dynamique reposant sur la sélection et l’allocation en produits structurés», explique la boutique qui précise que de nouvelles innovations seront proposées cette année.

La violente baisse des marchés financiers n’a pas épargné BlackRock. Les actifs sous gestion du premier gérant d’actifs mondial sont repassés sous la barre des 6.000 milliards de dollars au 31 décembre 2018 (5.975,8 milliards précisément), contre 6.444 milliards de dollars au 30 septembre 2018 et 6.288,19 milliards de dollars à fin décembre 2017. Les revenus du dernier trimestre 2018 ont baissé de 9% sur un an à 3,43 milliards de dollars et le résultat net a chuté de 60% à 927 millions de dollars. En données ajustées, le résultat net du quatrième trimestre affiche un repli de 4% à 975 millions de dollars.

Total, Veolia et Suez ont annoncé aujourd’hui leur participation à une nouvelle alliance internationale, comprenant aussi bien des fabricants de plastique que des entreprises de biens de consommation, dont l’objectif est de trouver des solutions pour éliminer les déchets plastiques, en particulier dans les océans. «L’Alliance to End Plastic Waste, lancée aujourd’hui par une trentaine de sociétés membres implantées dans le monde entier, s’engage à verser plus d’un milliard de dollars (877 millions d’euros), avec pour objectif d’atteindre 1,5 milliard de dollars d’ici cinq ans», indique le pétrolier français dans un communiqué.

Le groupe de gestion de patrimoine et de gestion d’actifs a publié mercredi une collecte nette de 5,5 milliards d’euros en 2018. La collecte brute a atteint 9,7 milliards, dont 5,7 milliards d’euros pour le compte de clients particuliers et 4 milliards pour les institutionnels.

The Arnault family group remains the largest shareholder in the CAC 40, with 3.9% of shares as of the end of 2017, according to a study by Euronext. The Paris stock exchange has studied the shareholder composition of the CAC 40 over a period extending from the end of 2012 to the end of 2017. The study also covered companies of the SBF 120 for the past year, with total valuation of EUR2.1trn as of the end of 2017. 60% of shareholders in these 120 companies could be identified as part of Euronext research. The French state takes a place as the second-largest shareholder in the CAC 40 (2.7%), followed by the Bettencourt-Meyers family (2.3%). Among asset management firms, five companies place in the top 10 CAC 40 shareholders, according to Euronext: Vanguard (2%), BlackRock (1.9%), Natixis (1.2%), Amundi (1.1%), and Capital Group (0.9%). The study also finds that asset management firms remain the largest SBF 120 shareholders, with an estimated stake of 24.1%, while sovereign and foreign funds represent only 2.1%, and pension funds account for 1.1% of shareholders identified by Euronext.

Jana Partners ferme deux hedge funds, rapporte le Wall Street Journal. Son fondateur, Barry Rosenstein, a annoncé dans une lettre aux clients mardi que les investisseurs pouvaient récupérer leur argent ou le transférer dans deux autres fonds de Jana focalisés sur l’activisme social et d’entreprise. En 2015, Jana gérait plus de 11 milliards de dollars, mais ces actifs ont chuté depuis à environ 3,5 milliards, selon une source proche de la société. Les deux fonds qui ferment, Jana Partners et Nirvana, ont perdu 8,1 % et 14 % l’an dernier respectivement, toujours selon cette source.

Résultats mitigés pour la gestion d’actifs et la gestion de fortune de J.P. Morgan au quatrième trimestre. Les actifs sous gestion sont repassés sous la barre des 2.000 milliards de dollars pour s'établir à 1.987 milliards de dollars à fin décembre, soit une baisse de 90 milliards de dollars par rapport au trimestre précédent mais de seulement 2% sur un an. L’effet marché négatif explique pour l’essentiel cette évolution, en partie compensé toutefois par des collectes de 3 milliards de dollars dans les produits de long terme et de 21 milliards de dollars dans les produits de liquidité. Les résultats financiers portent la marque de ces évolutions. Le chiffre d’affaires ressort à 3,44 milliards de dollars, en baisse de 120 millions de dollars par rapport au trimestre précédent et de près de 200 millions de dollars sur un an, soit 5%. Dans le détail, l’Asset Management a dégagé des revenus de 1,72milliard de dollars, en recul de 104 millions de dollars sur le trimestre précédent de 246 millions sur un an, mais la gestion de fortune, avec des revenus de 1,71 milliard de dollars,en recul sur de 16 millions sur le trimestre, marque une amélioration de 47 millions sur un an. Le résultat net du pôle Asset et Wealth Management s’inscrit à 604 millions sur le trimestre, en recul de 120 millions de dollars sur le trimestre et de 50 millions de dollars sur un an. Au niveau du groupe, J.P. Morganaenregistré un bénéfice «record» de 32,5 milliards de dollars, et un bénéfice par actionde 9 dollars, dont 7,1 milliards de dollars au quatrième trimestre, avec un bénéfice par action de 1,98 dollar.

Blackstone Group est sur le point de boucler la levée de capitaux de son plus gros fonds immobilier, à 20 milliards de dollars, rapporte le Wall Street Journal. Le véhicule, souscri par des fonds de pension américains et étrangers, gouvernements et individus fortunés, représente plus du double de tous les fonds jamais levés par un concurrent, selon les données de Preqin. Avec ce nouveau fonds, la puissance d’investissement de Blackstone est proche de 60 milliards de dollars, les fonds immobiliers ayant généralement recours à l’endettement.

Le quotidien espagnol El Confidencial rapporte qu’un nouveau candidat est entrédans la danse pourl’acquisition de BancoInversis dont Banca March cherche à conclure la vente partielle ou totale d’ici la fin du premier trimestre 2019. Cecabank a ainsi ajouté son nom à la liste tout comme Allfunds, tandis que d’autres acteurs locaux et étrangers seraient aussi intéressésselon El Confidencial. Cecabank ajouterait notamment l’activité de fonds de placement d’Inversis qui recense près de 30 000 véhicules d’investissements à destination des clients institutionnels.

BMO Real Estate Partners (BMO REP), qui fait partie du groupe canadien de gestion d’actifs de BMO (196 milliards de livres sterling gérés), a promu Adrien Brion au poste de directeur des opérations de son bureau de Paris afin de soutenir la croissance de BMO REP sur le continent, y compris le lancement récent d’une nouvelle stratégie paneuropéenne. Adrien a rejoint BMO REP en octobre 2015 en tant que gestionnaire de portefeuille européen afin de soutenir le développement d’une nouvelle plateforme paneuropéenne à Paris dirigée par Ian Kelley, Fund Director pour l’Europe et responsable de la France. Le bureau de Paris est désormais composé de huit professionnels qui gèrent un portefeuille ultra-prime d’une valeur de plus de 800 millions d’euros dans les principales villes européennes, avec un nouveau portefeuille d’acquisitions de 200 millions d’euros actuellement. Avec la croissance continue de l’entreprise et en particulier le lancement récent de plusieurs nouvelles stratégies, BMO REP a identifié la nécessité de mettre davantage l’accent sur ses opérations et son organisation. Le nouveau rôle d’Adrien sera double: superviser toutes les opérations des multiples fonds gérés depuis le bureau de Paris et développer une nouvelle ligne d’activité axée sur l’assemblage de Club Deals. Adrien Brion a 15 ans d’expérience dans le secteur immobilier. Avant de rejoindre BMO REP, il était gestionnaire de portefeuille chez CBRE Global Investors à Paris et à Londres. Auparavant, il était responsable de la gestion d’actifs du portefeuille Deka Immobilien Paris. Il a débuté sa carrière en tant qu'évaluateur chez Crédit Foncier. Adrien est un expert agréé (MRICS) et est titulaire d’une maîtrise en droit privé, droit immobilier et gestion d’actifs.

Ampere Gestion, filiale de CDC Habitat, et Swiss Life Asset Managers, Real Estate France, ont levé un financement de 650 millions d’euros pour le closing de Foncière Vesta. D’une maturité moyenne de plus de 12 ans, ce financement se compose de 360 millions d’euros de dette hypothécaire et de 290 millions d’euros de dette sans prise de garantie sur les actifs. 17 banques sont mobilisées dont 12 du groupe BPCE. Cette opération vient conclure l’acquisition d’un portefeuille de la SNCF de 128 immeubles représentant environ 4.000 logements. Ces actifs ont été placés dans Foncière Vesta, contrôlée à 80% par cinq investisseurs institutionnels.

Le poids des particuliers ne cesse de baisser au sein du CAC 40, selon l'étude que vient de dévoiler Euronext. Ils ne détenaient plus que 4,6% des 1.447 milliards d’euros de capitalisation de l’indice fin 2017, contre 5,3% un an plus tôt. Leur part a reculé dans la moitié des 20 sociétés qui précisent cette information. En revanche, le poids des familles et fondateurs s’est renforcé, passant de 10% à 11,2%. La famille Arnault est ainsi le premier actionnaire du CAC 40 avec 3,9%, devant l’Etat (2,7%) et la famille Bettencourt Meyers (2,3%). Suivent derrière Vanguard (2%), BlackRock (1,9%), l’Etat norvégien (1,6%) et Artémis (famille Pinault, propriétaire de L’Agefi) avec 1,4%. Les gestionnaires d’actifs sont davantage présents dans les plus grandes capitalisations. Ils pèsent 26% du CAC 40, et 24,1% du SBF 120 (+3,9 points en cinq ans).

Le rejet massif de l’accord sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne plonge le pays dans une incertitude des plus totales.

L’Adie permet aux personnes exclues du marché du travail et du système bancaire de créer leur entreprise et leur propre emploi grâce au microcrédit. Depuis 1989, l’Adie a aidé au financement de 206.896 personnes, dont 21.048 personnes en 2017, et à la création de 144.163 entreprises. Catherine Monnier, déléguée générale de l'association, présente son action dans le cadre du prix de la meilleure initiative en matière d’impact investing des Couronnes Instit Invest 2018.

Temenos, a banking software company, announced a strategic collaboration with Bloomberg to deliver contingency Net Asset Value (NAV) calculations to buy-side institutions. The company will make its leading Temenos Multifonds Global Accounting product accessible via the Bloomberg Terminal, so it operates with data, analytics, and other investment workflow services Bloomberg offers. This innovative and unique offering allows asset managers to generate NAV estimates independent of and in parallel to their fund administrators, enabling accurate daily oversight, and ensuring continuity of operations in the event of outages. As part of this global collaboration—initially focused in the U.S. and Europe--Bloomberg will build on its strong and trusted relationships within the buy-side industry to provide sales, marketing, and services support. This collaboration opens up a new business opportunity for Temenos of 40,000 buy side firms, of which 2/3 are in North America. NAV calculations can be impacted by errors and outages with detrimental results for a firm’s fund operations, performance and reputation. Delivered via Bloomberg, this innovative solution delivers shadow NAV oversight, with no need for onsite infrastructure or associated overhead. This gives asset managers and other buy-side institutions a scalable and efficient way to validate calculations provided by third-party fund administrators, making the most of Bloomberg’s buy-side reach and Temenos’ fund accounting software and expertise. This offering is complementary to the Temenos Fund Administration product being made available to a new set of addressable customers, including buy-side institutions that have already outsourced their back-office operations to fund administrators. Jean-Paul Zammitt, Global Head of Financial Products, Bloomberg, said: “This strategic collaboration with Temenos enables us to help buy-side firms meet their need for dependable and independent NAV oversight, to support operational contingency plans and satisfy investors. By combining Temenos’ distinctive accounting capabilities with Bloomberg’s data and services, we will provide asset managers with a more comprehensive investment lifecycle workflow, support their relationships with fund administrators, and pave the way to deliver additional innovative solutions to buy-side institutions in the future. Max Chuard, Chief Financial Officer and Chief Operating Officer, Temenos, said: “We are excited to partner with Bloomberg, whose capabilities and expertise in the buy-side space are proven and trusted. This highly strategic global collaboration dramatically increases our growth into the USD 5bn buy-side technology space. For Temenos there is the opportunity to grow our reach among asset managers, who already use Bloomberg’s buy-side solutions, as well as alternative investment segments such as hedge funds. We will offer an easy, plug and play solution with a low TCO, starting with NAV oversight and contingency through Bloomberg’s Terminal customers, with a view to unlocking further opportunities into the front and middle office over time.”

BMO Real Estate Partners (BMO REP), part of Canada’s BMO Financial Group’s £196 billionGlobal Asset Management business, has promoted Adrien Brion to the position of Director, Head of Operations at its Paris office to support BMO REP’s continued growth across the Continent, including the recent launch of a new pan-European open-ended strategy. Adrien joined BMO REP in October 2015 as European Portfolio Manager to support the development of a new pan-European platform in Paris headed by Ian Kelley, Fund Director Europe and Head of France. The Paris office is now composed of eight professionals who manage an ultra-prime portfolio with a value of over €800 million across the principal European cities, with a further acquisition pipeline of €200 million currently under exclusivity. With the ongoing growth of the business and in particular the recent launch of several new strategies, BMO REP identified the need for an increased focus on operations & organisation. across Adrien’s new role will be two-fold, including overseeing all operations across the multiple funds managed from the Paris office, as well as developing a new business line focused on the assembly of Club Deals. Ian Kelley, Fund Director Europe at BMO Real Estate Partners said: “2018 was an extremely busy and successful year for BMO REP. As we move into 2019 and in recognition of our changing business needs to support the platform’s continued growth, we are pleased to be able to draw from our coveted talent pool and to promote Adrien to this new expanded role.” Adrien has 15 years’ of experience in the real estate industry. Prior to joining BMO REP, he was Portfolio Manager at CBRE Global Investors in Paris and London and previous to that was in charge of the Asset Management of the Deka Immobilien Paris portfolio. He started his career as a valuer at Credit Foncier. Adrien is a qualified Chartered Surveyor (MRICS) and holds Masters Degrees in Private Law, Real Estate Law and Asset Management. [1] Assets Under Management (AUM) reported is as at 30.09.2018 and includes both discretionary and non-discretionary assets.

La banque Cramer & Cie SA (BCC) et son actionnaire Norinvest Holding SA (NIH) viennent d’annoncer l’acquisition d’A.M.&C. Finance SA (AM&C) à Lugano. Fondé en 2003, AM&C est un gérant externe qui détient une clientèle basée essentiellement en Suisse, en Italie et en Amérique latine. Les cinq collaborateurs d’AM&C rejoindront le bureau de BCC à Lugano. «Si la place financière tessinoise a traversé quelques années délicates, elle n’en recèle pas moins de nombreux acteurs talentueux, et donc un fort potentiel. BCC est profondément attachée à sa présence à Lugano et se réjouit d’y poursuivre son développement», déclare Cédric Anker, CEO de BCC dans un communiqué. La transaction déploie ses effets rétroactivement au 31 décembre 2018. Les parties ont convenu de ne pas dévoiler les modalités financières de l’opération.

The bank Cramer & Cie SA (BCC) and its shareholder Norinvest Holding SA (NIH) have announced the acquisition of A.M.&C. Finance SA (AM&C) in Lugano. AM&C, founded in 2003, is an external manager with a client base largely in Switzerland, Italy, and Latin America. The five employees of AM&C will join the BCC office in Lugano. “Although the Ticino finance industry has been through some hard years, it still has a lot of actors with talent, and therefore potential. BCC is deeply rooted at its presence in Lugano, and is proud to continue its development,” says Cédric Anker, CEO of BCC, in a statement. The transaction has retroactive effect to 31 December 2018. The parties have agreed not to reveal the financial terms of the operation.

Le spécialiste des ETF Solactive a annoncé mardi 15 janvier lelancement de l’indice Solactive Global Gold Giants, qui sera utilisé comme sous-jacent du fonds Harvest Global Gold Giants ETF (TSX: HGGG) de Harvest Portfolios Group Inc. L’indice a l’intention de suivre l'évolution des cours des 20 plus grandes sociétés minières aurifères selon la capitalisation boursière des sociétés inscrites à la cote d’une bourse réglementée en Amérique du Nord, en Australie ou dans certains pays européens. «Le marché de l’or et les producteurs d’or ont connu un long déclin depuis près de sept ans, ce qui a fait chuter considérablement les valeurs par rapport aux sommets atteints en 2011-2012. Les géants de l’or ont pu profiter de ces prix pour acquérir ou s’associer à de petits producteurs afin d’accroître leurs réserves et leur production», indiqueMichael Kovacs, président et chef de la direction du Harvest Portfolios Group Inc. Les sociétés qui composent l’indice sont par exemple Barrick Gold Corporation, Alamos Gold Inc, Agnico Eagle Mines Limited et B2Gold Corporation. Elles sont équipondérées par leur capitalisation boursière.

Solactive announced the launch of the Solactive Global Gold Giants Index, which will be used as the underlying of Harvest Portfolios Group Inc.’s Harvest Global Gold Giants Index ETF (TSX: HGGG). The Index intends to track the price movements of the 20 largest gold mining companies by company market capitalization listed on a regulated stock exchange in North America, Australia or in certain European countries. “Harvest Portfolios Group Inc. approached us with a well-defined perspective on the structure of the index universe, and we developed the index in a very straightforward manner,” elucidates Steffen Scheuble, CEO of Solactive. “We are very happy that Harvest Portfolios Group Inc. has chosen a Solactive index for their ETF for the first time.” Working profitably in times of a lower gold-price, the selected companies consolidated their prevalence within the industry and are now benefiting from a margin expansion due to the metal’s current price increase. “The gold market and gold mining producers have been in a long decline lasting almost 7 years, bringing values down considerably from the highs of 2011/12,” notes Michael Kovacs, President & CEO of Harvest Portfolios Group Inc. He continues: “The Gold Giants have been able to take advantage of these prices to acquire or partner with smaller producers to expand their reserves and production. We are pleased to work with Solactive to bring HGGG to the Canadian market.” The Global Gold Giants Index ETF is targeted at investors who follow a defensive investment strategy since experts at Harvest Portfolios Group Inc. believe the current economic cycle is in late stages, resulting in a potential weakening of the US dollar. Some current index components are Barrick Gold Corporation, Alamos Gold Inc., Agnico Eagle Mines Limited, and B2Gold Corporation. The index constituents are equally weighted.

Le rejet massif de l’accord sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne plonge le pays dans une incertitude des plus totales.

Arne Hassel, directeur des investissements (CIO) deBarclays Investment Solutions depuis 2015, a quitté son poste, révèle ce mardi 15 janvierCitywire Selector.L’information a été confirmée au média britannique par un porte parole de la société qui a précisé qu’Arne Hassel ne partira pas de Barclays et sera remplacé par William Hobbs, qui était responsable de la stratégie d’investissement de la société. Pour le moment, la future position d’Arne Hassel n’est pas connue mais elle s’inscrit dans une plusvaste opération de restructuration de ce service au sein deBarclays Investment Solutions, afin de l’aligner avec ses canaux de distribution au Royaume-Uni.

Lyxor a lancé sur le Nasdaq Stockholm le Lyxor Green Bond Ucits ETF, rapporte le site suédois Realtid.se. Il s’agit du premier ETF coté à Stockholm pour Lyxor. «La cotation du premier ETF de Lyxor sur le Nasdaq Stockholm est une étape importante pour nous», a commenté Carl-Christian Höeg, responsable Europe du Nord de Lyxor ETF. Lyxor Green Bond ETF a été lancé en 2017 et affiche un encours de 54 millions d’euros.